Alice in Wonderlands? Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Votre mère s'adonne sans répit à ses fonctions d'hôtesse et vous laisse avec un inconnu. Je vois à votre tête que vous cherchez désespérément une excuse pour vous esbigner, ne prenez pas cette peine, vous n'avez aucune obligation à me tenir la conversation.

Il me facilite la tâche, quel bonheur, mais avant que je n'aie eu le temps de lui souhaiter un bon réveillon il enchaîne.

- Avant de vous laisser, pouvez juste me confirmer que la décoration du perron qui nous accueille à l'entrée de votre manoir est bien de l'artiste Odorico?

Il marque un point là, car même s'il est originaire de notre charmante ville, peu de monde connaît le travail de décoration et de rénovation qu'il a effectué sur le manoir au début des années 20.

- Oui en effet, vous connaissez son œuvre? Vous êtes originaire de la région peut-être?

- Du tout, j'ai découvert ses réalisations lors d'un séminaire. Une expo lui était consacrée dans le palais des congrès qui nous accueillait et j'ai apprécié sa touche. J'ai même repris son style pour la décoration de quelques éléments de mon entreprise. J'ai vu qu'il était basé dans votre ville et j'ai retrouvé son style en arrivant chez vous.

Je me laisse aller à discuter et à lui faire un petit topo de l'histoire du manoir et de la touche de cet artiste d'origine italienne dans notre région. Je maîtrise sa vie et ses œuvres, toutes ses mosaïques ont entouré mon enfance. Je me suis même attachée à découvrir son implication dans la vie locale et celle tout particulièrement dans le stade de foot de la ville dont il a été dirigeant quelques années. Moi qui ai horreur de ce sport, c'est vous dire !

Trouvant mon interlocuteur très intéressé et pour une fois intéressant, nous nous échappons un instant des festivités pour lui faire visiter une ou deux pièces de l'immense bâtisse où l'artiste a mis une touche particulière.

Je passe une heure et demie avec lui à échanger principalement autour de nos goûts culturel et finis par prendre congé, réellement un peu à la bourre cette fois, pour aller retrouver mes amies. Le programme de la soirée va commencer par un petit resto ... italien, le thème de la journée hihihi.

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Des bruits de voix et de pas me sortent de mes souvenirs. L'oreille dressée, tel un Bugs Bunny des grands jours taquinant le Elmer, je suis sur le qui-vive. Je crois reconnaître le couple de retraités du 3ème, lui parlant un peu fort, car sa moitié à l'oreille paresseuse malgré les appareils qui les décorent. Son accent du terroir fortement marqué me confirme mes impressions et je repars rassuré dans mes rêveries sentimentales.

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Quelques jours plus, alors que je flâne en ville avec la ferme intention de compléter un peu ma garde-robe à l'occasion des soldes, je tombe sur Alexandre. Enfin c'est lui plutôt qui m'interpelle alors que je me questionne devant une paire de sandales mise en vitrine sûrement par inadvertance vue la saison. Elle est en train de me faire de l'œil et alors que je m'apprête à aller les essayer une voix retentit dans mon dos.

- Quelle agréable surprise, mon historienne préférée, s'amuse-t-il en me voyant.

- Bonjour. Vous êtes en mode touriste aujourd'hui ou vous furetez à la recherche de la mine d'or de notre ville?

Après avoir échangé quelques banalités sur ce bout de trottoir, Alexandre me propose d'aller prendre un verre au O'Connell's Irish Pub, réputé pour la qualité de ses bières irlandaises.

- Cela me ferait plaisir de vous remercier pour votre compagnie l'autre jour. J'y ai un rdv d'affaires, mais si vous pouvez m'y retrouver dans une heure ce serait parfait ... si votre planning shopping n'est pas trop surchargé bien entendu !

- Euh ... oui ... d'accord ... je je devrai avoir fini, bredouillé-je à sa proposition.

Qu'est-ce qui m'arrive de parler comme une collégienne à l'annonce de son premier rendez-vous avec l'Apollon de l'école? Ce costume coupé sport porté élégamment et qui dégage ce subtil petit parfum légèrement ambré me troublerait-il? Ou serait-ce cette petite période d'abstinence pour cause de défection passagère de mes plans cul réguliers qui me travaillerait plus que d'habitude?

