Cecil

BÊTA PUBLIQUE

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Juste au-dessus, une tache se formait qui s'élargissait, fruit des émanations séminales fertiles du membre ainsi tracassé.

- Attention, il ne faut pas éjaculer maintenant, car ton sperme doit servir intégralement à graisser le cul de notre cher professeur...

- Pas vrai, s'exclama Hubert, dont la bite bien sûr en érection déformait la pantalon pourtant large, au point de confirmer les prédictions, tu veux le faire gicler sur le cul de cette salope. Il va en falloir une belle quantité pour que je puisse me la faire.

- Toi, répliqua Anatole, on verra après plusieurs sodomies, si tu peux y aller sans la déchirer. Si tu es vraiment trop gros, tu passeras en dernier, si tu lui fais pisser du sang, comme je le crains, elle aura tout le temps de soigner ses cicatrices.

Les caresses continuaient sur le vit d'André, qui commencçait à manifester des soubresauts, alors que sa bouche ouverte haletait doucement. Il était évidemment prêt à jouir, et ne semblait ni capable ni désireux de se retenir.

Anatole, férocement, stoppa ses attouchements. Ses deux doigts attrapèrent la languette de fermeture éclair de la braguette, que lentement, il tira vers la bas.

A peine avait-il terminé que le sexe surgit du pantalon. Parfaitement vertical, d'un diamètre supérieur à la normale, d'une longueur telle qu'il dépassait la ceinture de la veste en jean - certainement dépassait-il même le nombril, le gland énorme était presque entièrement décalotté, la tige était rouge très foncé.

Les testicules elles, étaient encore cachées par le pantalon.

Aussi Anatole lui baissa-t-il jusqu'aux chevilles.

La toison pubienne était discrète, mais très brune et délimitée car, au-dessus, son ventre plat et finement musclé était glabre. Maintenant totalement nu, l'arrogance de cette virilité tétanisait les spectateurs. Les testicules, normalement, étaient remontées de chaque coté de la tige imposante. Quant aux fesses, parfaitement glabres et rebondies, elles ressemblaient vraiment à des fesses de fille.

- Joli tableau, déclara Anatole, je ne sais pas si je pourrai résister à l'envie de visiter ton cul à toi aussi. En attendant, on a besoin de toi, pour une tache plus pratique. Il me faut deux types pour relever les jambes de la fille et les écarter au maximum, et deux autres pour lui séparer bien les fesses pour que son trou du cul soit bien dégagé

Il poussa le jeune garçon vers Cécile, qui ne pouvait voir distinctement le sexe de son amant.

La démarche d'André fut génée par le pantalon autour des chevilles.

André fut placé de telle façon que son sexe pointait devant le cul de Cécile. La malheureuse gémissait de douleur à cause de ses jambes qu'on avait ramenées sur ses épaules puis éloignées au point qu'elles formait un compas à angle droit. Ce qui restait de sa jupe était relevé sur son ventre, autant dire qu'elle ne la protégeait plus du tout, sesparties intime étaient maintenant exposées à la vue de la douzaine d'hommes qui l'entouraient. Deux mains tiraient chaque fesse vers l'extérieur, qui, pour ce faire, avaient enfoncé les ongles des doigts dans la chair du postérieur très près du sillon. Ainsi, l'anus, mais aussi la fente vaginale béaient avec une indécence inimaginable. Elle qui ne s'était jamais mise nue devant un homme, voilà à quoi elle en était réduite.

Anatole se plaça à nouveau derrière André, mais cette fois, il entoura de sa main droite le sexe vertigineux de rectitude, infaillible d'arrogance, vertical au point que, dressé comme il l'était, le gland frôlait le ventre au-dessus du nombril, et démarra une masturbation lente.

Il s'appliqua à tirer la peau complètement vers le bas. Cette fois, le gland monstrueux était entièrement décalotté. Puis il remontait la main le long du gland, sans que la peau accompagne le mouvement, ce qui fait que la paume caressait le gland nu. A l'inverse, pour chaque mouvement vers le bas, il serrait fort le membre, et tirait donc sur le frein à la limite de sa résistance. Le gland maintenant était violet, paraissait grossir encore et toujours, le sexe s'allongeait et s'apaississait encore ; les doigts d'Anatole n'en faisaient pas le tour. Les spectateurs étaient tous saisis par la scène. Certains se caressaient distraitement à travers leur pantalon, mais aucun, par un étrange pudeur, n'avait baissé sa braguette.

