Alice in Wonderlands? Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Enfin on m'aide à me remettre debout, j'ai les genoux en compote ! J'ai toujours les pieds attachés et l'équilibre est un peu précaire au début sans rien voir. Je n'ai pas besoin de le chercher longtemps, car on me soulève et me porte pour me déposer sur mon lit. On m'allonge, les bras tendus au-dessus de la tête que l'on attache, je suppose, au montant du lit.

Là ce n'est plus drôle du tout. Je commence vraiment à stresser et me demander quand cela va finir. Mes jambes sont relevées à l'aide de la barre pour être ramenées vers ma tête. Je me retrouve les genoux pliés contre mon torse, je suis souple, mais quand même. J'espère qu'il n'y a pas foule de spectateurs, car dans cette position mon sexe est pleinement exhibé.

L'inconnue vient de s'allonger sur moi et m'écraser le ventre tentant de positionner la barre sans être gêné dans ses mouvements ! Mes jambes tendues à l'extrême vers l'arrière me font mal. Son parfum à deux balles agresse mes narines. On oublie les préliminaires et les douceurs distribuées par Alexandre lors du premier acte. Là les gestes sont brusques sans aucune attention pour la partenaire enfin pour moi il faut que j'arrête de parler à la 3ème personne !!! Je sens sa queue se positionner sur mon sexe complètement hors service en ce moment et s'introduire entièrement d'un grand coup sec m'arrachant un couinement sous la douleur.

Alexandre qui avait repris, je l'avoue, quelques points lors de ma dernière jouissance vient de tout reperdre. Il voit son compteur remis à zéro avec en plus un malus qu'il aura du mal à récupérer. Bref je le hais en grand ! L'acte n'a aucun intérêt, il est brutal, bestial, douloureux et longgggggg et lorsque qu'enfin je le sens se bloquer au fond de mon sexe et que le sien vibre sans fin j'aperçois, enfin façon de parler avec le bandeau sur les yeux, la fin de ce petit calvaire.

Mes jambes retrouvent leur position allongée et c'est le seul point positif, car ma libération n'est toujours pas d'actualité. J'avais pourtant fait appel auprès du juge pour tenter d'alléger ma peine, mais à priori il vient d'être rejeté ! Mes tétons sont délicatement roulés et on vient y coller quelque chose, idem sur mes grandes lèvres et sur mon clito que l'on a sorti de sa caverne. L'œuf, à l'arrêt, est remis en place dans ma boite à ouvrage. Ces préparatifs ne me disent rien qui vaille, je suis crevée et réclame la clémence du jury pour une longue nuit réparatrice.

J'ai rêvé où je viens de sentir un bisou sur mon front et la caresse d'une main sur ma joue? Je n'ai pas le temps de m'attarder à ma réflexion qu'une petite décharge électrique secoue mon sein gauche. Légère, pas douloureuse, mais titillant bien mon téton, s'en suit une sur le droit, puis sur le gauche, le droit, le gauche, le droit, une alternance se met en place. Lorsque les décharges s'arrêtent, c'est mes lèvres qui subissent le même traitement, gauche, droite, gauche, droite ... mon clito n'est pas laissé pour compte et il est le suivant sur la liste. La sienne est bien plus longue et plus intense. Surprise par sa véhémence, elle me fait me cambrer.

Quand elle s'arrête, c'est l'œuf qui prend la relève pour, d'une vibration plutôt forte, venir réveiller mon antre. Le tout n'a pas dû prendre plus d'une minute et pendant la pause qu'il m'est accordé je suis en train de penser que ces salauds viennent de mettre des petites électrodes sur toutes mes parties sensibles. Les lâches,même pas capables de continuer à me faire jouir sans gadget ! Bon elle n'est pas très longue la pause ! Une minute environ également. Les décharges reprennent au même rythme ... bzzz, bzzz, bzzz, bzzzz, bzzzz, bzzz, bzzzz... bzzzzzzzzzzzzzzzzzzz .... vbrrrrr, vbrrrr, vbrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.

Celle sur le clito secoue tout mon bassin invariablement, je tente vainement de secouer mes seins pour enlever les électrodes, mais c'est peine perdue, elles ont l'air bien fixées. Pause décharges vibrations, pause décharges vibrations, pause décharges vibrations ... purée la nuit va être longue à ce rythme la ! J'ai commencé à compter les séries au début pour m'extraire de leurs effets et tenter de m'endormir, mais j'ai vite perdu le fil. Leurs simulations sont vicieuses, répétitives, intraitables, innervant sans relâche la moindre parcelle de mes zones sensibles. J'ai les tétons tendus à l'extrême, le clito secoué à chacune de ces vibrations qui résonnent jusqu'au plus profond de ses racines, le sexe qui réagit de plus en plus à la présence de l'intrus se rappelant comment il l'avait emmené dans un autre monde en début de soirée. Il referait bien le voyage et s'humidifie de plus en plus au gré de ses interminables trépidations.

