Cecil

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Quand Cécile se réveille ce Samedi matin de Juin, elle se sent toute trempée de sueur. Allongée sur le ventre, entièrement nue dans son lit dont les draps avaient été repoussés, elle devine immédiatement la raison de cet état: Elle avait omis de fermer les volets de sa porte-fenêtre, la veille, et le soleil frappait déjà fort sur les carreaux, à cause desquels la température dans le studio s'était sensiblement élevée.

Mais Cécile n'aurait peut-être pas autant transpiré si elle ne portait pas d'aussi longs cheveux. Elle est très fière de son abondante chevelure blonde qui couvre son dos, en entier, et pousse l'extravagance jusqu'à dissimuler aussi ses petites fesses menues mais fermes et rebondies. Des fesses dont la musculature affirmée accentue le creusement des reins, mais aussi maintient naturellement les deux globes érigés et singulièrement séparés l'un de l'autre. La vallée qui les délimite avec une belle symétrie n'a rien d'hermétique: S'il n'y avait pas ces cheveux si longs et si agaçants qu'ils privent le regard de tout son relief , il serait loisible d'apercevoir le fond du sillon, et, couchée comme elle l'est à présent -jambes légèrement écartées, le cratère plus rose et froncé de l'anus. Telle observation serait d'autant plus aisée que la région du corps, les reliefs fessiers comme la dépression rectiligne qui les scinde, est naturellement démunie de toute pilosité, comme c'est souvent le cas chez les vraies blondes. Dans la position qu'elle occupe au moment de son réveil, des mêches collées par la transpiration se sont insidieusement glissées dans l'interstice peu escarpé d'entre ses fesses; elle a même l'impression que certaines sont en contact avec la région plus méridionnale qu'occupent ses lèvres intimes. En tout cas, la partie la plus secrète de son postérieur est parfaitement dissimulée sous sa coiffure.

Bien que légèrement ondulés, les mêches de cheveux les plus longues descendent un peu plus bas que son entrecuisses. Lorsqu'ils sont mouillés, elle sent nettement les pointes des mêches les plus longues caresser l'envers de ses cuisses.

Dans son appartement, bien que les grandes baies vitrées soient dépourvues de rideau, elle vaque presque toujours nue à ses occupations. Elle ne se soucie pas qu'on puisse l'apercevoir de la rue, pour peu qu'elle s'approche trop près de la fenêtre. Pourtant, au premier étage, l'interieur de l'appartement doit facilement accrocher le regard du promeneur, à fortiori du promeneur curieux. Toujours est-il qu'alors, ses longues mèches se perdent naturellement entre ses fesses accueillantes à souhait, avant que d'aller balayer l'intérieur de ses cuisses qu'elles chatouillent agréablement, d'autant qu'à cet endroit plus encore qu'ailleurs, la finesse de l'épiderme procure une sensation exacerbée. Lorsqu'elle se penche en avant, ces mêmes mèches tombent dans le marécage de ses rives intimes, et parce que l'humidité de la région déborde toujours, ses cheveux s'y engluent irrémédiablement, au point qu'elle doit les en décoller lorsqu'elle se redresse. Pour cette raison, l'extrémité de sa chevelure paraît trop souvent emmêlée, et elle ne pense pas assez à les nettoyer lorsqu'elle s'habille pour sortir.

Est-ce l'effet de la chaleur, ou ce contact soyeux sur cette partie si généreuse de sensations de son anatomie, elle se trouve ce matin excitée plus encore qu'à l'habitude.

