Bonnie Se Fait Partouser Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Il espérait que le comportement impudique des invités ne l'avait pas choquée au point qu'elle quitte la fête, mais il pensait qu'elle le lui aurait dit si elle avait décidé de rentrer à la maison.

C'est alors qu'il sursauta, Nasha Jones glissait son bras sous le sien lui demandant :

- Vous vous tracassez pour votre adorable épouse? Vous avez peur qu'elle imite les autres femmes? Qu'elle veuille avoir des rapports sexuels avec un autre homme que vous?

- Non... Non... Non... Bien sur que non! Bonnie ne fait pas partie de ce genre de femmes! Je n'en crois rien... Elle est bien trop conservatrice... Elle n'a jamais permis à un autre homme que moi de la toucher! Balbutiait Jack en réponse aux insinuations de son hôtesse, il ne voulait pas exprimer ses véritables craintes qu'elle soit partie.

Cependant Jack était assez énervé lorsqu'elle lui souffla :

- En êtes vous vraiment sur mon ami? Peut-être bien en public.. Mais votre charmante jeune femme ne semblait pas si conserva-trice lorsque je l'ai laissée seule avec ces pervers asiates dans cette salle retirée.

Un frisson d'angoisse traversa son corps en voyant qu'elle lui désignait la petite pièce qu'il venait de traverser, cette petite salle où il avait vu cette salope vêtue comme sa femme.

Les yeux rivés sur la porte fermée de la pièce que lui désignait Nasha Jones, Jack avala nerveusement sa salive alors qu'il réfléchissait à la façon d'extirper Bonnie des mains de ces vils asiates.

Mais qu'il avançait vers la porte, Nasha Jones le tira en arrière en lui su-surrant :

- Ne faites-rien d'insensé, Jack... Pensez à ce qu arriverait si vous vos précipitiez dans cette pièce pour interrompre leur petite fête... Avec votre charmante jeune femme!

Figé sur place, les yeux perdus dans le vide, il fut tiré en arrière par Nasha qui ajoutait :

- Suivez-moi, on peut regarder ce qui se passe de la salle contiguë... Il s'y trouve un miroir sans tain!

Tandis qu'ils descendaient le vestibule Jack observa que nombre de gens regardaient au travers de judas qui perçaient les murs de la petite pièce.

Certains posaient des écouteurs sur leurs oreilles, Jack entendit l'un d'eux commenter :

- Le spectacle va commencer... J'entends les Chinois dirent qu'ils la préparent pour Mort... Et son copain lui répondit :

- Oh oui, Mort est une véritable célébrité chez eux et ils considèrent vraiment comme un honneur de participer à un spectacle à ses co-tés!

Puis le premier gars qui regardait maintenant dans un judas s'esclaffa :

- Bordel ce que c'est chaud! Ils se font une somptueuse blonde! Elle semble si innocente! Elle parait très excitée et en même temps éperdue! Un des gars a entrepris de la doigter!

Jack écarquilla ses yeux comme des soucoupes, son cœur battait la chamade dans sa poitrine, il ne voulait pas croire ce qu'il venait d'enten-dre cherchant à comprendre, tout au fond de son esprit, ce qui pouvait bien se passer.

Ce spectacle dont ce salaud venait de parler, ces gars qui parlaient du spectacle qui commençait, Jack pensait :

- Ce ne peut pas être le mur de cette salle... De la salle ou se trouve Bonnie!

Puis réalisant que Bonnie était la seule femelle à se trouver dans cette salle, Jack éclata en pleurs alors qu'une froide sueur couvrait son corps.

- Ils ne veulent pas dire que... Que Bonnie fasse partie de ce grand show sexuel dont tous ces gars parlent!

Ayant vu un des acteurs glisser sa main sous robe beige peu aupara-vant, alors qu'il n'avait pas encore réalisé qu'il s'agissait de sa femme, Jack se rendait compte maintenant qu'en fait Bonnie devait se faire doig-ter la chatte par un de ces pervers asiates!

