Alice in Wonderlands? Ch. 02

Informations sur Récit
Alice - Une histoire de vengeance.
7.4k mots
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Partie 2 de la série de 9 pièces

Actualisé 12/29/2023
Créé 02/25/2023
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cinolas
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Chapitre 2 - Le sport est-il bon pour la santé?

Le programme des vacances s'est vite rempli ! Nathalie et Juliette sont passées hier pour voir si j'avais réservé quelques places pour le festival de cinéma qui démarre samedi prochain. Je suis en stage cette année à l'école Ste Thérèse de la Luciole et m'investis à fond dans ma classe de maternelle, ce qui fait que je l'ai complètement zappé ! Travelling in USA est sur la thématique de Martin Scorsese, c'est trop trop bon, 10 jours de festival égal 10 jours de grand écran. Les Affranchis, Taxi driver, Les Infiltrés, Gang of New York, Le loup de Wall Street ... excitée toutes les trois par la programmation nous ne sommes pas vraiment arrivés à faire des choix et avons opté pour le pass XXL qui donne accès à toutes les séances du festival, on va faire une véritable overdose !

Je profite aussi des vacances pour faire une cure de remise en forme, cette semaine c'est sport à tous les étages ! Je suis toujours énervée par l'attitude d'Alexandre et l'expérience tordue qu'il m'a fait vivre. Il a essayé de me rappeler à une ou deux reprises. J'ai fait la morte et n'ai pas répondu, tout juste écouté ses messages remplis d'excuses et de regrets. Je vais mettre un peu de distance dans notre relation et me laisser le temps de réfléchir. Depuis cette expérience mon clito me fait la gueule, lui qui a mis deux jours à s'en remettre, douloureux tout plein par tant de simulation !

Le sport est un bon défouloir pour calmer mes montées de stress ... aussi après la séance de step d'avant-hier et celle de Pilate d'hier, je retrouve ce soir les copines du groupe de fitness régulier. Nous en sommes à la pause de milieu de séance et je suis en train de fouiller pour la 3ème fois mon sac à dos à la recherche de ma bouteille persuadée de l'y avoir entreposée avant de partir !

- Quelqu'un aurait une bouteille d'eau à me dépanner, entonné-je à la cantonade, j'ai oublié d'amener la mienne.

- Je devrai pouvoir te trouver ça, me retourne Aurélie qui me ramène sans plus attendre une grande gourde sortie de son sac fourre-tout.

- Ne sois pas surprise par le goût, je me fais un thème par semaine et ce soir j'ai mis un zeste de citron dedans, me précise-t-elle.

Je la remercie et en vide la moitié avant que Laurane ne redonne le top départ. Je vous ai concocté une seconde partie beaucoup plus soft nous rassure-t-elle avant de nous présenter l'exercice suivant. Ce n'est pas de refus pensé-je, car elle avait eu effectivement la main un peu lourde sur ce début de séance !

Les exercices s'enchaînent et malgré la baisse d'intensité annoncée, mon corps conserve une sourde chaleur qui ne cesse de croître jusqu'à la fin de son cours. La dernière note du Lavillier qui nous accompagnait n'a pas encore fini de résonner contre les murs de la salle que je me précipite sur la gourde pour vider la seconde moitié d'une seule traite et essayer de calmer la chaudière.

- Je te ramènerai ta gourde propre la semaine prochaine, précisé-je à Aurélie qui se désaltérait à mes côtés.

- Comme tu veux, ce n'est pas pressé.

Alors que les autres filles se téléportent vers le vestiaire, Laurane vient à nos côtés.

- Le vestiaire n°2 est disponible les filles si vous voulez, le fitness homme n'a pas lieu pendant les vacances scolaires, vous serez moins entassées que dans l'autre, nous propose-t-elle discrètement.

- Cool çà, je suis preneuse se réjouit Aurélie.

- Allez vient Alice on va se la jouer solo, m'entraîne-t-elle.

Je la suis sans réfléchir, car une nouvelle suée fait son apparition et je suis pressée d'être sous la douche pour faire redescendre le mercure du thermomètre. Sur le chemin je ne peux m'empêcher de faire ma commère en me disant qu'il y a anguille sous roche ou baleine sous gravier pour les plus ambitieux. Aurélie doit avoir un ticket avec Laurane pour qu'elle lui propose une privauté de ce style, une nouvelle histoire d'amour à suivre lors des prochaines séances rigolé-je.

