Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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Il poussa, perça donc la toile, puis tira l'outil tranchant vers lui, et descendit sur la fesse sur 7 ou 8 cm entaillant la toile au fur et à mesure de la progression.. Quand il éloigna le couteau, ce fut pour le ranger dans sa poche. Il passa alors ses deux mains jointes avec les paumes tournées vers l'extérieur, par l'ouverture qu'il venait de partiquer, replia ses doigts derrière, entre le tissu et la fesse juvénile, et brusquement tira de toutes ses forces chaque main vers l'extérieur. La déchirure verticale s'agrandit ainsi, plus vers le bas, car la ceinture avait limité l'arrachement en haut. Quand Anatole s'éloigna des fesses d'André, chacun put évaluer une entaille d'environ 25 cm qui partait sous la ceinture du jean, et descendait jusque sur le haut de la cuisse. Surtout, chacun fut instruit aussitôt quant à l'absence de sous vêtement à cet endroit. A son milieu, la déchirure avait ouvert une brèche d'à peu près deux centimètres de large, car le tissu très tendu sur l'épiderme s'était rétracté. L'orifice était suffisant pour s'assurer de la nudité du postérieur, aunsi que de sa teinte hâlée comme celle de son visage.

- Je m'en doutais bien qu'il n'avait que son froc pour protéger son cul et sa bite. Tu vois ce que c'est de mettre un pantalon moulant, dés que c'est déchiré on voit ce qu'il y a en dessous. Estime-toi heureux, car j'aurais pu faire la même chose devant, imagine... Crois-moi, toi aussi tu vas faire impression dans la rue. Pour peu que tu te remettes à bander en voyant ta copine presque à poil, le spectacle est garanti. Fais attention qu'on ne te glisse pas une main dans le cul. Remarque, t'as intérêt à ce qu'on la voie ta queue, sinon, on pourrait te prendre pour une femelle et essayer de te violer. Ce serait marrant...

Max venait de raccrocher:

- C'est tout bon, je viens de joindre Hub. Il rassemble la meute, et il se pointe. Il se sent déjà plus. Il m'a avoué qu'il bandait rien qu'en écoutant la description du programme. Le cochon, il voulait aller pisser, mais du coup il ne peut plus tellement sa trique est devenue énorme. Lui, c'est pas une bite qu'il a, c'est un gourdin. Il va attendre d'être arrivé pour se libérer. Il est vraiment dégueulasse, mais il pourra pas pisser et baiser en même temps. Il faudra bien qu'il choisisse. Mais, si tu le laisses la pénétrer, il va la déchirer c'est certain. Déjà au repos, sa queue est plus volumineuse que la mienne en pleine érection, qui pourtant, est tout à fait honorable d'après les femelles qui y ont goûté.

- Cécile, demanda Anatole, tu n'oublie pas les clés de ton cloaque, ni celles de ta tire. Emporte ton sac, c'est toi qui vas payer les courses. Allez, magne! Les amoureux, vous passez devant, et pas d'embrouille, ou vous le regretterez toute votre vie, j'espère que c'est compris...

Anatole eut la prudence, ou la compassion de protéger Cécile des regards, lors du trajet de son domicile à sa voiture, garée à quelques dizaines de mètres sur le parking. Aussi donna-t-il des instructions, et Cécile, sitôt dehors, fut-elle entourée assez hermétiquement par les quatres garçons. Anatole se tenait devant -elle lui avait montré où se trouvait son véhicule -Max et Arthur respectivement à gauche et derrière. André, lui, se tenait à sa droite, et il était pour l'instant, sacrifié, car la partie charnue de son anatomie, qui paraissait à travers la déchirure indécente de son jean, n'était ainsi nullement dissimulée, et quiconque le voyait de dos ne pouvait manquer de s'en apercevoir. Son visage néanmoins ne semblait nullement affecté par cette gêne qu'il devait pourtant sentir. Même sa démarche ne souffrait aucune altération.

Arrivés sans encombre à la voiture de Cécile, Anatole s'installa à la place du passager, les trois autres mâles se serrèrent sur la banquette arrière.

