Clémence, une jeune Aristo (02)

BÊTA PUBLIQUE

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« Comme tu es sensuelle... Aguicheuse aussi. On entrevoit déjà ton coté salope » commente Clémence alors que l'action se déplace dans la bibliothèque. On voit la main de Julien très loin sous la robe d'Ophélie, tolérante et même facilitatrice en écartant nettement les cuisses pour donner plus d'aise aux manipulations de son voisin qui remonte la robe jusqu'à la taille afin de donner une meilleure vue à ses collègues et aussi montrer qu'il glisse deux doigts sous l'élastique du string.

Ophélie se tasse dans le canapé, le visage maintenant cramoisi.

Mais le pire est encore à venir.

Les paroles des étudiants sont assassines.

« Putain!!! Vous avez vu comme elle écarte les cuisses. Quelle sacrée cochonne! elle en veut! Oh, nom de dieu!»..... « En plus elle coule comme une fontaine ».

Et les sons ne sont pas moins dérangeants, car Ophélie miaule, gémit et cris sous les assauts rugueux.

Ophélie est prostrée, perturbée par ce qui se passe sur l'écran. Mais il y a plus inquiétant. « Oh mon dieu » pense-t-elle alors que des fourmillements envahissent son bas ventre. Elle déglutit difficilement face à cette révélation. Logiquement, elle ne devrait pas se sentir excitée, mais le corps d'Ophélie l'emporte unilatéralement sur son esprit rationnel. Elle est entièrement à sa merci.

« Je ne suis pas exhibitionniste » réfléchit elle alors que le film à l'écran continue et qu'elle s'entend jouir comme une folle. « Uuuuuggghhh... ooooh....... aaaaaaaaah » et se voit s'agiter en tous sens, convulser, les yeux se retourner, puis ensuite se détendre, amorphe telle une poupée de chiffon.

En catalepsie sur le divan, Ophélie voit défiler le spectacle de la soirée. Telle une statue figée, consternée par les images révélant une garce vicieuse et lubrique, abasourdie par la puissance de ses vocalises. Elle n'arrive pas à réaliser l'énormité de ce qu'elle a fait ou subi. Le film qui se déroule devant ses yeux relate un scénario digne d'un film pornographique avec de surcroit des scènes d'une perversité machiavéliques.

Les souvenirs qu'elle avait gardé de cette soirée n'ont aucune mesure avec ce qu'elle entend et voit. Aussi, confrontée à l'infame réalité, son visage passe par toutes les nuance du rouge pour finir par une teinte cramoisie. Mais en se tortillant sur le canapé, elle perçoit une sensation particulière sous ses fesses. « Oh nooonnn! Pourquoi je mouille! » se dit elle affolée.

« Pour résumer tu es une parfaite salope qui s'ignore, mais la bonne nouvelle est que cette personne me plait énormément au point que j'ai décidé de te prendre sous ma coupe. Evidemment cela nécessitera quelques ajustements et plus précisément il te faudra suivre quelques règles, notamment faire exactement ce que je te demande. » annonce Clémence, un sourire diabolique sur les lèvres.

Effarée par l'humidité qui n'arrête pas de s'écouler, Ophélie est plongée dans ses pensées.

« Tu m'écoutes! » s'insurge Clémence.

« Tu mènes ta vie professionnelle et personnelle comme tu l'entends, par contre lorsque je t'invite à venir me rejoindre pour un week-end, je compte te voir et tu te conformeras à mes exigences. » Résume Clémence en suspendant la diffusion de la vidéo.

Absorbée par l'écran, effarée par son attitude provocatrice, hébétée par la perversité des élèves, n'arrivant pas à démêler la frontière entre l'opposition, le refus avec le consentement, le désir, elle est à la fois dégoutée, terrassée par les scènes d'une obscénité effarante et en même temps incapable de se détacher des images qui au fond d'elle, la fascine et l'excite. Les dernières images sont d'ailleurs particulièrement violentes et dérangeantes. En effet elle trouve la scène de la correction horrible, mais parallèlement, elle n'arrive pas à endiguer les émotions contradictoires. Inconfortable sur le canapé, troublée, elle ne peut endiguer le flux qui trempe son string.