Alors elle se lève, pour ne pas être tentée de céder à une bienfaisante séance de masturbation; elle y a succombé hier soir, et le matin, elle n'en a guère le temps puisque son métier d'enseignante l'astreint chaque semaine jusqu'au Samedi midi: Demain seulement elle pourrait consacrer une matinée à ses appétits sexuels fort exigeants, matinée au cours de laquelle elle s'octroyera certainemant deux voire trois orgasmes, préparés par des séances de masturbation d'une heure chacune environ; elle ne se sent en général calmée et détendue qu'au terme de la troisième jouissance, la plus longue à venir mais la plus salvatrice, celle qui impose une posture très érotique, où, sur le lit et sur le dos, ses pieds sont repliés exactement sous ses fesses, l'angle de ses cuisses est grand ouvert, de sorte que sa main droite sans entrave caresse puis torture ses lèvres vaginales séparées par l'angle exagérément ouvert de ses cuisses, ou malaxe son clitoris alors dénudé et déployé. Son pubis est soulevé et maintenu très haut par son corps entier tendu comme la monture d'un arc , tous les muscles qui participent à cette tension sont bandés à l'extrème, des cuisses, aux abdominaux, en passant par les fessiers et ceux qui entourent la colonne vertébrale de bas en haut: Le corps de Cécile, à ce moment n'a de contact avec le lit que par les pieds et le bas de la nuque. Et lorsqu'enfin, ainsi disposée, l'orgasme gonfle puis explose à partir de ses entrailles pour tétaniser tout son corps irradié à partir se son sexe meurtri et irrité, le pubis se soulève encore un peu plus au point que cette fois son corps paraît cassé en trois parties: Au niveau des reins et des genoux. L'apaisement qui suit cet orgasme laisse son corps nu trempé de sueur, et son sexe, le sillon de ses fesses jusque dans son anus, le haut de ses cuisses, et sa main droite encore plus inondés de cyprine. Il arrive même (mais c'est plutôt à l'occasion du premier orgasme) que, sous la pression incontrôlable de ses sensations, le liquide gicle en jets de son sexe, et retombe sur les mêches de cheveux égarées sous les fesses, entre ses cuisses. Là encore, elle ne s'en rend pas toujours compte aussitôt, et ce n'est que lorsqu'elle veut passer ses longs cheveux à l'épreuve de la brosse, et échoue à cet endroit, qu'elle se surprend de ses épanchements onanistes trop fertiles.

Le corps tout entier de Cécile est particulièrement frêle. Il pourrait même être qualifié de maigre s'il n'était pas délicatement sculpté par une régulière et fine musculature. Sa peau est particulièrement fine, au point que des veines transparaissent crûment sur sa poitrine, ses fesses et son ventre au-dessus du pubis. Si ses côtes sont très apparentes, les seins sont menus mais très relevés, avec des tétons fins mais pointus, parfaitement au centre de l'aréole rose très circonscrite, le ventre est plat mais ferme, le pubis, lui est curieusement développé au point que son relief forme une protubérance apparente à la base du ventre. Ce renflement n'est pas anodin, son amplitude parvient à déformer le pantalon ou la jupe, qu'elle ne cherche pas à dissimuler puisqu'elle ne porte que des vêtements très ajustés. Les cuisses sont fuselées et parfaitement prolongées par des jambes discrètement galbées, fines comme celles d'une gazelle. Les hanches et la taille encore plus, singulièrement étroites lui confèrent une allure très juvénile. Elle ressemble pour sûr à une fille, très jeune ; en aucun cas à une femme. D'ailleurs, à part pour les sous vêtements, elle ne choisit ses tenues qu'au rayon des adolescents. Les tailles adultes, qui commencent en général à 36, sont souvent jugées trop larges pour elle. Et si elle dédaigne les slips et soutien gorge à ces endroits là, c'est parce qu'elle ne trouve pas de modèles suffisamment échancrés pour son goût. Impossible de dénicher là un véritable string ficelle, pas plus qu'un soutien gorge à balconnets, qui laisse découverte la partie supérieure du sein. Comme en outre, elle ne porte de soutien gorge que par obligation, c'est à dire sous une chemise trop légère, ou un chandail à mailles trop lâches, qui exhiberaient la texture de ses aréoles et tétons, elle veut, en contrepartie, laisser libre la plus grande surface possible de sa poitrine déjà discrète. Par contre, au rayon adolescents, pas de difficulté pour y choisir la mini jupe un peu plus courte que la précédente, ou le jean tellement serré qu'il lui cisaille les lèvres du sexe, quelquefois engendre sur elles un frottement apte à entretenir son excitation, ou plus rarement, à l'éveiller, et épouse le relief de son postérieur jusqu'au plus profond de son sillon au point qu'elle sent la couture en contact avec son orifice rectal, pour amplifier encore un peu plus la séparation naturelle de ses deux globes qu'heureusement sa chevelure voile.