André avait à présent fermé les yeux, convaincu d'avoir atteint le point de non retour. L'excitation qu'il ne contrôlait plus lui faisait onduler le bassin, comme pour participer à la masturbation qu'il subissait. A un spasme plus accentué, à une grimace prononcée, Anatole comprit qu'il allait jouir. Aussi inclina-t-il le membre, non sans difficulté -car d'une raideur stupéfiante- jusqu'à l'horizontale sans cesser son ample mouvemeent alternatif, afin que le méat pointe à quelques millimètres de l'anus de Cécile.

Quelques secondes plus tard, André exulta :

- Noon! Ah!!

La première giclée de sperme fit croire à un jet. Elle frappa juste l'oeillet sombre de la fille, avec une puissance que personne n'aurait pu imaginer. Tout de suite, le trou fut recouvert de la gelée épaisse.

Puis aussitôt, une deuxième tout aussi abondante, tout aussi violente. La masturbation n'avait pas cessé, mais Anatole veillait alors à l'orientation du jet, et ne branlait plus le sexe qu'à deux doigts, au niveau du frein.

Encore une troisième giclée. Et le torrent de sperme déversé recouvrait déjà l'anus, dont l'orifice n'était plus perceptible, sous le matelas de crème.

Quatre. Le volume de sperme ne tarissait pas, les expulsions étaient toujours aussi fertiles. C'était à se demander comment les testicules pouvaient en avoir contenu autant. L'épaisseur de foutre en dépit dee sa ramarquable viscosité, était telle qu'il commençait maintenant à en couler le long de sa raie.

Deux autres plus espacées : du sperme dégoulinait maintenant du coccys vers le tissu de la jupe qui pendait du bas de son dos. Puis enfin deux derniers soubresauts qui n'émirent plus qu'un filet de foutre

Anatole toujours derrière le garçon, lacha enfin le sexe devenu inutile,bien qu'encore érigé. Il retira avec fébrilité son pantalon et son slip. Il arborait une fière erection, avec un membre long mais pas très épais (rien de comparable avec le pieu d'André). Il repoussa violemment ce dernier, et présenta un doigt à l'orée de l'oeillet anal. Cécile cria de l'épargner, arguant qu'elle ne voulait pas perdre sa virginité.

- Ne t'inquiète pas ; tu vas rester vierge par-devant. Je m'y engage. Mais tu vas peut-être le regretter, car si ton cul n'a jamais été perforé, tu vas connaître un festival.

- Non supplia Cécile, vous allez me faire trop mal! Je n'ai jamais fait ça.

- Il fallait choisir avant, petite pute! Vous quatre, vous me tenez toujours ses fesses et ses jambes écartées.

L'index traversa d'abord le sperme d'André, puis poussa droit dans le rectum.

- Ah! Non vous me faites trop mal! Je ne peux pas!

- Détends-toi donc et pousse comme si tu allais chier, ce sera moins douloureux, andouille! De toutes façons, il faudra que tu cèdes. Ce qu'elle peut être tarte, putain!

Comme Cécile ne semblait pas comprendre,Anatole poussa plus sévèrement, et son doigt s'enfonça d'un coup sur toute la longueur. Cécile poussa un cri. Aussitôt, elle reçut une gifle magistrale qui lui éclata le coin de la lèvre. Un peu de sang coulait de sa commissure. Vaincue, elle se tut.

Le doigt coulissait maintenant dans le rectum, lubrifié par la crème . Il ressortit, mais ce fut pour adjoindre un deuxième doigt à la nouvelle intromission. Il lui fallut forcer encore davantage, car le muscle anal était ferme. Losqu'il céda enfin à la pression indéfectible, la fille gémit; des larmes coulaient à présent de ses joues.

-Arrêtez, Je ne peux plus! C'est trop gros! Ah...

La douleur lui était insupportable. Effectivement, les deux doigt remuaient cette fois difficlilement dans ce cul, qui n'avait jamais connu telle dilatation. Pourtant, deux doigts ne sont rien en comparaison d'un sexe en érection, même de modeste embonpoint, comme celui qui allait incessamment la violer.