Quoi qu'il en soit, Alexandre parti, je me précipite acheter la paire de sandales ! Je continue ensuite mon lèche-vitrine en organisant mon trajet pour être dans le créneau horaire proposé non loin du pub. Lorsque je l'y retrouve il est attablé avec deux costards cravates dont les ordinateurs portables fument en plein au milieu des verres de bière.

- Installez-vous Alice, je suis à vous dans quelques minutes.

Je me laisse tenter par une Kilkenny pour varier un peu et vais poser mon postérieur sur une banquette à quelques encablures de leur brainstorming histoire de ne pas m'imposer. Alexandre m'y retrouve peu de temps après.

- Désolé pour ce retard, les négociations ont été plus longues que prévu. Merci d'être venu Alice, avez-vous fait des affaires en ville?

- J'ai été raisonnable rigolé-je et vous? avancez-vous dans vos recherches de financement?

- Pas aussi vite que je l'espérai, mais elles progressent ce qui est l'essentiel, mais nous ne sommes pas la pour parler boulot enchaîne-t-il, bla bla bla bla bla bla.

Je vous passe nos échanges qui dérivent rapidement vers les domaines culturels, critiques de film, expo, ... nous passons en revue nos derniers coups de cœur et nos déceptions, les lieux à ne pas rater dans notre chère cité ... ! Le temps passe et nous enchaînons presque tout naturellement vers un resto pour continuer à bavasser à bâton rompu. La fin de repas traîne un peu et lorsqu'il me propose sans détour de finir la soirée à son hôtel, j'accepte sans hésitation !

Il n'a pas lésiné dans son choix de résidence Alexandre, la suite dont il dispose est à mille lieux du BetB ! Je ne vous détaillerais pas la fin de soirée, même si je sais que vous en baver d'envie, bande de voyeurs (!), mais pour une première expérience avec un homme bien plus âgé que moi c'est plutôt bien réussi. Il sait y faire et cette partie de radada a eu de nombreuses petites sœurs depuis ! Sans être une relation amoureuse naissante, sa compagnie est agréable et depuis 3 mois c'est devenu un plan cul régulier qui se positionne aujourd'hui sur la plus haute marche de mon podium !

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De nouveaux pas dans l'escalier me font sursauter, ceux-ci résonnent jusqu'au 4ème. La petite boule au ventre refait son apparition et tous les scénarios défilent une nouvelle fois dans ma tête ... et si ... et si ... et si ... le couinement de la porte confirme mon inquiétude et les pas plus feutrés sur le lino se rapprochent. Je ne sais pas comment je résiste à l'envie de me retourner et d'enlever le bandeau. Une sourde excitation peut être qui m'entête à vivre pleinement l'expérience.

Puis plus rien, un petit laps de temps défile sans un mot de sa part, ne profite-t-il de la vue? Je ne peux pas l'en blâmer, cela fait toujours du bien à son ego ! Mes tempes résonnent et mon souffle se fait un peu plus saccadé. Une main caresse ma croupe et me fait me crisper, une touche de parfum vient délicatement titiller mes narines et me confirmer que c'est bien celui d'Alexandre !

Soulagée je me détends et laisse libre court aux sensations provoquées par ses mains qui maintenant s'activent à explorer mon centre à plaisir. Énervé depuis un bon moment par toutes ces péripéties il réagit sans plus attendre et mouille sans retenue. Sans vraiment en avoir repéré pour l'instant les raisons, je mouille parfois énormément lors de certains ébats amoureux. Un petit détail qui me met mal à l'aise lorsqu'il se produit lors d'une 1ere rencontre, montrant ainsi à mon partenaire mon état d'excitation ! je n'ai pas peur d'être prise pour une salope, j'assume ma sexualité, mais quand même !!

Quittant les chutes du Niagara de mon sexe, ses mains repartent vers mes fesses puis caressent mes reins qui ondulent de plaisir à leur passage, elles titillent mes seins, viennent se perdre dans mes cheveux pour vérifier au passage que la boule et le bandeau sont bien fixés. Mes petits gémissements lorsqu'il retourne titiller mon clito et les lèvres de mon sexe sont très vite absorbés par la boule et seuls quelques filets de bave sortent de ma bouche. Je suis bien et me laisse aller.

