Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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C'est là qu'elle découvre le défaut de la combinaison des deux vêtements. La jupe moule terriblement sa taille et le haut de ses cuisses. Ainsi non seulement les détails de son anatomie à cet endroit sont exhibés presque comme si elle ne portait rien, mais en plus et surtout, le contour du slip est parfaitement dessiné en relief. Le slip n'est en fait qu'une minuscule pièce triangulaire parfaitement visible sous la jupe. Même si ses cheveux cachent l'envers, il est facile d'extrapoler que ses fesses sont nues,qu'une ficelle parcourt le fond de son sillon. Or elle ne peut accepter cette extravagance. C'est déjà assez du relief très prononcé de son pubis qui déforme distinctement le devant de la jupe. Et à l'inverse de ses fesses, elle ne peut cacher celui-là sous ses cheveux.

Après quelques secondes de réflexion, elle prend une décision qu'elle n'avait encore jamais osée auparavant. Elle relève sa jupe jusqu'à ses hanches (trop difficile de la retirer), baisse son slip minuscule jusqu'à ses pieds pour enfin le ramasser et le remettre dans la commode.Et oui, elle ne mettra pas de slip. L'initiative peut paraître lourde de conséquence, elle la trouve néanmoins plus supportable que celle de montrer aussi ostensiblement qu'elle porte des slips particulièrement érotiques. S'il n'y a rien en dessous, les voyeurs seront au moins cernés par le doute: Elle a peut-être un slip fin qui ne se remarque pas à travers l'étoffe de la jupe. Ce qui l'inquiète le plus à la perspective de sortir sans slip, c'est qu'elle devra attentivement surveiller ses écoulements de cyprine, qui ne manqueront pas de se manifester, tant son excitation est latente ce matin. Le liquide ne rencontrera pas l'obstacle du tissu du slip et pourra donc suinter librement le long de ses cuisses. Et comme seulement quelques centimètres sont recouverts par la jupe sous l'entrecuisss, l'épanchement aura tôt fait d'atteindre la partie visible de ses cuisses. Il lui faudra donc maitriser parfaitement son instinct torride. Et puis elle devra encore plus attentivement veiller à ne pas écarter les cuisses, même sur un angle fermé (en tout cas lorsqu'elle sera assise) car la jupe, qui ne manquera pas de se relever, dénudera alors le bas de son pubis, et l'extérieur de ses lèvres intimes, surtout que ces dernières, glabres et allongées, sont très apparentes.

Pour la première fois de sa vie, elle va sortir non seulement sans slip mais en jupe, ce qui veut dire la vulve à l'air libre, sans absolument aucune protection. Cette audace la fait rougir.

Evidemment elle ne met pas de bas, pour la simple raison qu'elle n'en a pas De toutes façons, ils ne monteraient pas assez haut pour que l'ourlet puisse être caché par sa jupe. Quant au collant, il n'en est pas question, il gacherait tout son plaisir.

Quant au haut, elle a en mains une chemisette blanche sans manches qu'elle enfile prestement. Elle a aussi des difficultés à la boutonner, car celle-ci n'est pas plus ample que la jupe. Sa poitrine s'en trouve un peu aplatie, et elle s'en félicite car elle n'aime pas les gros seins. Elle néglige de boutonner les deux attaches supérieures; l'échancrure est tout à fait convenable. Comme le bas de la chemise s'arrête à la ceinture de la jupe, il lui faudra veiller à ne pas lever les bras trop haut, sous peine de dévoiler son ventre plat et ferme ou son dos délicatement formé.

Voilà. Il ne lui reste plus qu'à laisser retomber sa chevelure, laquelle vient fort à propos couvrir ses fesses, ainsi à l'abri des regards indiscrets. Elle s'approche de la glace, déplore effectivement que les pointes de seins percent si ostensiblement l'étoffe de la chemise et s'avise par ailleurs que la jupe est non seulement très courte, mais moulante au point d'être provocante. Courte puisque plus de la moitié des cuisses est découverte, alors que ses élèves ne sont pas même habitués à voir ses jambes et encore moins ses genoux, sans parler de ses cuisses. Moulante puisque le relief de son pubis est étroitement reproduit par le tissu. Autrement, l'étoffe des deux seuls vêtements qu'elle porte est opaque: On ne risque pas de discerner par exemple sa toison pubienne, tout comme on ne peut pas déceler que sa poitrine est tout aussi bronzée que le reste de son corps. Son corps est en fait intégralement bronzé, y compris les fesses et la taille.