La terrible sensation de nudité qui opprimait Cécile décupla encore losqu'elle eut à s'installer au volant. Assise en effet, sa jupe remonta en haut de ses fesses, lesquelles se trouvèrent donc nues en contact avec le velours du siège. De plus, la fente du côté droit offrait à Anatole le spectacle du profil du flanc de sa fesse jusqu'à sa hanche. Par contre, son pubis heureusement était encore à peu près bien couvert. Quant à la situation de sa poitrine, l'intérieur de ses seins était dévoilé sans équivoque sur une bonne partie, le décolleté était tel que l'absence de soutien gorge était évidente au premier regard, et il importait qu'elle surveillât les mouvements de ses bras, car elle n'était pas certaine que, à l'occasion d'un geste plus ample, l'un ou l'uatre pan de sa chemise ne glisserait pas vers l'extérieur, suffisamment pour dépasser la zone d'un aréole voire d'un téton. La crainte fut si vive qu'elle demanda finalement à Anatole la permission de passer ses cheveux devant son torse, afin de masquer la nudité trop exagérée de ses appas mammaires. A sa grande surprise, la concession lui fut accordée. Plus tard, après qu'elle eut démarré, elle sollicita de son surveillant l'autorisation de se rendre au centre commercial régional, plutôt qu'au supermarché voisin où tout le monde la connaissait, et où le scandale serait effectivement dommageable pour sa vie privé, fatal pour sa vie professionnelle. Là encore Anatole acquiesca, mais non sans lui faire remarquer que, là où elle préférait aller, la foule serait plus importante, donc le nombre de voyeurs plus grand.

Non seulement la foule était conséquente au centre commercial, mais cette fois Anatole n'avait pas l'intention de la protéger comme il l'avait décidé au sortir de son domicile. Dés qu'elle quitta le siège de son véhicule, elle sentit l'air chaud caresser le bas de ses fesses, et tout de suite après, le honte l'envahier et colorer ses joues. A partir de désormais, il lui fallait accepter de s'exposer. Déjà, à paine éloignée de son véhicule, elle accrochait des regards interloqués, braqués vers le haut de ses jambes, alors que les passants ralentissaient pour bénéficier quelques secondes de plus du généreux spectacle. Elle allait devoir composer une attitude pour limiter autant que possible les conséquences de cette exhibition aussi prononcée puisque très indécente. Elle dut pour commencer, traverser le parking alors que André et les trois compères la suivaient à quelques mètres derrière. Personne ne pouvait deviner qu'ils se connaissaient . Bien sûr, des regards de plus en plus nombreux se détournaient et la suivaient avec ostentation. Certains manifestaient leur désapprobation à haute voix ; quelques insultes discrètes fusèrent, mais la surprise tint la plupart des spectateurs silencieux. L'humiliation la décomposait malgré elle subrepticement ; elle osait à peine regarder en face, sa démarche même s'en trouvait altérée, comme si elle voulait que l'on partage son désarroi, immense.

Quand elle fut entrée dans le magasin, elle attendit son guide, car elle ne savait pas où il voulait la mener. Il passa devaant elle, tandis que les accolytes la suivaient toujours de quelques mètres. Il y avait beaucoup de monde dans les allées, et il lui semblait qu'Anatole faisait exprès de choisir les passages le plus encombrés. De la sorte, elle fut à maintes reprises obligée de se faufiler entre les caddies, et elle avait parfois les plus grandes peines à ne pas y laisser un vêtement s'accrocher, ou ses cheveux. Pour ces derniers, elle choisissait souvent de les remonter sur son épaule et de les maintenir ainsi, avec la contrepartie qu'alors ils dégageait la surface de ses fesses, et, plus grave, le haut de ses cuisses, qui, lui, était nu. Les hommes qui la voyaient s'approcher dans ces conditions, devaient d'avance se régaler de ses difficultés à progresser, parce qu'ils auraient ainsi plus de temps pour savourer sa tenue plus que débraillée. Certains étaient tellement sidérés de cette fortune qu'ils ne se dissimulaient pas le moins du monde pour détailler avec avidité son décolleté, ou le haut de ses jambes, et surtout sa hanche droite que la fente bien trop large de la jupe permettait d'entrevoir facilement jusqu'à la ceinture, La vision de cette partie de l'anatomie leur permettait en outre de se convaincre qu'elle n'avait aucun slip, et qu'il suffirait donc que sa jupe s'accroche quelque part pour dévoiler son pubis, ou son joli fessier.