Dans la pièce adjacente, Jack avala sa salive lorsque Nasha ouvrit les deux volets d'une armoire dévoilant un large miroir permettant de voir tout ce qui se passait dans l'autre pièce.

Il s'y trouvait maintenant trois asiates encerclant la jeune beauté blonde que maintenant Jack devait bien identifier comme son adorable épouse.

Bien que son visage ne soit pas visible ses jambes étaient exposées et il reconnaissait parfaitement les hauts talons beiges que Bonnie avait sorti de leur boite quelques heures plus tôt.

Il observa sa main droite posée sur l'épaule de l"homme qui lui roulait un patin fiévreux, la gauche visible jusqu'au poignet disparaissait dans la braguette d'un de ses suborneurs assis à son coté.

Puis, d'une chiquenaude sur l'interrupteur elle ouvrit les micros qui ré-percutaient tout ce qui se passait dans l'autre pièce.

- Ahhhhhh, oui ma douce beauté américaine... Utilise tes soyeuses petites mains pour donner du plaisir à Ming Wang!

L'homme assis tout contre elle grogna alors qu'il rejetait sa tête en arrière alors qu'il pantelait d'excitation sous les caresses de la main en-fouie dans son caleçon.

Puis l'Asiate se tétanisa, un frisson parcourut tout son corps alors qu'il grommelait :

- Oooooooohhhhhh, oui, branle-moi... Branle la colonne de Ming Wang!

Un instant plus tard, Ming Wang empoigna le poignet de la main invisi-ble, et l'extirpa son caleçon montrant à tous sa main couverte de foutre, sa main ornée de sa bague de fiançailles et son alliance démontrant à tous que cette femme qui venait de le branler si lascivement était une femme mariée.

L'homme agenouillé au sol, dont la main s'agitait furieusement sous la robe beige au su et au vu de tous les spectateurs, il ressortit alors sa main pour brandir son doigt luisant de cyprine pour que tous connaissent son excitation grandissante.

Jack reconnut cet homme qui souriait à l'assistance, c'était Wang Ho.

Ce dernier plongea son doigt dans sa bouche pour lécher l'épaisse cou-che de cyprine qui l'enduisait en grognant!

- Aaaahhhh... Le jus des américaines est délicieux!

Puis ce bâtard d'asiatique replongea ses deux mains sous sa robe et roula sa petite culotte de dentelle blanche sur ses jarrets avant de la lui enlever pour la porter à ses narines.

Puis, il ouvrit ses cuisses largement et sa tête disparut sous la robe beige.

Le type qui malaxait sa poitrine la manœuvra de façon à pouvoir des-cendre la fermeture éclair dorsale de sa robe.

Son épaule gauche dénudée on vit le pervers chinois repousser son sou-tien-gorge pour dénuder ses nibards.

Ses nichons d'une blancheur de nacre sautaient aux yeux des specta-teurs, couronnés par un adorable bouton rose, le sale bâtard referma les dents sur un de ces tétons.

Comme le gaillard bougeait pour sucer plus confortablement ses mame-lons, Jack de son poste de voyeur, vit pour la première fois le visage de la jeune femme qui se faisait trousser... Il n'y avait aucun doute... C'était Bonnie... Sa bonnie!

- Mon Dieu c'est vraiment Bonnie! Réalisa-t-il subitement effondré.

Figé à son poste d'observation, Jack frissonnait alors que Nasha empoi-gnait et caressait sa bite qui se redressait dans son caleçon tout en lui soufflant :

- C'est drôlement excitant de voir sa femme si bien pensante se faire peloter par des inconnus, n'est ce pas Jack... Ne me mentez-pas... Pas avec une bite aussi bandée! Et ce n'est que le début Jack! Appuyez sur ce bouton à votre gauche et le spectacle commence-ra vraiment... Allez, pressez le bouton! Faites démarrer le show!

D'une main tremblante, incapable de résister à l'envie de voir ce qui de-vait s'ensuivre pour son adorable jeune femme, Jack tendit la main pour presser le bouton.

Soudain le thème de Rocky résonna dans la salle, les Asiates, dans l'autre pièce s'assirent attendant la suite.

