Bonnie Se Fait Partouser Ch. 01

Informations sur Récit
Une jeune femme droguée se fait sauter.
6k mots
4.36
101.9k
5
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 03/21/2008
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La ravissante Bonnie se fait partouzer 1

Banging Beautiful Bonnie!

Coulybaca / Black Demon

Jack et Bonnie Speer venaient tous deux de franchir le cap de la trentaine, ils étaient mariés et heureux en ménage depuis quelques 5 ans, ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre lors de leurs années de fac.

Jack avait déjà été invité à plusieurs reprises aux fêtes que donnait son patron qui était propriétaire du cabinet d'architecture, mais toujours dans le cadre professionnel et sans la présence des épouses.

Il semblait qu'Abner Jones s'était pris d'amitié pour Jack qu'il avait pris sous son aile, du coup la carrière de Jack avait été rapide et pour la première fois il se voyait convié avec son épouse à une fête privée de son patron.

Il venait tout juste d'être promu au poste de vice-Président du département vente d'outremer.

C'est ce qui leur valait cette invitation où ils allaient rencontrer les amis de leur patron et quelques gros bonnets des compagnies partenaires, dont certaines dépendaient du secteur de vente d'outremer dirigé par monsieur Jones.

On pouvait y côtoyer un haut dignitaire asiatique avec lequel Abner Jo-nes voulait traiter des affaires au travers de compagnies relais cachant les identités véritables des partenaires.

En fait, de tels compagnies participaient à des affaires plutôt louches telles que la production et l'édition de films pornographiques.

A leur arrivée, la fête se déroulait depuis déjà un bon moment, c'était loin d'être la fête guindée et classique à laquelle ils s'attendaient, en fait c'était quasiment à l'opposé : une musique syncopée baignait la salle alors que de nombreux serveurs s'empressaient auprès des hôtes s'assurant qu'ils ne manquaient pas de boisson, un épais nuage de fu-mée bleuissait l'atmosphère.

L'ambiance était chaleureuse, conviviale, insouciante, tous les invités semblaient s'amuser en chœur.

C'était une toute nouvelle expérience pour Jack et Bonnie qui n'avaient jamais participé à de telles liesses.

En fait, c'était le type même de partie dont on parlait dans les tabloïds et les magazines people.

Certains fumaient des joints de marijuana, alors que d'autres prenaient de la cocaïne, du crack ou de l'ice.

Jamais les Speer n'auraient pensé qu'Abner Jones puisse organiser ce type de fête.

Ils ne s'attendaient pas du tout à se retrouver dans une telle ambiance, s'ils l'avaient su, ils se seraient empressés de refuser l'invitation n'ayant jamais expérimenté de drogues ils se sentaient totalement déplacés.

Cependant le fait que leur invitation émanait directement d'Abner Jones aurait entraîné d'immenses difficultés pour la refuser.

Le mardi dernier, monsieur Jones était personnellement venu dans le bureau de Jack pour les convier lui et sa femme à une parie qu'il organi-sait avec sa femme chez lui ce week-end.

Son patron lui avait indiqué que ce n'était pas une réunion professionnelle mais une réunion regroupant ses amis personnels.

Cependant quelques dignitaires éventuels partenaires asiatiques ris-quaient de se joindre à eux, il lui avait signalé par la même occasion que ce serait une réunion totalement informelle et conviviale.

Jack l'avait remercié de les inviter, il était pratiquement sur que sa femme était libre ce soir là.

Le lendemain Jack informa son patron qu'ils seraient contents de se joindre à eux, le remerciant vivement de les inviter.

Jack avait entendu circuler des rumeurs sur les parties organisées par Abner Jones, il semblait qu'on y fumait de la marijuana et que la cocaïne et autres drogues dures y circulaient librement, mais il avait repoussé ces on dit comme de simples calomnies.

Une autre rumeur prétendait qu'un jour un invité l'avait pris de haut refu-sant son invitation, Abner l'avait alors pris en grippe ruinant sa carrière à partir de ce jour.

Les femmes de deux autres invités auraient snobé les participants à une de ces fêtes, provoquant le transfert rapide de leurs maris dans des ré-gions très éloignées à la limite du monde civilisé, pour y débuter une nouvelle carrière.

Bonnie avait été élevée dans un monde très conservateur empreint de concepts religieux très stricts avant de tomber follement amoureuse de son futur mari à la fac.

Le marché de l'emploi était très peu soutenu dans le monde de la mode, et elle avait accepté un boulot d'assistante en attendant de trouver un poste dans son domaine de compétence.