« Ce n'ai pas possible, je n'ai jamais fantasmé de me faire fesser, encore moins d'être corrigée » se fustige-t-elle

« cela ne peut pas être vrai! »

Dans ce contexte, plongée dans ses pensées, elle n'entend qu'une petite partie de ce que Clémence lui annonce, cependant, secouée et révoltée, sa raison la pousse à se révolter.

« Je ne peux pas... » dit-elle tout haut.

« Si, si... Tu le feras. Tu es une salope, et j'entends salope au sens noble du terme. Une femme salace, lubrique, une femme portée sur le sexe, dévergondée, débauchée, une femme qui s'affranchit de la morale et qui n'a pas peur d'expérimenter ses fantasmes. » affirme Clémence.

« Je te comprends! Tu as tendance à tout contrôler dans ta vie et inconsciemment ton fantasme s'oriente vers la soumission sexuelle. Ne sois pas inquiète! je suis là pour t'aider, t'orienter, faire en sorte que tu trouves un maximum de plaisir tout en ne te sentant pas coupable. » pérore Clémence.

Ophélie est atterrée.

« Maintenant, fini la discussion!! Suis moi. ». ordonne t'elle.

Clémence sait qu'Ophélie sera plus obéissante... du moins pendant quelque temps.

6) Mise au point.

Arrivée dans la chambre, Clémence s'adresse à sa protégée.

« Allonge toi sur le lit » ordonne-t-elle.

Elle se dirige vers la salle de bain pendant qu'Ophélie se laisse tomber sur le lit.

Clémence revient quelques instants après, avec une petite bassine remplie d'eau douce et tout le nécessaire de rasage.

« Enlève ta culotte et écarte les jambes » lui dit-elle sèchement.

« J'ai horreur des filles négligées » proclame-t-elle suffisante.

« On va s'occuper de ta chatte, tout tes poils vont disparaitre. »

Vexée, Ophélie hausse les épaules et se résigne. Au point où elle en est, de toute façon... S'appuyant sur ses coudes, anxieuse, elle attend.

Clémence commence par humidifier la toison avant de l'enduire d'une mousse légère qu'elle veille à appliquer de façon uniforme.

« Écarte plus tes cuisses et ne bouge pas, il faut que j'y voie clair ».

Ophélie obtempère alors que des larmes de honte lui montent aux yeux. Jamais elle n'a imaginé un jour se retrouver dans cette position, à plus forte raison devant une de ses anciennes élèves. Les cuisses ouvertes pour maximiser son exposition, accorder un accès complet à son intimité.

Clémence étale généreusement la mousse sur le monticule, certain de couvrir les extrémités de la chatte, du périnée jusqu'aux tendres crevasses de la vulve, mais laisse aussi ses doigts caresser plus longtemps que nécessaire l'abricot charnu.

Pour Ophélie, la simple pensée de cette fille entre ses cuisses écartées, s'occupant de son monticule avec un rasoir, est émotionnellement dévastateur. Elle lutte vigoureusement pour se calmer.

Mais Clémence est diabolique. Cette dernière constate avec plaisir qu'à la mousse se mêle à présent de la cyprine.

"Unnmmh..." murmure la prof, retenant son souffle et se mordant la lèvre inférieure avant de fermer les yeux de désespoir.

Cette situation excite énormément la grande. Elle se convainc pourtant d'avorter son massage intime, voyant que sa protégée commence à onduler du bassin. Elle approche le rasoir et s'évertue à faire disparaître les poils disgracieux. D'abord sur le mont de Vénus, puis le long des lèvres, et enfin entre les fesses.

Ophélie se sent tellement humiliée. Tout cela est tellement obscène et intrusif. L'intimité avec sa tortionnaire est insupportable, avec son visage à quelques centimètres seulement de l'entrée de sa féminité... ouverte et vulnérable.

Les tendres lèvres de la chatte d'Ophélie sont flasques au premier contact, lui envoyant un frisson dans les reins, mais elle remarque bientôt un afflux de sang coulant vers les pétales protecteurs, les incitant à devenir charnus et gonflés

"Oh mon Dieu", soupire t'elle, avec la réaction involontaire de son corps.

Elle ne peut malheureusement que savourer la douceur des doigts qui appuie sur sa peau afin de ne pas la blesser, frôlant parfois son clitoris.

« Voilà! C'est fini, ta peau est lisse. »

Clémence visualise le magnifique abricot légèrement entrouverts.

