Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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Les deux accolytes éclatèrent d'un rire parfaitement idiot.

Effectivement, les cheveux de Cécile, passés par dessus la porte contre laquelle elle était maintenue adossée, retombaient sur environ 50 cm de l'autre côté.

- Là, maintenant, fermez la porte pour bloquer le penne.

Cécile dut avancer de quelques pas pour que la porte puisse pivoter.

Elle ne pouvait fermer ainsi, il fallut retirer un peu de cheveux pour permettre au battant de rejoindre l'huisserie. Enfin la porte fut close, immobilisant ainsi la jeune fille, dont le visage relevé par la traction verticale des cheveux prisonniers, était devenu complètement blème.

- Je vais te retirer ton baillon, parce que j'ai envie de t'entendre. Tu vas être gentille, et nous montrer ce que tu voulais réserver à ton petit morveux. Lui, il n'aurait pas apprécié ton cul et en plus, il aurait pas su s'en servir, tandis que nous, tu peux nous faire confiance, on a l'expérience.

- Je vous en supplie, soupira Cécile. Laissez-moi tranquillle, et je ne dirai rien...

- De toutes façons, tu ne diras rien, car tu le regretterais plus que nous. Allez, pour commencer, tu déboutonnes ta chemise, qu'on voie comment tes nichons se portent sans soutien gorge.

- Oh non, s'il vous plait, je ne peux pas!

- Ca t'arrive de mettre un soutien gorge quelquefois?

- Mais oui, bien sûr.

- Alors, pourquoi tu n'en mets pas pour aller à l'école, dis?

- ...

- Tu réponds, ou je me fâche?

- Je ... je ne sais pas, je n'y pense pas.

- Voyez-vous cela! Mademoiselle ne pense pas à enfiler un soutif avant d'aller faire la leçon à ses élèves. Si tu n'y penses pas, c'est que t'as vraiment pas l'habitude d'en mettre. Avoue que tu n'en as jamais eu en classe, dis que t'as toujours été à poil sous le tee shirt ou la chemise...

- Je n'ai jamais mis de chemise avant aujourd'hui...

- Peut-être. T'avais les seins à l'air sous ton tee shirt, oui ou non?

- ... Oui...

- Ca t'excite de sentir les tétons frotter contre le tissu quand tu marches et que tes seins se promènent à la même cadence. Je parie que ça les faisait bander? Et tu pensais à mettre un froc, mais peut-être oubliais-tu de mettre un slip aussi?

- Non j'ai toujours mis un slip!

- Sauf aujourd'hui, salope!

- Quoi, interrompit Max, commment sais-tu qu'elle n'a pas de slip?

- Si vous ne l'avez pas remarqué, vous êtes des veaux! Parce qu'elle ne s'en est pas caché, la pute, ce matin en classe. Ha, vous ne l'avez pas vue se trémousser devant sa mauviette chevelue quand elle faisait mine de l'interroger. C'est la chaleur qui l'excite cette chienne. Elle a encore trop de fringues sur elle. Il faut l'aérer.

- Putain, continua Max, oser se présenter à l'école sans soutien gorge, il faut déjà le faire, mais alors sans slip, faut oser. T'as raison Anatole, je l'aurais jamis cru, mais elle doit avoir faim de cul, pour avoir besoin de le promener à l'air en public... On va se sentir obligé de la rassasier. C'est pas possible, moi je ne peux plus attendre, je vais juter trop tôt sinon...

- Patience coupa Anatole, pour l'instant, je veux qu'elle se foute à poil toute seule. Ca vient, oui ou non?

- Je vous en prie,je ne me suis jamais déshabillée devant un homme...

- Tu allais bien le faire devant l'autre tétard.

- Non, je lui aurais demandé de le faire.

- Bon, vous deux, soulevez-lui les jambes, et écartez-les au maximum. Je vais l'empaler toute habillée, puisque c'est ce qu'elle veut. Je veux voir ses chevilles sur vos épaules.

- Non je vous en prie, pleura Cécile, ne me faites pas mal!

- Attends d'avoir pris nos queues dans le cul pour chialer, salope! railla Anatole.