Elle se tourne un peu de côté, pour vérifier que ses cheveux ne descendent pas plus bas que l'ourlet de la jupe. Et surprise, ils ont encore dû pousser car cete fois, si elle tient la tête bien droite, force est de constater que quelques mêches parviennent à chatouiller l'envers de ses cuises plus bas que le tissu de la jupe. Et ça, c'est une nouvelle qui consolide encore plus sa bonne humeur. La journée va être mémorable.

Lorsque Cécile arriva à l'arrêt de bus, elle commença à se rendre compte que sa tenue était peut-être à la limite de l'extravagance. Tous les hommes qu'elle avait croisés avaient tourné leur regard dans sa direction. Là maintenant qu'elle attendait, deux mâles encore, d'âge mûr la dévoraient des yeux. L'un d'entre eux fixait ostensiblement sa poitrine et elle ne comprenait pas bien pourquoi puisque sa chemise, pensait-elle, la recouvrait parfaitement; seule sa gorge, découverte évoquait le naissance de ses seins. Evidemment, le galbe de leur naissance, le dessin acueillant de la vallée qui les séparait pouvait instruire un regard avisé de leur liberté sous la chemise ; effectivement, un soutien gorge un peu digne de ce nom a toujours pour effet de resserrer les deux mamelles, voire de les remonter, selon le réglage des bretelles. Certes, et malgré leur fermeté, le profil de ses seins peut les faire paraître un peu distants, et la présomption est étayée par ses tétons perceptibles sans aucune hésitation sous le tissu opaque mais mince. Quand même, ces quelques indices peuvent-ils suffire à attirer mais aussi concentrer l'attention des plus avides de plastique? Plus tard, en fait, elle comprit la raison de ces regards intéressés. Un autre indice, plus décisif celui-là, venait de se révêler : entre les deux boutons supérieurs qu'elle avait attachés, le tissu se tendait tellement sur ses seins que les pans du vêtement étaient à cet endroit quelque peu entrebaillés. Or quelqu'un qui la regarde à partie du côté droit peut alors apercevoir la peau nue juste entre ses seins, et vérifier qu'aucun sous vêtement ne protège la poitrine sous la chemise. Il va falloir qu'elle assume cette négligence, car il est trop tard pour qu'elle rentre chez elle afin de se changer.

Lorsqu'enfin le bus arrive, il lui faut gravir les deux marches d'accès, pour y pénêtrer. Elle est bien obligée, là, de lever les jambes l'une après l'autre, d'autant que les marches d'accès sont très hautes. En voilà assez pour que remonte le tissu de la jupe de quelques centimètres. C'est le conducteur qui alors profite avec ostentation du spectacle de ses cuisses découvertes soudain presque intégralement. Puis, parce que trop étroite, la jupe ne redescend pas d'elle-même; elle est obligée de la tirer vers le bas avec ses deux mains de chaque côté des cuisses. Plusieurs passagers regardent l'opération sans gêne aucune.

Parce que le trajet dure près d'un quart d'heure, elle se décide à s'asseoir sur une des banquettes libres. Jusque très haut, l'envers de ses cuisses rencontre directement le skaï froid du siège. Sa jupe ne peut guère isoler que ses petites fesses. C'est une sensation qui intensifie le sentiment de nudité, qu'elle commence seulement à percevoir et peut-être même, à redouter. Elle a passé ses cheveux par devant; afin qu'ils cachent non seulement sa poitrine, mais aussi son pubis et le haut de ses cuisses. Mais elle ne se doute pas à quel point ils accentuent l'érotisme de son allure. Elle n'ose pas croiser les jambes, car alors l'envers d'une de ses cuisses - celle qui serait surélevée - serait alors découvert, dénudée jusqu'à la fesse. Presque tous les regards masculins la dévorent des yeux, à l'exception du conducteur, qui doit regretter à cet instant de ne pas être un banal passager.

La matinée à l'école ne sera pas aussi facile qu'elle le pensait ce matin en choisissant une telle tenue.