Bien sûr, elle dut parfois frôler d'autres corps pour se frayer un passage dans la foule. A ces moments surtout elle craint que sa chemise, retenue par le frottement contre un tissu, ne glisse trop et découvre plus encore sa poitrine déjà dénudée à l'excès, puisque l'échancrure qui descendait jusqu'à son abdomen ne pouvait en aucun cas faire mystère de l'absence de soutien gorge. N'importe qui pouvait rapidement se rendre compte qu'au moindre incident, l'un ou l'autre de ses seins se retrouverait totalement découvert à la vue de tous. Logiquement, il arriva, deux ou trois fois, qu'elle sentit une main caresser furtivement l'envers de ses cuisses, juste sous la lisière de la pièce de tissu qui restait de sa jupe, c'est à dire exactement en bas des fesses, à un moment où sa masse de cheveux ne protégeait pas cet endroit de son anatomie. Comme elle le craignait, sa réaction, non seulement à ces attouchements, mais plus généralement à cette exhibition qui lui était imposée, n'avait rien de désagréable. Elle devait bien se l'avouer : le plaisir la gagnait insidieusement quelque inopportun qu'il parût. Quand elle perçut une autre main pétrir avec une audace plus marquée le galbe de son postérieur à travers l'étoffe ridicule, elle fut tentée de s'arrêter afin que la caresse eût le loisir de se prolonger, voire de s'intensifier. Elle continua pourtant son chemin, espérant en secret que d'autres mains viennent régénérer cette sensation.

Enfin, ils arivèrent devant le rayon des alcools, habituellement moins encombré. Les deux compères, escortés par André, venaient de les rejoindre. Ils avaient eu soin de prendre à l'entrée un panier à main. Ils ne cessaient de la dévorer des yeux. Leurs lèvres étaient si sèches qu'ils passaient souvent leur langue entre elles.

Alors, Anatole lui montra du doigt les bouteilles dont Cécile devrait se saisir, et qu'elle devrait ranger dans les paniers, que les hommes avaient sadiquement posés à terre.

Cette fois, en effet, elle ne pourrait peut-être pas contrôler la situation, ainsi qu'elle l'avait réussi jusqu'à présent. Elle comprenait qu'elle allait devoir se dresser sur ses talons, ou se baisser pour attraper les bouteilles et les ranger.

Anatole lui souffla à l'oreille:

- Il y a deux hommes qui te fixent sur ta droite. Je veux que tu leur montres de quoi tu es capâble. Fais-leur comprendre ton envie de les exciter. Il faut qu'on les voie bander dans leur froc ; l'un d'eux est déjà en mauvais état.

Après un regard furtif dans la direction indiquée, Cécile sut qu'Anatole ne mentait pas. Sa fébrilité n'était pas retombée, et elle aussi eut envie de les provoquer. Seule, elle allait être l'instigatrice de leur désir. Ils allaient dépendre d'elle, à partir de désormais.

Avait-elle ainsi besoin d'étirer son corps, ses bras comme elle le fit, pour attraper deux bouteilles sur la dernière étagère? Toujours est-il que, bras levés, les échancrures sous les aisselles découpées très bas, découvrirent les flancs de sa cage thoracique. Quant au bas de la chemise, qui jusque là, ne couvrait déjà pas tout à fait la ceinture de la jupe, il s'était franchement relevé de quelques centimètres, dénudant d'autant son abdomen; la ceinture de la jupe passant, elle, au-dessous du nombril. Puis elle dut ensuite se baisser. Là, elle pouvait choisir plusieurs solutions : Soit plier les jambes et garder le buste à peu près droit, soit au contraire garder les jambes tendues, et courber son dos. Pour la première fois elle choisit la première option : Elle s'accroupit. La conséquence fut immédiate : Le pan postérieur de sa jupe, du côté de la fente, , pendit d'autant qu'elle pliait ses jambes. Lorsqu'elle fut totalement accroupie, l'angle de la fente était ouvert comme le tissu pendait derrière ses chevilles, au point que les deux voyeurs purent détailler le profil intégral de sa fesse tendue, que plus rien ne masquait. D'ailleurs, elle sentait son talon en contact direct avec son épiderme. Avant de se relever, elle ne put résister à la tentation de tourner son regard dans leur direction,lequel, comme un fait exprès, se posa à la hauteur de leur braguette. Elle ne fut pas déçue, mais en même temps ne put s'empêcher de rougir.La déformation du tissu était telle que le relief de leur sexe se dessinait avec un réalisme tout aussi indécent que les guenilles de la jeune fille. La pointe de leur membre atteignait à tous deux la ceinture comme s'ils semblaient s'acharner à percer l'étoffe,juste dessous. Les deux hommes littéralement tétanisés, ne pensaient pas un instant à l'obscénité qu'engendrait leur état,et ne cherchaient donc pas à le dissimuler.