Ce thème signifiait visiblement pour eux que c'était le moment de dé-pouiller Bonnie de ses vêtements.

Ils lui ôtèrent sa robe, puis son soutien-gorge, pendant ce temps la tête du mec qui avait disparu sous sa robe réapparut et s'affaire débouclant ses hauts talons.

Puis ils la relevèrent et la déshabillèrent totalement l'exposant entière-ment nue aux yeux des nombreux spectateurs enthousiastes.

Jack vit alors les trois hommes emmener sa femme sur le grand lit circu-laire au milieu de la vaste chambre.

Un homme tenait fermement les bras de Bonnie, pendant que les deux autres lui empoignaient les genoux et levaient ses jambes la tenant cuis-ses obscènement ouvertes face à la porte.

La tête de Bonnie ballottait de droite à gauche, il était évident q'elle avait été droguée, sinon, elle n'aurait jamais adopté d'elle-même, un compor-tement aussi dépravé.

Comme cette idée s'imposait dans son esprit, la porte de la chambre s'ouvrit à la volée et le colosse noir nommé Mort apparut souriant d'une oreille à l'autre.

Il enleva rapidement sa chemise puis déboucla sa ceinture tout en contemplant les charmes de Bonnie, les trois jaunes la lui tendaient comme une offrande à un Dieu! C'était un cadeau honorifique que ces asiatiques lui présentaient!

Jack avala difficilement sa salive, en entendant sa femme s'exclamer ef-frayée :

- Oh mon Dieu...

Puis alors que Mort se débarrassait de ses chaussettes de son pantalon et de ses caleçons avant de se diriger vers le lit, La voix tremblante de Bonnie reprit :

- Oh, non, je vous en prie... Mon Dieu... Nonnnnnnnnnnnnnn... Non, non... Ne le laissez pas faire!

L'aspect de cette bite monstrueuse avait réveillé Bonnie, elle était aussi gosse que celle d'un âne.

Alors que le colosse noir s'approchait flattant son énorme chibre noir Bonnie craignit pour sa vie, il sui semblait impossible que son étroite pe-tite chatte puisse s'accommoder d'un tel épieux mafflu.

Se débattant, cherchant à fuir ce puissant chibre qui la menaçait, elle cherchait à ramper sur le lit, mais elle ne pouvait fuir, les Asiatiques l'agrippaient trop fermement, ils gloussaient à la vue de ses réactions éperdues, se réjouissant de participer au viol de cette somptueuse jeune blonde par le colosse noir.

- S'il vous plait... Je vous en prie... Laissez-moi tranquille! Je vous en prie... Ne le laissez pas s'approcher de moiiiiiiiiiiiii! Sanglotait-elle paniquée.

Comme les Asiatiques tenaient fermement la blonde beauté américaine, leur célèbre star du porno qu'ils chérissaient à l'égal d'un Dieu, caressait maintenant les charmes de la belle qui continuait à se débattre entre leurs bras.

Ils entendirent alors le nommé Ming Wang s'esclaffer

- Je veux entendre hurler cette salope d'américaine! Faites la crier tout comme vos partenaires crient ans vos films monsieur Mort!

Mort sourit et hocha la tête à l'adresse de son interlocuteur, tout en ca-ressant les tendres cuisses soyeuses alors qu'il pointait son énorme mentule sur l'ouverture de sa caverne exiguë.

L'empoignant aux hanches, il rit lourdement tout en prenant un élan impi-toyable.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzzz.. Oh, mon Dieu... Mon Dieu... Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzzzzz! Se lamentait Bonnie alors que la star noire du porno poignardait son étroite cha-toune.

Ils entendirent alors les Asiatiques éclater de rire alors que l'un d'eux gloussait :

- Brisez-la! Pourfendez-lui la chatte! Ecartelez lui la foufoune! Faites que plus jamais son mari puisse prendre son plaisir dans sa chatte distendue! Evasez-lui définitivement la cramouille.

Puis un autre hurla ses encouragements :

- Engrossez-la... Engrossez cette salope d'américaine! Collez-lui un petit polichinelle noir dans le tiroir!

