Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsqu'elle se pencha pour saisir un crayon dans un tiroir du bas, il eut alors une perspective encore plus avantageuse sur sa poitrine, suffisante cette fois pour s'assurer qu'aucun sous vêtement n'isolait sa chemise de ses seins. Son professeur non seulement ne portait pas de soutien gorge, mais en plus n'en faisait pas mystère. Sinon, elle aurait au moins boutonné sa chemise plus haut, et d'ailleurs, elle en aurait choisi une moins étroite, qui ne découvre pas, entre les deux boutons, la vallée de sa poitrine. C'en était trop; il avait l'impression que les battements de son coeur rythmaient directement les pulsions de son bas ventre; il devait serrer les mâchoires pour juguler l'orgasme dont il sentait sourdre les prémices. Son sexe grossissait encore en largeur, et là maintenant, il sentait un liquide chaud progresser vers l'extrémité du gland, puis finir par s'en échapper. Même si par miracle il parvenait à maitriser son èjaculation qu'il sentait imminente, les émanations liquides commençaient à imbiber le tissu ridiculement usé de son pantalon, au-dessus de sa poche gauche.

Cécile s'an apreçut-elle? Toujours est-il qu'elle mit enfin un terme à son calvaire, le renvoya à sa place avec force réprimandes à cause de son ignorance, et replaça sagement ses genoux sous le bureau.

Les regards de tous les élèves convergeaient vers la braguette d'André alors que celui-ci regagnait son siège. L'étonnement, voire la stupéfaction chez certains, née sans doute de la déformation exagérée du vêtement du jeune homme à cet endroit, engendraient à ce moment une atmosphère électrique dans la salle.

Ce dont Cécile ne se doutait pas, c'est que Anatole, par le trou de la serrure, avait bénéficié d'un spectacle aussi savoureux qu'André. Avec un avantage: Le trou de serrure par laquel il avait espionne se trouvait à peu près à la hauteur du bassin de Cécile. Celle-ci, jambes plus ou moins séparées, lui faisait face.Or l'éclairage aidant, il avait, contrairement à André, pu apprécier le prolongement des cuisses sous la mini jupe. Le spectacle avait été tellement intéressant qu'il crut avoir réuni les preuves qui lui permettaient d'estimer que son pubis, son entrecuisses, et bien sûr ses fesses, étaient bel et bien nus sous sa jupe.

Il avait une grande envie d'exploiter cet avantage.

- Je vous ai fait tant d'effet que cela, André?

Ils étaient seuls à présent dans la salle de classe. C'était l'heure de la récréation, et alors que tous les élèves s'échappaient par le couloir vers la cour, Cécile avait hélé André: Elle avait, lui dit-elle, à lui parler. Elle s'était levée, mais, lorsqu'ils furent seuls, elle s'assit nonchalammant sur le coin de son bureau, et le fixait droit dans les yeux, après qu'elle lui eût demandé de s'approcher. Elle avait posé la question très doucement, comme si elle était pouvait être étonnée de cette éventualité.

- En tout cas, continua-t-elle cette fois sur un ton de reproche, il va falloir mieux apprendre vos leçons. Vous êtes fâché avec l'anglais?

Son émotion était à présent retombée, mais il se sentait quand même mal à l'aise en face d'elle, surtout sachant combien sa tenue légère cadrait mal avec ce discours sobre. Sa tête, baissée, permettaien à ses yeux d'admirer le galbe des cuisses à moitié nues de son professeur.

- Non, non mademoiselle...

Pourquoi ne le laissait-elle pas tranquille, lui qui avait un tel besoin de la toucher, dont le fantasme le plus torride était jusqu'à ce matin de voir ses genoux, rien que ses genoux, voilà qu'elle lui offrait le spectacle de ses cuisses presque jusqu 'en haut. Ne pouvait-elle pas comprendre qu'elle allait le rendre fou si elle continuait à le narguer de la sorte?

- Alors c'est moi qui vous pose problème?

- Non, non mademoiselle...

- Pourquoi portez vous vos cheveux si longs?

- Vous trouvez que ça ne me va pas?

- Si, au contraire...

