Nadine 01

Informations sur Récit
Nadine's journey into submission.
6.5k mots
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102k
6
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 7 pièces

Actualisé 11/02/2022
Créé 04/08/2008
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dan57
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Je voulais ressortir une histoire ecrite dans ma langue maternelle. Desole pour les lecteurs puristes : les lettres accentuees et cedilles du francais de mon MAC sont mal prises en compte lors du passage sur Literotica. J'ai donc choisi de les supprimer dans cette histoire inedite ecrite maintenant il y a 10 ans.

NADINE

Chapitre 1

Il y a quelques annees maintenant, Nadine etait l'epouse quelque peu oisive de Jean, directeur commercial d'une grande entreprise. Avant son mariage, elle gerait la pharmacie qu'elle avait reussi a acheter peu apres avoir obtenu son diplome. C'est la qu'elle rencontra Jean. Elle tomba immediatement amoureuse de ce tres bel homme d'apparence extremement elegante et raffinee. Moins de trois mois plus tard, elle s'installa dans son appartement, laissant dans son ancien logement tous ses bibelots, ses anciens vetements et ses habitudes.

A partir de cet instant, Nadine eut une activite mondaine trepidante avec deux ou trois receptions hebdomadaires et des domestiques a gerer. Elle renonca rapidement a continuer a travailler, vendit son officine et consacra son temps a visiter les maisons de haute couture et discuter avec les traiteurs pour la prochaine reception. Chaque jour, elle faisait du jogging ou du tennis dans un club voisin et de l'aerobic. Elle allait aussi entretenir son corps par des traitements divers de l'estheticienne a la thalassotherapie sans oublier le coiffeur et le cabinet de massage.

Son professeur de tennis, Pierre, etait lui aussi un tres bel homme, marie au grand desespoir de plusieurs de ses eleves. Sa femme etait une fille tres jolie mais assez timide. Apres un an de cours, deux fois par semaine auxquels son mari venait parfois assister et quelques discussions au club-house apres les entrainements, Pierre et Jean etaient devenus amis. Depuis, les deux couples se recevaient regulierement. Les deux femmes allaient souvent courir les magasins ensemble.

Un jour ou elle etrennait une toute nouvelle tenue de tennis avec une jupette peut-etre plus courte que d'habitude, Nadine remarqua que Pierre suivait plus le jeu de sa poitrine ou de ses fesses que le trajet de la balle. N'ayant pas la tete au jeu, il ne profitait pas de toutes les fautes de la jeune femme. Pour une fois qu'elle n'etait pas nettement surclassee, elle en profita et ne fit aucune remarque. Les fois suivantes, le manege continua et elle y prit insidieusement gout : il est toujours agreable d'etre admiree. Mais au bout de quelques semaines, Pierre eut a nouveau l'esprit au jeu et reprit sa superiorite. Il lui fit meme remarquer que ses resultats devenaient moins bons.

Nadine fut peinee : elle avait pris l'habitude que Pierre la reluque. Elle ne se cachait plus que la situation la faisait mouiller copieusement sa petite culotte et son mari avait parfois bien profite le soir d'un appetit sexuel dont il n'etait pas vraiment responsable. Nadine a ces occasions jouissait a en crier. Sevree brutalement de ces sensations quelque peu inavouables, elle decida donc de reagir sans reflechir aux consequences de ses actes. Elle denicha chez un marchand de lingerie un string particulierement reduit puis passa chez son estheticienne juste avant la seance de tennis. En sortant, elle avait la chatte totalement rasee sauf un mince triangle de poils au dessus de la chatte.

Elle denicha des baskets a semelles compensees, pas vraiment indiquees pour faire du sport mais qui lui affinaient la jambe. Elle mit un soutien gorge pigeonnant nettement trop decollete et une chemisette trop petite d'au moins deux tailles qu'elle noua juste sous les seins sans la boutonner. Enfin, elle roula le haut de sa jupe pour la raccourcir encore de cinq bons centimetres : meme au repos, on distinguait le bas de son slip. Un regard dans la glace de sa chambre lui suffit pour s'assurer que, vu de derriere, la ficelle etait totalement invisible. Elle completa sa preparation par un maquillage soigne avec du rouge a levre et de l'ombre a paupieres rose brillant, allongeant et recourbant ses cils autant qu'elle le pouvait. Une touche de parfum dans le creux de ses seins et la voila partie.