Son arrivée au bâtiment scolaire n'est pas, ce jour, d'une exemplaire discrétion. Elle attire d'autant plus de regards qu'il lui faut, pour atteindre les salles de classe, traverser toute la cour de récréation habitée à cette heure par les nombreux élèves qui attendent l'heure d'intégrer leur classe respective. Déjà, elle devra supporter bien des regards plus qu'attentifs, elle devra entendre quelques commentaires insidieux dans son dos, assortis à l'occcasion de sifflements approbateurs. Elle pare à cette situation embarassante avec un sourire qu'elle dessine sur son joli visage, afin de démontrer qu'elle ne se sent nullement génée. Pour ne pas paraître hautaine, elle répondra, comme les autres jours, aux salutations de ses élèves, même à celles qui sont un peu plus alambiquées qu'à l'habitude. Il ne faut pas oublier que personne, à l'école n'avait encore vu seulement ses jambes, puisque elle était toujours vêtue en jean. Quant à sa gorge, personne n'en savait la texture au delà de la base du cou. Alors, montrer, du jour au lendemain non seulement ses jambes, mais en plus les genoux, mais en plus une bonne partie des cuisses, mais en plus sa gorge jusque l'amorce de ses seins, leur relief fidèlement reproduit sous l'étoffe, peut-être même une partie de son sein gauche entre les deux boutons de la chemise que le tissu ne peut recouvrir, et puis encore ses bras totalement nus, pouvait s'associer, dans l'esprit des adolescents, à une séance d'exhibition programmée. Et n'en était-ce pas une?

Enfin, au fond de la cour, à l'approche du préau, elle le vit. Elle nota tout de suite son air un peu mélancolique, et en second lieu les dispositions dans lesquelles son apparence semblait le mettre aujourd'hui. Elle ne sut pas tout de suite si la mélancolie du jeune homme était consécutive à sa tenue, ou s 'il était honteux de ne pouvoir contrôler son émotion qui en l'occurence déformait son jean sous sa braguette avec assez d'ampleur pour que quiconque pût s'en étonner.

Elle eut du mal à détacher son regard de l'anatomie à cet endroit du garçon. Il est vrai qu'elle avait pour la première fois un témoignage non seulement de l'effet qu'elle pouvait induire à son encontre, mais aussi et surtout de la dimension physique de cette manifestation. Son jean parfaitement serré sur ses hanches épousait en effet fidèlement le relief de son membre, et, bien qu'elle ait fort peu d'expérience, les proportions lui parurent plus qu'honorables, puisque la tige, de l'entrejambes, s'étirait en diagonale, jusqu'en haut de la poche gauche du pantalon, juste sous la ceinture. Elle imagina que si le sexe avait eu le loisir de se dresser verticalement, sans l'obstacle du vêtement, il aurait certainement atteint le nombril. Et quant à sa grosseur, il lui vint le doute que, réunissant en anneau le pouce et l'index de sa main autour du sexe, elle ne parviendrait certainement pas à en faire le tour avec ses deux doigts. VRaiment, elle était tout étonnée qu'un adolescent de cet âge put être doté d'un tel attribut viril. Une seule fois elle avait eu l'occasion de toucher un pénis.Il s'agissait d'un garçon du même âge, et le sexe qu'elle avait masturbé, sans d'ailleurs parvenir à le faire éjaculer, était bien que très raide,beaucoup plus fin, et de moindre longueur. Encore aujourd'hui ne devinait-elle que la forme comprimée sous le jean. Ne grandirait-il pas encore un peu s'il était débarassé du carcan de toile si étroit, donc si contraignant?

Voilà autant de questions, qui, faute d'apporter une réponse, engendraientt des bouffées de chaleur, surtout entre ses cuisses, et des tiraillements au sommet de ses petits seins. Il lui fallait absolument passer aux toilettes pour s'essuyer, sous les fesses, et rafraîchir un peu ses idées, faute de quoi le cours ne se déroulerait pas dans des conditions optimales.

Mais de touts façons, elle savait bien que ce cours ne srait pas tout à fait comme les autres.