Max et Arthur, maintenant déchainés, obéirent avec empressement. Le vice se lisait dans leurs yeux, et l'extrème excitation derrière leur braguette. Chacun d'un côté prit une cheville, et leva en s'éloignant du corps prisonnier. Aussitôt, elle fut donc suspendue par les cheveux, et les racines sur son crâne, affreusement étirées, au bord de l'arrachement, la firent hurler.

- Non! arrêtez, Ha...

- Reposez-la... Tu acceptes de te dessaper?

- S'il vous plaît, je ne peux pas, vraiment.... Déshabillez-moi si vous voulez. J'ai trop honte.

- D'accord, mais tu vas le regretter... Remarque, te plains pas: Je suis bien élevé, je commence par le haut.

Avec sa main droite en crochet, il aggrippa la chemise à l'encolure de la poitrine, entre ses seins, et tira d'un coup vers le bas. Sous la vigueur de l'arrachement, tous les boutons cédèrent d'un coup. La chemise, étroite, se rétracta alors et dévoila l'intérieur des seins mais pas encore les tétons ni même les aréoles, son nombril, et son ventre tout autour, plat et musclé. Cécile poussa encore un cri non pas tellement d'humiliation, mais de douleur car le geste brutal de l'homme, avant que la chemise ne cède, avait tiré le corps féminin et éprouvé à nouveau la résistance des racines pileuses de son crâne.

- Pas mal, fit Anatole, je crois que ça valait le coup d'attendre.

Comme Arthur s'approchait pour écarter davantage le pan de sa chemise, Anatole le repoussa:

- Eloigne-toi de là, tu les verras tout à l'heure à ta guise. Trouve-moi plutôt une paire de ciseaux.

- Pourquoi faire?

- Ne pose pas de questions, tu le verras bien...

Anatole se tourna vers André, qui fixait attentivement la jeune fille prisonnière comme lui. Il était comme pétrifié par le spectacle qui lui était offert. Son professeur, qu'il n'avait jamais osé espérer caresser un jour, était tout f'un coup à moitié dépoitraillé. Sa gorge lui paraissait nue pour lapremière fois, son ventre aussi. Malgré la situation humiliante, il sentait à nouveau son sexe se tendre démesurément, et il ne pouvait réfréner cette érection.

Le chef de la bande fut édifié ; il s'approcha de lui.

- Et bien mon garçon, si j'avais cru que tu cachais une si belle queue. Faut pas t'inquiéter, on va te soulager tout à l'heure.

Et Anatole de plaquer la paume de sa main sur le renflement éloquent à côté de la braguette. Puis de frotter ainsi le long de la tige, de bas en haut.

- Et en plus, c'est parfaitement dur! J'ai hâte de savoir si les bourses sont bien remplies. Remarque, j'espère pour ta copine, sinon il va falloir percer à sec, et comme on est aussi bien équipés, on risque de déchirer son cul.

Le garçon revint au bout de quelques secondes.

- Voilà, il y en avait dans le tiroir de la commode de la chambre.

Anatole s'empara des ciseaux qu'il lui tendait, et retourna devant la pauvre Cécile, de plus en plus atterrée.

- Parfait. Le bas maintenant.

Et il présenta les ciseaux ouverts sous l'ourlet de la jupe, du côté gauche, et activa l'outil en remontant vers la ceinture, verticalement. Il stoppa juste sous la ceinture. La jupe se trouvait maintenant fendue latéralement sur toute sa longueur. Le tissu en lycra, s'était rétracté au fur et à mesure que les ciseaux poursuivaient leur ascension. Au bout du compte, lorqu'André se releva, la cuisse et la hanche gauche de Cécile étaient dénudées, car la limite du tissu recouvrait juste le pli de l'aine. Quant à la rétraction du pan antérieur du tissu, elle était suffisante pour que, même de profil, se dessine la naissance de la fesse. Puisque son dos était collé contre la porte, les garçons ne purent évaluer la surface de sa fesse que la rétraction du tissu avait dénudée. Cependant, un détail ou plutût l'absence d'un détail, rendu manifeste à cause de la teinte hâlée de son épiderme, intrigua Anatole.

- Dis voir, pouffiasse, tes fesses ont l'air aussi brunies que le reste du corps, y compris la poitrine d'ailleurs, tu bronzes à poil, toi? Réponds!

- Oui...

- Tu fais du naturisme?

- Oui...