Des qu'elle vit Pierre sur le court desert, elle ralentit son pas, amplifia le roulement de ses hanches. Ravi de la voir aussi jolie, il l'embrassa sur la joue comme d'habitude mais, cette fois, elle se serra contre lui, ecrasant sa poitrine contre la sienne, lui mettant une main derriere le cou et l'autre sur le ventre. Elle resta serree contre lui pendant un instant et ne s'ecarta de lui que quand elle sentit une reaction difficile a cacher sous le short de Pierre.

Celui-ci etait plutot surpris de son comportement. Pendant pres de deux ans, Nadine n'avait ete qu'une eleve parmi d'autres, jolie certes mais sans interet reel pour lui puis, il y a cinq ans, il avait rencontre Jean et elle etait devenue la femme d'un ami, rien de plus. Depuis quelques semaines seulement, son interet sexuel s'etait brusquement eveille. Il avait essaye de se raisonner car il tenait a l'amitie de Jean qu'il ne voulait pas blesser et voila que Nadine se frottait contre lui comme une chatte en chaleur, maquillee comme pour une soiree de gala et a moitie nue. Pour masquer son trouble, il lui lanca :

- Bon pour commencer, on va faire quelques balles. . .

Des qu'elle dut aller chercher quelques balles au fond du court, Nadine fit expres de tourner le dos a Pierre et de ramasser les balles sans presque plier les jambes. La jupette ultra courte remonta et Pierre ne vit qu'une paire de fesses totalement nues apparemment. Ce ne fut que lorsqu'elle renvoya avec difficulte une balle lobee qu'elle sauta en l'air en lui permettant de decouvrir le devant de son string plus qu'exigu qu'il comprit sa meprise.

Des lors, il ne fut plus du tout a son jeu, faisant faute sur faute. Il ne voyait que ses seins qui dansaient devant lui, les hanches qui tournaient lorsqu'elle devait se deplacer. Elle marquait des points mais il l'obligeait a se demener comme une furie, faisant danser ses seins, ses fesses ou ses jambes, l'obligeant a montrer tantot sa chatte rasee a peine voilee d'un morceau de tissu qui devenait transparent avec la sueur, tantot ses fesses.

A la fin, elle etait epuisee et il gagna le second set au tie break et pour le troisieme, il l'humilia par un 6-0 sans appel. Elle s'agenouilla sur le court, epuisee. Il la releva, la prit par la taille jusqu'aux vestiaires sans qu'elle songe a se rebeller, puis lui offrit un alcool au bar. Elle ne reprenait que lentement des forces et il la raccompagna jusqu'a sa voiture en lui mettant carrement la main sur le cul toujours sans obtenir de reaction. Au moment de lui dire au revoir, il la prit par la taille et la serra contre lui mettant carrement ses deux mains sur les fesses. D'un doigt, il lui releva le menton. Il la regarda droit dans les yeux un instant, fit glisser sa main droite sous la jupe courte et se pencha pour l'embrasser sur les levres. Sideree, elle n'eut aucun geste de defense. Elle laissa la langue de Pierre lui sonder profondement la bouche. Lorsqu'un doigt forca l'anneau de son anus, elle voulut protester mais sa bouche etait deja totalement envahie par une langue imperieuse. Pendant ce temps, la main libre de Pierre s'etait faufilee sous la chemisette, soulevant le soutien gorge souple et, profitant de son avantage, il se mit a lui masser la pointe du sein d'un doigt habile.

Nadine se figea, le doigt plante dans son cul s'agitait maintenant follement, entrant et sortant rapidement, sa respiration s'accelerait. Elle n'eut pas le moindre geste de defense. Elle allait jouir lorsqu'elle trouva, elle ne savait pas ou, la force de le repousser, de se degager et de monter dans sa voiture. Avant qu'elle ne demarre, il eut le temps de lui lancer :

- Quand tu voudras, ma petite Nadine, mais la prochaine fois, je serais plus exigeant!