Ces bouffés de chaleur m'inquiète quand même un peu , j'espère ne pas avoir chopé un virus à la con. Mon état de béatitude habituel après sport est différent, plus intense, plus accentué et lorsque je me déshabille je constate l'état d'excitation dans lequel je me trouve. Mes tétons pointent à l'horizon comme des fous et mon entrejambe ne semble pas trempée juste par la transpiration des exercices. Embarrassée, à moitié écarlate, je me précipite sous la douche avant qu'Aurélie ne s'aperçoive des marques de mes émois. Ce sont des douches collectives, mais en me mettant de dos sous celle du fond je ne devrai pas lui laisser l'occasion de découvrir mon état.

J'ai presque envie de la prendre froide cette douche pour me faire redescendre illico, mais ça n'a jamais été mon truc et cela pourrait interpeller ma voisine. Eh oui, j'ai bien dit ma voisine, car malgré toute la place dont nous disposons, Aurélie est venue se coller sous la douche d'à côté. Ça doit être génétique chez les humains cette peur du vide, ce besoin de retrouver ses congénères, de s'y agglutiner, de respirer leurs odeurs, respectez mon espace vital enfin !!!

Elle a changé de répertoire et nous fredonne du Alice Merton ce soir notre reine des gouines.

Je me moque, mais surtout parce que je suis tendue. Les bouffées de chaleur se rapprochent et s'intensifient à tel point qu'elles embrument par moment mon cerveau. Je me frictionne sans attendre, tout en gardant les mains dans les poches pour éviter les zones érogènes trop dangereuses. Malgré tout, les quelques aller-retour obligatoires sur mon sexe m'électrisent et j'évite d'y rester trop longtemps de peur qu'une tentation incontrôlable m'oblige à m'y laisser aller.

- Tu as un corps magnifique Alice, me complimente Aurélie sans raison aucune.

- Merci merci, bredouillé-je rapidement je sans me retourner.

- Je n'avais pas encore remarqué ces belles courbes et cette fermeté, vive le sport rigole-t-elle en enchaînant les compliments.

Qu'est ce qu'il lui prend à la Castafiore de lorgner comme ça sur mes atouts? Je ne rebondis pas à ses propos pour éviter d'engager une conversation dont les échanges pourraient devenir déplacés. Je suis pressée de m'extirper de la salle et d'aller me faire plaisir dans mon petit chez-moi, car c'est confirmé l'envie est là, bien présente et elle ne me lâche pas la grappe !

- Tiens comme on est seul ce soir je te propose de te laver le dos, ça te dit? En bonne copine je te rassure, enchaîne-t-elle.

Sa proposition vient de me vriller l'esprit et avant que je n'aie pris le temps de la renvoyer dans les cordes de manière raisonnablement diplomate je sens ses mains commencer à étaler la mousse dans mon dos. Je suis étonnement tétanisée, ce n'est pas dans mon habitude de me laisser faire et de ne pas réagir, mais là je n'en ai pas la force. Je ne sais pas pourquoi, mais je m'entête à croire naïvement qu'elle va en rester là, que sa proposition est honnête, sans aucun sous-entendu. C'est puéril? D'accord, mais tellement facile et agréable de se donner bonne conscience et de croire en l'autre

Après m'avoir massé généreusement le dos et la nuque, ses mains descendent sur mes fesses pour en profiter sans retenue. Leurs contacts m'électrisent. J'ai le palpitant qui monte en pression et la grotte à plaisir qui, malgré moi, commence à perdre les eaux.

- Humm, elles sont vraiment bien fermes comme je les imaginai, commente-t-elle en appuyant ses caresses. Et de ce côté-là, c'est comment? questionne-t-elle en venant poser ses deux mains sur mes seins .

Je sens sa lourde poitrine s'écraser contre mon dos, son bas ventre se coller à mes fesses et ses mains malaxer en douceur mon petit 85b en forme de poire.

- Un régal tes petits tétons, me souffle-t-elle en me bisouillant la nuque et en les faisant rouler entre ses doigts.

