Clémence, une jeune Aristo (02)

BÊTA PUBLIQUE

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Au début il n'y a que ses hanches qui manifestent ce désir, Ophélie les poussent à la rencontre de la main qui s'échappe, mais rapidement, toute honte ravalée, ses yeux supplient.

« Tu veux me dire quelque chose » réagit clémence en enlevant le bâillon.

« S'iiilll teeee plaaiiiit » quémande t'elle partiellement.

«Tu es à moi et tu fais ce que je veux. Tu n'as pas ton mot à dire, tu te souviens?» Rétorque Clémence.

« Si tu es une gentille fille, je pourrais PEU ETRE t'écouter » Poursuit elle.

« Embrasse-moi!!!» ajoute Clémence en plaçant une main sur sa mâchoire, l'encourageant à ouvrir la bouche.

Ophélie se raidit et la grande peut la voir lutter contre ses envies divergentes

.

Clémence réitère ses taquineries.

Ophélie geint à nouveau lorsque la grande s'occupe d'elle puis l'implore quand celle-ci lui refuse à nouveau la jouissance libératrice.

«Nooooonnn, S'iiilll teeee plaaiiiit ffffait moii joouuiirr » murmure t'elle d'une voix plaintive.

« Tu crois que tu mérites de jouir ma petite chienne,» lui dit-elle en lui soulevant le menton.

« Ouuuuiiiiii » gémit Ophélie honteuse.

« Ok, je vais t'accorder cette faveur » lui dit elle « Mais après il faudra être une gentille fille »

La tête toujours maintenue en hauteur, les yeux dans les yeux Clémence lui explique qu'elle lui apporte le plaisir, mais que cela n'est pas gratuit.

« Oui Clémence, fais moi jouir s'il te plait.... Je n'en peux plus... je ferais ce que tu me demandes » rétorque Ophélie l'esprit perturbé par le désir obsédant de jouir.

« Tu te doutes que je vais être encore plus exigeante » poursuit Clémence pour bien fixer les règles et avoir son total accord.

Ophélie ne comprend pas tout, et de toute façon, son corps et bien trop préoccupé par la boule de feu dans son ventre pour que son esprit analyse les dernières paroles de Clémence surtout que celle-ci le maintien de surcroit dans un état de dépendance à la limite de la folie, les doigts en perpétuel action.

«Aaaaaahhhhh... oui Clémence... Aaaaahhh... S'il te plait »

« Tu as vraiment envie d'être une soumise très douce » rajoute t'elle en pinçant sournoisement son clitoris.

« Ouuuuuuhhhh... Ouiiii » répond-elle en mode automatique, sans réaliser la portée de ses mots.

Clémence sourit et lorsqu'elle glisse maintenant ses doigts sur la joue d'Ophélie, les yeux s'ouvrent brièvement, et cette fois ci il n'y eu aucune résistance. Dès qu'elle est à portée, Ophélie ouvre sa bouche, haletante et pressée par une envie insoutenable de jouir, n'écoutant plus sa raison, soumise au désir primal, celle-ci se laisse faire puis répond au baiser de sa tortionnaire.

Les verrous ont disparu.

Dans le besoin, la passion l'emporte. Tremblante de plaisir elle se déchaine avec avidité dans la bouche de la grande alors que cette dernière n'oublie pas de la caresser.

Clémence sourit intérieurement, le baiser est d'une telle passion. Elle interrompt néanmoins sa petite victoire pour descendre sur les seins. Ses lèvres enveloppant l'aréole, elle lèche, suce, aspire le téton tandis que sa main libre titille, cajole l'autre sein, étire la tétine. Ophélie devient folle d'autant plus que Clémence n'oublie pas de titiller sa vulve affamée, enfonce deux doigts à l'intérieur d'elle, puis les incline vers le bas pour frotter son point G, la bousculant avec force tout en faisant entrer et sortir ses doigts durement.

Ophélie gémit sans discontinuer augmentant en volume et en tonalité alors que la grande maintient la vitesse et la pression, prenant plaisir à la conduire vers de plus grandes hauteurs de frustration et de plaisir. En un rien de temps, elle est de retour au bord de l'orgasme. Elle se débat contre ses attaches et crie de ne pas s'arrêter.