- C'est bien. Tu fais la mijaurée, mais t'aimes te foutre à poil, hein? T'es encore plus salope que je l'imaginais. Bon, ça tombe bien, parce que moi, je trouve ta jupe un peu longue, tu dois encore avoir trop chaud. Et puis c'est dommage de nous cacher la plus belle partie de tes cuisses. La gauche est à poil mais il reste encore l'autre que je ne peux pas voir en entier.

Aussitôt dit, presque aussitôt fait. S'il fut facile de découper au-dessus de l'ourlet une bande de dix centimètres devant, passer entre les cuisses et la porte avec les ciseaux , pour raccourcir la jupe sous les fesses, ne s'avérait pas simple. Il fut finalement décidé de tourner le vêtement sur la taille de la fille, afin que l'envers paraisse devant. La tache pouvait alors être achevée. Anatole eut la pudeur de tourner le vêtement dans le sens qui permit à l'échancrure nouvelle de passer derrière les fesses, et non pas devant le pubis, ce qui aurait, l'espace de quelques dixièmes de secondes, découvert le pubis. Cécile nota le détail et lui en fut reconnaissante.

Ce qui dissimulait encore le bas du ventre ne ressemblait plus maintenant à une jupe, mais plutôt à un morceau de tissu vulgaire, d'environ 20 cm de haut, dont la mission de couverture n'aurait pas paru évidente au premier regard: La jupe à présent tournée dénudait la hanche sur le côté droit, ainsi que la naissance de la fesse et de la cuisse de ce côté. Raccourcie d'un bon tiers de sa longueur, elle couvrait juste le pubis, car même le côté qui n'était pas fendu n'interdisait plus de voir la cuisse dans son intégralité.

La chemise ouverte sur le devant avec tant de générosité, achevait de conférer à la jeune fille une allure indécente, bien pire que si elle était absolument nue. Malgré son visage défait par la peur et par la honte, une attitude de provocation émanait de ce corps si grâcieux. Les organes sexuels étaient certes encore dissimulés, puisque même les tétons restaient à l'abri, mais la futilité des couvertures, que le moindre coup de vent pourrait effacer, voire le plus simple mouvement fabriquait tout l'érotisme de la tenue, et le déclinait aux plus inavouables expériences.

L'impression vint à son apogée lorsque Anatole lui ôta ses chaussures. Non pas que ses souliers nuisent à l'érotisme, mais pieds nus, elle semblait définitivement démunie de toute défense, plus humiliée qu'elle ne pourrait jamais l'être, avillie au plus profond de son être, à la merci de ses agresseurs. Comme elle ne pouvait pas baisser la tête, elle ne voyait pas sa tenue, mais elle savait que les deux seuls vêtements qui la couvraient encore étaient des haillons. Surtout, elle ne comprenait pas ce jeu. S'ils voulaient la violer, pourquoi ne le faisaient-ils pas tout de suite?

- Il faut encore couper la chemise, déclara Anatole après une phase d'observation, elle est trop convenable comme cela.

Cette fois, il découpa une bande verticale de chaque côté de l'ouverture de la chemise, de la largeur de l'ourlet de la boutonnière d'un côté, de celle des boutons de l'autre. Il commenca le découpage par le haut, juste sous le col, mais s'arrêta un centimètres avant l'ourlet en bas. Les deux bandes ainsi nées pendaient du bas de la chemmise sur le devant de ses cuisses; elles atteignaient les genoux. La surface supplémentaire ainsi dénudée de son torse permit de mieux distinguer le relief entre ses deux seins, mais les pointes en demeuraient encore cachées, bien que, de profil, il était possible maintenant possible de deviner la naissance des aréoles. Déchirée de la sorte, la chemise, comme la jupe, commençait à ressembler à une pièce de tissu vraiment proche du haillon. Seul le col indiquait l'origine de la frippe. Anatole s'en aperçut.

- Maintenant, je vais te couper le col, comme les condamnés, tu sais ceux qui passaient à la guillotine!