Ça y est je viens de perdre complètement le contrôle de la situation, mes vapeurs sont en train de condamner à double tour la moindre de mes réflexions. J'ai les neurones en vadrouille, le cerveau qui fait la planche au beau milieu de l'océan, le cortex aussi ramolli que les fesses de Roselyne Bachelot et une volonté laissée à la seule merci de mes désirs. Viteeeeee, il faut venir sauver le soldat Alice !

Moi qui n'ai jamais été attirée par les femmes, qui ai toujours refusé de m'entraîner avec mes copines à rouler des palots ou à passer notre temps à comparer l'évolution de nos contours, je suis en train de me laisser tripoter ouvertement sous la douche par une lesbienne bien en chair ! Ce qui m'inquiète le plus c'est que cela ne me déplaît pas ! Je suis étonnement réceptive à ses caresses et serais presque partante pour certaines plus appuyées. Je ne me vois quand même pas aller lui lécher l'entre jambe, il ne faut pas exagérer.

Pourquoi Alexandre me traverse-t-il l'esprit en cet instant si particulier (?) J'ai l'impression qu'en franchissant cet interdit et en ayant un rapport avec une femme que cela lui fera mal, que cela sera bien fait pour lui. Lui qui n'y est pour rien et qui ne le saura jamais ! J'ai le sentiment de me venger de lui, bizarre ! Parfois les méandres de notre esprit nous emmènent dans des endroits si troubles !

Une onde de choc vient de me parcourir le corps, Aurélie, tout en me mordillant l'oreille, vient d'atteindre mon centre à plaisir et les premiers contacts de ces doigts experts me font vibrer intensément. Elle ne s'y attarde pas pour autant et après cette simple découverte du lieu me retourne. Je n'ose la regarder droit dans les yeux et c'est sa forte poitrine qui occupe mon regard. Elle s'agenouille devant moi, écarte mes cuisses et, sous un "non ... non ... non" gémi sans aucune conviction de ma part, vient fourrer son nez entre mes lèvres.

Je commence à haleter sous ses coups de langue qui détourent avec merveilles les fines lèvres de mon sexe. Elle s'arrête parfois sur mon clito pour l'aspirer goulûment et le faire rouler entre ses lèvres pulpeuses et habiles. Deux de ses doigts viennent de partir explorer les profondeurs, ils s'y attardent, visitent sans se précipiter le lieu dans tous ces recoins, avant de se fixer aux abords de la sortie à proximité de mon point G, (eh oui je l'ai trouvé !!!). Elle en joue, occasionnant de belles décharges électriques lorsque son pouce vient en complément reprendre place sur mon clito, cette pince de crabe maîtrise sans relâche mon entrejambe.

Elle enchaîne sans un mot les léchouilles et les caresses. Son doigtage ne s'éloigne de ma zone à plaisir pour aller juste tripoter mes fesses que lorsqu'elle sent que je suis au bord du gouffre, prêtes à exploser. Elle contrôle à merveille le timing et revient à la charge ensuite dans cette zone inondée par ma mouille incessante ! Seuls mes gémissements continuels résonnent doucement dans le vestiaire. J'y suis loin d'ailleurs, dans un autre monde sous ses coups de langue calibrés et experts et sous ses doigts qui ont pris possession de mon jardin d'éden. Alors que plusieurs fois j'ai voulu atteindre mon nirvana en me finissant de quelques doigts salvateurs, elle ne m'y autorise pas et écarte sans ménagement mes mains de la zone tant espérée.

Elle se relève et vient me rouler la galoche du siècle et me faire profiter du goût de mon intimité qu'elle partage d'une langue fougueuse avec passion. Surprise par son élan d'affection et par cette brume qui a envahi mon cerveau, je n'ai pas le réflexe de fermer ma bouche ouverte depuis un moment à la recherche d'un second souffle et me laisse une nouvelle fois emporter dans cette écœurante et baveuse embrassade.

J'avoue que je préfère quand elle se charge de mes autres lèvres ! Je subis, passive, ses furieux coups de langue qui me retournent les muqueuses dans tous les sens. Malgré mon dégoût, je trémousse du popotin tant l'envie de l'orgasme se fait présent. Elle m'a tellement amenée proche du point de non-retour que, perdant toute dignité, je tente de venir frotter mon entrejambe contre sa cuisse. Mais rien n'y fait, elle s'esbigne comme une anguille à chaque tentative tout en gardant mes mains loin de ma grotte.

