Nadine 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Stop! Nous parlons d'une relation de Maitre a esclave. Moi je fais l'amour a une egale et je baise une esclave. Toi, si tu entreprends un dressage, je ne te ferai plus l'amour, je te baiserai sans que tu aies ton mot a dire. Ton but, ta raison de vivre sera uniquement de me faire jouir, moi. Si tu prends ton pied en meme temps, tant mieux pour toi mais ce n'est pas une priorite et je pourrai meme te l'interdire. Meme si tu meurs d'envie de coucher avec un mec, tu ne pourras le faire que si je l'ordonne et encore, si j'apprends que tu le souhaites, tu peux etre sure que je l'interdirai a moins que je ne veuille faire plaisir a lui mais pas a toi. Je lui proposerai probablement alors de t'enculer a sec ou de se faire sucer sans aucune caresse pour que tu ne puisses pas jouir. Une esclave ne doit plus avoir de volonte, elle doit abandonner tout orgueil en s'abandonnant a son Maitre. Les humiliations a repetition sont destinees a lui en faire prendre conscience. Si j'amene une femme a la maison, tu assisteras a nos ebats surtout les premieres fois sauf bien sur si c'est une novice et uniquement parce que ca pourrait l'effaroucher!

- Je vois! Et si je vais jusqu'au bout du stage? Si tu ne m'as pas tuee, bien surÊ!

- Ne t'inquiete pasÊpour cela! Tu ne subiras aucun degat irreversible pendant cette annee au moins mais tu connaitras certainement la fessee a main nue, avec des orties ou une palette, le martinet, le fouet, la cravache ou meme le fouet pour chevaux. Et pour completer ton information, a la fin du stage, dans un an au maximum mais moins si tu es douee, je te poserai encore une fois la meme question mais cette fois tu auras un choix un peuÊdifferent : soit on s'en tient la et tu deviens ma petite esclave personnelle sans nouvelles exigences de ma part soit tu veux aller plus loin encore, et la, il faudra, que tu le veuilles ou non, que je te confie a ceux qui ont recu mes anciennes petites amies. Je n'ai ni le temps ni les moyens de t'amener a ces stades superieursÊ!

- Ca peut durer longtempsÊ?

- C'est toi qui decideras. Les contrats durent, je te l'ai dit, habituellement un an, renouvelables par accord mutuel, s'il y en a un qui te plait. Il existe meme des contrats a vie. En passant, le contrat prevoit l'etendue des modifications que tu acceptes. Pas question qu'un malade te transforme en vache a lait ou te fasses percer les seins sans que tu y consentes avant. Maintenant, si tu veux tout explorer, ta vie entiere ne suffirait pas. Certains de mes amis ont une imagination vraiment fertile. Et puis, n'oublie pas que tu peux y prendre gout et decider de ne plus me revenir.

- Il y a peu de chance : c'est toi que j'aime.

- J'en suis sur, aujourd'hui du moins. Mais tu sais, si tu es vraiment une maso, tu pourrais te punir toi-meme en decidant de me quitter. Certaines vont meme jusqu'a se livrer de leur plein gre a des reseaux specialises de films gore ou elles sont mises a mort reellement. J'ai vu des videos insoutenables ou les filles dans une folie suicidaire s'infligeaient elles-memes des supplices qui ne pouvaient que les tuer. Je ne veux pas de ca pour toi ou pour n'importe quelle autre fille.

- Merci, cheri. J'ai bien compris. On est vendredi, ca tombe bien. Que souhaites tu me faire subir la semaine prochaine?

- Tu ne veux pas attendre une ou deux semaines pour bien reflechir?

- C'est tout reflechi, Jean!

- Ok, tu l'auras voulu mais avant, un petit probleme d'etiquetteÊ: Je ne suis plus desormais pour toi ni Jean ni cheri mais Maitre, et tu dois me montrer a tout instant un respect total sans quoi tu le regretteras! Tu as bien note?

- Oui, Maitre. Alors, dis moi vite : quelle est ton exigence pour la semaine prochaine?

Une gifle claqua sur sa joue gauche. Presque aussitot, une autre atterrit sur l'autre joue. Elle ne s'attendait pas a cela. Elle avait les larmes aux yeux et voulut se jeter sur lui, toutes griffes dehors. Elle se retint au dernier moment, lorsqu'il lui jeta d'une voix autoritaire qu'elle ne lui connaissait pasÊ:

- C'est cela que tu appelles me montrer un respect total. A partir de maintenant, tu n'auras plus jamais le droit de me tutoyer pendant le dressage ni apres d'ailleurs, ni meme de m'adresser la parole si je ne t'ai rien demande. Mais tu veux peut-etre tout arreter deja?