Tandis qu'elle roulait vers son domicile, elle avait l'impression que sa main s'attardait encore sur son corps, que sa langue se pressait contre la sienne, Elle etait en nage mais son corps lui paraissait brulant. En arrivant chez elle, elle prit un grand bain tres chaud avec beaucoup de mousse. Elle y resta pendant plus d'une heure en se demandant ce qui l'avait pris d'aguicher ainsi Pierre et surtout de ne pas le repousser lorsqu'il s'etait mis a la peloter puis a l'embrasser. Il lui avait meme mis un doigt dans le cul ce qu'elle n'avait jamais permis a Jean. En plus, si elle ne l'avait pas surpris en le repoussant, elle devait s'avouer qu'elle aurait joui, la sur le parking et qu'apres il aurait pu la baiser par tous les trous dans la voiture sur le parking ou meme sur le capot a la merci de l'arrivee de n'importe quelle personne. Elle aurait pu le sucer au milieu du court voire du club house s'il le lui avait demande. . .

- Qu'est ce qui t'arrive, ma petite Nadine? Ton mari ne te suffit plus?

Elle resolut d'avoir une discussion avec lui. Il y avait quelques points datant d'avant leur mariage qu'elle voulait eclaircir. En attendant, elle se calma en se frottant le clitoris avec une science qu'elle pensait avoir oublie depuis son mariage. De toutes facons, elle ne pouvait se plaindre de ce qui lui etait arrive a Jean : c'est elle qui s'etait comportee comme une salope et Pierre avait mis pas mal de temps a reagir comme presque tous les hommes l'auraient fait face a ses avances caracterisees.

Chapitre 2

Jean parut decontenance par la question a laquelle il ne s'attendait visiblement pas.

- C'est exact ; la police m'a demande a trois ou quatre reprises ou se trouvaient des filles qui avaient ete mes petites amies attitrees. . . Mais c'etait bien avant notre mariage, deux ou trois ans avant meme que je te rencontre.

- Et alors?

- Je leur ai indique ou les joindre. Ils ont verifie et l'enquete s'est arretee la. Elles etaient majeures et consentantes, meme si elles n'etaient pas libres!

- Comment ca, pas libres?

- Tres simple : elles etaient devenues volontairement les esclaves d'hommes auxquels je les avais vendues.

- Des esclaves! Et comment se fait-il que tu ne sois pas en prison pour cela? La police ne t'a pas arrete?

- Non! Ils n'y pouvaient rien : il s'agissait d'un contrat de service de type escort girl pour un an renouvelable. Les filles etaient majeures, je te le repete, et touchaient des honoraires. Elles avaient un contrat en bonne et due forme, etaient declarees et ont paye des impots sur ces revenus et, en fait, elles pouvaient quitter les lieux sans grandes difficultes, la plupart du temps. Et elles touchaient bien plus que l'inspecteur venu les interroger. . .

- Mais qu'est ce qu'on leur fait faire?

- Tout ce qui passe par la tete de leur Maitre depuis voyager nue et enchainee dans un coffre de voiture, capitonne, je te rassure, jusqu'a se prostituer au coin d'une rue en passant par se faire baiser par tous les trous par quarante mecs dans un foyer pour immigres. . .Les Maitres ont souvent l'imagination fertile. Si tu avais vu la tete de l'inspecteur lorsque l'une d'entre elles lui a annonce, releve de banque a l'appui, que tout ce qu'elle avait gagne comme cela un soir dans une rue chaude de Marseille avait ete integralement verse aux oeuvres de la police. . .

- Et les filles aimaient ca?

- Apparemment! Elles m'avaient demande de leur faire subir un entrainement adequat et cela leur a tellement plu qu'elles ont decide d'en faire leur mode de vie. . . Je me suis arrange pour leur donner satisfaction.

- Mais c'est du proxenetisme!

- Pas du tout. Elles m'ont demande de les former, les dresser si tu veux, pour un boulot qui les interessait. Rien de plus. Elles pouvaient tout arreter quand elles voulaient. Elles m'ont paye pour cette formation mais je n'ai rien touche sur leurs contrats ni de leur part ni de leurs clients. . . Entre deux contrats, elles revenaient parfois pour quelques semaines de perfectionnement, mais c'etait, a mon avis, plutot pour le plaisir, pour voir ce que j'allais pouvoir encore inventer pour elles... Mais, rassure-toi, depuis notre mariage, je me suis contente de repondre a leurs vÏux de nouvel an et de leur envoyer un mot ou un petit cadeau pour leur anniversaire.