Clémence s'est alors penché pour monter la puissance des vibrations du plug au niveau deux.

Ophélie suffoque.

Il est évident qu'elle est sur le point de jouir. Ophélie est clairement très excitée mais aussi honteuse d'elle-même d'être ainsi. Elle se sent comme la salope que lui a décrit Clémence, et elle déteste ça, mais elle adore aussi. Elle déteste aimer ça, en fait. Tout est tellement embrouillé dans son esprit. Ophélie fait face à un solide mur de sentiments ; du manque de dignité dans sa tête, au manque de liberté dans ses poignets jusqu'au manque de répit dans sa chatte et son anus. En tous les cas, pour l'instant elle ne pense qu'à jouir, à se libérer de cette infame boule au ventre qui la taraude, qui l'empêche de penser, qui lui prend toute son énergie, qui la pousse à reconnaitre qu'elle est une garce lubrique affamée de luxure et de débauche prête à toutes les compromissions uniquement pour obtenir l'orgasme libérateur.

"Tu aimes vraiment ça ma petite chienne, n'est-ce pas?" dit Clémence tout sourire.

Vicieuse elle tourne ensuite directement la position du vibrateur du niveau deux au niveau cinq, le maximum. la réaction est instantanée. Les muscles d'Ophélie se tendent immédiatement, tirant comme une forcenée sur la chaîne, puis lorsque Clémence maltraite son clitoris elle commence à jouir, criant comme une forcenée, tremblant comme une feuille.

Ce sont presque des convulsions.

L'expression sur son visage est alors celle d'une libération, d'un pur bonheur sans honte ni reproche.

Béate de reconnaissance, elle oublie sa souffrance et cuve les rémanences de son orgasme. Mais juste au moment où elle pense que ses tourments sont derrière elle, que la grande a ce qu'elle voulait, sa soumission, elle hurle à nouveau.

« Allez jouis encore ma belle salope... tu l'as bien mérité! » dit la grande alors qu'elle lui pince durement les tétines gorgées de sang tout en les étirant. La douleur est atroce, cela brûle, mais elle est de courte durée, des ondes de choc parcourent tout son corps. Cette douleur et ce plaisir atteignent un tout autre niveau et c'est suffisant pour déclencher un nouveau feu d'artifice. Ophélie vient encore et encore, et encore, jouit comme jamais. C'est si merveilleusement bon qu'elle est devenue un animal sauvage hurlant à la mort, giclant comme une rivière en crue, incapable d'échapper au raz-de-marée qui l'emporte.

Eblouie par le tempérament sauvage de sa protégée, Clémence reste interdite devant le spectacle que celle-ci lui offre. Statufiée elle la regarde trembler de tout son corps puis, se rapproche d'elle, l'enveloppe de ses bras et la soutient pendant qu'elle la décroche. Amoureusement, elle la tient dans ses bras quelques minutes laissant Ophélie cuver son orgasme, la tête reposée sur son épaule, se calmant doucement sous ses caresses. Ensuite Clémence se colle derrière elle, le menton dans son cou, les mains englobant la poitrine, ne résistant pas au plaisir de caresser la chair douce et tendre.

« Que tu es belle quand tu te laisses aller, quand tu jouis. Que je t'aime ma douce petite chienne » lui susurre t'elle, alors qu'Ophélie se détend contre le torse de sa tortionnaire, frissonnante de plaisir sous la douceur des paroles et des caresses langoureuses.

Puis reprenant son attitude directive, Clémence se détache d'Ophélie et lui ordonne : « Fais-moi plaisir, met ça. » en lui donnant le collier.

Ophélie la regarde à nouveau avec les yeux sortant de son crâne. La pauvre femme, empreinte de toutes sortes d'émotions et de sensations, n'a cependant pas la force de la contredire. Elle est épuisée et a encore trop mal aux fesses pour avoir tous ces moyens. Avec le regard vide, résignée, elle attache le morceau de cuir autour de son cou puis Clémence se rapproche d'elle, fixe une laisse au collier et la tire.

Encore sous le choc, Ophélie la suit. Or, lorsqu'Ophélie voit la grande se diriger vers la sortie, la prof a un sursaut de dignité, elle ne peut s'empêcher d'ouvrir la bouche

« qu'est-ce qu'on fait? » murmure t'elle la voix chevrotante.