Une fois la douleur d'être formidablement distendue s'estompa, la dose puissante dose d'aphrodisiaque affectant toujours son comportement, sa chatoune commença à se crisper et à se décrisper sur sa majestueuse hampe alors qu'il coulissait lentement en elle.

Ses miaulements enamourés prouvaient maintenant aux discrets obser-vateurs que la chose était maintenant loin de lui déplaire.

La tension de son corps, sa façon de se serrer contre son suborneur prouvait amplement qu'elle n'avait plus qu'un désir : qu'il continue à la baiser puissamment!

La perverse Nasha avait empoigné la bite de Jack pour lui tailler une pipe alors que Jack observait le contraste frappant entre l'énorme bite noir ébène et la blanche chatoune de sa femme chérie.

Puis la session de baise s'interrompit brutalement, alors que Mort était enfoui jusqu'aux couilles dans sa foufounette asservie, ses tressautements prouvaient aux yeux de tous qu'il se vidait les couilles dans les profondeurs intimes de sa jeune "maîtresse".

Quelques instants plus tard, la bite luisant du colosse noir réapparut, au sortir de sa caverne engorgée, déjà des larmes de foutre perlaient au centre de son intimité béante.

C'est alors que les Asiatiques firent tourner lentement l'immense lit tout en maintenant Bonnie dans la même position, permettant à tous les spectateurs de voir les flots de foutre crémeux s'écoulant maintenant de sa foufoune pour s'étaler sur le lit.

Lorsque le lit se retrouva face au miroir sans tain derrière lequel se tenait Jack, il vit l'épais flots de foutre blanchâtre qui s'échappait de sa fentine béante.

Au même instant son hôtesse extrayait une dernière goutte de sa propre semence, il venait de gicler sur le mur qui lui faisait face alors que Mort se vidait dans les profondeurs de sa femme.

Une idée frappa alors Jack, si ça tombait, sa femme pouvait se retrouver enceinte des oeuvres de cette star du porno.

Savait-elle que je l'épias au travers d'un miroir sans tain?

Que ferait-elle si elle venait à le savoir?

Que se passerait-il si elle se retrouvait enceinte après cette nuit?

Dans l'arrière plan il vit Mort empoigner la robe beige de sa femme pour l'utiliser comme un vulgaire torchon dans lequel il s'essuya la bite!

Lorsque la star noire du porno fut partie, Wan Ho s'allongea sur le lit alors que ses deux comparses relevaient Bonnie pour la disposer à sa convenance.

Ils l'installèrent à quatre pattes et l'homme dans son dos entreprit de lui triturer le trou du cul.

- Aieeeeeeeeeeeeeeee... Glapit-elle alors que le vieux bâtard intro-duisait sa pine dans son oeillet resserré.

- Aaaaaaaaaaaahhhhhh... Ohhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhh... hurlait-elle alors qu'il lui ramonait vigoureusement le trou du cul.

Mais ses plaintes et ses pleurs se turent bien vite, étouffés par la bite que troisième asiate venait de lui fourrer en bouche alors que Nasha Jo-nes lui susurrait :

- Ce doit être une nouvelle manière de manger chinois, ne croyez-vous pas? Alors qu'ils se tortillaient tous trois sur le lit.

Une seule que les trois Asiatiques s'eurent vidé les couilles dans les ori-fices naturels de sa femme,

Ils récupéraient enlacés tous quatre sur le grand lit circulaire Jack re-monta la fermeture éclair de sa braguette et sortit de la chambre pour prendre sa femme et rentrer chez eux.

Mais, comme il posait la main sur la cliche de porte pour pénétrer dans la chambre ou se trouvait Bonnie et ces trois bâtards d'asiates, Nasha posa sa main sur la sienne et intervint :

- Pourquoi briser leur plaisir? Vous ne voulez sûrement pas gâcher leur séjour en les privant de leur jouet? Rentrez chez vous Jack... Ils sont venus en limousine et je suis sure qu'ils seront très heu-reux de vous ramener votre femme demain dans l'après-midi... Lorsqu'ils auront fini de s'amuser avec elle!