Soudain Les deux doigts s'extirpèrent brutalement des fesses. L'orifice restait béant, et l'homme profita de l'opportunité pour présenter son pieu décalloté jusqu'à la racine à l'entrée de l'anus. Mais la cavité n'était pas encore assez ouverte; seule l'extrémité du gland pouvait passer. Il fallait encore pousser et forcer, ce qui était rendu possible par la raideur sans défaut du membre viril. Au moment où le renflement du gland passait l'oeillet complètement massacré par la vigueur de la poussée, la fille se mit à hurler d'un cri rauque comme si on lui arrachait un membre; elle se débattait cette fois désespérément parvenant à reculer malgré l'emprise des hommes qui la maintenaient. Un des garçons eût l'idée de lui enfoncer un chiffon dans la bouche, puis lui présenta sa sandale entre les dents, qu'elle mordit de toutes ses forces. Son visage décomposé était inondé par un mélange de larmes et de sueur. Elle respirait par saccades. A cause de ses mouvements pour se débattre, sa tête pendait maintenant en arrière de la table. Son front et ses joues étaient congestionnés. Son anus la brûlait impitoyablement, elle était sûre d'être déchirée.

Pourtant une fois le gland rentré millimètre par millimètre dans les entrailles, la progression fut une peu plus aisée, et quand le sexe fut enfoncé jusqu'à la toison pubienne, la première amorce de retrait paraissait plus facile. Sentant sa victime enfin amadouée, Anatole commença un va et vient effréné dans ce cul juste dépucelé. Cela dura plusieurs minutes au cours desquelles les spectateurs en érection fixaient attentivement le parcours alternatif du membre dans ce cul qu'ils rêvaient tous de voir un jour, sans espérer quand même qu'ils auraient l'opportunité d'y plonger leur bite et d'éjaculer . Plusieurs d'entre eux avaient déjà sorti leur membre viril dont la plupart se tenaient quasiment à la verticale. Certains montaient apparemment plus haut que le nombril, ce qui promettait de belles intromissions.

Anatole prévint alors :

- Je vais bientôt exploser. Il en faut un qui soit prêt à me remplacer dés que je me retire.

Effectivement la jouissance d'Anatole intervint dans un râle sauvage, alors qu'il était profondément enfiché entre les fesses écartelées. Il s'extirpa sans ménagement, abandonnant le sphincter totalement ouvert, ce qui était d'une incroyable obcénité. L'intérieur de l'intestin était visible sur plusiers centimètres, mais pendant une ou deux secondes seulement, car un deuxième membre, encore plus gros, investit aussitôt le rectum saccagé. Malgré son périmètre plus avantageux, il pénétra sans grande difficulté jusqu'à buter de son ventre sur les fesses. La pauvre Cécile semblait avoir capitulé.

Le moment de surprise était maintenant passé, et les bavardages commençaient :

- Qu'est-ce qu'elle prend la salope!

- Elle ne va plus pouvoir s'asseoir pendant plusieurs jours.

- Combien tu paries que je tiens dix minutes?

- D'accord, on chronomètre, et celui qui tiens le plus longtemps a droit à une faveur!

- Oui, mais laquelle?

- Le droit d'enculer le garçon par exemple.

-Ca marche comme ça.

André ne pouvait s'empêcher de regarder le spactacle, lui aussi, et il arborait à nouveau une érection phénoménale. Son pieu était à nouveau dressé contre son ventred'une longueur telle que le nombril en était dissimulé par le gland décalotté.

Le deuxième sexe venait d'exploser à son tour. Mais ce garçon n'était pas pourtant disposé à sortir du fourreau anal surchauffé. Il se remettait à limer dans le cul . Il n'avait pas débandé. Les quelques vingt centimètres de sa virilité reprenaient leur va-et-vient de plus en plus empressés, et aussi plus amples. Presque à chaque fois, il ressortait du derrière et le poignardait à nouveau avec une énergie décuplée. Le corps entier de Cécile était secoué à chaque pénétration, tant l'homme qui la malmenait agissait brutalement.

-C'est divin, jubilait le garçon,je nage dans le foutre. Elle est tellement dilatée que je ne sens plus son cul. Il ne va pas se refermer de sitôt.