"Ooohhhhh...!" crie brusquement Ophélie lorsque un doigt sur le mont de Vénus maintenant glabre migre sur le renflement du clitoris.

« Arrête de bouger. Et écarte tes cuisses! » ordonne durement Clémence.

L'annulaire s'attarde sur le capuchon, appuie tourne autour, le pince, le tire doucement. Il grossit et bientôt la fraise qu'il protège, pointe hors de sa cachette.

Ophélie, la tête renversée, les yeux fermés, les lèvres intimes ouvertes, geint doucement.

"C'est tellement horrible" pense Ophélie, emplie de culpabilité face à sa faiblesse.

Elle devine le désir monter, ses fluides coulent, ses lèvres se gorgent de sang. Dans cette position, rasée, plus soumise que jamais, sa psyché prend le dessus sur son esprit. Elle ne se rappelle pas avoir autant mouillé auparavant, excitée d'une manière complètement inédite, incontrôlable, intense.

Les barrières morales tombent les unes après les autres. Quoi que puisse être son déni, elle s'aperçoit que son corps lui fait défaut.

Le doigt de la grande plonge un instant dans l'ouverture béante et reprend son massage brillant de plaisir.

Ophélie grimace devant l'indignité de l'examen minutieux de son vagin. Or une puissante luxure et une débauche ont pris place. Ses seins frémissent, sa respiration est erratique, la sueur coule de son front, mouille ses cheveux, et ses yeux noisette s'enroulent dans leurs orbites. L'extase est proche. Elle peut à peine former les mots entre ses halètements gutturaux pour respirer.

"Ooooh.. oooohh, non, s'il te plait, nooonn...! » supplie t'elle désespérément.

Mais Clémence, veut pousser plus loin sa belle. Elle retire donc ses doigts d'entre les cuisses ouverte et attrape les deux mains d'Ophélie pour les rapprocher de sa vulve.

« Branle toi ma belle salope! tu en meurs d'envie! » dit-elle sous le regard outré de sa protégée.

Sous le choc, Ophélie n'arrive pas à faire un seul mouvement, ce qui énerve la grande.

Elle lui claque la poitrine.

« Ouuuurrrrggghhhh » suffoque Ophélie sous la violence de la claque.

« Alors ma belle salope... tu vas te branler!!! Je veux te voir jouir sous tes doigts » insiste t'elle menaçante.

Ophélie est incapable de regarder Clémence car elle est sur le point de faire quelque chose d'incroyablement obscène. C'est pourquoi elle tourne la tête, respire, respire très fort et tente de s'évader ailleurs. Son cœur bat à toute vitesse alors qu'elle se doute que Clémence sourit de son humiliation.

Elle se résigne à caresser ses seins, poser une main entre ses cuisses et bouger un doigt sur son clitoris, doucement, très doucement, en petits cercles lents.

Fermant les yeux elle essaye de s'évader de là où elle est et de minutes en minutes, chaque parcelle de résistance s'évapore comme par magie. Elle ne pourrait certes pas l'exprimer, le reconnaitre à haute voix, mais le sentiment d'être ouverte de façon si obscène, contrainte à s'exhiber et se toucher devant un publique, l'excite comme l'enfer.

« Aaaahhh »

"Je le savais... Tu es une vilaine » lui souffle Clémence à l'oreille.

Les doigts de la prof tournent lentement, étroitement au début. Le mouvement est minime, contenu. Son visage brûle de honte, cependant lorsque toutes les terminaisons nerveuses de son corps commencent à s'animer, ses pensées rationnelles s'évaporent.

"Tu es une salle petite chienne lubrique... Oui c'est cela.... Ecarte tes lèvres... oui, bien... Qu'est-ce que tu coules!!! » continue Clémence.

Ophélie ne peut le nier, dans son monde, elle est en pleine ascendance vers le plaisir. Et ce n'est pas les paroles de la grande qui calme ses ardeurs, bien au contraire, la vulgarité des propos l'embrase.

Séparant davantage les lèvres gonflées, son majeur laboure une fois de plus ses lippes suintantes jusqu'à la calotte en retrait sur son clitoris. S'extirpant de sous sa couverture charnue, le bourgeon sensible prend vie, grandit, grandit encore. Pire encore, le frottement de son clitoris désormais non protégé déclenche un courant tout le long de son torse, provoquant la chair de poule sur ses seins tremblants et ses mamelons sensibles.