- Donc, tu as toujours des contacts dans ce milieu?

- Plutot distendus depuis cinq ans, mais encore tres amicaux! PourquoiÊtu me demandes ca?

- Tres simple, mon cheri. Tu sais que nos cinq ans de mariage ont passe comme un reve avec tous les voyages qu'on a faits ensemble, les repas, les toilettes, les conferences en Amerique ou au Japon ou tu m'as emmenee deux fois, cette maison et le luxe dont tu m'as entouree mais, - comment te dire? - depuis quelque temps, je voudrais un peu plus de piquant dans notre relation et je me suis dit en t'ecoutant que j'aimerais assez que tu me fasses subir cette fameuse formation dont tu parles. . ..

- Mais je t'aime! Tu ne sais pas a quoi tu t'engages. Ca peut aller tres loin et faire tres mal.

- Si ca change un peu de nos habitudes, c'est ce que je cherche, meme si ca fait un peu mal a l'occasion et tu m'as dit que je pouvais tout arreter quand je voulais.

- Certes mais celles qui refusaient definitivement un obstacle, et elles n'etaient pas rares, je les vidais sans menagement. Je ne veux rien faire de tel vis a vis de toi.

- Alors, que me proposes-tu?

- Il y a peut-etre une solution. Tu y tiens absolument? Tu as bien reflechi?

- OuiÊ! Ton petit discours m'a plus excitee qu'inquietee. Alors, vite?

- Voila ce que je peux t'offrir mais, je t'en prie, rappelle toi toujours que c'est toi qui l'as demande.

- Au fait, cheri. Ne tourne pas autour du pot. . .

- OK : C'est un peu complique. Je te propose comme tu me le demandes une formation - un dressage, plutot, comme je te l'ai dit- sur un an au maximum. Chaque semaine, je te ferais subir une nouvelle epreuve et chaque vendredi, je te demanderais si tu veux continuer. Si tu refuses, on en resterait la. Si tu acceptes, je t'annoncerais a ce moment la seulement l'epreuve de la semaine suivante ; ce sera toujours une surprise pour toi.

- Si je refuse, on arrete tout?

- Non, je me suis borne a dire qu'on en resterait la. Je ne veux pas me souvenir que tu avais accepte un truc qui me plait mais que tu ne veux plus. Je voulais dire que tout ce que tu as fait jusque la, tu t'engages par avance a continuer a le faire a nouveau avec moi tant que nous serons maries et chaque fois que je le demanderai. Un exemple : si, une semaine, je t'impose, car ce ne seront plus des demandes, de ne plus mettre de chaussures a talons de moins de dix centimetres, et que tu as accepte par avance, tu ne porteras plus que des talons tres hauts que ce soit en ville, a la plage ou a un mariage . . .

- Et si je ne veux plus du tout jouerÊa ton petit jeu?

- Alors, tu as triche et je refuse de vivre avec une tricheuseÊ: on se separe immediatement. Tu veux reveiller mes vieux demons. Il y a un prix a payer. . .

- Je vois. Mais si je refuse cette nouvelle exigence?

- Je vais etre genereux : tu auras droit dans les memes conditions a une epreuve de remplacement sous forme d'une punition ou situation humiliante pour toi pendant une semaine et cette fois, tu n'auras pas le droit de la refuser. Cette punition pourra ensuite t'etre imposee des ce moment a chaque fois que je le voudrais. Une punition que j'ai imposee a une de mes stagiaires par exemple a ete de devoir faire ses courses avec un gros gode dans la moule. Il s'agissait d'un modele telecommande avec une antenne souple qui lui pendait entre les jambes et qui etait dissimule par une jupe longue jusqu'aux pieds. Pour corser le tout, elle etait nue sous sa jupe et son T-shirt. Je me suis beaucoup amuse a lancer l'engin chaque fois qu'elle parlait avec un vendeur pour l'arreter aussitot apres. Lorsqu'elle est passee a la caisse d'un super marche, je l'ai mis en continu a la puissance maximale. Elle a joui deux ou trois fois et se cramponnait desesperement a son chariot en gemissant. La caissiere etait affolee et a failli appeler une ambulance.

- Tu me fiches la trouille. Ca doit etre une experience horrible a vivre. Elle a du t'en parler apres?