La deuxième éjaculation du membre intervint quelques minutes après. Cette fois il se retira. L'anus était distendu encore plus que la première fois. L'un des garçons remarqua qu'un concombre y entrerait sans mal

Entra logiquement un troisième sexe, qui, bien que de taille respectable, entra d'une seule poussée facile sur toute la longueur. Il semblait déçu de ne pas se sentir plus à l'étroit, aussi eut-il l'idée de la faire réagir. Pendant qu'il était au fond, il saisit les pointes de seins à travers la chemise entre les jambes très écartées et les tordit. La fille gémit à travers son baillon et la sandale qu'elle mordait toujours. Cela dut l'exciter, car il redoubla l'ardeur de ses coups de boutoir, ressortant, et s'enfonçant avec une régularité de métronome, jusqu'à ce que son pubis cogne violemment contre les fesses grandes ouvertes. Il paraissait inépuisable. Plusieurs garçons se masturbaient sans vergogne en admirant le coït infernal. Le sexe, entièrement décalotté lorsqu'il ressortait, était violacé par l'afflux de sang. Il ne devait pas se sentir prêt à exploser, pourtant, il y avait maintenant plus d'un quart d'heure qu'il limait le cul mortifié au même rythme. La tête renversée, la fille gémissait et pleurait de douleur ; ses larmes coulaient dans sa chevelure. Elle sentait son anus déchiré, qui la brûlait à la limite du supportable. Pire, elle sentait le sperme chaud qui remplissait progressivement son intestin, et elle avait alors la désagréable envie d'expulser ce corps abominablement rigide qui la perforait , la bousculait sans ménagement à chaque poussée. La dilatation était telle qu'il n'hésitait plus maintenant à sortir complètement, puis à rentrer avec la pire brutalité. En fait, elle sentait le sperme tapisser progressivement ses boyaux et se mêler à ses matières fécales au fur et à mesure que les sexes s'y vidaient. En même temps la semence en graissait les parois. C'est ce qui commençait à engendrer un indiscible besoin de vider son intestin. Elle craignait de ne pouvoir se retenir longtemps. Des spasmes maintenant torturaient son ventre. A un moment, il se retira, se masturba à l'entrée du cul en feu, et finalement retourna dans le sphincter dilaté comme personne ne le croyait possible, pour cette fois exploser comme ses prédecesseurs tout au fond de l'intestin qui devait encore une fois supporter un supplément de foutre.

Lui aussi perpétua la perforation de son cul. Il y mit encore plus de violence, d'abord parce que l'éjaculation l'avait soulagé, ensuite parce que son pieu baignait litéralement dans le sperme bouillant et qu'il lui fallait compenser la diminution des sensations de frottement contre le sphincter.

A un moment, un garçon, qui, comme tous les autres, se masturbait à côté de la fille, remarqua :

" Putain, j'ai une de ces envies de pisser, je vais pas tenir longtemps!"

" Pisse-lui dessus, répondit Anatole, ça la rafraîchira! "

"Tu crois?", répondit l'autre, ébahi .

"Bien sûr, si tu arrives à pisser avec ta queue raide"

L'autre, aussitôt, comprima son ventre, et pointa sa verge durcie vers la poitrine presque nue de la fille.

Tout le monde le regarda, d'ailleurs, celui qui enculait Cécile avait ralenti le rythme, occupé à surveiller le moment ou le jet fuserait.

Le garçon dut faire un effort de volonté, et comprimer à plusieurs reprises sa vessie, parce que son sexe ne débandait pas, excité comme un fou à la perspective de souiller ce corps déjà trop humilié. Au terme de quelques secondes, le jet finit par sortir, très jaune, très fin, d'abord timide puis plus puissant. Le garçon arrosait la poitrine. L'urine éclaboussait la chemise, de Cécile, frappait la région dénudée entre ses seins dont les pointes aspergées se dressaient avec ostentation , dégoulinait vers les épaules et sous les seins. La chemise, à présent détrempée, devenait translucide. Les garçons enfin en apercevaient les aréoles. Comme le jet ne s'épuisait pas, le garçon décida de viser, plus haut, le visage. Comme Cécile avait lâché la sandale ses lèvres, qu'elle gardait jointes pour ne pas avaler le liquide chaud, furent salies en premier, puis son nez, ses yeux, ses joues, ses oreilles, ses cheveux. Celui qui l'enculait eut l'idée de donner un coup de queue plus violent encore dans son cul. Qui le fit s'enfoncer au point que ses couilles cognèrent contre les fesses de la fille. L'intromission des ces vingt centimètres de chair dure eut pour effet de la faire crier de douleur, donc d'ouvrir la bouche. L'autre en profita pour diriger son jet dans la bouche ainsi rendue accessible. Elle manqua d'étouffer, car elle ne voulait pas avaler. Elle se résigna pourtant, car les allées et venues du sexe qui grossissait encore dans son cul brûlait les parois de son rectum profondément, et avec une intensité affreuse. Car le pieu entrait de toute sa longueur; elle sentait le gland qui cognait dans son intestin, et pire, elle sentait ses matières fécales qui décrochaient et descendaient lentement à sa rencontre. Elle était horrifiée à la perspective de ne pas pouvoir les retenir, et son anus, dilaté depuis bientôt une heure, n'y opposerait d'ailleurs aucune résistance.