Elle n'aura pas de réponse. Clémence se contente de se retourner, et de sa main libre, envoie une claque magistrale.

« Silence...Tu fais ce que je te dis... et là tu me suis » dit-elle sèchement

« est ce que c'est clair!!! »

La joue brulante, totalement désemparée, devenue immédiatement docile, Ophélie hoche la tête. Toute honte bue, les yeux vers le sol, résignée, matée, elle se laisse ensuite entrainer. Elle se retrouve dehors en un rien de temps, abasourdie, marchant tel un automate sous les rayons du soleil aveuglant.

Plus tard, lorsqu'elle il lui est revenu ce moment en mémoire, elle ne se rappellera plus le chemin emprunté ni le temps pour rejoindre la maison principale. Tout ce qui lui reste est cette honte indescriptible d'être tenue en laisse avec ce gros collier en cuir autour du cou, entièrement nue, dérangée par le plug toujours à sa place.

Clémence de son côté savoure ce moment.

En soufflant le chaud et le froid, sa belle prof commence à devenir de plus en plus souple. Certes elle sait qu'elle devra maintenir la pression pour que sa protégée soit comme elle le désire, malléable, obéissante tout en sachant que pour en faire son esclave dévouée il lui faudra encore du temps. Elle devra certainement employer des moyens de coercitions humiliants et graduellement plus sévère.

Elle a déjà prévu les différentes étapes mais ne peut les dévoiler tout de suite, car sa Prof n'est pas encore capable de les accepter. Elle doit d'abord lui faire découvrir son incroyable facilité à jouir sous son joug, lui montrer qu'elle est capable d'avoir des orgasmes multiples et étourdissant avant que sa belle ne passe du déni à l'acceptation et de la conduire vers une soumission totale. Elle ne veut pas risquer de la perdre en route, elle tient trop à Ophélie.

Tout en elle lui plait. Une silhouette pulpeuse aux formes affriolantes, des seins fermes et orgueilleux, des fesses rondes et cambrées, un abricot proéminent aux lèvres délicates, un corps de déesse fait pour l'amour.

Et que dire de sa démarche ondulante lorsqu'elle se déplace. Elle a pu observer le regard concupiscent des étudiantes et des étudiants sur la plastique de sa protégée.

Et puis il y a cette personnalité contradictoire, orgueilleuse limite fière, droite, directive et moralisatrice aux yeux de tous, sexuellement débridée dans l'intimité et sous la contrainte, affreusement excitante lorsqu'elle se soumet.

Clémence est émue à la pensée qu'elle va pouvoir réaliser le rêve qui l'obsède depuis sept ans, avoir Ophélie pour elle seule, la posséder totalement.

Lorsqu'elle se retourne de temps en temps pour l'observer, son cœur s'emporte à la voir embarrassée, mais elle est fascinée en même temps par l'indifférence apparente, le port de reine, le regard vague plongée dans un autre monde.

La ressemblance avec une certaine « Cercei Lannister » descendant la rue de Port Real lui saute aux yeux. La marche de la honte. Cette scène marquante de « Game of trône » est une punition dirigée contre les femmes censée briser leur fierté. Et c'est ce que la grande envisage. Elle se fait la réflexion toutefois que Cercei avait le crâne rasé. « Qu'elle serait merveilleuse sans une once de poils sur elle ; une esclave dévouée à son maitre » se dit elle pensive.

5) 2éme jour à la plantation, vendredi 4 juillet.

Il est huit heures quand Ophélie émerge, allongée dans un lit baldaquin, certes à l'ossature massive en fer, mais joliment décoré par des tentures en coton blanc parsemées de broderie. Encore une fois elle ne reconnait pas son environnement, tout est confus quant à son arrivée dans cette chambre. Par contre son corps se rappelle de la soirée. Elle a pu se reposer, mais se doute que ça ne durera pas. Pour l'instant ses pensées sont en France avec sa fille qu'elle a laissé à sa maman et ensuite son esprit dérive vers son travail. Elle ne sait pas quand elle pourra rentrer. Cela l'inquiète fortement.

Pendant sept ans elle s'est construit une nouvelle carrière, une nouvelle vie. il lui est impensable d'y renoncer, aussi elle reprend confiance en elle et se dit qu'elle ne laissera pas une petite morveuse tout détruire.