Après de longues et interminables minutes de léchouille buccales, alors que, comme la Pepa de Pedro Almodovar, je suis au bord de la crise de nerfs la suppliant presque de m'envoyer au 7eme ciel, elle me regarde d'un sourire malicieux et envieux en me disant

- Maintenant il faut partager ma grande !

Le regard à moitié dans les vapes, je cherche quelques précisions. Je ne comprends vraiment le sens de ses paroles que lorsqu'elle appuie sur mes épaules et me fait mettre à genou la tête devant sa toison bien entretenue. Là, ce n'est pas la même histoire et la vue de ce nouveau terrain de jeu ne m'enchante guère.

- Ce n'est pas mon truc ... je ne l'ai jamais fait ... ça ne me dit rien du tout, essayé-je d'argumenter bêtement devant ce nouveau champ de bataille.

Sans relever mes jérémiades, elle pousse ma tête et appuie ma joue contre sa cuisse. Le nez à quelques centimètres de son intimité, je peux en découvrir les effluves et voir que la première mi-temps de nos ébats ne l'a pas laissé insensible. Son odeur n'est pas désagréable, ses lèvres charnues sont couvertes d'une toison assez légère coupée en brosse. Une partie de ses poils brillent sous l'effet de sa cyprine. Même si cette zone légèrement humide n'apparaît pas marécageuse, elle est loin d'attirer mes convoitises et de donner à ma langue l'envie d'aller s'y aventurer joyeusement.

- Tu n'est pas très sympa sur ce coup-là, tu n'as pas apprécié ce que je t'ai fait? me demande-t-elle en caressant mes cheveux.

- Si bien sûr, mais j'aurai aimé jouir surtout lui réponds-je toujours aussi tendue du string.

- Alors, mets-toi au travail, rends-moi la pareille et je t'autorise à prendre ton pied, me propose-t-elle en venant d'une main ferme et directive coller ma bouche contre son sexe.

La salopeeeeeee, c'est interdit de jouer comme ça avec le mental des gens, je vais finir par péter un câble moi là si on ne me laisse pas m'exprimer pleinement. J'ai le froufrou en folie, le clito au bord de l'apoplexie, la libido qui bouillonne, le sexe qui déborde pire que dans les plus grandes crues de la Loire, les nerfs en pelote, les sens aussi tranchants que le sabre qu'Hattori Hanzo a offert à Beatrix Kiddo dans Kill Bill ... laissez-moi vivreeeeeeeee.

C'est mon état d'excitation extrême et ces bouffés de chaleurs incessantes qui prennent le dessus et me font mettre au placard tous mes tabous, j'en ai un besoin vital de cet orgasme en attente. Alors je sors ma langue à l'approche de sa toison et commence à lui pourlécher maladroitement et sans réelle conviction ses grosses lèvres qu'elle écarte de deux doigts pour me laisser admirer les recoins de sa grotte.

Toujours en chez d'orchestre, elle vient de positionner mes deux mains sur ces mamelles avec interdiction de les bouger pour aller me faire plaisir. Elle dirige mes coups de langue indécis et imprécis, "mets ta langue bien au fond", "oui là, tourne la un peu maintenant", "relève vers le haut" "suçote mon clito" ... Mes lèvres s'humidifient de sa mouille et partage son goût à force de coup de langue. Je m'applique sur ses directives pour la faire jouir au plus vite. C'est marrant, car malgré l'inconfort de la situation, j'y trouve presque un côté positif, celui d'être rassurée de n'y prendre aucun plaisir !

La garce sait se maîtriser et il faut que je m'évertue pendant de longues minutes avant que je n'aperçoive un début de lumière au fond du tunnel. Elle respire plus bruyamment et ses mots sont plus saccadés, elle se laisse même aller à me traiter de petite salope, et puis, sans crier gare, elle plaque sans ambages ma tête contre son sexe. C'est le nez à l'intérieur de son abricot que je vis les décharges de son orgasme.