Enfin, il éjacula à nouveau, dans un râle sauvage, alors que son pubis restait collé aux fesses de Cécile. Il ne se retira point cependant, mais ne bougeait plus. Il expliqua son attitude.

_ Je vais lui pisser dedans, ça va nettoyer le foutre ...

- Non, hurla Cécile pas ça, c'est horrible!

L'autre finissait son arrosage sur les yeux le front, et les cheveux. Dees mèches lui collaient maintenant sur les joues. A présent, son visage, son cou, sa gorge, et tout le haut de sa chemise étaient trempés de pisse.

Bien sûr nul compte ne fut tenu des supplications , et effectivement, bientôt il se soulagea dans le rectum. Comme son sexe avait à présent rétréci, l'urine ne tarda pas à déborder par l'anus contre le pubis du mâle encore fiché dedans jusqu'à la racine.

Cette fois, Cécile se débattit comme une histérique, au paroxisme de la douleur, car l'acide lui brûlait les entrailles tant irritées par les violentes allées et venues des membres énormes qui s'y étaient succédé, et surtout, elle sentait qu'elle ne pouvait plus se retenir de chier.

Un peu inquiet, Anatole lui retira son baillon car il craignait qu'elle ne s'étouffe.

En même temps, l'homme qui venait de lui pisser dedans se retira. Son anus complètement distendu laissait l'urine s'échapper et couler à flots par terre, mêlée à des filets crémeux pas tout à fait blancs, témoignage de la marée de sperme que son intestin avait du recevoir. Des filets de la substance gluante pendaient de son cul, dilaté au point qu'un concombre s'y serait investi sans forcer. Le conduit anal était parfaitement visible sur plusieurs centimètres.

Aussitôt, elle cria son affolement.

_ Laissez moi aller aux toilettes, je ne peux plus me retenir! Vite!!

- Tu veux quoi, pisser ou chier?

- Les deux ...

- Pas question de te libérer maintenant, tu vas faire tes besoins ici. Ca va nous amuser de regarder une fille en train de se vider l'intestin.

- Non je vous en supplie... Laissez-moi ; il faut que j'y aille! Ah je ne peux plus! Ca y est!!!

Son ventre fut d'abord pris de gargouillis, puis de son anus béant, sortit d'abord une lave brune, encore mêlée des mêmes filets blancs, qui accrocha le tissu de la jupe, le bord de la table, puis tomba par terre.

Un flot visqueux, très foncé s'ensuivit, remarquable par son abondance. Il ne semblait pas vouloir s'arrêter. Un monticule se formait sur la moquette, juste à l'aplomb de ses fesses. Tout le monde regardait médusé, cette fille au visage décomposé, qui était leur professeur, dans un état d'humiliation indescriptible, renversée sur la table, la chemise en lambeaux trempée d'urine, les jambes écartées et rabattues de chaque côté de sa poitrine, les feses toujours écartées, les cheveux tout aussi trempés de pisse jusqu'aux pointes qui balayaient le sol. Cette fille avait abandonné jusqu'au dernier rempart de pudeur, culminait dans sa déchéance, puisqu'elle en était condamnée à chier devant tous ces hommes, dans une position d'avilissement, où tous pouvaient voir son anus dilaté expulser un volume impressionnant de merde qu'lle ne devait même pas chercher à contenir, tant le soulagement était vif, de pouvoir se vider le ventre fut-ce au prix d'une telle exhibition. Mais toute sa pudeur était évaporée, elle sombrait dans la déchéance. De l'anus jusqu'au coccys, son sillon était souillé, de même que l'envers de la jupe sous les fesses.