A cause d'eux,elle sentit rapidement l'intérieur de ses cuisses se réchauffer. Pire, son entrecuisses devenait d'abord humide, puis franchement liquide. Voilà, elle était piégée. un filet de cyprine suintait en direction de son sillon fessier. Elle redouta brusquement qu'il croisse au point de goutter sur ses jambes. Aussi se releva-t-elle promptement, et se promit-elle de ne plus regarder ces deux membres dont l'érection la menait dans des transes incontrôlées. Mais elle entendait son vagin qui la suppliait de le faire enfin transpercer même pour la première fois, avec un membre si gros qu'une fois retiré, elle pourait y glisser sa main sans rien sentir,si long que sa matrice saignerait de ses coups de boutoir.

Lorsque, après quelques exercices de cette nature, le panier fut enfin rempli des bouteilles qu'Anatole avait choisie, ce dernier, attendant qu'elle se fut relevée, lui intima l'ordre de retire ses espadrilles et de les ranger dans le même panier.

- Pieds nus, tu es encore plus vulnérable, plus soumise...

Elle se baissait pour délacer ses chaussures...

- Non, je veux que tu restes debout. Adosse-toi au rayonnage et lève les jambes mais reste droite.

Evidemment! Avec la jambe levée, la fesse allait apparaître encore une fois, surtout du côté droit, ou la fente de la jupe allait pouvoir s'évaser à loisir. Et debout comme elle l'était, le spectacle serait plus avantageux que lorsqu'elle s'était accroupie. En outre, le mouvement allait montrer pour la première fois l'intérieur de la jambe qui restait verticale pour soutenir son corps ; ce profil que suprême tragédie, elle sentait non seulement brûlant mais poisseux de ses secrétions qui à cause de leur abondance, avait dû inonder son épiderme jusqu'à cette région. Lorsque ce fut la jambe droite qu'elle dut lever, la coupure latérale de la jupe glissa du coup entre ses cuisses ce qui eut pour effet de dénuder totalement le devant de sa cuisse droite jusqu'au pli de l'aine. . Ce fut presque pire au moment de lever l'autre jambe ; le devant de la jupe remonta jusqu'au pubis, et c'est un miracle si un des spectateurs n'a pas entr'aperçu quelque partie de sa pilosité heureusement discrète. A cette épreuve elle se sentit vraiment génée, aussi se hâta-t-elle d'ôter des espadrilles.

Mais aussitôt, elle eut à goûter le contact froid du carrelage du grand magasin. Ce fut alors le désarroi qui l'étreignit, un terrible sentiment de démission, même de capitulation. A la pensée qu'elle ne portait plus à présent que deux vêtements, ou pour être plus exact, deux morceaux de tissu sur elle, au constat, que maintenant tous les chalands sans exception détournaient leur regard dans sa direction, sans compter les deux mâles qui ne quittaient pas leur poste d'observation et qui n'en finissaient pas de bander, supputant que la pièce qui se jouait devant eux n'était pas encore arrivée à son terme, elle sombra dans la réflexion qu'elle n'était rien à cet instant qu'une bête de cirque, voire qu'un original objet de consommation, à vaincre plutôt qu'à désirer, à forcer plutôt qu'à séduire, une paire de jambes nues, un fessier pas tout à fait dissimulé, une poitrine dont seule l'extrémité restait à connaître. Soudain, elle n'eut plus envie de jouer... Son regard était assombri losqu'Anatole la tira brusquement par la main, se dirigeant enfin vers la caisse.

