Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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Après la coulée liquide, les matières qui sortaient maintenant avaient un aspect plus conforme, d'étroits boudins marrons très longs. Un morceau d'environ 50 cm tomba ainsi.

Car la pauvre Cécile ne pouvait plus réfréner sa déjection, tant elle se sentait soulagée au fur et à mesure qu'elle se vidait l'intestin.

Plusieurs merdes, plus courtes celles-là, fusèrent encore, et une dernière resta accrochée à son cul, à moitié sortie de l'anus. A voir le monceau qui s'était formé sur la moquette, on avait peine àimaginer que son ventre eut pu contenir une telle quantité de matières fécales. Tous les hommes rassemblés en face de son cul souillé et toujours béant étaient interloqués.

Alors, ce fut sa vessie qui éclata, et un jet dru qui gicla juste au-dessus de la merde qui pendait de son cul. Le jet fut puissant au point qu'il arrosa le sol à près d'un mètre de la table.

- Qui est capable de lui pisser sur le cul pour nettoyer sa merde? Personne? Alors vous me la retournez sur le ventre, pliée à angle droit, le pubis au bord de la table, les chevilles liées au deux pieds de table. Et déplacez-moi catte table, sinon on risque de marcher dans sa merde. Dis salope, tu n'a pas eu le temps d'aller chier ce matin? Réponds, ou je te baffe!

Timide signe de tête négatif.

- Bien sûr, trop absorbée à choisir sa tenue de nymphomane, à moins que tu te sois trop longtemps masturbée. T'es peut-etre une experte en masturbation, Tiens montre voir ton clitoris que je sache comment tu te branles...

Les deux garçons ne l'avaient pas encore retournée. Anatole écarta les lèvres intimes, et avisan à leur sommet, le bouton de chair étonnamment volumineux . Le clitoris de Cécile était bel et bien en proie à une fière érection.

- Qu'est-ce que je vous disais! C'est une vraie femelle en rut. Ca pousse des cris de vierge effrouchée quand ça prend quelques bites dans le cul, mais ça chie en public, ça pisse en public, et maintenant, ça bande en public. Je suis sûr que ça va jouir en public...

Déterminé à démontrer sa rédiction,Anatole frôla tout d'abord la turgescence révélée.L'effet fut celui d'une décharge électrique qui se propagea dans tout le cops de la jeune fille. Son dos s'arqua, pendant que son pubis avança à la rencontre du doigt indiscret.Elle ne put réprimer un cri .

- Une vraie chienne cette pouffiasse

Un deuxième doigt vint à la resousse du premier pour pincer le clitoris en feu. Cécile se mit à gesticuler dans tous les sens, elle ne se contrôlait plus. Les garçons peinaient à tenir ses jambes en l'air, ses genoux sous les aisselles.

Le massage s'intensifiait. Les fesses à présent se soulevaient et retombaient violement. Ses tétons enflaient à travers la chemise humide d'urine. L'air semblait lui manquer. Pui ce fut la délivrance, témoignée par un cri aigu et interminable.

Mais Anatole ne cessait pas l'opération. Et le manège reprenait. A peine la jouissance assouvie, le plaisir reprenait ses droits impérieux. La cyprine pissait littéralement de sa vulve sans interruption. Ele coulait sur son anus encore béant, où une crotte de quelques centimètres était toujours pendue.Et le doigt astiquait interminablement le clitoris. Une fièvre sans mesure habitait la jeune fille qui ne se retenait plus de crier sa jouissance. Elle écartait d'elle même ses jambes, et avait réussi à écarter davantage ses genoux sur la table, de chaque côté de ses seins.

Ces seins tout plats, mais dont les pointes démesurément érigées attirèrent soudain l'attention d'Anatole. Avec la main restée libre, il entreprit de triturer le mamelon gauche, toujours à travers la chemise. Ce fut le détonateur.

La deuxième jouissance partit avec un cri de bête écorchée. Son visage était rouge, elle transpirait abondamment. Ses convulsions ne s'estompaient plus. Quelques secondes de timide acalmie puis des soubresauts, ses fesses qui cognaient contre la planche de la table et l'orgasme, le troisième. La cyprine maintenant, coulait à terre, gouttait sur le tas de merde. Une fois partie, elle ne savait plus se retenir. Il fallait que les caresses cessent. Son coeur battait à tout rompre. Son bas ventre n'était plus qu'un cratère bouillonnant, d'ou partaient toutes les ondes par salves. Quant aux cris, ils ne s'épuisaient plus:

- Oui! Encore! Plus fort! J'en veux encore! Non! Arrêtez! C'est trop fort! Ahhhh! Ca vient! Je jouis!!