Quand elle veut dégager ses cheveux pour aérer un peu son dos, elle s'aperçoit qu'ils sont encore emmêles et poisseux. Cette fois la cause est plus probablement imputable à la sueur qui les a imprégnés pendant la nuit car toute la longueur de sa chevelure est affectée. Elle sait bien que pour éviter tel désagrément, elle devrait les attacher, relevés, pour la nuit, mais leur contact sous ses fesses, et entre ses cuisses est un plaisir qui ne souffre pas la négociation. Alors, les peigner dans ces conditions relève de la gageure: elle en aurait pour une heure au bas mot à ordonner des mêches de plus d'un mètre de longueur. L' autre solution consisterait à leur faire subir le shampooing, mais il faudrait ensuite les sécher, et de toute façon les peigner. Cette éventualité certes plus hygiénique n'en constituerait pas moins une tâche de longue haleine et encore une fois elle n'a guère le temps, pas plus qu'elle ne se sent la patience nécessaire.

Alors, exceptionnellement, elle décide de ne rien faire. Exceptionnellement, elle se rendrait au collège non coiffée; tant pis si elle donne l'impression de sortir du lit! Elle n'a après tout qu'une matinée à tenir, et le proviseur, souvent absent ce jour là, ne pourrait pas lui reprocher cette négligence, quoique de toutes façons, il ne soit pas très attentif à la tenue des enseignants: les élèves sont suffisamment nombreux pour montrer le mauvais exemple. Un collège technique n'a jamais eu pour vocation de ressembler à un monastère.

Et puis aujourd 'hui, elle est décidée à faire preuve d'un peu d'audace. En entrant dans sa douche - elle ne prend jamais de bain - elle réflèchit, armée de cette résolution, à la tenue vestimentaire qu'elle adopterait pour ce matin qui promettait autant soleil que chaleur. Car elle voulait s'habiller avec originalité, c'est à dire qu'elle voulait s'habiller court et léger. En deux mots, elle voulait être excitante, elle avait envie qu'on la désirât, elle avait envie qu'on eût envie d'elle. Ce matin, elle se sentait plus allumeuse que jamais.

Bien qu'elle possédât une garde robe fournie en vêtements suggestifs, elle n'avait encore jamais osé les utiliser pour aller à l'école: Il ne fallait pas tenter exagérément les classes dont elle a la charge, d'autant qu'il ne s'agit pas de classes d'enfants de choeur.

Ainsi, si ses élèves n'ont encore jamais vu ses jambes nues, c'est parce qu'elle opte systématiquement pour des jeans. Il est vrai que ce sont toujours des modèles très délavés et fort moulants, qui mettent très en valeur autant ses longues cuisses fuselées que le délicat relief de ses fesses, que ses cheveux cachent heureusement des regards lubriques. Nul doute que sinon, des mains juvéniles auraient déjà cherché à les effleurer. Le plus souvent elle complète sa tenue par un tee shirt ou une chemise à peine moins étroite que le jean, sous laquelle sa poirine est toujours nue. A quoi bon mettre un soutien gorge alors que le vêtement comprime suffisamment ses seins pour qu'ils ne ballottent pas au moindre mouvement. Par ailleurs, ils sont assez fermes et menus pour ne pas trop s'affaisser. La contrepartie de leur fermeté se mesure à ses mamelons toujours érigés, proéminents sous le tissu. Eux peuvent laisser deviner l'absence de sous vêtement. Pour ne pas aller trop loin, elle choisit alors des vêtements tout à fait opaques, afin que ne soient pas discernés, même en contre jour, la texture ambre de sa poitrine ou le grain rose plus foncé de ses têtons. Le paradoxe est que ces habits masculins par essence lui confèrent une allure remarquable de sensualité. Les formes trop parfaites de son corps, amplifiées par le moule des vêtements, la rendent en la circonstance désirable à l'excès.

Désirable elle était, provocante elle voulait paraître ce jour.

Alors elle en montrera plus, bien plus qu'à l'habitude. Les élèves auront tout le week end pour fantasmer sur son corps fabuleusement svelte et harmonieux. Combien conclueraient, grâce à elle, leurs masturbations effrénées par une éjaculation fournie?

