Bourgeoises Rééduquées : Partie 02

Informations sur Récit
Monsieur Didier est invité chez Charlotte et François.
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Partie 2 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines parties peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

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Prise en Main

Didier :

Le vendredi, je me prépare pour l'apéritif chez les nouveaux voisins. Je me fais beau et envoûtant avant d'aller sonner à leur porte. C'est le mari qui m'ouvre :

— Bonjour, cher voisin, je suis François de Villaret. Veuillez entrer! Vous m'excuserez, mais j'ai appris depuis peu que vous veniez prendre l'apéritif. Ma femme avait oublié de me le dire. Entrez, Monsieur...?

— Didier! Appelez-moi Didier ça sera plus simple!

— Très bien Didier, donc appelez-moi François. Vous avez raison, ne faisons pas de manières. Entrez dans le salon!

Je pénètre chez mes voisins et suis le mari jusqu'au salon richement meublé. Un grand ensemble de trois canapés trône au milieu.

— Les enfants, venez dire bonjour à Monsieur, puis vous irez dans vos chambres.

Les mômes viennent me saluer et je me force à leur répondre en souriant. Je n'aime pas les gosses et je n'en ai pas, du moins je n'en ai pas la connaissance. Puis je vois la mère entrer dans le salon. Elle est habillée d'un chemisier blanc sous lequel on devine le soutien-gorge qui retient sa belle poitrine. Elle porte une jupe serrée qui lui arrive aux genoux et des talons hauts.

— Bonjour Monsieur! dit-elle en me tendant la main.

Je lui prends et la garde quelques secondes de trop en la regardant droit dans les yeux.

— Bonjour, Madame, vous êtes élégante.

Je la vois rougir avant de retirer sa main. Son mari ne s'est aperçu de rien. Il est dans un buffet en train de sortir des bouteilles. Sa femme dit alors :

— Attends François, je vais t'aider!

Je la sens un peu gênée. Quand elle se tourne pour rejoindre son mari, je fixe son cul bien bombé sous la jupe serrée. Quel manque de goût! Me dis-je en voyant les contours de sa culotte.

J'ai bien l'impression de troubler ma voisine. Bizarre, une femme si arrogante et si hautaine cacherait-elle un mal-être. Je crois Albert quand il m'a dit que son mari ne la baisait plus depuis longtemps. De toute façon il est tellement insignifiant. Il s'installe dans un canapé et commence à pianoter son téléphone comme si je n'étais pas là. Sa femme est partie à la cuisine pour aller chercher des amuse-gueule. J'ai drôlement envie de gifler son mari pour le faire réagir.

Bientôt ma voisine revient avec un plateau. Elle le dépose devant moi en m'offrant une superbe vue sur son décolleté et sa magnifique poitrine. Est-ce volontaire? En tout cas je ne me gêne pas pour regarder. Elle s'assoit en face de moi et maintenant c'est une vue bien dégagée sur sa culotte qui m'est offerte. De plus elle rougit donc elle sait bien ce qu'elle vient de faire. Généralement quand une femme me montre ses atouts, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et elle fait bientôt partie de mon harem.

Le mari se réveille et écarte son téléphone pour porter un Toast. Nous trinquons et discutons. Je leur parle un peu de moi pour amorcer les confidences. Je vois que le mari est impressionné. Le couple me parle alors de leurs affaires, mais je suis déjà au courant grâce à Alfred.

Soudain un enfant appelle en pleurs. Ma voisine ne sachant trop que faire, je lui dis d'aller voir son môme. C'est l'occasion pour moi d'être un peu seul avec elle. Je prétexte de vouloir visiter leur appartement pour l'accompagner. Le mari reste fixé sur son téléphone. Je suis la maîtresse de maison dans l'escalier en colimaçon qui monte à l'étage. J'ai presque le nez sur la croupe féminine. Je vois bien le contour de sa culotte sous la jupe. Quelle abomination!

Je laisse Charlotte calmer sa gamine et j'attends qu'elle sorte de la chambre d'enfant. Quand elle se retrouve devant moi, je prends ma voix charmeuse et je dis :

— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue...