Anatole, enfin, abandonna son clitoris et ses seins. Cécile reprenait son souffle, mais remuait encore sur la table, et gémissait, maintenant plus détendue, mais honteuse de n'avoir pas contenu ses émotions, et d'avoir trahi la fureur de ses instincts sexuels.

- Foutez-la sous la douche, habillée comme elle l'est! Il faut lui nettoyer la pisse et la merde à son cul. Je veux pouvoir l'enculer avec ma main sans me salir.

- Non! Hurla Cécile, Arrêtez! je n'en peux plus. J'ai trop mal à mes fesses. Je ne pourrai pas le supporter. Vous allez me déchirer!

- A toi de choisir où tu la veux! Dans le cul ou dans le vagin, sans préparatif. Là, je te préviens tu vas être déflorée pour de bon, et tu vas saigner pour quelque chose car je vais te transpercer d'un seul coup sans m'occuper de la résistance de ton hymen. Ensuite, je continue et m'enfonce jusqu'à ce que mes doigts touchent ta matrice. Promis, je ne m'arrête pas avant ce but ultime. Tiens même que pour te faire plaisir, et pour ne pas que ton anus se referme trop tôt, je demanderai à la plus grosse queue de t'enculer à fond en même temps. Remplie et bourrée des deux côtés! Et alors, je pourrai masser le gland du sexe qui sera dans ton cul à travers la paroi qui sépare les deux orifices. Je suis sûr que je pourrai ainsi le faire éjaculer! Enfin, je replie mes doigts dans ton sexe et mon poing te branle jusqu'à ce que tu pisses ton sang et que tu chiales à force d'agoniser. Ca te dit, ce programme?

Malgré les cris de protestation, Cécile fut portée dans la baignoire, toute habillée, c'est à dire vêtue de sa jupe et sa chemise en lambeaux.Deux garçons la levèrent par les pieds, ce qui lui mit la tête en bas. Sa jupe pendante lui découvrait donc les fesses. Tous pouvaient alors voir son anus rougi, et souillé de merde et sa toison clairsemée. Ses longs cheveux trempés par l'urine tapissaient le fond de la baignoire ; son visage était rouge. Un des hommes lui écarta les fesses brutalement, pendant que André dirigea le jet d'eau froide sur son anus. Il se savonna ensuite une main, et introduit deux doigts dans son conduit rectal. Il les ressortit tachés de matières fécales. L'eau froide calmait la fille ; sa jupe et sa chemise étaient maintenant trempées. Ses petits seins, et surtout leurs pointes étonnament érigées transparaissaient totalement derrière le tissu.

Les deux doigts, à présent nettoyés, replongèrent dans le rectum, pendant que le jet arrosait toujours les fesses. Bientôt un troisième doigt s'inséra en plus. Cécile recommença à gémir. Pour faciliter la détente de son rectum, André ouvrit le robinet d'eau chaude en grand. Bientôt les fesses se tintèrent en rouge. Les trois doigts purent sortir et à nouveau pénétrer sans difficulté, car l'anus restait bien ouvert. Jugeant le moment venu, André ressortit, et présenta quatre doigts serrés les uns aux autres, de sorte que sa main prenait la forme d'un cône. Les deux premiers centimètres purent passer l'anus, mais ensuite, la résistance fut nette, et les cris de la fille plus aigus.

Milimètre par millimètre, sans se soucier de l'agonie de Cécile, André força son bras, de sorte que les phalanges disparurent dans le rectum, maintenant écarté à la largeur de la main du persécuteur. Il put alors délasser ses doigts qui tâtaient lors les parois intestinales. La première difficulté était surmontée, il pouvait encore progresser jusqu'à la jonction avec le pouce. La fille s'était mise à pleurer, répétant "J'ai mal...". Pourtant, le pire était encore à venir, malgré que les chairs de l'anus semblaient dilatées à leur maximum, son boyau n'était violé que sur une quinzaine de centimètres, l'extrémité des doigts visitaient le colon, dont ils exploraient les parois.

Il fallait continuer, car André voulait que le viol des reins soit absolu, intransigeant, impitoyable, que jamais elle ne connaisse pire chatiment.

Ainsi, il retire quelques centimètres de sa main, de façon à pouvoir adjoindre le pouce, plaqué contre la paume, maintenu bien droit. Et pousser à nouveau. Mais cette fois, les limites d'élasticité du rectum semblaient atteintes, le pouce ne rentrait décidément pas. André n'insista pas et ressortit brusquement sa main. Tout le monde fut alors médusé par le diamètre du cratère rectal. C'était à peu près celui d'un concombre. Les parois rouge feu de l'anus effroyablement dilaté étaient visibles jusque très loin.

- Allez me chercher une bouteille d'huile dans la cuisine.

Ce qui fut aussitôt fait.