En même temps, elle porta sa main derrière sa nuque; il était assez près d'elle pour qu'elle n'eût à bouger que son bras. Elle réunit ses cheveux noirs entre son pouce et son index et resserra cette touffe en bas de sa nuque, entre ses deux doigts. Les mèches latérales du jeune homme furent ainsi tirées en arrière.

Pour la première fois, elle le touchait. Son émotion recommençait.

- Vous auriez l'air encore plus féminin s'ils étaient ainsi attachés. Je vais finir par me demander si vous êtes vraiment un homme...

Il allait atteindre les limites de la défaillance. Son coeur battait à tout rompre, et il sentait son membre viril à nouveau se déployer comme pour venir infirmer les doutes de la jeune fille, qui n'aurait eu qu'à baisser les yeux pour s'en affranchir.

Sans changer la posture de sa main, le bras de Cécile descendit jusqu'à ce que la dite main atteigne l'extrémité des mêches du jeune homme. Elle avait donc longé la colonne vertébrale, en même temps que la chevelure masculine se lissait entre les deux doigts qui en goûtaient le texture et la longueur. A ce moment, elle avait passé le creux des reins, et était à le frontière de l'amorce supérieure du sillon fessier. Ce furent ses doigts qui en premier longérent la couture postérieure du jean, et donc caressèrent la séparation des deux globes.

Ils avaient passé le sommet des fesses du jeune homme lorsqu'elle retira sa main brusquement, comme si elle s'était brûlée.

- Ils ne sont pas aussi longs que les miens. Vous avez remarqué jusqu'où descendent les miens?

Il était temps. Le jeune homme sentait la sueur perler à ses tempes et le bas de son dos se tendre de tous ses muscles. Son sexe se gonflait tant qu'il sentait à nouveau le gland se décalloter, malgré la pression de la toile de jean autour de la braguette. Son désarroi se signalait par de légers tremblements des mains.

- Non, non Mademoiselle...

- Regardez...

Il allait défaillir, c'est sûr maintenant. En tout cas, c'est ce qu'elle voulait. Pourtant, il n'arrivait pas à détourner son regard, pendant qu'elle basculait le buste et la tête en arrière, prenant appui avec ses deux mains en arrière de sa croupe sur le bureau. Son assise ainsi assurée, elle levait les deux genoux, qu'heureusement elle gardait joints, jusqu'à ce qu'ils pressent les pointes de ses seins. Ses talons étaient alors collés en dessous de ses fesses. Puis seulement dans cette posture, elle sépara parallèlement ses genoux et ses chevilles, pas assez cependant pour que ses seins fussent enfin libres du contact des premiers.

- Vous voyez que mes cheveux descendent plus bas que mes fesses?

C'est vrai qu'une mêche de cheveux épaisse dépassait sous ses fesses coincés par la tablette du bureau. Mais bien sûr, André était là hypnotisé par un spectacle affolant: Ses cuisses entrouvertes permettaient au regard du mâle de se poser à l'intérieur. La jupe dans cette position, ne couvrait plus que les fesses. Elle était là plus nue que s'il la croisait sur la plage. De sa vie, il n'avait jamais vu de femme aussi nue. Son sexe, entièrement décalotté, était douloureux. Son gland, totalement nu, forçait l'étoffe du jean juste sous la ceinture, et ses testicules compressées, remontaient un peu le long de son membre. La sueur perlait à ses tempes, et ses soupirs s'amplifiaient comme l'air lui manquait.

Si seulement l'éclairage lui permettait de voir un peu plus haut entre les cuisses. Il ne parvenait pas à deceler quelque trace de sous vêtement sous la jupe. Elle ne pouvait quand même pas...Non, elle n'avait pas osé pousser l'indécence si loin?

Mille ans après, elle laissa retomber ses jambes, puis descendit du bureau. Sans étirer sa jupe vers le bas, elle s'approcha de lui, très près, en face. Ils étaient de la même taille. Elle le fixait droit dans les yeux; ses lèvres pouvaient, là si près des siennes, embrasser. Il crut à ce projet, lorsqu'elle inclina légèrement de côté sa tête. Son regard à lui se noyait dans les yeux de cet ange qui le traquait. Sa tête à lui, tournait. Le parfum qu'il respirait l'énivrait. La délicatesse de sa peau l'éprouvait comme si un contact physique les liait. Terrorisé par l'incertitude, il ne pensait même pas à reculer. C'est sûr, ele le mettait sous hypnose.