Elle a l'air ébahie et un petit peu en colère que je lui parle ainsi. Mais je continue :

— En effet! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string! Retire-moi cette culotte immédiatement!

J'ai pris mon ton le plus autoritaire, celui qui fait frémir la gent féminine. Peu de femmes ont résisté à ce ton de commandement. Mais elle résiste et bafouille. Puis je la vois se tourner pour m'obéir. Elle ne veut pas que je voie sa honte. J'ai gagné, je sais que je la tiens. Je la prends par le bras et lui dis :

— Non! Face à moi! Regarde-moi et soulève ta jupe!

Je veux que l'humiliation de cette femme arrogante soit totale. Rouge de confusion, elle soulève sa jupe pour me dévoiler une culotte fleurie.

— J'attends! dis-je pour enfoncer le clou.

Elle tremble, mais elle enlève sa culotte. Je peux voir son intimité et la touffe de poils roux qui couvre sa chatte. Que c'est laid! J'ai l'impression qu'elle ne s'entretient plus, il faut dire que si son mari ne s'intéresse plus à elle je la comprends. Mais il faudra que je remédie à ça. Je tends la main et ordonne :

— Donne!

Elle me tend sa culotte que je porte à mon nez pour la sentir avant de la mettre dans ma poche. Elle veut réajuster sa jupe, mais je lui interdis. Je lui demande alors de me faire visiter la maison dans cette tenue. Je la suis dans l'appartement alors que sa jupe est retroussée à sa taille. Son joli cul bombé se balance sous mes yeux. J'ai une trique d'enfer. S'il n'y avait pas ses enfants et son mari, je la plierais en deux et l'épinglerais rapidement.

À la fin de la visite, alors que nous devons redescendre les escaliers, je vois son regard suppliant. C'est bien, je vois qu'elle devient soumise et attend ma permission pour descendre sa jupe. Je lui autorise tout en lui ordonnant de garder les jambes écartées quand elle est assise.

Elle acquiesce et me souffle même un merci. Elle est à moi, je le sais! La femme directrice de société, bourgeoise dans l'âme, arrogante, snob, hautaine est à ma botte. Mon charisme et mon autorité ont eu raison d'elle. Je commence déjà à m'imaginer comme je vais m'amuser avec celle belle femme mature.

Nous descendons et trouvons le mari affairé. Il doit partir à l'étranger pour le week-end, un problème dans une usine, je crois. Très bien ça m'arrange. Pour ne pas éveiller de soupçon si je restais, je prends congé du couple en disant au mari :

— Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.

J'ai un sourire vicieux en direction de sa femme et je sors de leur appartement. Mais j'ai un gros problème, je bande comme un âne. Il ne me reste plus qu'une chose à faire. Je rentre chez moi et j'appelle la petite étudiante Rachel. Cinq minutes plus tard, elle frappe à la porte.

— Entre! Crié-je.

Timide elle franchit la porte. Elle est habillée comme je lui ai ordonné quand elle marche dans l'immeuble : une jupe d'écolière écossaise vraiment très courte, on peut voir la rondeur de son cul qui dépasse, ainsi qu'un haut serré qui moule bien sa grosse poitrine. Elle reste debout au milieu du salon en attendant mes ordres.

Je suis assis sur le canapé et je la regarde. Puis je lui dis :

— Je te remercie du service que tu m'as rendu avec l'ami d'Albert. Raconte-moi comment ça s'est passé!

— Oui Monsieur. J'ai accompagné Monsieur Albert chez son ami sénégalais, un grand noir effiloché. Monsieur Albert a dit quelques mots au creux de l'oreille de son ami alors que j'attendais sans rien dire. Son ami m'a ordonné de me déshabiller, puis il est passé derrière moi et a saisi mes gros seins à pleines mains. Il les a tripotés et tordus à me faire mal. Mais je n'ai pas protesté, Monsieur! Dit-elle soudainement effrayée.

Elle a eu peur que je la gronde. Avant qu'elle continue son histoire, je sors mon sexe et commence à me branler.

— Vas-y! Continue!

— Ensuite il a sorti son sexe qui était vraiment très gros et il s'est caressé en me demandant de me mettre à quatre pattes. Quelques minutes après, il m'a pénétré et il m'a baisé pendant longtemps.