André la déboucha, présenta le goulot à l'orée de l'ouverture anale, n'eut aucun mal à l'enficher dedans, et renversa la bouteille à la verticale, pour remplir l'intestin du lubrifiant. Bientôt, le liquide gras déborda et coula sur les fesses, et sur les reins de la fille. André s'en versa alors sur la main droite, jusqu'à ce qu'elle fut bien imprégnée. Puis il vida le reste de la bouteille sur la chemise à la hauteur de la poitrine. La bouteile vide tomba ensuite dans la baignoire.

Le ventre plat délicatement musclé de Cécile était agité de spasmes, faisant se contracter ses intestins, et ressortir de l'huile sur ses fesses. Son visage était inondé de larmes à cause de la douleur, mais surtout de la déchéance où elle était tombée.

A nouveau, pour un ultime assaut, André présenta ses goigts en pointe dans le rectum rempli d'huile. Cécile supportait à présent la douleur supplémentaire due à la sensation du liquide qui descendait dans son intestin. Comme elle avait abondamment chié quelques minutes auparavant, ses intestins étaient bien vidés, et le liquide ne rencontrait pas d'obstacle à sa progression. Et bien sûr, renversée comme elle l'était elle ne pouvait pas tenter d'éjecter le liquide.

La progression inquisitrice fut aisée pour les quatre doigts. La résistance était toujours feme au moment de rentrer le pouce, mais cette fois, le frottement des épidermes était moindre, l'huile faisait son office. Non sans effort, le pouce s'immisca petit à petit. D'abord une phalange, puis enfin la deuxième. Encore un effort, et l'endroit de la main le plus large passerait enfin. Le plus dur serait alors terminé.

La douleur était devenue telle que Cécile était en proie à une crise d'hystérie. Sa tête remuait dans tous les sens. Instinctivement, elle cherchait à créer un autre centre de douleur pour éluder celui qui en était la cause, elle griffait son ventre avec ses ongles. Puis d'un coup, elle déchira le devant de sa chemise, pour pouvoir s'en prendre librement à sa poitrine, qu'elle stria avec encore plus de hargne. C'était ensuite ses tétons qu'elle pinça et étira follement. Car elle semblait bien avoir perdu la raison.

Heureusement, l'huile que André avait versée sur son absomen et son thorax ne permettait pas que les griffures entaillent sa peau si fine.

Au moment où la main passa le cap de la dernière articulation du pouce, un cri strident émana de la gorge de Cécile. Les spectateurs en comprirent rapidement la raison. L'anneau rectal venait de céder à un endroit sans doute plus fragile, et un filet de sang ruisselait sur le coccyx.

André ne se laissa pas intimider par cet incident, maintenant qu'il avait accompli le plus difficile. Il voulait atteindre le but qu'il s'était assigné, même au prix d'une hémorragie bénigne. Aussi la main s'enfonça-t-elle inexorablement. Elle avait à présent disparu en entier dans le cul meurti d'où le sang coulait. Le poignet fut ensuite englouti, puis les doigts butèrent contre le rétrécissement qui annonce l'entrée du colon . Il les replia pour étirer par l'intérieur la poche de l'anus. C'est qu'il voulait encore progresser un peu, et bientôt ce fut le poing qui heurta la paroi signifiant la limite de l'intomission, alors que quelques centimètres de l'avant-bras avaient passé l'anus. Il se retira alors jusqu'au poignet, pour pouvoir à nouveau déplier ses doigts, et éprouver les parois anales. Il amorça un mouvement de rotation de sa main, afin de bien élargir le rectum dans tous les sens .

Tous les spectateurs regardaient interloqués ce viol inhumain, et se masturbaient avec frénésie, y compris ceux qui d'une main, tenaient les jambes levées de la fille, y compris ceux qui venaient de jouir dans son cul . L'atmosphère était insoutenable.

- Préparez-vous à éjaculer. Je veux que tous les pieux giclent dans son trou béant lorsque je l'aurai libéré!

Lorsque André se retira brutalement, l'anus était tellement large qu'une canette de bière s'y serait enfilée sans mal. Le sang coulait toujours sur son dos.

Un premier sexe se présenta dans le ventre de Cécile qui était toujours grand ouvert. Son propriétaire se masturbait à la base de la queue. Il ne tarda pas à jouir, et à deverser son sperme dans le cul dont il ne sentait pas les parois tant il était dilaté.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 16 ans
sensation bizarre

sensation bizarre, je suis partagé par l'horreur de ce récit mais comme faciné et obligé d'aller au bout malgrés les réticences de la morale

AnonymousAnonymeil y a environ 19 ans
Ou est la plaisir...

Je trouve ce récit nul et inutilement vulgaire...

fartqueensfartqueensil y a presque 20 ans
Tres excitant

Vraiment tres bon!

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