Après cette longue et délicate séance de caresses prometteuses, toujours sans un mot, je le sens introduire des boules quies dans les oreilles. Ce n'était pas prévu au programme et je suis un peu surprise. Ayant perdu ce second sens, je me retrouve complètement coupée du monde et ne réagis plus qu'au seul contact de ses doigts.

Ceux-ci s'activent sur mes chevilles où ils fixent il me semble une sangle dont la douceur me fait penser à celle de mes poignets. Ils écartent dans la foulée grandement mes jambes, je ne saisis pas la suite des opérations coincée dans ma bulle, mais lorsqu'en suite j'essaie de refermer un peu les cuisses, mes pieds sont bloqués. Impossible de les rapprocher comme si une barre les en empêchait. Mes poignets sont tirés un peu vers l'avant me cambrant davantage, proposant ainsi, je suppose, une vue fort bien détaillée des courbes de mon sexe. La position est un peu inconfortable, mais lorsque je tente de ramener mes bras vers moi ils sont eux aussi bloqués ! j'imagine qu'il a dû les attacher au canapé qui est devant moi.

Je me sens complètement à sa merci. Je tente de vérifier par quelques mouvements la liberté qu'il me reste et constate qu'elle est vraiment extrêmement réduite. Cette sensation toute nouvelle m'effraie et m'excite à la fois. Je ne suis pas claustrophobe, mais j'aurais aimé connaître à l'avance toutes ces petites évolutions, c'est mon côté cartésienne qui ressort !

Les préparatifs semblent être terminés, car ses mains reprennent leur danse de Saint-Guy pour mettre en émoi la moindre parcelle de mon corps. Je dandine des fesses, grogne, bave, gémit et aurait presque envie de lui crier qu'il me prenne tant mon sexe inondé à envie de hurler de plaisir. Mais quid, il la joue bien ce salaud et sait faire redescendre la pression lorsqu'il me sent trop proche de l'explosion. Je me sens coupé du monde, ne réagissant qu'au contact de ses doigts, scrutant chaque parcelle de mon corps en attente de leur passage, espérant leur venue pour de longues caresses bien plus appuyées, ne faisant plus qu'une avec mon sexe. Tout mon être y est concentré, ressentant l'infime petite décharge de plaisir.

Une plume, deux plumes, des plumes ... un plumeau donc vient rejoindre le ballet. Il parcourt tout mon corps, découvre mes différents grains de beauté, s'arrête sur les parties les plus sensibles. J'y suis très réceptive et réagis en me tortillant comme une chatte. Ces douces chatouilles électrisent mes tétons, font recroqueviller mes orteils, se cambrer mes fesses à la recherche d'un contact bien plus appuyé, s'écarter mes jambes pourtant déjà au maximum pour lui permettre d'accéder au moindre recoin de ma grotte à plaisir.

Un vibro vient d'apparaître dans le jeu, posé sur mon dos pour l'instant il résonne très légèrement tout le long de ma colonne vertébrale. Lorsqu'enfin Alexandre décide de lui faire découvrir l'état de mon corps j'en devine les contours qui me font penser à l'œuf déjà utiliser. Ses premiers contacts contre mes lèvres trempées me le confirment. Il vient s'abreuver de cyprine sur les contours de mon sexe inondé, vient s'attarder sur mon clito qui est au garde à vous depuis un bon moment braillant, vociférant, criant à l'injustice et réclamant à gorge déployée des attentions bien plus appuyées pour lui permettre d'atteindre son point de non-retour. Mais là encore après lui avoir fait entrevoir un petit coin de ciel bleu il s'esbigne pour aller dessiner quelques circonvolutions avec ma mouille sur mes fesses.

Avec la perte d'une partie de mes sens, j'en ai perdu la notion du temps ne vivant qu'au rythme de ces deux objets qui s'évertuent à m'électriser de toute part ! Quand enfinnnnnnnn, l'œuf revient titiller les abords de mon sexe, mes reins cambrés proposent l'offrande je l'espère, le réclame, l'invoque, le supplie, le désir au plus profond de mon intimité, il s'engage sans aucun mal entre mes lèvres et vient se ficher dans la chaleur de mon puits d'amour.