— Est-ce que tu as joui?

— Je suis désolée, Monsieur, je n'avais peut-être pas l'autorisation, mais j'ai eu deux orgasmes. Il était si gros Monsieur, il me remplissait complètement, je ne pouvais pas me retenir.

Elle est encore effrayée. C'est vrai que je lui avais dit qu'elle n'avait pas le droit de jouir sans ma permission. Il faut que je rectifie les choses.

— Ne t'inquiète pas! S'il s'agit d'un homme chez lequel je t'ai envoyé, tu as le droit de jouir.

Je la vois souffler de soulagement. Je lui demande :

— je suppose qu'il s'est soulagé! Où? Dans ta bouche ou dans ta chatte?

— Dans ma chatte Monsieur! Il m'a agrippé les seins, a donné un dernier coup de reins pour bien enfoncer sa bite en moi et il a éjaculé.

— Bon! Tu prends toujours la pilule que mon médecin t'a prescrite?

— Oui Monsieur.

— Bien, il ne faudrait pas que tu tombes enceinte et que tu loupes tes études. Tu te vois ramener un enfant noir chez toi?

Elle écarquille les yeux. Je sais que ses parents sont pauvres et se saignent pour les études de Rachel, donc elle a à cœur de les rendre fiers.

— Tes parents sont contents de ton travail?

— Oui Monsieur! Grâce à vous je peux étudier sans avoir à chercher un petit boulot. Je vous remercie beaucoup Monsieur.

— Alors, viens là et remercie-moi d'une autre façon avec ta bouche!

Elle avance vers moi et se met à genoux. Elle avale ma bite et s'applique à me faire une bonne fellation. Elle garde les mains dans le dos comme une bonne soumise. Après cinq minutes, je pose mes mains sur sa tête pour appuyer dessus. Mon gland touche le fond de sa gorge. Rachel se retient de se débattre. Je me vide alors dans sa bouche, puis je retire ma bite. Rachel me montre sa bouche pleine de sperme avant d'avaler et de tirer la langue pour me le montrer. Je hoche la tête et elle se met à lécher ma bite pour la rendre bien propre. Je lui demande alors :

— Tu fais quoi demain soir?

— Rien Monsieur, j'étudie!

— Très bien! Tu étudieras chez Madame de Villaret et tu garderas ses enfants. Présente-toi chez elle à vingt heures! Tu peux disposer.

— Bien Monsieur!

Rachel sort de mon appartement et je vais prendre une douche avant de me poser devant la télévision et réfléchir à ce que je vais faire à ma voisine le lendemain.

Le matin je me lève tôt pour aller donner un papier à Albert. Je lui dis de le remettre impérativement à Charlotte dans la journée. Il est écrit : « Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d'heure plus tard. Je veux que tu t'habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard »

Je ne peux m'empêcher d'avoir des doutes. Peut-être va-t-elle se reprendre et décliner l'invitation. « Mais non Didier, sois sûr de ton pouvoir de séduction sur les femmes, elle va accourir » me dis-je.

Je passe ma journée à régler certaines affaires en attendant avec impatience la soirée.

À vingt heures dix, je suis sur mon canapé, détendu et j'attends. À vingt heures quinze, on frappe à ma porte. Je me lève et vais ouvrir. Comme je m'y attendais, Charlotte est sur mon palier. Je l'invite du geste à entrer. Elle avance et je lui désigne le salon. Elle y entre et fait mine de s'asseoir sur le canapé.

— Qui t'a autorisé à t'asseoir? dis-je avec mon ton autoritaire.

Elle sursaute et se remet debout très vite. J'ordonne alors :

— Debout au milieu du salon, les bras sur les côtés.

Elle obéit l'air un peu effrayé. Est-ce qu'elle se demande ce qu'elle fait ici? Je tourne lentement autour d'elle pour la détailler. Je sens qu'elle est mal à l'aise. Elle s'est bien habillée comme j'avais demandé. Passant derrière elle je soulève sa jupe et je vois effectivement qu'elle porte des bas avec un porte-jarretelles et une belle petite culotte en dentelle. Je me replace devant elle et je déboutonne deux boutons de son chemisier pour découvrir un soutien-gorge assorti qui retient sa poitrine que j'avais devinée imposante. Je vois qu'elle commence à trembler donc je retourne m'asseoir sur mon canapé en face d'elle et je dis :

— Je crois Charlotte que tu as besoin d'être dressée et je vais m'en charger. Tout d'abord tu vas te déshabiller en ne gardant que le porte-jarretelles, les bas et les talons. Tout le reste doit être en tas par terre.