Les hanches d'Ophélie se contractent légèrement en réponse alors qu'un gémissement perceptible s'échappe de ses lèvres.

« Aaaaaaahhhhhh.... Oooooohhhhh »

Puis elle accentue la pression sur son bouton maintenant tendu à l'extrême et des petits cris remplacent les soupirs. La respiration d'Ophélie est plus lourde, sa voix devient basse et rauque, ses cuisses tremblent. Ophélie est hors de contrôle. Sa détermination à ne pas se révéler est en lambeaux

.

« Aaaaaaahhhhhh.... Oooooohhhhh »

Les muscles de son abdomen se contractent ardemment en nœuds extrêmement douloureux alors qu'elle pousse sa chatte trempée contre sa main, frotte sans complaisance son clitoris douloureux dans une tentative désespérée d'obtenir toutes les sensations possibles.

Ophélie devine le désir monter. Dans cette position, écartée, ouverte, rasée, plus soumise que jamais, sa psyché prend le dessus sur son esprit. Elle ne se rappelle pas avoir autant mouillé auparavant, excitée d'une manière complètement inédite, incontrôlable, intense.

"UUUUNNNNNGGGGHH...OHH...OOUUUUUIIIII!!!" Crie t'elle sans retenue alors que l'orgasme se poursuit comme si elle n'avait jamais connu pareille extase de sa propre main.

Les yeux de Clémence sont semblables à des soucoupes devant le spectacle. Elle a devant elle une affamée de sexe. Forcée, elle tombe lentement mais surement dans le besoin et laisse sa fierté derrière elle. Les barrières morales tombent les unes après les autres. Maintenant, elle est convaincue qu'elle pourra exiger encore plus de sa belle prof. Elle est persuadée qu'Ophélie se pliera à toutes ses volontés.

Quelques minutes plus tard, Ophélie revient à elle. Elle croit souffler, mais elle n'est pas sortie d'affaire. Clémence ne peut plus tenir, elle aussi a une énorme envie de jouir. Depuis la veille elle est sur des charbons ardents. Elle se place donc à la tête du lit, les jambes de part et d'autre d'Ophélie, caresse rêveusement sa protégée, le souffle court, le désir pressant. Elle ouvre ensuite son kimono, empoigne les cheveux de la prof et rapproche le visage de sa fourche.

« Allez ma petite chienne, fais ton travail maintenant » ordonne t'elle en tirant sa belle. Elle la force à plonger sur sa chatte en feu.

Ophélie se débat, essayant de sortir sa tête de l'entrejambe.

Or Clémence tient fermement sa prise et oblige immédiatement la brune à se remettre en place.

"Je ne me souviens pas de t'avoir donné le choix.... Lèche ma chatte! » ordonne-t-elle fermement.

Au lieu d'obéir, Ophélie continue à lutter.

La grande tire alors la tête de la prof sur le côté et la gifle violemment.

"Je t'ai donné un ordre, salope. Pourquoi penses tu que tu es libre de me désobéir?"

Ophélie n'arrive pas à se contrôler, lécher une fille est au-dessus de ses forces, c'est tout à fait impensable. Prise de dégout et de tremblement incontrôlable, elle continue à se rebeller.

"Non, Non je ne te lècherais pas » crie t'elle têtue en fixant la grande de ses yeux injectés de haine.

Clémence décide alors de changer de tactique. Elle ne renonce pas, bien au contraire. Non seulement elle la forcera coute que coute, mais en plus, cela lui donnera l'occasion de la corriger plus tard et ce sera réjouissant. Tenant toujours fermement les cheveux d'Ophélie, la grande se relève rapidement, se positionne prestement au-dessus du visage. Elle s'assoit ensuite et relève la tête de la brune, pour la plonger entre ses cuisses.

Les yeux d'Ophélie reflètent l'affolement.

« Nonnnnn » s'insurge t'elle en se tortillant, essayant de se dégager en poussant la grande avec ses mains.

Amusée, Emma resserre sa prise et bloque instantanément les récriminations de la brune, la bouche collée à sa vulve trempée.

"Tais toi et lèches!!! Tu vas faire ce que je dis! La prochaine fois que tu parles, je t'attache et te donnerais une raclée que tu ne seras pas près d'oublier » Crie t'elle, feignant la colère tout en passant une main derrière son dos. Elle pince férocement la tétine disponible.