Sur ces mots Nasha rejoignit la fête, appelée par certains invités aban-donnant Jack la main toujours posée sur la cliche de porte.

Lâchant le bouton de porte il prit place derrière un judas libre pour regar-der ce qui se passait maintenant dans la pièce.

Cette fois un asiatique efflanqué écartait en grand les cuisses de Bonnie fourrant saucisse jaune dans sa chatoune engorgée de foutre, la labourant quelques instants avant de se vider en elle en grognant.

Alors qu'un autre salopard faisait la queue pour jouir de ses charmes, Jack soupira piteusement et partit se servir un verre au bar.

Avant qu'il reparte... Seul, Nasha se lova dans ses bras alors qu'il se servait un autre scotch lui disant :

- Elle ne sait pas que vous l'avez vue se faire baiser par Mort et ces asiates! Il vaudrait mieux que fassiez semblant de l'ignorer! Lorsqu'elle me demandera pourquoi vous l'avez abandonnée, je lui répondrais que je vous ai menti... Que je vous ai prévenu que le verre que je vous ai offert était visiblement trop fort pour elle et que je vous ai emmenée vous reposer dans une chambre d'amis... Puis que je vous ai assuré que vous rentrerez en sûreté demain une fois bien reposée! Lorsqu'elle rentrera, vous aurez juste à prétendre que vous ne vous tracassiez pas pour elle et pour sa sé-curité, n'insinuez pas un mot au sujet de sa nuit de débauche!

Il tourna les yeux dans la direction que regardait Nasha, interpellé parce qu'elle lui disait :

Avant cela, il semble que cela prenne un certain temps pour qu'elle contente ses admirateurs qui font la queue! Il y a une bonne vingtaine de mecs faisant la queue pour goûter aux charmes votre charmante femme!

Le lendemain, Jack attendait avec une certaine impatience la limousine qui devait lui ramener sa femme.

Il se demandait si Bonnie avait dormi un instant au cours de cette longue nuit de débauche.

Se versant un scotch il se dit :

- Tu ne dois pas lui laisser soupçonner que tu es au courant de ce qui s'est passé cette nuit!

- Elle ne doit pas savoir que tu l'as vue se faire baiser par tous ces hommes!

Puis Jack se dit qu'elle devrait être trop fatiguée pour préparer le souper, il commanda alors un repas chez un traiteur, des plats chinois.

Puis se remémorant l'épaisse crème onctueuse que le gros Wo avait éjaculé sur sa langue pointée, il pensa qu'effectivement manger chinois devrait lui plaire.

- FIN DE L'EPISODE.

24 février 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 10 ans
bravo, mais ...

Bonjour, j'ai lu tous vos titres. J'aime bien.Je ne suis pas un sadique ni un obsédé, mais la plupart des hommes aime lire ce genre! Puis-je faire 2 critiques? Tout d'abord le scénario drogue - viol - dépendance est un peu trop récurant ... Ensuite, c'est plus personnel, mais je sais que beaucoup pensent comme moi : ce serait tellement mieux avec des prémices : la robe déboutonnée et la découverte des formes, les caresses et la lente sortie des seins, le déshabillage qui continue, les caresses autour du slip, la lente descente de celui-ci permettant la découverte de quelques poils, puis petit à petit la chatte offerte ....Les prémices, c'est ce qu'il y a de plus jouitif ! Bien à vous. Au plaisir de vous lire.

AnonymousAnonymeil y a environ 16 ans
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Franchement, l'histoire n'est pas mauvaises en soi, mais ca fait au moins 10 fois que je la lis. Les noms et les situations changent, mais l'histoire reste la même. Allez Coulybaca, il est grand temps que tu traduise autre chose. Tes histoires originales ne sont pas mauvaises. Ici, tu perd ton temps.

AnonymousAnonymeil y a environ 16 ans
vivement la suite

j'espère qu'il y a une suite à cette histoire.. je suis impatient de voir tout ce que cette charmante et innocente Bonnie va subir sous les yeux de son cocu de mari

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