Aux W.C. des dames où elle s'est enfermée par sécurité, elle vient de remonter sa jupe sur sa taille avant que les débordements de son intimité n'en tachent le fond, puisqu'aucun slip n'eût fait barrage aux écoulements. Comme elle s'y attendait, elle trouve l'intérieur de ses cuisses trempé par les secrétions que son ventre pleure encore. L'abondance de ces écoulements lui impose de surveiller ses émotions qui en sont la cause: Plusieurs fois, alors même qu'elle était en jeans, le liquide avait traversé la toile non seulement sous son ventre, mais aussi entre ses cuisses, et elle n'avait jamais pensé à apporter un jean de rechange pour parer à de telles situations.

Sa jupe était encore intacte, mais elle songea qu'il lui faudrait absolument se dominer pendant le cours, car ses émanations avaient souillé l'intérieur de ses cuisses bien plus bas que l'ourlet de sa jupe. Que se passerait-il alors si par mégarde, elle venait à écarter légèrement les jambes, et que quelqu'un s'avisât de l'humidité suspecte?

Pensa-t-elle calmer un peu ses sens, ou céda-t-elle simplement à la fébrilité agaçante de son esprit? Toujours est -il qu'elle ne put s'empêcher de porter sa main à son sexe, d'évaluer la tumescence de son clitoris dilaté comme au terme d'une frénétique séance de masturbation, et d'introduire deux doigts dans son intimité. Juste quelques centimètres, afin de ne rien blesser, puisqu'il devait suffire de rassurer cet organe si exhalté. Elle n'atteint pas l'orgasme, auquel elle n'aurait voulu céder à aucun prix, mais elle ne retint ni les soupirs saccadés, ni les sanglots spasmodiques que provoquait le déchirement savoureux de ses entrailles, victimes de si subtiles caresses.

Douée d'une incontestable volonté, elle sut arrêter ses manipulations à temps. Elle dut s'essuyer consciencieusement avant de rabaisser sa jupe sur ses fesses et enfin se soumettre à quelques profondes respirations, susceptibles d'apaiser efficacement son corps tendu jusqu'au déchirement par le désir.

Elle n'avait jamais voulu porter de blouse pendant les cours, certainement par coquetterie. Mais aujourd'hui pour la première fois, elle regretta de ne pas pouvoir disposer de cette ultime protection. Alors même qu'elle entrait dans la classe où les élèves déjà l'attendaient, elle songea à la fermeture imparfaite de son chemisier entre ses seins. L'absence de ce vêtement de travail lui apparut à cet instant comme une erreur fatale.

La classe était sage et bientôt elle se rassura, puis reprit confiance avant que de s'enhardir. Elle fit venir un élève au tableau, afin qu'il récite et analyse la prose étudiée à la précédente leçon. Comme il s'agissait d'un élève studieux (elle n'avait pas pris de risques), il s'acquittait sans difficultés de sa mission. Bientôt, elle dégagea las jambes de sous son bureau pour, assise, pivoter d'un quart de tour, se poser face à lui et ainsi poser les questions rituelles plus confortablement.

Il bénéficia d'une vue plongeante sur ses jambes, que les autres élèves de leur siège ne povaient apercevoir à ce moment. L'élève interrogé ne profita guère de ce privilège ephémère, car sa sincérité naturelle l'invitait plutôt à fixer le regard de son professeur, pendant qu'il répondait avec aisance aux questions qui lui étaient adressées.Peut-être à une ou deux reprises abaissa-t-il son regard dans sa direction, mais elle ne fut pas certaine que ce soit pour contempler le spectacle des membres inférieurs de son corps .

Elle le renvoya gentiment à sa place, non sans l'avoir remercié. Elle aurait sincèrement voulu lui dire combien il l'avait involontairement aidé à surmonter ses craintes.Grâce à lui, elle se trouvait maintenant décontractée.

Alors elle l'appela, lui, à venir à l'estrade.

Face à elle.

Il rougit immédiatement lorqu'elle l'appela. il ne se leva qu'avec regret, et, sut-on aussitôt, avec gène. Car debout, il ne pouvait plus dissimuler l'érection qui paralysait son membre depuis qu'il l'avait aperçue ce matin. Elle était heureusement moins manifeste que dans la cour de récréation, mais pour autant la déformation qu'amplifiait l'étroitesse du jean ne pouvait pas passer inaperçue. Elle discerna l'humiliation sur son visage. Curieusement, la réaction de l'adolescent déclencha chez elle un sentiment de remord, très édulcoré par un besoin sadique de provocation. Elle le savait faible, elle le croyait amoureux d'elle, elle se croyait capable de le soumettre. Elle se sentit dominée par le besoin de le dominer. Parce qu'au fond, elle avait envie qu'il cède, autrement dit, qu'il avoue.