Là il fallait passer derrière la chemise, et il n'était pas question de retourner la chemise comme il avait été procédé avec la jupe. Il fallut se résigner à retourner la jeune fille contre la porte, ce qui ne présenta pas de difficulté puisqu'elle n'était maintenue que par les cheveux. Le ventre et les seins contre la porte, elle tourna la tête de côté, par confort, certes, mais aussi parce qu'elle voulait tenter de continuer à suivre les gestes des garçons. Ce qu'elle vit en premier fut le visage d'André, décomposé... par l'excitation, ce qu'elle comprit en orientant son regard vers la braguette. La déformation du jean était époustouflante ; il devait posséder un sexe monumental, et d'une vigueur tout à fait singulière, pour exhiber un tel relief, jusqu'à la ceinture, au-dessous de laquelle le volume du gland était fidèlement reproduit,plus large encore que la racine. En dépit de la situation dramatique, elle était somme toute fière de l'effet qu'elle produisait sur lui. Pourquoi ne pouvait-elle pas le dénuder et le caresser?

Les autres aussi furent tous littéralement fascinés par le côté pile de ce corps juvénile. La cause principale en était la jupe qui, ainsi raccourcie, délimitait parfaitement le cul des cuisses, mais en plus et surtout accentuait le relief de ses fesses, en même temps que se montrait, cette fois, une partie de sa fesse droite nue. La pièce de tissu était devenue ridicule, à ne plus dissimuler que son sillon. De plus, la position de la fille l'obligeait à exagérer la cambrure de ses reins, ce qui amplifiait le contraste avec ses globes de chair musclés. Quelques cheveux bien sûr caressaient encore ses fesses et chatouillaient d'autant plus l'intérieur de ses cuisses que la jupe ainsi retaillée les dénudait en entier, mais le postérieur apparaissaît enfin distinctement aux trois hommes, après avoir été dissimulé par la masse de cheveux imposante pendant toute une année. Et plutôt que les cuisses totalement nues, plutôt que ses jambes rectilignes comme celles d'un modèle, c'étaient ses fesses encore dissimulées (même si la fesse droite, à cause de la fente, était partiellement visible, à l'extérieur, et à la jointure de la cuisse) mais dessinées comme par un moule, qui tétanisaient d'envie les trois mâles. Leur état les rendait d'ailleurs silencieux, et Anatole, après avoir repris conscience, finit de découper largement le col derrière la nuque, en prenant grand soin d'épargner les mêches de cheveux qui n'étaient pas coincées par la porte.

La jonction entre la nuque et les épaules fut alors bien dégagée.

- Lève les bras au-dessus de la tête, ordonna Anatole à Cécile. J n'ai pas fini.

Cécile ne songea pas une seconde à discuter, ni à différer l'exécution.

Cette fois, Anatole s'attaqua à l'échancrure des aisselles , puisque la chemise n'avait pas de manches. Il tailla le tissu pour agrandir vers le bas les échancrures. Il se soucia de la symétrie entre les deux flancs, et à cause de cela aussi, tailla plus qu'il ne l'avait escompté. Le résultat, alors que la jeune fille tenait toujours ses bras levés, c'était que grâce aux échancrures qui dénudait les aisselles jusqu'en bas des côtes, l'attache des seins aux aisselles fut parfaitement visible.

Ce qui restait de la chemise faisait plus penser un débardeur excentrique, dont les bretelles ne recouvriraient les seins qu'en l'absence de mouvement.

- Voilà, encore un dernier effort ma poulette. Décolle-moi un peu ton ventre de la porte, que je puisse y passer les mains...

- Tu vas la caresser, on peut, nous aussi, quémanda Arthur?

- La ferme, j'ai pas dit que j'allais la peloter, chaque chose en son temps.

Anatole pourtant s'approcha par derrière, sembla vouloir frotter son ventre contre les fesses; mais il voulait en fait saisir les bandes de tissu qu'il avait découpées, et qui, encore retenues en bas de la chemise, pendaient sur le devant des cuisses. Il croisa les liens improvisés par devant et les passa ensuite par derrière, au niveau des reins. A cet endroit, la taille entourée de ces sangles, il tira violemment pour étrangler la fille par les hanches, ce qui marqua son visage d'une grimace de douleur. Il fit enfin un noeud exactement comme le fait une ménagère avec son tablier de cuisine, le serrage en moins. Les deux pans de la chemise devaient donc à peu près se rejoindre en bas sur son nombril; l'ouverture sur la poitrine n'en deviendrait que plus insolente.