Et puis elle est interpellée par une sonnerie. Un réveil s'est déclenché. Placé sur une petite table sur la gauche de son lit celui-ci émet un son strident. Elle se penche alors pour l'éteindre et aperçoit en même temps un mot laconique, posé à côté. « Habille toi et rejoins moi »

Elle glisse alors du lit, attrape les habits disposés sur un fauteuil, un string crème en dentelle, un peignoir Kimono japonais absolument magnifique, blanc en soie véritable avec pour motif dans le dos une geisha tenant une ombrelle et se dirige ensuite vers la salle de bain.

La douche prise, elle passe ses deux jambes dans le string puis enfile le déshabillé. Tout en cherchant à le nouer, elle a un flash. Son esprit dérive vers ses cours de seconde année sur l'histoire Japonaise.

Pour acquérir le nom prestigieux de geisha, la période de formation est longue, de nombreuses heures d'entrainement implacable sont nécessaire, pour savoir dire bonjour correctement, saluer, s'assoir, avoir le ton de voix et le niveau de langue approprié. Dès l'instant où elle émerge du sommeil jusqu'au moment où elle pose la tête sur son oreiller, à la fin de la journée, elle n'a pas une seule minute pour faiblir. Son comportement doit être en tout point irréprochable. Première réveillée, dernière couchée, elle renonce à tout loisirs. Elle se charge des corvées et découvre la règle qui commandera désormais sa vie : servir les autres.

« Oh mon dieu... non... je dois me tromper, elle n'est pas folle à ce point. Je ne serais jamais son esclave » se dit elle frissonnante.

Perturbée, elle examine ensuite la chambre et essaye de tourner la poignée de la porte. Elle est à moitié surprise quand elle cède et s'ouvre. Elle se retrouve dans un couloir. Son corps et son esprit sont encore un peu endormis mais, entendant de la musique, elle la suit pour savoir où cela la mène, ce qui se passe.

Quand elle arrive au bout du couloir, elle découvre une vaste cuisine. Et puis instantanément d'agréables effluves envahissent ses narines, une odeur de brioche que l'on vient de sortir du four, et au-delà, réveille son estomac qui crie famine. Lorsqu'elle avance elle est surprise de voir sur la table un service. Assiette, tasse, verre et couverts sont disposés harmonieusement devant une coupelle d'ananas, une autre de mangue et à coté, beurre ainsi que confiture accompagne des tranches de brioche. Elle ne peut résister. Elle se dirige alors vers le plan de travail pour se servir de café et s'assoit devant l'assiette. « De la mangue et aussi de l'ananas.... Mes péchés mignons.... Et cette brioche qui me rappelle Mami... Tout ce que j'aime!... et même cette confiture d'abricot. Ce n'est pas possible! » pense-t-elle interrogative.

Elle n'a pas fait de vrais repas depuis au moins une vingtaine d'heure aussi elle savoure et dévore tout ce qui est devant elle. Enfin rassasiée, levant sa tasse de café, elle voit qu'elle est observée. Parée d'un kimono de couleur vive, tout aussi magnifique avec son dragon rouge dans le dos, Clémence la regarde attendrie. D'ailleurs ce n'est plus Ophélie devant elle, ni la prof et encore moins l'analyste financière. C'est sa moitié, sa muse, sa petite chienne. Qu'elle soit consentante ou non, lui est égal. De toute façon elle a prévu le week-end pour la modeler, et rien ne pourra l'arrêter.

« J'ai l'impression que le petit déjeuner t'a plus..., j'en suis heureuse. » dit-elle chaleureusement. « Maintenant suis moi dans le salon nous devons discuter » ajoute-t-elle ensuite en prenant une tasse de café et montrant le chemin.

Ophélie suit en silence la grande ou plus exactement une tête blonde sortant d'un kimono de couleur vive, tout aussi magnifique que le sien mais avec un dragon rouge dans le dos.

Elle n'en est pas consciente ou plus exactement ne fait pas le rapprochement, cependant son subconscient enregistre l'aspect subliminal de l'image : le dragon rouge symbole de force et de pouvoir associés au feu, à la passion, à l'agressivité et parfois la colère ou le danger.

