Bourgeoises Rééduquées : Partie 03

BÊTA PUBLIQUE

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— Bien Monsieur!

Elle sort nue sur mon palier. Je crois que je vais bien m'amuser mardi. Mais avant ça il faut que je me trouve une occupation pour demain.

Je me lève tard ce lundi matin. Je n'ai pas grand-chose à faire aujourd'hui. Donc je prends mon temps pour me préparer et je décide d'aller déjeuner chez un ami restaurateur. Dans l'après-midi je ferais une petite visite à l'agence de ma voisine. Je suis sûr qu'elle sera très heureuse de me voir.

Après avoir bien mangé et avoir pris le temps de parler à mon ami, je vois qu'il est quinze heures, il est temps pour moi d'aller voir ma nouvelle soumise. Je remercie mon ami avec une accolade et lui dit à demain soir. Je rejoins la rue où se trouve l'agence de voyages de Charlotte. La devanture fait boutique pour personnes aisées seulement. J'entre et je vois une jeune fille blonde assise à un bureau. Je comprends qu'il s'agit d'Adeline l'assistante de Charlotte. Je lui fais mon plus beau sourire en disant :

— Madame de Villaret s'il vous plaît!

— C'est pourquoi s'il vous plaît?

Il semble que mon sourire dévastateur ne marche pas sur elle. J'essaie alors mon regard froid et je lui dis :

— Je veux voir Madame de Villaret!

— Euuhhh... je ne sais pas si elle peut vous recevoir, elle est très occupée. Je peux peut-être vous renseigner.

— Non!

— Très bien je vais voir si elle peut vous recevoir. Me répond la jeune fille sur un ton amer.

Une minute plus tard, elle revient et me dit d'aller dans le bureau qui se trouve à la deuxième porte à droite dans un couloir. Je la remercie avec un sourire cynique et je me dirige vers le bureau désigné.

— Bonjour chienne! dis-je en entrant.

Elle lève la tête et se fige. Je vois que je viens de la surprendre. Je ferme la porte du bureau et la verrouille avec la clé sous la poignée. Je m'adosse dessus et j'attends en silence, immobile. Il lui faut peu de temps pour comprendre. Elle se lève fait le tour de son bureau, se déshabille et reste jambes écartées les mains sur la tête. Elle n'a pas de bas, mais ce n'est pas grave, elle n'a pas de culotte non plus. Je m'attendais à ce qu'elle ait mis celle du lundi, mais tant pis, la punition sera pour autre chose plus tard. Ces gourdes font toujours des erreurs.

— Bien, tu comprends vite! dis-je.

Je m'approche en faisant un pari avec moi-même dans ma tête. Je suis sûre qu'elle mouille déjà. Ma main descend sur sa chatte. J'introduis deux doigts et m'aperçois que j'ai raison. Elle mouille cette bourgeoise. Je décide alors de m'amuser. De toute façon je n'ai rien d'autre à faire. Les doigts toujours dans sa chatte, je pose mon pouce sur son clitoris. Je vois qu'elle serre les lèvres, des larmes commencent à se former. Elle sait qu'elle ne doit pas jouir alors elle résiste. Je bouge mes doigts et mon pouce en surveillant son visage et sa respiration. J'arrête à chaque fois que je vois qu'elle se crispe. J'arrive à la branler sans la faire jouir. Je la vois souffrir et ça m'amuse.

Au bout de quelques minutes, je me lasse de ce jeu. Je retire ma main, la laissant affamée de jouir et je lui présente devant la bouche. Elle lèche consciencieusement la cyprine qui couvre mes doigts. Quand je trouve qu'ils sont assez propres, je me détourne d'elle et je vais m'asseoir dans son fauteuil à son bureau.

De nouveau elle comprend très vite et se met à quatre pattes. Elle me rejoint et sort ma bite pour la branler. Je fouille un peu dans son ordinateur pour voir si je trouve des choses intéressantes. Pendant ce temps, elle s'applique sur ma queue et ce qui doit arriver se passe. J'éjacule une grande quantité de foutre qu'elle s'évertue à récupérer dans sa main. Elle suit le rituel habituel, elle met tout dans sa bouche, me le montre, avale et ouvre la bouche en tirant la langue.