- Et bien c'était pas si compliqué tu vois ma mignonne, il suffisait d'un peu de patience. Retourne-toi que je mate un peu... Magnifique! Tu vas faire impression, c'est moi qui te le dis!

L'incompréhension qui se lit sur le visage défait de Cécile s'inonda bientôt de larmes de découragement. Elles signalèrent une reddition qu'elle voyait sans condition; le rapport de forces était trop injuste. A partir de maintenant, elle sut qu'elle voulait mourir.

- Allez, détachez l'autre guignol, on sort...

- Quoi, fit Max, tu veux la sortir dans cette tenue?

- Laisse-nous la remplir un peu avant, quand même, remarqua Arthur!

- C'est vrai, j'ai la queue toute raide, je tiens plus...

- Apprenez donc à faire durer le plaisir bande de débutants, après la balade qu'on va se payer, votre queue sera dure comme du bois, et vous l'enfilerez par tous les trous sans rien sentir. On va acheter à boire, car l'après midi va être pénible pour nous, il nous faut de l'énergie. En plus, jai envie de la montrer aux passants. On ne peut quand même pas se la garder entièrement comme des égoïstes; elle va en affoler quelques uns c'est sûr. Au fait, vous allez rameuter toute la bande, je veux voir le maximum de bites ici quand on sera de retour.Il faut qu'elle reçoive une overdose de foutre.

- Pas de problème, répond Max, je passe un coup de téléphone à Hubert, il va s'occuper du ralliement. Putain, je te dis pas comment on va la noyer dans le jus.

- Je vous en prie, supplia Cécile en larmes, vous n'allez pas me sortir dans cette tenue!

- Je vais pas me gêner, répliqua sèchement Anatole. Tu vas nous emmener en voiture au supermarché, où on va faire quelques courses. A cette heure, il y a affluence, imagine tous les regards qui vont se coller à tes fesses, à tes seins,et qui ne pourront s'en défaire. Je suis sûr que tu vas voir plein de queues gonfler à vue d'oeil sous les frocs. Comme je te connais, ça va t'exciter tellement que tu vas nous implorer pour qu'on te ramone les orifices.

Cécile cédait à présent à l'affolement.

- Vous ne pouvez pas, tout le monde me connaît, je ne peux pas me montrer comme cela. Ne faites pas cela, non. Prenez-moi si vous voulez, mais restons ici.

- Qu'est-ce que tu me chantes, salope, hurla Anatole, T'étais pas en train de chialer ce matin, devant André, non?

- Mais je n'étais pas en guenilles!

- Mais t'avais envie de faire de l'exhibitionnisme. Si tu avais pu te foutre à poil devant lui, tu l'aurais fait. T'en avais tellement envie que tu en pissais de plaisir je suis sûr.

Abattue, résignée, mais aussi interloquée par cetté répartie pas tout à fait fausse, Cécile ne sut pas répondre.

Anatole s'approcha à nouveau d'André, qu'Arthur venait de détacher, mais qui n'avait pourtant pas changé de place. Il l'aggrippa au bras, et le projeta d'une seule secousse vers le canapé où le jeune homme trébucha.

- Etend-toi à plat ventre, idiot. Arthur, tu vas me le tenir pour pas qu'il bouge. Il a un vrai cul de nana celui-là, il me fait bander autant que la fille., et en plus ce salaud, il se paie une bite d'enfer! Je sais pas si je pourrais y résister.

C'était vrai que, dans la position qu'occupait le jeune homme, ses fesses, trop parfaitement moulées dans son jean et trop musclées aussi, dessinaient avec netteté deux monticules équivalents, séparés par une fente dans laquelle la couture du jean s'enfonçait à la perfection pour en séparer les globes avec ostentation. On eût cru le tissu collé à son postérieur.

- Je parie qu'il n'a pas de slip non plus, mais je veux m'en assurer, et si c'est le cas, il faut que ça se sache.

- Tu veux que je le retournes, proposa Arthur, pour ouvrir sa braguette?

- Non, laisse le sur le ventre, c'est par ce côté-là que je veux l'apprendre.

De sa poche de jean, Anatole sortit un canif, l'ouvrit, et l'approcha de la fesse gauche d'André. Il mit la pointe en contact avec le tissu à peu près au milieu de la fesse, mais le côté tranchant à l'extérieur. Son intention n'était pas de provoquer une blessure physique.