Sur la corde raide depuis un bon moment il ne me faut que quelques secondes de sa présence ronronnante à souhait pour que tout mon corps se mette lui aussi à vibrer à l'unisson et que j'explose

la tête baissée entre mes bras, le popotin secoué de toute part par ce tsunami, cette onde de plaisir qui me traverse et vient percuter mon cortex pour me mettre hors circuit, TILT TILT TILT.

J'ai les fils qui viennent de se toucher, les neurones en vadrouille, j'ai la pensarde du légume que l'on promène dans son fauteuil dans les allées du jardin de l'Epad pour lui faire prendre l'air, l'esprit en orbite vadrouillant de concert avec Thomas Pasquet dans les différentes sphères de la galaxie, j'explose, je me disperse, je ventile, je m'éparpille et pas forcement façon puzzle comme certains amateurs d'Audiard l'espéreraient !

Alors que le plumeau s'évertue sans vergogne à prolonger cet orgasme à grand coup de chatouille sur mes lèvres en feu. Je bave et de partout, si vous m'excusez cette image ! Frustrée presque de ne pouvoir serrer les cuisses pour le sentir encore mieux au plus profond de mon être, je redescends par palier. Alexandre ne s'arrête pas pour autant, il vient taquiner l'entrée de mon centre des délices que le moindre contact fait encore frissonner. Il écarte doucement mes lèvres et introduit deux doigts pour récupérer l'œuf, je l'aide presque déçu de le voir me quitter aussi rapidement, j'avoue que je l'aurai encore bien gardé pour une seconde escapade dans l'espace !

Il a laissé les jouets de côté et seules ses mains réactivent mes zones érogènes avec précision, ce n'est pas la première fois qu'il me montre toute l'étendue de ses talents dans ce domaine ! Mon esprit encore bien embrumé par ce violent orgasme ne s'aperçoit pas de suite qu'une 3ème main vient de faire son apparition, suivie de près d'une 4ème qui s'accapare de mes fesses que la nuisette remontée depuis un bon moment au niveau de ma poitrine laisse apparaître.

Il me faut de longues secondes pour me rendre compte que cette paire de paluches inconnues vient de s'inviter à la fête sans avoir frappé à la porte ! Aux armes !!!! Ce n'était pas du tout marqué sur le prospectus présentant la soirée de gala et je sors de ma léthargie en poussant un sourd grognement étouffé dans l'œuf par la boule. J'essaie de me retourner et d'enlever le bandeau, mais les menottes fixées au canapé ne me laisse pas cette liberté de mouvement, les bras d'Alexandre entourent mon dos et limitent les cabris que je tente de faire. La ruade n'est pas mon fort je n'ai jamais été douée en équitation, la barre m'empêche de ruer dans las brancards pour atteindre le malotru qui se permet des privautés sur mon corps sans avoir auparavant fait validé son ausweis par la propriétaire des lieux.

Après quelques minutes d'un combat perdu d'avance, je me calme et tente de reprendre mon souffle avec cette fichue boule que je mords de rage ! Les mains en profitent pour reprendre leur chorégraphie et malgré mon sexe encore bien inondé ma libido a complètement foutu le camp. Mon cerveau reprend le dessus et imagine les scénarios les plus fous. Combien sont-ils? Ils sont justes spectateurs ou acteurs? Alexandre est encore là? Il gère? Je vais me faire violer?

Alors que les perspectives de mon futur défilent dans ma tête, je sens un gland caresser les courbes de mes fesses. La sensation d'un latex généreusement lubrifié me rassure, mais c'est bien le seul point positif de ce contact ! Cette queue que j'aurai accueillie lèvres grandes ouvertes tout à l'heure, celle à qui, moi fervente laïque, aurait donné l'absolution, à qui j'aurai déroulé le tapis rouge, sortie trompettes et fanfares pour un accueil en grande pompe, aurait vendu mon âme pour qu'elle me fasse voir le diable lors de ces quelques secondes de petite mort, me rebute et me fait enrager.