Là elle fut bien sûr chargée de placer les marchandises sur le tapis, et comme, par hasard c'était un homme qui tenait la caisse, il ne se gêna pas pour admirer sa poitrine découverte au-delà du raisonnable. Comme bien d'autres clients, il a dû épier le moindre mouvement de la jeune fille qui lui donnerait la faveur de la vision d'un têton si près du bord du tissu. Mais elle multiplia les précautions, grâce auxquelles le tissu le voile put couvrir les tétons pendant toute l'opération.

A la voiture, elle dut se pencher en avant pour ranger les affaires dans le coffre. Elle sentit distinctement sa jupe remonter au-delà de ses cuisses sur le bas des fesses. Bien qu'elle tint ses jambes hermétiquement closes, elle craignait point qu'on put à cet instant distinguer son entrejambes, voire le bas de ses fesses, d'autant que là, ses cheveux tombés de part et d'autre de ses épaules, ne dissimulaient pas son dos. Pour tout arranger, elle sentait à nouveau sa vulve, sans qu'elle put rien contrôler, en proie à d'insidieuses inondations. Voilà qu'encore l'intérieur de ses cuisses se maculait d'un liquide brûlant qu'elle sentait nettement suinter à partir de sa source naturelle. Lorsqu'enfin elle s'installa au volant, son coeur battait à tout rompre

Non, pas ça!!!

Le retour s'était effectué sans encombre, et, dés la porte de l'appartement refermée, les bouteilles furent prestement ouvertes, et aussitôt entamées.

Douze hommes se tenaient dans la pièce, ponctuels au rendez-vous qui leur avait été fixé. La plupart étaient tétanisés par l'aubaine du spectacle gratuit qui leur était offert. Bien qu'ils n'aient pas eu le privilège d'assister à la séquence de stip tease forcée, tous sans exception bandaient fermement. Mais il faut dire qu'ils ne s'attendaient pas à trouver leur professeur timoré dans une telle tenue. Anatole avait été ardemment félicité pour l'érotisme de cette préparation. C'est promis, il ne serait pas déçu de leur prestation

Cécile avait était renversée en travers de la table de la salle à manger, déplacée au milieu de la pièce pour l'occasion.. Sa tête arrivait juste à un bord de la table, sa tête qu'elle ne pouvait pas bouger, puisque ses cheveux , malheureusement longs, avaient été utilisés à cette fin. Deux longues mêches avaient été formées, pour nouer chacune d'entre elles à un pied de la table. Ses mains, passées sous sa nuque, étaient relièes entre elles par un ficelle de sorte qu'elle ne pouvait les dégager de cette position.

Elle avait encore les loques qu'elle portait au supermarché sur elle.Dans cette posture, sa chemise était largement ouverte, mais ses seins, bien que partiellement découverts, ne découvraient pas les tétons. Quant à sa jupe, le pan postérieur tombait et laissait maintenant ses fesses nues. Sa toison pubienne elle, était encore cachée. Sa position était très inconfortable, parce que seul le haut de ses fesses reposait sur l'autre bord de la table. Or elle était obligée de remonter ses jambes pour soulager la tension dans ses reins. De ce fait, son orifice sexuel était dévoilé, ainsi que son anus, même si elle tenait les jambes jointes.

André était surveillé étroitement par deux des garçons. Anatole s'approcha et se plaça derrière lui, l'entoura de ses bras, puis posa sa main droite sur le bouton de la braguette du garçon, qui bandait encore mais moins violemment. Mais le dessin de son sexe était encore bien apparent sous le jean.

Par la manoeuvre d'Anatole, le bouton sauta.

Comme il l'avait fait tout à l'heure, il reprit les caresses énergiques de la paume de la main. Surtout, il s'appliquait à masser à la hauteur du gland, la partie du sexe la plus sensible. Bientôt, le durcissement et l'accroissement de volume fut perceptible, alors que la respiration du jeune homme s'intensifiait. Anatole s'appliquait à gratter avec ses ongles la partie du jean sous laquelle le gland était provisoirement réfugié, là où, comme par hasard, la toile était sévèrement élimée. Il ne faudrait sans doute pas perpétuer trop longtemps la séance de massage, car la trame du tissu, ultime rempart, ne tadrerait alors à craquer, pour dévoiler l'indécence de ce sexe trop souvent érigé.