Rien qu'à cette idée elle sent sa vulve s'humidifier. Son organe sexuel est à la fois si sensible et si riche en secrétions qu'il lui arrive parfois, lorsqu'elle doit se déshabiller (aux WC par exemple) de trouver son slip tellement trempé qu'il en est collé à son entrecuisses. C'est au point que si elle est en jeans, le fond est taché à l'intérieur. Si elle est en jupe ou en robe lors de ces abondants ruissellements de cyprine, il arrive qu'elle les sente déborder la limite de son slip et couler comme des larmes le long de ses cuisses. Il faut dans ce cas qu'elle s'efforce de conserver ses jambes serrées l'une contre l'autre afin que le liquide séminal ne dégouline pas plus bas que l'ourlet du tissu, surtout si celui ci est arrêté trop haut sur les cuisses et les laisse alors exagérément découvertes. Si l'épanchement par malheur venait à franchir cette limite et souiller la partie visible de ses jambes, elle aurait grand mal à le dissimuler, et il ne fait aucun doute que les hommes, par nature indiscrets, viendraient à s'en apercevoir. Ils ne douteraient plus de la nature torride de la jeune fille.

C'est aussi pour prévenir de tels incidents qu'à l'école elle préfère le port du jean.

C'est alors que ses pensées vinrent à lui. Lui pour qui elle a été tenté, à plusieurs reprises, de troquer le jean pour une jupe courte, le tee shirt pour une chemise légère et peu boutonnée. Elle en est secrètement amoureuse, mais sous peine de scandale, elle ne peut ni ne veut lui déclarer. En fait, elle croit que lui aussi a un faible à son endroit. Pour autant, elle n'est pas sûre qu'elle aimerait qu'il le lui avoue.

Qu'il est beau pourtant! Pas très grand mais mince, il semble qu'il s'habille toujours du même jean usé et incroyablement étroit. Les bas de pantalons, dépourvus d'ourlet et grossièrement coupés découvrent entièrement ses chevilles. Les coutures par endroit, sont à deux doigts de lâcher, tant le tissu, autour des cuisses et du bassin, est tendu à l'extrème. Par dessus il porte une veste également en jean, qui dessine son torse au moindre détail près. Elle devine même qu'il est nu sous sa veste qu'il ne retire jamais, et peut-être aussi sous son pantalon car la couture arrière rentre profondément entre les deux fesses. Le tissu passablement élimé au niveau de la braguette et des fesses a perdu à certains endroits sa couleur originale car il ne reste plus que la mince trame blanche de la toile. Ses pieds, eux c'est assuré, son nus dans ses baskets. Non, elle ne doute guère qu'il ne porte aucun sous vêtement.

Surtout, il partage avec elle une caractéristique plus singulière chez les hommes: ses cheveux, très noirs, descendent jusqu'au bas des reins. Ils arrivent en fait à un ou deux centimètres de la ceinture de sa veste, laquelle recouvre tout juste celle de son pantalon.

Son visage très fin et parfaitement glabre, dont les traits sont délicats, le nez assez retroussé, la bouche fine et étroite, les sourcils fins et peu fournis, doit souvent engengrer le doute quant à son sexe. Un doute vite levé dés que le regard a eu la curiosité d'évaluer la bosse permanente qui déforme l'alentour de sa braguette. Celle là est d'autant plus visible que son jean moule sans défaut le bas de son ventre, tellement il lui serre la taille et les cuisses.

A plusieurs reprises elle a constaté que la bosse en question prenait du volume lorsqu'il la regardait à la dérobée. C'est par exemple le cas lorsqu'elle est à discuter dans la cour de récréation; plusieurs fois il l'a regardée et elle a alors surpris son regard fuyant au moment où elle a tourné la tête en sa direction. Il est rare, dans ces cas là, qu'elle ne bénéficie pas du spectacle de son membre viril en phase d'hypertrophie, distincte malgré la pression de la toile de jean qui l'enferme.

Il est très timide, ne parle jamais avec ses camarades de classe. C'est un vrai solitaire. Par son dossier, elle sait son âge: 15 ans et demi. Son père est décédé et il est le cadet d'une famille nombreuse. A l'évidence, les conditions de vie sont modestes, ce qui explique sans doute pourquoi il porte toujours la même tenue.