Je range mon attirail, caresse ses cheveux et lui tapote la tête comme on le fait avec une gentille chienne et je sors du bureau, puis de l'agence sans dire un mot à la petite blonde.

Je rentre à mon appartement en sifflotant. Avant de monter les escaliers, je frappe à la porte du concierge. Albert m'ouvre et me fait entrer dans sa loge. Je lui dis alors la raison de ma venue :

— Je viens te voir Albert, car je crois que tu connais toutes les personnes qui vont à l'église. J'ai vu l'autre jour une femme blonde, cheveux au carré qui a, je dirais, entre trente et quarante ans. Elle a l'air de s'occuper de choses à l'église. Sais-tu qui c'est?

— Bien sûr, Monsieur Didier, il s'agit de Madame Natacha Rivière. Elle s'occupe de l'église et du catéchisme. Elle a le temps, car elle ne travaille pas. C'est une femme au foyer qui a cinq enfants. Le dernier est encore bébé. Son mari n'est jamais là c'est un militaire. Elle est très gentille.

— Tu pourrais me la présenter?

— Oh, Monsieur Didier, je vous vois venir... Accompagnez-moi demain, je dois aller voir mon cousin et généralement Mme Rivière est à l'église pour préparer le catéchisme du mercredi.

Je quitte Albert après avoir convenu de l'heure du rendez-vous. Je rentre chez moi. Pour passer la soirée, je décide d'appeler Rachel, je vais la faire réviser.

Le lendemain je fais de nouveau la grasse matinée. Puis je déjeune en lisant le journal. Après m'être habillé, j'attends tranquillement l'heure pour partir avec Albert. Quand nous arrivons à l'église, Albert me montre une petite maison attenante qui sert de classe de catéchisme, me dit-il. Il ajoute que je devrais y trouver Natacha. Je le remercie et me dirige vers la salle. J'entre sans frapper. Je vois la mère de famille en train de faire téter son sein à son bébé. C'est joli à regarder, je prendrai bien la place du bébé. Je lance :

— Bonjour!

La blonde est surprise et effarée. Elle se lève pour poser son bébé dans sa nacelle et elle se tourne pour reboutonner son chemisier jusqu'en haut. Quand elle se retourne pour me regarder, elle est rouge pivoine et bégaie :

— Bon... Bonjour Monsieur... Euhhh... Que puis-je faire pour vous?

— Je cherche le père Sylvain.

Je n'ai aucun scrupule à mentir. Je détaille la mère de famille et je distingue une auréole se former au niveau de son sein, son lait qui commence à s'échapper. Puis je regarde plus bas. Elle porte un pantalon beige, mais il me semble bien voir une tache plus sombre au niveau de son entrejambe.

Je vois qu'elle est très gênée de me voir la regarder ainsi. Elle me répond :

— Vous le trouverez à l'église ou au presbytère. Excusez-moi, mais je vous ai déjà vu, vous n'êtes pas un ami de Madame de Villaret?

— Je suis son voisin oui!

— Ah! il me semblait bien!

Elle bouge d'un pied sur l'autre en se frottant les mains. Je vois qu'elle ne sait quoi me dire. Donc je parle :

— Je vais aller voir le père Sylvain alors!

Je lui souris et je lui dis :

— Je crois que vous avez une tâche là.

Je montre son sein. Elle baisse la tête et rougit en voyant son chemisier imbibé de son lait au niveau de sa poitrine. Rapidement elle met les mains devant. Je souris intérieurement et je dis :

— Je crois d'ailleurs qu'il y en a une aussi à ce niveau.

Je montre son entrejambe. Elle baisse les yeux et est affolée. Elle rougit d'un beau rouge cramoisi et baisse ses mains devant elle. Je crois que s'il y avait eu un trou de souris, elle aurait couru se cacher dedans. Je lui fais mon plus beau sourire et je quitte la salle.

Je rejoins Albert qui me présente son cousin le père Sylvain. Et bientôt nous repartons à notre domicile. Il faut que je me prépare pour la partie de poker de ce soir.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
C'est bien cette idée de raconter l'histoire

avec différents points de vue !

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