Pendant qu'il se dirigeait à regret vers l'estrade, c'est à dire au supplice, une remarque acerbe fusa dans la classe:

- Tu nous avais pas dit que t'en avais une!

Immédiatement, Cécile réagit:

- Anatole, prenez la porte!

Anatole était un adolescent plus âgé que la moyenne, un cancre qui dirigeait une bande de loubards assez peu recommandable bien que se membres soient recrutés à l'intérieur de l'établissement. Or Cécile n'avait pas mesuré l'humiliation qu'elle lui faisait subir par cette représaille; elle commettait là une faute de psychologie.

André une fois à l'estrade, se trouvait encore plus mal à l'aise. De profil par rapport aux autres élèves, il présentait effectivement un visage très efféminé, glabre avec un nez retroussé, ses cheveux noirs si longs qu'ils atteindraient bientôt la ceinture de son jean au-dessus de ses fesses étroites et rebondies. Sa veste en jean ne moulait pas moins son buste que le pantalon sa taille et ses cuisses pourtant très fines. Et sous sa braguette, son membre ne perdait pas d'embonpoint, la forme du membre sexuel se devinait d'autant plus que le tissu à cet endroit était plus particulièrement élimé au point que les trames blanches de la toile apparaissait distinctement, preuve que le vêtement ne tarderait pas à se déchirer, surtout tendu comme il l'est en ce moment.

Décidée à l'exaspérer, Cécile dégagea mieux les jambes de sous le bureau, de façon à pouvoir se tourner bien en face de lui. Il gagna, en sus du décolleté de sa poitrine, une perspective vertigineuse sur ses jambes et sur ses cuisses nues sauf les quelques centimètres supérieurs que dissimulait encore la mini jupe jaune.

A la première question déjà il ne put répondre. Paralysé par la honte de son émotion qui déformait tant son pantalon, et qu'il ne parvenait absolument pas à contrôler, il avait virtuellement perdu l'usage de la parole. Elle fit mine de perdre patience, reposa la question, et dans le même temps, monta sa jambe gauche pour poser la cheville sur son genou droit. L'angle de ses cuisses s'était donc ouvert, la mini jupe si étroite avait donc remonté encore un peu plus haut, et l'intérieur de la cuisse gauche était visible, pour le jeune homme seulement, presque intégralement. Sa réaction fut immédiate, plus prompte que si la jeune femme s'était sciemment livrée à une séance de strip tease; il était le spectateur unique et combien privilégié de ce qui ressemblait à une lente exhibition,encore qu'il ne pensa pas qu'elle fut ostentatoire. Ainsi, la découverte de cette région du corps de son professeur, si délicate puisque voisine de son intimité accentua encore l'étirement de sa verge dont chaque élève pouvait être le témoin; la pointe atteignait maintenant la ceinture au niveau de l'aine. Elle semblait buter contre cet obstacle, et vouloir le vaincre, en dépit de la difficulté, puisque le vêtement, à cet endroit plus encore, comprimait la taille pourtant étroite du jeune homme. Le dessin de son membre dilaté à l'extrème, encore mieux reproduit sous l'étoffe mince du jean, permettait même à présent de discerner,voire d'évaluer le renflement du gland à coup sûr décalotté jusqu'à la base. Quant à son visage, il était maintenant cramoisi. Il n'osait plus la regarder, car une frayeur le dévorait, celle de ne pas pouvoir contrôler assez longtemps son excitation, ce qui aurait cette fois des conséquences d'autant plus désastreuses que ses testicules, remplies de sperme depuis plusieurs semaines, dévideraient sans nul doute un ras de marée inextinguible. La seule barrière étant le mince tissu du jean (il n'avait jamais porté de slip de sa vie), que le liquide transpercerait aisément, et le sperme ruissellerait alors à l'extérieur, au vu de tous les élèves, et de Cécile. Le scandale serait alors inévitable, et son humiliation inconsolable.