Je la vois hésiter, mais elle met ses mains sur son chemisier et le déboutonne lentement avant de le retirer et le laisser tomber par terre. Puis elle baisse la fermeture de sa jupe qui rejoint bientôt le chemisier. Elle me regarde en se disant peut-être que ça suffit. Mais je la fixe dans les yeux sans rien dire. Alors elle se baisse et dégrafe le porte-jarretelles de ses bas pour pouvoir baisser sa culotte qui rejoint ses autres vêtements. Elle rattache le porte-jarretelles en essayant de garder une main devant sa touffe rousse. Je souris devant cette pudeur inappropriée, mais je la laisse continuer. D'une main elle dégrafe son soutien-gorge, l'enlève et le jette sur le tas à ses pieds. Rapidement elle remet un bras et sa main devant sa poitrine. Elle me fait penser au tableau « La naissance de Vénus » bien que Charlotte soit un peu plus plantureuse que la femme de cette peinture. Je décide alors qu'il est temps que j'intervienne :

— C'EST QUOI ÇA? JAMBES ÉCARTÉES, LES MAINS SUR LA TÊTE, DOIGTS CROISES! Crié-je.

Elle sursaute et je vois la peur dans ses yeux. Toutefois elle obéit très vite et prend la position. Il est temps de passer au jeu des questions. C'est à ce moment que l'humiliation et la dégradation de la femme en font une soumise parfaite. Elle est obligée de me répondre et comme il s'agit de questions intimes c'est tout à fait gênant.

— Je vais te poser des questions et je tiens à ce que tu répondes clairement sans mentir. Depuis quand n'as-tu pas baisé?

— ... Presque... Presque un an Didier... répond-elle en rougissant.

— Attends, ce n'est plus Didier, mais Monsieur maintenant, compris?

— oui Did... Oui Monsieur.

— Bien! Ta chatte doit être remplie de toiles d'araignée non! Mais ce n'est pas une question.

Je cherche à l'humilier le plus possible afin qu'elle soit bien malléable par la suite.

— Qui est le dernier à t'avoir baisée?

— Mon mari monsieur!

— Et il te baise comment?

— Classiquement Monsieur! Dans la position du missionnaire!

— Et tu as joui?

— Non, Monsieur!

— Quand as-tu joui pour la dernière fois?

— Euhh... Hier soir Monsieur! Dit-elle vraiment gênée.

— Et comment as-tu fait? Ton mari est parti non?

— Euhhh... je me suis caressée et doigtée Monsieur.

— Quelle petite cochonne! La dirigeante d'entreprise se doigte chez elle quand elle est toute seule! Sais-tu sucer?

— Un peu, mais je n'ai pas pratiqué beaucoup Monsieur! Répond-elle en rougissant encore plus de ma remarque précédente

— Ça s'apprend! As-tu déjà été enculée?

— Non jamais Monsieur. Répond-elle d'un air dégoûté.

— On va y remédier.

Je la vois pâlir, mais je continue :

— As-tu déjà été baisée par plusieurs hommes?

— Non jamais Monsieur!

— Il faudra y remédier aussi.

Puis je finis par la question cruciale :

— Prends-tu la pilule?

— Non, Monsieur Didier. J'ai un stérilet...

— Je veux que tu prennes la pilule, tu iras chez le docteur Pierre Richet pour qu'il te le retire et te prescrive la pilule.

— Oui Monsieur Didier...

Je me réjouis de son air effrayé et de son rougissement qui ressort bien sur sa peau blanche de rousse. Je me lève alors du canapé et m'approche d'elle. J'approche mon visage très près du sien et je lui dis :

— Je ne veux pas que tu bouges!

Je descends ma main sur sa chatte, prends ses poils pubiens à pleine poignée et tire violemment dessus.