Les artifices qui me retiennent finissent par me frustrer en plein. L'envie est en train de pointer le bout de son nez, celle de me caresser, de jouer avec mon clito, de serrer les cuisses pour mettre fin à ces décharges qui commencent à me rendre folle, de libérer mes seins de l'emprise des électrodes. Je chouine, grogne, gesticule, mais rien n'y fait ... décharges, vibrations, pause, décharges, vibrations, pause, décharge, jouissanceeeeeeeeeeeeeeeeee. Enfin qui me libère, me soulage, m'apaise, me détend, me rend toute molle en légère apesanteur au dessus du lit ... mais ne mets en rien fin à l'action de mes tourmenteurs ! Le rythme continu incessant, irrévocable.

À chaque fois que je commence à tomber de fatigue, une décharge me réveille et me remet en train. C'est plus particulièrement celles sur mon clito qui me maintiennent éveillée. Il devient de plus en plus sensible au fil de temps, voir douloureux parfois tellement il est tendu. Chacune des décharges me remonte jusqu'au cerveau. Lui il a déconnecté depuis un petit moment déjà pour se libérer de l'emprise de ces foutus engins de torture !

Deux autres jouissances m'ont emmené avant que je tombe dans les bras de morphée épuisée par toutes ces émotions. J'étais dans un état tellement comateux que la dernière m'a presque semblé irréelle !

---------------

Il fait grand jour lorsque je sors d'un intense et palpitant rêve érotique qui m'a emmené dans de lointaines contrées. Mon réveil annonce fièrement 13h dans ce début de week-end. Tout a disparu, je ne suis plus attachée, plus de bandeau, de boule ou d'électrodes ... je m'assois en tailleur au milieu du lit. J'ai du mal à différencier la réalité du rêve. Tout se mélange, certaines zones sont obscurs, d'autres, jouissives, ma mémoire à un mal fou à assembler tous les morceaux du puzzle. Je détails les contours de ma chambre, rien de changé, rien n'a bougé, si j'ai rêvé il va falloir que j'aille consulter me dis-je un peu inquiète.

C'est lorsque je me lève, après avoir émergé, qu'un objet inconnu figé dans mon sexe se rappelle à ma mémoire. Quelques instants plus tard, l'œuf trône sur les bords du lavabo de ma salle de bain, fier comme un coq ! Même s'il ne vibre plus il me remémore cette nuit extrêmement chargée !

---------------

Je viens tout juste de remonter de chez Marie-Annick lorsque mon téléphone sonne. Il est 16h, nous avons traîné après le repas autour de plusieurs cafés et de littérature policière, son pêché mignon ! la bibliothèque couvrant tout un pan de mur de son salon déborde. On y retrouve pêle-mêle une belle collection d'Agatha Christie, celle plus récente d'Agatha Raisin, celle plus trash de Camilla Lackberg et autres auteurs suédois dans la même veine. Trop fatiguée, je n'y suis pas allée hier, j'ai raté son reste de bourguignon, sniff, mais la guiche fortune du pot qu'elle m'a concoctée ce midi le valait tout autant !

Il a déjà tenté de m'appeler hier. J'ai daigné, à sa 3ème tentative, lui envoyé un simple sms se résumant à "demain", trop bonne je trouve !

- ...

- Tu semblais partante pour essayer à trois quand nous avons partagé nos fantasmes, non?

- Partante, partante, peut être je ne sais plus, mais pas sans mon accord au préalable, pas sans ...

Et puis c'est moi la qui part, l'invective, l'engueule, le traite de tous les noms ou presque en respectant ma posture de bonne famille et mon éducation. Je lui explique la vie, mes reproches, mes attentes, ma confiance, le droit des femmes en remontant jusqu'à Simone Veil. Je ne l'écoute plus emportée par la violence de ma litanie. Quid de ses arguments, ses regrets, ses excuses, ses amours, ses envies, son futur et tout le baratin. Presque essoufflée par mon emportement, je finis par couper court à la communication, non sans un salut bref qui ne laisse pas place à des retrouvailles prochaines.

Et merde quoi, et même s'il m'a fait jouir ce con, j'avais le droit d'être d'accord, non? Ça pourrait être considéré comme un viol là non? Vous en pensez quoi? Et puis qu'importe, je vois bien qu'à votre tête hébétée et à vos légères cernes que vous y avez pris vous aussi du plaisir, bande de pervers ! J'ai surtout besoin de faire retomber la pression, je vais aller me défouler sur le bitume de notre chère ville !

Leggins, petit haut, mini sac à dos avec une petite bouteille d'eau, écouteurs aux oreilles qu'un petit Led Zeppelin sur le téléphone ne devrait pas tarder à envahir et c'est parti pour un petit jogging salvateur. Vous m'accompagnez? Non? Alors à pluche.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
cinolascinolasil y a environ 1 anAuteur

Merci pour vos commentaires qui font plaisir à lire et motivent à écrire.

J'espère que cette nouvelle saga vous plaira.

StephabdxStephabdxil y a environ 1 an

Bonjour , quel plaisir de vous retrouver , j'adore vos récits , je relis fréquemment lucy but not lucky.

J'aurais tant aimé avoir une petite suite .

j'attends beaucoup de ce nouveau récit

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Merci pour ce bon moment de lecture. J’ai aimé l’écriture de ce récit, aussi bien l’introduction, que les retours arrières, les descriptions, les sentiments, les ressentis. J’avoue avoir bloqué à cette troisième main qui s’introduisait dans le jeu.

Bravo. Vivement la suite.

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