Elle hesita quelques secondes.

- Non, je vous prie de continuer, Maitre.

Chapitre 3

Jean semblait rayonner d'une autorite insoupconnee qu'elle ne lui avait jamais connue. Elle attendait sa premiere exigence avec inquietude : serait-elle a la hauteur? Arriverait-elle a subir un an d'epreuves humiliantes, desagreables ou douloureuses? Elle comprenait bien qu'elle s'engageait sur une pente dangereuse, peut-etre irreversible mais elle etait attiree comme par un aimant.

- Bien, nous allons commencer doucement : J'exige que tu ne portes dorenavant plus que des jupes et robes a moins de rester a poil. Tu ne porteras plus aucun pantalon, jupe culotte ou short d'aucune sorte, ete comme hiver. Tu vas jeter immediatement toutes tes frusques que je ne veux plus voir, dans des sacs poubelles que tu iras donner le plus vite possible a qui tu veux.

Elle ouvrit la bouche mais rappela juste a temps qu'elle n'etait pas autorisee a parler. Elle etait deja nue. Sans un mot, elle se dirigea vers la cuisine pour prendre quelques sacs pour executer les ordres recus.

- Pas comme cela : tu y vas a quatre pattes en tenant les sacs entre les dents

Deja domptee, elle obeit instantanement. Il vint avec elle jusque dans la cuisine, prit trois sacs qu'il lui mit en travers de la bouche. Elle le suivit pour retourner dans la chambre. Il ouvrit son placard et jeta pele-mele ses jeans, son ensemble pantalon de chez Dior qu'il venait de lui offrir comme ses shorts de jogging. Lorsqu'il eut fini, le placard etait au trois quart vide mais les sacs etaient bourres a craquer. Il les referma, lui en mit deux sur le dos - c'etait affreusement lourd - et presenta les poignees du troisieme a sa bouche, elle dut tout transporter jusqu'a la porte de leur appartement. Lorsqu'il l'ouvrit, elle se regimbaÊ: sortir dehors a quatre pattes, toute nue trainant un sac par la bouche et deux autres sur son dos, pas questionÊ! Elle recracha la poignee du sac qu'elle tenait dans la bouche. Dans le mouvement, les deux autres sacs tomberent au sol. Elle se releva.

- Tu es devenu fou : tout le monde peut me voirdehors!

Sa velleite de resistance fut brisee net par une nouvelle paire de gifles qui la renvoya par terre.

- C'est comme ca que tu obeis? Si j'ai envie que le facteur ou les voisins te voient a poil , ce n'est deja plus ton probleme! De toutes facons, d'ici un an, ils connaitront probablement tous tes trous et bien d'autres mecs aussi. . . Au surplus, je te rappelle que notre appartement est le dernier au troisieme et que peu de monde monte jusqu'ici. Je t'ai giflee mais je considere cela comme le niveau zero de la punition tout comme une fessee a main nue. A la prochaine incartade, c'est le martinet que je te donnerai. Tu veux bruler les etapes?

Elle fit un violent effort sur elle-meme et parvint a balbutier en retenant ses larmes :

- Non, maitre. Je vous obeirai maintenant. Ne me frappez plus.

- Ca, c'est a moi d'en decider. Et desormais, tu me remercieras chaque fois que je te battrai en me disant que je peux te frapper plus fort si je le desire. Tu as compris? Vas-y!

Il lui appliqua une nouvelle paire de gifles plus fortes que la precedente.

- Oui, Maitre. . . Je vous remercie de m'avoir giflee. . . Vous pourrez me frapper plus fort la prochaine fois si vous le desirez. . .

- Mais rassure toi, c'est bien mon intention! Ne t'en fais pas pour cela!

Elle recut une nouvelle paire de gifles encore plus forte sans esquisser un seul geste pour se defendre. Elle etait domptee, au moins pour le moment et elle le remercia a nouveau. Elle reprit l'un des sacs dans sa bouche par les anses tandis qu'il replacait les deux autres sur son dos. Elle le suivit sur le palier, miserable et degoutree de sa propre docilite. Il ouvrit la porte du reduit a sacs poubelles mais lui interdit d'y entrer, la laissant sur le palier. Il prit chaque sac un par un pour les placer dans le local en prenant tout son temps. Il jouissait de la voir trembler de frousse chaque fois qu'une porte claquait dans l'immeuble. Apres l'avoir contemplee quelques minutes, un sourire aux levres, il lui fit signe de rentrer. Elle poussa un soupir de soulagement en passant la porte.