Elle a souvent eu envie de le taquiner, car il rougit facilement, et elle s'en amuse alors. C'est le cas lorsqu'elle lui pose une question en cours et qu'il ne sait pas y répondre. Ses camarades en profitent souvent pour se moquer de lui: Ses cheveux longs sont d'ailleurs prétexte à raillerie, et il est bien certain que, lorqu'on le regarde de derrière, abstraction faite de ses hanches étroites, on peut le confondre avec une jeune fille. En outre, ses cheveux soigneusement séparés par une raie médiane tombent droit sur ses épaules puis sur son dos qu'ils recouvrent presque entièrement, puisque seules ses fesses admirablement galbées - ce qui accroît le doute sur la nature de son sexe et opportunément moulées par son jean, sont encore acquittées de couverture pileuse.

Il lui vient maintenant à l'idée qu'elle va pouvoir abuser de sa tenue pour l'humilier un peu pendant le cours de ce matin. Il ne lui déplaît pas de voir quelle réaction il aura lorsqu'il la verra ainsi habillée, ou plutôt ainsi déshabillée.

Car elle va faire fort aujourd'hui, elle le sait maintenant. Pendant qu'elle rassemble son impressionnante masse de cheveux en chignon, puis les recouvre d'un immense bonnet de bain afin qu'ils ne prennent pas l'eau, elle imagine le slip qu'elle va adopter. Quant au soutien gorge, elle a déjà tranché, elle n'en mettra tout simplement pas, puisqu'elle n'en met pratiquement jamais.

L'eau froide de la douche fouette ses sens au lieu de las apaiser. Sa mini jupe jaune citron, étudie-t-elle, n'est pas la plus perverse qu'elle possède, mais c'est la seule qui soit suffisamment courte sans être véritablement indécente. Non elle ne peut quand même pas mettre le jupe noire qui découvre entièrement ses cuisses, au point que ses cheveux en caressent la peau directement vu qu'ils arrivent bien plus bas que l'ourlet du vêtement. De toutes façons, avec cette jupe, elle ne peut pas s'asseoir en public, car alors la jupe remonte complètement sur ses fesses, tant et si bien qu'elle ne peut même pas glisser l'ourlet entre ses fesses et le siège.

La jupe jaune, elle, est un peu plus longue, ce qui ne veut pas dire qu'elle peut se permettre n'importe quel mouvement de jambes, surtout qu'elle est tout aussi moulante que le jupe noire. En particulier, elle ne pourra guère écarter les jambes, car le tissu remonterait alors inévitablement jusque sous ses fesses.Or comme la jupe est fort étroite, elle ne retombera pas d'elle même sur ses jambes dés qu'elle les resserera; il lui faudra la redescendre avec ses deux mains; c'est une manoeuvre qui ne passe pas pour être discrète. C'est bien parce que ses cheveux lui cachent les fesses qu'elle s'autorise le port de vêtements si moulants. Sinon, le relief consistant de ses deux globes de chair proéminents serait offert à la vue de chacun, et cela pourrait lui attirer des ennuis, car elle n'a pas envie de se faire violer, sauf peut-être par le jeune homme de son coeur.

Elle abandonne enfin la douche sans passer par l'étape consécutive du séchage. Il sera rapide avec la chaleur qui baigne le studio. Elle farfouille dans la commode et trouve enfin le string blanc qui ne va cacher que la surface minimum de son pubis au point que sa fourrure pourtant étroite et clairsemée, y sera très partiellement dissimulée, puisque l'élastique de la ceinture ne passe pas plus haut que l'os pubien. Derrière, la ficelle s'insinuera intimement entre ses deux fesses; et se prolongera dessous jusque devant sa vulve dont les écoulements trop fréquents ne sont donc pas arrêtés par le sous-vêtement. Ainsi de derrière, seule la ceinture du slip serait perceptible si ses cheveux ne couvraient pas si confortablement ses fesses. La jupe elle, est dans la pendrix. Elle est tellement serrée qu'elle a du mal a la monter le long de ses cuisses. Heureusement le lycra est un peu élastique, et elle parvient non sans difficultés à hisser la ceinture jusqu'à ses hanches.