- Pas vraiment : Nous etions un vendredi et c'etait la fin de son stage. Elle devait rentrer le matin suivant chez son mari. Des qu'on est rentres, je lui ai demande si elle voulait accepter une nouvelle epreuve. Elle m'a donne son accord tout de suite. Je l'ai baillonnee et cravachee jusqu'a ce qu'elle s'evanouisse. Le soir, toujours baillonnee avec un bandeau sur les yeux, je l'ai enfermee bien sanglee dans une caisson d'isolement sensoriel : tu es nue dans le noir, le caisson est totalement etanche au bruit et il y a un peu d'eau chaude au depart dans laquelle tu baignes mais dans laquelle tu finis par pisser et meme plus si le sejour se prolonge. Je l'ai expediee en colis urgent par le train a son mari a Toulouse. Elle avait juste dix litres d'eau dans un biberon relie a son baillon. Un mois plus tard, elle m'a appele pour me dire qu'elle etait bien arrivee en moins de vingt-quatre heures mais que son mari l'avait laissee dans le caisson deux jours au milieu de ses excrements avant de la liberer. Il lui remplissait seulement son biberon de temps en temps. Elle a cru devenir folle. Il l'a fait ensuite laver au jet par son chauffeur avant de la faire enculer devant tout leur personnel par un berger allemand. Depuis, elle etait le jouet de toute la maisonnee depuis son mari, son beau-frere, son beau-pere, son chauffeur, sa cuisiniere, son jardinier jusqu'a la femme de chambre sans parler du chien. Elle m'a juste dit qu'elle etait tres heureuse comme cela et elle m'a demande au telephone ou je m'etais procure mon petit jouet. La petite seance avait du plaire a son mari lorsque elle la lui avait racontee et il voulait depuis l'emmener faire des courses ou jouer avec elle lors d'une reception.

- Ca lui avait peut-etre plu a elle surtout.

- Elle etait une esclave accomplie. Ce qui lui plaisait n'entrait plus vraiment en ligne de compte!

- Ah bon! On en discutera apres mais revenons a notre cas. Que m'arriverait-il alors si je ne veux pas accepter quelque chose car je suppose que le vendredi suivant, tu redemanderais la meme chose?

- Certainement. A ta place, le vendredi suivant, je refuserais de continuer. Sinon les punitions seront de plus en plus severes. Remarque que si tu es vraiment maso, une serie de refus successifs pourrait t'apporter rapidement des sensations fortes. Une punition a la cravache inclut, bien sur, la possibilite de punitions moins severes comme de te frapper avec une canne, une laisse, une ceinture, un martinet, des orties ou a main nue. Donc, si ton refus d'une epreuve est definitif, tu as interet a reflechir rapidement.

- Si je comprends bien, si j'obeis a toutes tes exigences, je ne serais pas battue?

- Pas pour desobeissance mais, parmi les epreuves que je t'imposerai, il y aura, un jour ou l'autre, l'apprentissage de toutes ces punitions meme si tu obeis de facon parfaite. Remarque que je suis fair play : si tu refuses une epreuve, je ne te l'imposerai pas immediatement comme punition. Mais, apres tout, un Maitre (moi ou quelqu'un d'autre) peut apprecier de te donner le fouet pour son seul plaisir et non seulement comme punition.

- Comment cela : quelqu'un d'autre? Tu veux me donner a un autre homme! Ca, je ne pourrais jamais l'accepter. . . Je ne suis pas une Marie-couche-toi la! Tu ne veux pas faire de moi une pute, quand meme!!

- C'est pourtant le lot de toutes les esclaves : a un moment donne, tot ou tard, elles seront partouzees, pretees, louees, peut-etre meme un jour vendues a quelqu'un si leur maitre se lasse d'elles. Il n'y aura pas d'exception pour toi, sauf si tu arretes tout avant ce moment-la ou que tu echanges cela contre une nouvelle punition. En devenant mon esclave, tu devras renoncer rapidement a decider quoi que ce soit : qui nous recevrons et chez qui nous irons, comment nous organisons nos vacances, comment tu t'habilleras, avec qui je ferai l'amour et avec qui tu baiseras. Mais, chaque vendredi pendant un an, ce sera encore a toi de decider. . . - Tu t'autorises a faire l'amour avec une autre fille! Et si je veux faire la meme chose ou si je deviens jalouse?

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