Lorsqu'elle me redonne ma liberté, je sors le nez de son buisson tout maculé, la tête un peu retournée de l'effet produit, mais avec toujours le sourd besoin d'une jouissance qui me tarabistouille l'entrejambe. Satisfaite par sa petite mort Aurélie me complimente.

- C'était pas mal du tout pour tes débuts, tu as des talents cachés, j'ai adoré tes coups de langue. En voyant l'état de ma tête proche de celle d'un héroïnomane errant depuis des heures à la recherche de la moindre ligne blanche à renifler, elle comprend de suite mon besoin.

- Viens me montrer combien tu en as envie, me demande-t-elle en se tapotant la jambe qu'elle vient de plier légèrement.

Je saisis son message. Perdant toute décence et un faible reste de dignité, j'adopte un comportement de salope invétéré. Je me relève, me colle à elle et viens enserrer sa cuisse entre les miennes. Je commence à onduler du bassin de bas en haut en m'y frottant telle une nympho à la quête de son Graal. Elle positionne ma tête entre ses seins volumineux, attrape fermement mes fesses et donne des petits coups de cuisse pour m'aider. Mais si l'envie m'envahit, la technique est longue et n'aboutit pas. Alors elle me retourne et se positionne derrière moi comme au début, mes seins bien occupés par ses mains, alors que les miennes partent avec succès à la chasse au clito.

Mon clito est vraiment en train de devenir mon péché mignon depuis quelques mois, je crois qu'il prend le pas sur mon plaisir vaginal. Il me faut moins d'une minute à son contact pour libérer cette frustration si longtemps retenue. C'est dans un long gémissement que je viens de partir en orbite. J'ai la vue qui se brouille, je vibre de partout, j'ai les jambes qui tremblent, l'esprit en vadrouille au fin fond de savanes inexplorées, j'alterne les frissons et les bouffées de chaleur pendant toute la durée de ce voyage qui me semble interminable ! Aurélie a joint ses doigts aux miens et prend la relève lorsque j'explose. Elle continue de masser très généreusement mon clito pour faire perdurer le plus longtemps possible ces jouissances qui s'enchaînent et rebondissent de plus en plus fort.

Lorsque je reviens sur terre, Aurélie me soutient, j'ai les jambes qui flageolent un peu, purée il était bon celui-là quand même, pensé-je en sortant doucement la tête du cocon de ma béatitude. Je n'ai pas le temps d'apprécier plus à même que des applaudissements retentissent dans le vestiaire et que quatre silhouettes apparaissent aux abords des douches.

- C'était magnifique les filles, félicitation, commente Laurane le sourire aux lèvres alors que les miennes plus intimes luisent de ce récent bonheur.

Les trois autres, également participantes du cours de fitness, confirment sans retenues son avis.

- Vous nous avez excitées comme des folles.

Je ne sais plus où me mettre, je cache bêtement mes seins avec mes bras alors que nous prenons des douches toutes les semaines ensemble, deviens rouge écarlate et voudrais me téléporter dans un autre lieu bien loin de tout ce monde

- Ne sois pas si gênée, le spectacle était splendide, admirable, endiablé et si généreux continu Laurane alors que les autres répètent en cœur "elle est des nôtres", "elle est des nôtres".

- Allez, mesdames, ne laissons pas Alice se reposer et fêtons pleinement son arrivée parmi notre communauté.

Le top départ donné, elles m'attrapent avant que je ne puisse réagir et m'emmène au milieu du vestiaire où un banc a été ajouté. Je suis allongée dessus sur le dos, les bras attachés aux pieds du banc avec une des cordes à sauter de la salle de muscu, mes jambes sont positionnées de chaque côté du banc et reçoivent le même traitement, mes pieds sont en plus croisés sous le banc pour ouvrir en grand mes cuisses et offrir une vue imprenable de mon intimité. Je me suis débattue comme j'ai pu, mais vidée par l'orgasme contre trois lesbiennes en furies je ne faisais de toute façon pas le poids !

Satisfaite de leur mise en scène les bougresses se déshabillent, je sens que la situation dégénère vers une voie qui ne met pas du tout favorable. Aurélie n'a pas bougé le petit doigt pour m'aider, elle est restée spectatrice. Elle est complice de ce traquenard?

cinolas
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