— AIE! AIE! AIE! crie-t-elle en essayant de rester immobile.

— C'est vraiment trop touffu ici, une vraie forêt vierge, tu m'enlèveras tout ça, compris?

— Oui Monsieur! répond-elle en essayant de reprendre son souffle après cette douleur subite.

Je passe derrière elle et commence à palper son cul. Toujours dans l'idée de l'humilier au maximum je dis :

— Quel gros cul! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas?

— Oui Monsieur!

Je repasse devant elle et m'occupe maintenant de sa poitrine. Je soupèse ses seins, les tripote. Je pince ses tétons et je les tords. Je la vois grimacer sans se plaindre. Soudain je donne une claque sur chaque sein. Charlotte a le souffle coupé et pousse un cri, mais elle garde la position. Le contour de ma main s'imprime en rouge sur chacun de ses seins.

— Bien, tu sais obéir!

Ma main redescend sur sa toison pubienne tandis que je la regarde dans les yeux, je vois s'afficher de la peur, elle craint que je tire encore violemment dessus. Mais mes doigts se glissent jusqu'à ses petites lèvres que j'écarte. Je m'aperçois qu'elle mouille et abondamment. Elle est excitée. Je glisse facilement deux doigts dans son antre et je les retire recouvert de son jus. Je les monte jusqu'à son visage et dis :

— Tu mouilles Charlotte! Ça te plaît ce traitement?

— ...

Elle n'ose pas répondre.

— Je ne répéterai pas ma question!

— Euhhh ... Oui Monsieur! dit-elle d'une petite voix.

— Ouvre la bouche!

Elle obéit et je mets mes doigts dans sa bouche. Je les essuie sur sa langue et les enfonce plus loin. Elle écarquille les yeux. Ce n'est sûrement pas quelque chose à laquelle elle est habituée.

— Nettoie mes doigts!

Elle essaie tant bien que mal de bouger sa langue autour de mes doigts, mais ça ne suffit pas, alors elle ferme la bouche, aspire et avale son jus.

Je sors mes doigts et je redescends ma main sur sa chatte. J'introduis maintenant trois doigts dans son sexe et je commence un va-et-vient. Je me débrouille pour que mon pouce vienne frotter son clitoris. Je vois que la respiration de Charlotte devient saccadée, alors j'accélère mon mouvement. Je lui branle la chatte et après un moment je vois ses yeux rouler dans sa tête. Elle pousse un long gémissement alors que ses genoux flanchent. Je la retiens debout jusqu'à ce qu'elle reprenne ses esprits.

— Une bonne petite salope! Tiens, lèche ma main!

Elle obéit et se délecte de sa cyprine. Je retourne m'asseoir sur le canapé. Je lui ordonne alors de s'approcher de moi à quatre pattes. Elle s'agenouille et avance vers moi. Ses seins pendent et se balancent sous elle à chaque pas. Arrivée devant moi elle s'arrête.

— Bon je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l'avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.

Elle ouvre mon pantalon, sort ma bite déjà raide et commence à la caresser, puis elle me branle en s'appliquant le plus possible. Comme je suis bien excitée par cette séance, et regardant Charlotte, cette belle rousse plantureuse à ma merci, il ne faut pas longtemps avant que j'éjacule. Mon foutre sort en jets de ma bite et Charlotte a bien du mal à tout récupérer. Il lui en tombe même sur le nez. Elle lèche ses mains et me montre mon sperme dans sa bouche. Puis elle avale avec une petite grimace et me montre que sa bouche est vide.

— Bien! Casse-toi maintenant! dis-je durement.

Mon ton sec la surprend, mais elle se lève, rejoint le tas de ses vêtements et commence à s'habiller.

— Sors de chez moi! Va te rhabiller ailleurs!

Après qu'elle ait fermé la porte, ses vêtements dans ses bras, je rigole en pensant qu'elle se retrouve nue sur mon palier, complètement humiliée. La femme d'affaires, la bourgeoise arrogante se retrouve sur mon palier à poil, c'est hilarant.

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Charlotte :

Je suis agréablement surprise par la réponse de mon voisin. Jusqu'à présent, il me semblait si distant, mais je perçois bien qu'il ne semble pas m'apprécier.

Verdu
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