Après de longue secondes d'une telle provocation, elle murmura:

- Vous m'attendrez à l'arrêt de bus ce midi. Je vous donnerai un cours particulier...

Il lui restait encore deux heures de cours avec un autre professeur. Il y fut plus cancre que jamais.

Quant à Anatole, il fut bien excité pendant ces deux mêmes heures, il bavarda et ricana beaucoup avec sa bande. Leus conversations ont semblé encore plus audacieuses qu'à l'accoutumé.

Ils ont effectivement pris le bus ensemble, s'y sont assis, sur la même banquette, l'un juste à côté de l'autre. En cette occasion pourtant, nul n'aurait pu prédire qu'ils se connaissaient. Chacun regardait droit devant lui. L'un par timidité, c'est à dire par embarras, l'autre parce que perdue dans ses pensées, anarchiques et déconnectées de la réalité. Savourait son rêve.

Bien sûr de nombreux passagers l'ont remarqué, l'ont détaillé, ont parfois changé de position et ainsi bénéficié d'une nouvelle perspective sur ses cuisses nues presque au maximum, sur le profil de sa poitrine, si pur donc provocant, sur les interstices entre les pans de la chemise, que les boutons ne recouvraient pas partout.

Peut-être des voyageurs l'ont-ils accompagnée le matin même, pour son trajet vers l'école? Ceux-ci auront alors évidemment noté le changement, au moins dans l'attitude. La jeune fille de ce midi ne se préoccupait plus de l'impression qu'elle produisait, de la séance d'exhibition à laquelle on la croyait se livrer. Cette jeune fille, jambes étendues, et séparées, bras pendants de chaque côté du buste, se moquait des autres, pire se moquait de la morale et pire, souriait.

Mais son voisin immédiat, ce privilégié sans nom s'en désintéessait comme de sa première chaussette. Pas une fois son regard ne se détourna vers elle, pas une fois son bras gauche essquissa un quelconque geste pour frôler cette féminité si disponible d'apparence qu'elle semblait disposée à l'impossible.

Même alors que, le bus arrêté, elle se leva, se dirigea vers la sortie, puis descendit du véhicule, il la suivit avec la docilité d'un chien d'aveugle; elle ne lui avait pas adressé la parole, ne l'avait pas touché, pas même regardé. Certes ils partaient tous deux dans la même direction, lui un pas derrière elle. Pourtant, personne n'aurait conjecturé qu'ils se connaissaient, personne n'aurait imaginé la complexité de leur amitié, et bien sûr, encore moins quel était leur programme de ce jour.

Il fallut que Cécile aboutisse à la porte de son studio, fouille dans son sac et en déniche la clé, tourne enfin la serrure et se déplace de quelques centimètres pour lui laisser le passage, il fallut cet instant précis pour qu'elle lui cède un regard appuyé d'un sourire de complicité. En même temps, un mouvement de la tête décidait le jeune homme à la préceder dans le studio.

Prompte, elle referma la porte derrière elle, alla se camper en face d'André, le prit par la nuque et à la fois colla son ventre contre le sien et tendit ses lèvres aux siennes, qu'elle épousa avec soin.

Longtemps.

Mais tous deux étaient sans expérience, et leur baiser, bien qu'ardent, brûlé par une fièvre incandescente, fut maladroit.

Par un accord tacite, les langues explorèrent les bouches au moment précis où les mains , après avoir descendu le dos par dessus la chevelure jusqu'en bas, reprenaient, cette fois sous l'épaisseur des cheveux et du vêtement le chemin inverse, jusqu'à s'arrêter pour étudier la courbure des reins, la texture de la peau à cet endroit, au-dessus de la ceinture. Leurs ventres restèrent hermétiquement joints, et résistèrent bien à la poussée verticale et ascendante du sceptre de chair qui semblait vouloir s'immiscer entre les deux corps pour les en séparer.