Assieds toi là » dit-elle en lui montrant un grand canapé de cuir alors qu'un grand écran en face diffuse un reportage sur les plages de Martinique

« au fait tu es magnifique, le kimono te va super bien » dit-elle.

« Je vais déjà répondre à tes questions et après je t'expliquerai les règles »

« Pourquoi tout ça, pourquoi tu t'en prends à moi, qu'est-ce que je t'ai fait. Qu'est-ce que tu prévois, je ne suis. » débite Ophélie.

« STOP!!! Calme toi! Tu as parlé, maintenant laisse moi répondre » interrompt fermement la grande.

« Pourquoi, pourquoi.... C'est tout simple. Il y a deux ans quand je suis arrivé dans ta classe, j'ai suivi attentivement tes cours comme tous les élèves. Je me suis conformé aux règles en vigueur ainsi qu'à la discipline nécessaire à l'apprentissage. Par ailleurs, comme tu as décelé chez moi des facilités dans les mathématiques, tu m'as pris sous ton aile pour que je développe mes aptitudes. Tu n'as pas toujours été commode et plusieurs fois je me suis senti rabaissée... Si, si. Mais c'est de l'histoire ancienne, car je suis devenue la première de la classe, de loin, et en plus tu as nourri en moi l'esprit de compétition, inculqué la rigueur, démontré que la sévérité est quelque fois nécessaire. » explique t'elle.

« Oui mais... »

« Laisse moi finir et arrête de me couper... Je ne te le dirais plus » la coupe t'elle en colère.

« Donc je disais que j'ai écouté religieusement tes conseils, respecté ton autorité. Autant dire que je suivais ton enseignement et cela quelque soient mes humeurs. C'est normal, personne ne m'a forcé à venir dans ce lycée et suivre tes cours. Et donc j'en viens à ce qui nous concerne maintenant. Il y a sept ans tu es venu dans mon château, à ma fête d'anniversaire. Personne ne t'a obligé. D'ailleurs je suis certaine que tu as même passé un bon moment si j'en crois le début de soirée dans la bibliothèque. Aussi, en observant tes capacités, ton potentiel, j'ai considéré qu'il serait coupable de ne pas t'aider à développer ton potentiel. » affirme t-elle.

« Toi comme moi, on aime l'ordre, la discipline et le respect. Et comme aujourd'hui je suis en charge de ton apprentissage et de la même façon que chaque prof à sa méthode, moi j'ai la mienne, et j'entends que tu sois une bonne élève. Saches que j'appliquerais méthodiquement tes préceptes. Alors maintenant nous arrivons à mes exigences. Je vais te les donner et comme tu l'a dit la première année, je te précise qu'elles ne sont pas discutables. »

« Elles sont belles ces plages » proclame-t-elle à brule pourpoint alors que la télé montre les étendues blanches de l'ile

« Tu verras, elles sont magnifiques.... Tu vas adorer. »

Puis sans transition, elle appuie discrètement sur la télécommande alors qu'Ophélie relève la tête pour admirer le panorama, écouter le reportage.

Puis les images changent et elle se voit il y a sept ans, accueilli par le père de Clémence, joyeuse à table entouré par Julien à sa droite et Pierre Henry à sa gauche, prolixe avec les étudiants, en train de danser.

« Je voulais te montrer une petite vidéo de la soirée » précise Clémence alors que la prof est absorbée par le film, souriante.

Celle-ci est ensuite confuse lorsqu'elle s'aperçoit que ses aréoles foncées se démarquent fortement sous le tulle transparent. Elle rougit ensuite, interdite par son comportement laxiste, quand Pierre Henry entreprend de lui masser délicatement le dos, de la nuque jusque-là chute des reins puis devient écrevisse à la vue de sa poitrine libre sous sa robe, tressautant alors qu'elle se déchaine sur la piste de danse.

Si elle voyait une étudiante afficher ses seins de façon aussi provoquante, elle serait outrée. Or elle n'est plus une étudiante, elle est une jeune femme qui se dit responsable. Elle ne devrait pas se pavaner telle une aguicheuse, exhiber ses seins, afficher sa libido déchainée. L'image est celle d'une femme qui provoque son public en lui disant : J'ai envie de baiser... Qui veut me sauter!!!