Elle toque maintenant à la porte. Les deux mains qui viennent de prendre possession de mes hanches sont celles d'Alexandre, ce qui en soi ne change rien si ce n'est de le rendre complice de cette infamie. Son chibre rentre sans effort dans mon jardin à plaisir toujours lubrifié et se positionne tout au fond. Il prend son temps et ses repères, profite quelques instants du confort et de la chaleur du lieu avant d'entamer de doux mouvements. Il se met en rythme calmement me faisant profiter de toute la longueur de sa hampe avant de replonger dans les profondeurs de mon sexe.

Le plumeau a repris possession des mes seins et taquine mes tétons, l'autre main de l'inconnue joue sans délicatesse avec mon clito. Après quelques minutes Alexandre se retire, sans jouir, me semble-t-il, et je sens l'autre homme vouloir prendre la place. Je tente par réflexe de fermer les cuisses, sans succès forcément avec cette foutue barre. J'essaie également de sortir toutes les barricades et tous les panneaux possibles à l'entrée de ma caverne à bonheur, mais mon corps me trahit. Encore bien lubrifié, il laisse sans problème ce second participant accéder aux plaisirs de la fête ! Sa queue me semble du même calibre que celle d'Alexandre, il n'a cependant pas sa délicatesse et la violence de ses coups de boutoir me secouent en grand !

Lui aussi laisse la place après seulement quelques courtes minutes et c'est avec soulagement que je sens à nouveau le chibre d'Alexandre me remplir. Non pas par plaisir, ne vous méprenez, mais le film sur plusieurs acteurs s'avère maintenant beaucoup moins probable. Ils se partagent la place, alternant la douceur et la violence de leur coup de queue, les léchouilles dans le cou et les claques appuyées sur mes fesses, les chatouillent des mes tétons et leur pincement accentué, les caresses sur mes joues et mes cheveux tirés sans retenu.

Ils ne sont à l'unisson que pour mon clito qui reçoit toutes leurs attentions. Lui, mon clito, ne fait pas de différence, quel que soit le doigt il a le contact facile. Il aime les relations sociales et une fois sorti de sa coquille il raffole faire le beau si on sait s'y prendre. Sans être énorme il est plutôt développé et ne passe pas inaperçu sorti de son antre. Ce con vient depuis quelques instants de faire un bras d'honneur à mes réticences qui lui brandissaient activement la pancarte du "no désir, no plaisir". Mon sexe a lui aussi repris sa lubrification naturelle et seul mon cerveau tente encore de résister au plaisir qui est en train de monter et de m'envahir.

Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux passsss leur montrer ma faiblesse, être complice de cette débauche, jouir sous leurs coups de boutoir. L' endurance de ces deux salauds et leurs jeux de main incessants sont en train de vaincre toutes mes barricades, mon corps me trahit et c'est avec Alexandre que je craque et que mon sexe se crispe comme un fou autour de sa queue lorsque l'orgasme m'emporte à nouveau. Bande de salaudddddds me répète je en explosant.

Ils ne tardent pas à me rejoindre sur les rives du plaisir (oui je sais, parfois je pense comme les romans d'amour à l'eau de rose !!!) et c'est deux capotes que je sens rapidement venir orner mon dos. Vraiment délicate cette attention machiste, vous pouvez les enlever je ne suis pas attachée aux trophées ! J'ai même l'impression que l'un d'entre eux vient d'essuyer son braquemart avec ma nuisette remontée à mes épaules, le geste est beurk !!

Les quelques minutes qui suivent sont interminables. Je m'attends à ce qu'ils me libèrent, que je découvre mon partenaire inconnu, que l'on me donne quelques explications, des excuses même peut être, des regrets tout au moins, mais rien de tout ça, je reste à quatre pattes dans le noir ! Je gigote comme je peux, grogne sourdement à travers mon bâillon, tente d'attirer l'attention pour enfin revoir le jour, mais ils restent sourds à mes simagrées, moi qui pensais être la seule à avoir des boules quies. Ils ne sont quand même pas partis en me laissant comme ça? Mon cerveau recommence à se faire des films. Il doit aimer ça. Plongé dans le noir il se croit dans une salle de ciné. Mais là ce ne sont pas que des courts métrages, car l'attente est plutôt longue.