- La prochaine fois, il faudra que je t'attache nue a la porte du palier pendant que j'irais faire mon jogging. Bon, ce n'est pas tout. Habille toi, on va completer ta garde robe. Il fait chaud : tu n'as qu'a mettre ta sortie de bains jaune Elle peut passer pour une robe d'ete. Elle est un peu transparente, alors choisis bien ta petite lingerie. Tu mets tes sandales jaunes, celles a talons tres hauts que tu ne voulais plus. Mets un nÏud jaune citron dans tes cheveux et tu vas te maquillerÊ: fard a paupiere jaune clair, et insiste un peu et, tant qu'a faire, rouge a levres brun a paillettes jaunes, celui que tu avais utilise pour le reveillon.

Lorsqu'elle fut prete, elle chancelait sur ses talons trop hauts - elle avait failli tomber dix fois la seule fois ou elle avait essaye de les mettre. Son visage trop lourdement maquille lui donnait l'impression d'etre une prostituee mais l'ensemble parut satisfaire Jean qui la toisa d'un air approbateur.

- Je n'avais jamais vu ce soutien gorge jaune ni ce slip. On les distingue a peine. Une autre fois, je te ferai mettre un string et un soutif noirs pour qu'on les voie bien a travers ou meme rien du tout: cela sera encore plus bandant. . .

Au lieu de se diriger vers ses boutiques habituelles, il se dirigea vers les vieux quartiers pres de la gare. Il entra dans une cour ou se cachait un magasin a la vitrine opaque et une enseigne enigmatique : A l'homme de gout. . . L'ambiance etait tres differente de celle des magasins qu'elle frequentait habituellement : jupes en cuir tres moulantes ou audacieusement ajourees, chemisiers tres decolletes ou carrement transparents. Un rayon de "lingerie" presentait des corsets en cuir et des guepieres incroyablement serrees. Elle en avait le souffle coupe rien qu'a les voir. Au fond, on distinguait un rayon, pour l'equitation apparemment, avec des harnais, des selles et des cravaches. Elle frissonna en pensant a ce qu'il lui avait promis. . .

Jean donna ses instructions au vendeur sans meme demander son avis a sa femme. Elle repartit avec une robe chinoise tres collante fendue sur le cote presque jusqu'a la taille, deux jupes longues en velours bleu et noir, une fendue devant tres haut et un fourreau serre qui l'empechait de marcher normalement. Toutes deux avaient sur les cotes une bande de dentelle diaphane courant sur toute la longueur du vetement ne laissant rien ignorer de ses sous vetements ou de leur absence... Jean avait ajoute plusieurs minijupes, presque des ceintures qui lui couvriraient tout juste le slip, en jersey stretch de differentes couleurs . Elles etaient tellement moulantes que meme un string ferait des marques sur le tissu. Lorsque le vendeur fit remarquer a Jean que tous ces vetements devaient se porter sans rien en dessous, elle s'affola a nouveau. Comme elle le craignait, il lui fit retirer son slip puis se mettre nue au milieu du magasin. Ses hesitations avaient ete balayees a coup de martinet. Elle dut mettre une de ces minis rouge fluo avec un petit pull assorti de deux tailles trop petit qui lui laissait le nombril a l'air et moulait outrageusement ses seins. Le vendeur fourra rapidement vetements et sous-vetements dans un sac.

Pendant tous les essayages, le vendeur lui avait tourne autour, ajustant la taille, ecartant le tissu pour montrer a Jean les particularites du vetement. Elle prit peur a l'idee que Jean puisse la livrer a cet homme mais fut soulagee lorsqu'il sortit sa carte de credit sans commentaire.

Le vendeur lui donna les paquets a porter et Jean n'avait visiblement pas l'intention de la soulager. . .Elle fit sensation dans la rue avec son accoutrement qui attirait le regardl des passants. Elle etait essoufflee lorsqu'ils franchirent la porte de leur appartement. Elle alla ranger leurs acquisitions et revint dans le sejour prendre ses ordres pour la soiree.

- Felicitations, tu t'es bien comportee. Pas un mot et tu as accepte de porter les sacs sans rechigner.

Elle ne lui dit pas que la vue des cravaches au fond du magasin l'avait beaucoup aidee. Il reprit :

- Pour ce soir, tu vas prendre une douche, mettre la jupe de stretch noir, ton chemisier rouge transparent. Rien dessous, ni slip ni soutien gorge, fard a paupiere rose fonce et rouge a levres vermillon . Tu t'en mets aussi sur le bout des seins. . . Des questions?