« ffffouuillle » crie Ophélie.

« Aller mange moi salope » ordonne-t-elle

« dépêche-toi d'ouvrir ta bouche, sort ta langue et lèche moi » insiste t'elle en tirant le téton.

La bouche ouverte, souffrant le martyre, Ophélie abdique. Elle sort sa langue.

« Maintenant, vas-y, et n'ose pas t'arrêter jusqu'à ce que je te le dise! »

Ophélie lèche alors timidement.

« Active toi sérieusement ou je t'arrache le mamelon » menace t'elle malaxant la poitrine de sa belle.

Ophélie se met alors à faire des aller et retour entre les lèvres grasses. Elle est en mode automate, voulant oublier le gout aigrelet qui envahit sa bouche.

« Tu peux mieux faire! » récrimine la grande, impatiente.

Résignée, Ophélie suce, lèche.

Clémence est aux anges. Elle commence à se balancer doucement sur les lèvres de sa protégée, son clitoris rebondissant sur le nez alors que la prof marmonne quelque chose d'inintelligible, étouffé par les lippes de sa tortionnaire, obligée d'avaler le jus en abondance.

La grande miaule. « Aaaahhhhhhh.... Ooohh... je vais jouir! » grogne-t-elle. Puis tenant la tête d'Ophélie en place, elle se balance plus vite, son jus recouvrant le visage de sa belle. Elle devient de plus en plus excitée de seconde en seconde.

"Oooh putain! OUI.... Aaaaaaaaahh... Suce moi fort....!" S'exclame t'elle en cognant fort son clitoris sur le nez d'Ophélie, la regardant droit dans les yeux tout le temps.

Les yeux écarquillés, la mort dans l'âme, Ophélie suit les directives et malgré elle, doit aspirer le jus dégoulinant.

Et puis sans vraiment réfléchir, ne pensant qu'à abréger son inconfort et aussi par défi, elle plonge sa langue profondément. Elle la remue vivement, accroche ses mains aux fesses de la grande, les serre, les griffe. Clémence se décale alors de surprise et Ophélie en profite pour attraper son clitoris et l'aspirer durement.

« Aaaaaaaaaaaaaaaaaah Oooooohhhhh putain » rugit la grande alors que sa protégée se déchaine sur son bouton, exaltée par son pouvoir.

« OUUUUAAAAAAAAHHHHHHHHHHH » hurle la grande alors que l'orgasme la frappe. Tétanisée elle jouit en éjaculant, presque effrayée par les incroyables jets qui sortent d'elle, des jets multiples, libérateurs, des jets comme il ne lui ait jamais arrivé. Elle avait découvert quand de certaines conditions elle était une femme fontaine, mais aujourd'hui elle a l'impression que cela ne va pas s'arrêter. Une première éjaculation rapide libératrice, puis une deuxième violente, puissante, et la dernière lui donnant l'impression de se vider.

Épuisée, Clémence s'écarte chancelante, s'affale à coté de sa protégée puis finit par quitter la chambre.

De son coté, dégrisée par son baroud d'honneur, Ophélie reste allongée sur le ventre, la tête dans l'oreiller, incapable de bouger. Elle se sent sale, avilie.

Quelques minutes plus tard Clémence revient, s'approche sans faire de bruit, puis rapidement monte sur le lit et s'assoit sur sa protégée.

Ophélie, sort immédiatement de sa léthargie, crie, remue.

Mais la grande est rapide. Elle lui prend une main qu'elle enserre par un collier bracelet en cuir, le passe derrière un barreau de la tête de lit et attrape l'autre main pour la fixer à la deuxième menotte en cuir. Ophélie tire sur ses bras, se débat, mais rien n'y fait, elle est prise au piège.

« Oh tu peux bouger dans tous les sens ma belle garce, tu ne pourras pas échapper à ta punition » sourit la grande alors qu'elle est déjà descendue du lit, saisit une jambe et fixe un bracelet en cuir.

Il ne lui faut pas plus de temps pour tendre la jambe par la corde accrochée à la menotte et l'accrocher solidement au pied du lit.

La peur vrillée au ventre, Ophélie rue en tous sens, crie, invective la grande. Cela n'a d'effet que faire sourire encore plus Clémence, qui énergiquement s'est emparée de la deuxième cheville et l'attache solidement au deuxième pied.