Ce sexe vertigineux dont Cécile sentait la chaleur grandissante comme ses proportions, mais aussi percevait les pulsions, les vivait à tel point qu'elle attendait que son coeur rythme ses battements à l'unisson, ce sexe auquel elle avait tant rêvé, que son imagination avait déjà dessiné doté des meilleurs atouts, ce sexe qui ne pouvait être qu'à la fois passionné et délicat, ou impatient et déluré, ce sexe dont elle avait mesuré ce matin la vaillance et l'énergie, ce sexe vierge car elle en était sûre, elle voulait qu'il éprouve en premier sa virginité puisuq'elle aussi était vierge. L'impatience la dévorait mais pourtant, ce qu'elle savourait en premier c'était la perspective et la difficulté d'abaisser la braguette et dévoiler ainsi la nudité de ce membre si convoité par ses mains, son antre, son coeur. Ensuite elle devrait le caresser avec sa main. Il lui faudrait alors déterminer si sa bouche est assez large pour pouvoir l'accueillir, et le cas échéant, jusqu'à quelle profondeur dans sa gorge pourrait-il la pénétrer.

Alors elle ne résista plus. Sortit les mains de sous la veste en jean du garçon, quitta à regrets ses lèvres, éloigna son ventre du sien, puis replaça ses mains devant au niveau de la ceinture, de chaque côté du bouton qui la boucle.

Le jean était particulièrement serré. Elle était obligée de passer des doigts entre la ceinture et le ventre nu par derrière. Comme elle était obligée de fixer son regard, elle se rendait bien compte que, si elle voulait tricher, elle pourrait, rien qu'en déplaçant, même imperceptiblement les doigts de sa main gauche vers l'extérieur, frôler l'extrémité du membre sexuel parfaitement dressé comme le matin même à l'école, c'est à dire jusqu'à buter sous la ceinture, derrière la poche droite, dont elle pariait qu'il était nu sous la toile pourtant défraîchie du pantalon usé. D'ailleurs, ses doigts inquisiteurs ne décelaient aucune trace de l'élastique d'un slip. Pourtant, elle ne céda point à la tentation obsédante de toucher le phallus, elle voulut à tout prix que ses yeux fussent les premiers à bénéficier du somptueux cadeau. Une fois l'obstacle du bouton vaincu, il ne lui resterait plus que la fermeture éclair de la braguette à mouvoir. Le vêtement est tellement serré que les pans s'évaseront au fur à mesure de l'abaissement du zip. Sera-ce suffisant, ou devra-t-elle les écarter davantage afin que l'appât apparaisse enfin en pleine lumière?

Lui avait remonté de ses deux mains restées sous la chemise, la vallée médiane de la colonne vertébrale à partir des reins. Remonté jusqu'à la hauteur des omoplates, et n'avait point rencontré l'obstacle transversal d'une attache de soutien gorge. La confirmation que la jeune fille était nue sous sa chemise alimenta d'une nouvelle énergie son imagination. Cette fille, son professeur qu'il avait jugé si sage, si timorée qu'à cet effet il se sentait capable de l'aimer recelait à la vérité un caractère interlope, téméraire et provocateur. L'émoi qui, à ce constat l'envahit, engorgea encore plus son sexe qui semblait vouloir, par sa circonférence et par sa longueur, rivaliser en audace l'exhubérance de son amie. Quant à ses testicules, comprimées de plus en plus entre le carcan du jean et la base hypertrophiée de son sexe, elles l'irradiaient de douleurs tout ausi paradoxales, s'où ne se manifestait pas que de la souffrance. A présent, ses mains redescendaient par le même chemin, lentement, arrivèrent au bas des reins, là où elles avaient commencé leur exploration, , mais ne s'y arrêtèrent pas. Pourtant, elles rencontrèrent la ceinture de la jupe. Elles vinrent à bout avec aisance de cet obstacle ténu, mais aussitôt après hésitèrent. Car le changement de relief était brutal. La vallée médiane mourrait à l'occasion de la naissance du coccys, et à peine plus bas, devenait plus étroite, en même temps que ses berges se gonflaient, denses et moelleuses. Le sillon qui séparait ses fesses, lui semblait déjà bien hospitalier. Par pudeur, il se promit de stopper son excursion à la ceinture du slip, qu'il s'étonna un peu de ne pas trouver à la naissance du sillon fessier. Mais il n'était pas expert en sous vêtements féminins, et il ne pouvait pas comparer avec les équivalents masculins puisqu'il n'en utilisait pas. Alors, la curiosité se fit obsession; il poursuivit sa caresse toujours plus loin, c'est à dire toujours plus profond, et le doigt qui parcourait en éclaireur le lit de la vallée devint brûlant...