- Oui maitre! Que dois-je preparer pour le diner?

- On va faire la fete pour le debut de ton dressage. Repas aux chandelles : foie gras, bar poche aux huitres, sabayon de peches. Comme boisson, du champagne et du bon!. Je me charge de mettre la table.

Lorsqu'elle apporta les plats, deux heures plus tard, elle eut la surprise de ne trouver sur la table qu'une seule assiette. Elle fit le service sans commentaires et, le reste du temps, se retrouva a genoux a ses pieds, les bras croises dans le dos. La faim la tenaillait mais elle n'osait pas se plaindre. Il ne l'autorisa qu'a lecher ses assiettes pour les debarrasser des reliefs du repas. Elle dut ensuite le suivre a quatre pattes a la cuisine ou il vida tous les restes du refrigerateur dans le mixer sans meme les laver ou les eplucher : il y avait des flageolets, un peu de salade, quelques radis et deux carottes. Il y rajouta un oeuf cru et du pain dur. Il lui servit la mixture obtenue dans une assiette posee par terre. Elle dut la manger sans l'aide des mains comme une chienne.

Des qu'elle eut fini, il la ramena dans le salon en l'obligeant a rester a quatre pattes, releva sa jupe autour de la taille devoilant son cul libre de tout voile, deboutonna son chemisier pour mettre a nu ses seins lourds qui pointaient vers le sol, la pointe dardee. Il la forca a ecarter les cuisses et s'enfonca dans son vagin en levrette avec brutalite. A sa grande surprise, elle ne ressentit aucune douleur tant son sexe etait inonde. Il le remarqua et la ramona sans douceur quelques minutes en broyant ses seins entre ses doigts. Lorsqu'il ejacula au fond de son vagin, elle eut un orgasme etourdissant et s'evanouit. Elle se reveilla au milieu de la nuit. Il l'avait ramenee dans la cuisine ou elle gisait, glacee, le visage colle sur le carrelage, toute seule. Elle avait une menotte a chaque poignet, fixee aux deux extremites du grand radiateur, l'obligeant a rester couchee sur le ventre. Le radiateur etait coupe, la fenetre etait grande ouverte et l'air frais de la nuit de septembre tombait sur elle. . .

Le reste de la semaine se deroula sans incident. Meme Pierre ne l'importuna pas pendant leurs seances de tennis. Il se comportait comme si rien ne s'etait passe. En fin de compte, elle se faisait tres bien a ne porter que des jupes et a ne mettre que ce que Jean lui choisissait. Son mari avait tres bon gout et les tenues qu'il lui faisait porter etaient souvent provocantes mais restaient toujours elegantes. Elles lui rappelaient plus les filles superbes de Madame Claude que celles qui faisaient le trottoir dans son quartier.

Elle ne couchait plus jamais maintenant dans son lit mais nue, par terre, menottee a un meuble ou un autre, souvent au pied du lit ou dormait son Maitre qui l'avait abondamment remplie de sperme, avant d'aller se coucher.

Pour repas, elle n'avait droit qu'a la mixture qu'il lui preparait, insipide car sans sel et sans le moindre epice, tout juste assaisonnee de complements nutritifs necessaires. Une fois, il s'amusa a se branler devant elle toujours a quatre pattes en ejaculant dans le bol. Il dut lui administrer une fessee memorable, mais elle finit par accepter de manger la mixture en lechant le recipient. La quantite de nourriture lui paraissait toujours insuffisante mais il lui avait annonce son intention de la faire maigrir vers cinquante kilos pour son metre soixante dix comme lorsqu'elle avait dix huit ans.

Pour eviter qu'elle perde du poids la ou il ne le voulait pas, elle devait masser ses seins, ses cuisses et ses fesses chaque matin pendant une heure avec une pommade speciale avant deux heures de gymnastique intensive. La methode etait efficace puisqu'elle avait en une semaine perdu plus d'un kilo et quatre centimetres de tour de taille tout en gagnant deux centimetres de tour de poitrine qu'elle sentait se raffermir et deux autres centimetres de tour de hanches. Elle voyait deja dans le miroir sa silhouette se modifier. A ce rythme, d'ici un mois, tous ses vetements neufs et anciens devraient etre remplaces.

Le vendredi arriva et la question attendue revint. La reponse fut facile sans hesitation.

- C'est tres supportable, maitre. Je vous prie de continuer. J'attends impatiemment vos ordres. . ..

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 16 ans
superbe !

Vivement la suite ! Excellent style !

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