Alors la sonnette de la porte tinta.

Surprise, Cécile se dégagea vivement, comme réveillée en sursaut.

- Qu'est-ce que c'est?

- Mademoiselle, fit une voix enrouée, votre voiture est accidentée. Elle vient d'être percutée.

- Quoi?

Elle se précipita vers la porte, qu'elle ouvrit en grand.

Immédiatement, elle fut projetée en arrière avec une telle célérité qu'elle tomba à la renverse. Très vite, elle sentit un baillon en tissu étouffer sa bouche, ses bras capturés avec vigueur. Affolée, elle ne comprit pas pourquoi un couteau pointait sous la gorge d'André. Elle voulut crier, n'émit aucun son, reconnut enfin Anatole,, Max, et Arthur, mais ne comprit pas encore.

Anatole, le chef de bande, qui la tenait par les bras, approcha son visage très près du sien:

- Alors ma salope, tu voulais te le farcir à toi toute seule ton minet à la con. Hein! En chaleur comme tu l'es, tu pensais que sa purée te rafraîchirait, c'est ça? Et t'avais même pas peur de sa trique? Peut-être que t'en as déjà eu plein dans le con et tu voulais comparer avec une bite de pédé? Bon, elle a l'air pas mal sa queue, un peu moins longue que les cheveux, mais quand même correcte, non? L'avantage avec lui, c'est qu'on peut juger l'engin même dans l'emballage, pas besoin de baisser la braguette. Tu te rends compte que c'est de la publicité clandestine, et en plus, de la concurrence déloyale? Sans compter qu'en plus, il doit pas avoir de slip ce cochon. Il respecte même pas les règles élémentaires. Max, Arthur, ja la tiens, allez me l'attacher par les mains à la crémone de la fenêtre. Aussi, vous lui retirez les pompes et vous lui attachez les deux pieds ensemble.

Max, qui tenait le couteau, lui saisit le bras de l'autre main. André lui balança son pied droit dans le ventre. La réaction de douleur fut immédiate, mais la rage la domina bientôt. Il lui asséna un coup de poing dans l'estomac, puis pendant qu'André se courbait pour limiter la douleur, un autre coup l'atteint cette fois à l'arcade sourcillière. Il s'effondra, du sang dégoulinait de son front.

- Relève-toi, et vite, si tu ne veux pas que ce soit moi qui le fasse.

Comme André n'agissait pas assez vite, Max empoigna une touffe de cheveux de l'adolescent dans chaque main, et le tira de la sorte vers la fenêtre. La douleur fut telle qu'André alors s'exécuta avec précipitation.

- Et recommence pas, ou bien je te rentre le couteau dans le cul, et tu apprendras ce que c'est de pisser par là. Je l'attache avec quoi?

- Fouille dans la baraque. La pute doit bien avoir une ceinture, des bas. Tiens, prend ses lacets de pompes, il en a pas besoin.

Bientôt, les mains derrière la tête, André fut assujetti à la poignée de la fenêtre, et, les deux pieds attachés ensemble, il était réduit à l'impuissance.

- On va s'occuper de lui tout à l'heure. Pour l'instant, c'est elle qui m'intéresse. Quand il va voir le spectacle qu'on lui offre, il va éjaculer dans son froc, et son sperme nous servira de lubrifiant pour le cul de la môme. Relevez-la et adosssez-la à la porte de la cuisine.

A demi consciente, elle se laissa manipuler par les brutes.

- La salope, dit Arthur, les cuisses qu'elle a. Quand je pense qu'elle a attendu un an avant de nous montrer ce qui soutient son cul. Je me doutais bien que sous ses jeans, elle cachait des trésors, qui méritent un label de qualité. Et encore, on n'a rien vu! Qu'est-ce que je bande... Anatole, on se la saute?

- Tais-toi et passe-lui les cheveux au-dessus de la porte, pour qu'ils retombent de l'autre côté.

- Mais qu'est-ce...

- T'occupe, merde, fais ce que je te dis! Voilà, c'est bon comme cela..La vache, elle a de ces cheveux, j'en ai jamais vu d'aussi longs. Ca ne doit as être commode pour ceux qui se la mettent par derrière, ils doivent s'y emmêler la queue.