Elle avait constaté la nervosité de son mari pendant le dîner et lorsqu'il l'avait informée de l'invitation de son patron, il lui avait confié les rumeurs qui circulaient au sujet de ces fêtes.

Mais Bonnie avait adopté une approche positive en la matière, la promo-tion de Jack la réjouissait, elle lui avait confié qu'il serait mal venu pour la suite de sa carrière de refuser cette invitation de son patron.

Bonnie sourit à son époux et annonça :

- Chéri, nous devons répondre à son invitation! Ne te tracasse pas pour moi... Je suis une grande fille apte à prendre soin de moi-même! De plus ce ne peut pas être plus paillard que certaines soirées de ma fraternité!

Mais la fraternité à laquelle avait appartenu Bonnie était l'une des plus conservatrices de la fac, elle pensait que jack avait largement exagéré les rumeurs qui couraient sur les fêtes organisées par son patron.

Il y avait eu quelques soirées hors-normes, co-organisées avec une fraternité plus tapageuse, mais à chacune de ces occasions, Bonnie se défilait prétextant un rendez-vous avec Jack.

Le vendredi, Bonnie avait dans l'idée de séduire Jack en portant un négligé blanc follement sexy qui révélait le détail de ses courbes volup-tueuses.

Cela faisait un bon moment qu'ils avaient idée de fonder une famille, mais ils avaient attendu d'avoir les ressources financières nécessaires.

Avec la fulgurante carrière de Jack et les très importantes augmentations de son salaire, et maintenant cette ultime promotion en tant que vice-président d'un département de vente, ils étaient tombés d'accord pour qu'elle arrête la pilule pour leur cinquième anniversaire de mariage.

Et maintenant, 2 mois plus tard, elle était mûre et fertile à cette période de son cycle.

Mais Jack était trop fatigué par son boulot et malgré ses efforts il n'arrivait pas à se montrer à la hauteur, forçant Bonnie à se résigner à remettre ses désirs de grossesse à une date ultérieure.

Soucieux de ne pas arriver trop tôt à la soirée, ils arrivèrent dans sa ma-gnifique demeure devant laquelle étaient rangées des Mercedes, Ja-guars, BMW et autres voitures de luxe.

Il y avait aussi plusieurs limousines avec les chauffeurs qui attendaient la fin de la soirée assis au volant.

Le fait d'arriver dans leur vieille voiture, qui dénotait la différence de ni-veau social avec les autres invités, les gênait fortement.

En entrant dans la luxueuse demeure ils constatèrent que la partie était lancée une ambiance très conviviale émanait de la salle enfumée.

On aurait dit un bordel méditerranéen tels qu'on les voit dans les films, une odeur puissante de haschisch saturait l'atmosphère.

Dés leur entrée, Abner et sa ravissante femme Nasha les rejoignirent pour les saluer gracieusement, leur hôtesse tendit à Bonnie une boisson rosée en commentant :

- Chérie, savourez ce cocktail, c'est mon préféré, suivez-moi, je vais vous présenter aux autres invités, Abner veut parler affaire avec votre mari et l'introduire auprès d'importants invités asiatiques!

Tandis que Nasha l'entraînait au travers de la salle la présentant à diffé-rents convives, Abner introduisait Jack auprès de gros bonnets visiblement très riches, lui révélant qu'il avait en tête de conclure quelques affaires bien juteuses avec ces représentants de consortiums asiatiques.

On tente d'établir des liens commerciaux avec ces chinois et il est bon que tu les rencontres! Ils sont très méfiants et je n'ai pas encore trouvé leur point faible, mais peut-être qu tu y arriveras mieux que moi! J'ai dî-né avec eux à plusieurs reprises, mais je n'ai pas avancé d'un pas pour l'instant.

Vingt minutes plus tard, après avoir traversé la salle de part en part, Leurs hôtes présentèrent Jack et Bonnie à trois invités asiatiques qui se courbaient en leur serrant les mains.

Abner remarqua tout de suite la façon dont le gras et gros chinois nom-mé Wan Ho tenait la main de Bonnie visiblement enchanté d'être présen-té à cette ravissante jeune femme.

Tandis qu'ils discutaient et plaisantaient, Abner se rendit compte que ces chinois étaient particulièrement lubriques, ils ne pouvaient détourner les yeux des voluptueuses formes de la jeune épouse de son collaborateur, il ne pensait d'ailleurs pas à les en blâmer.

- Hummmmm, peut-être bien que cette somptueuse blonde repré-sente la clé pour les faire signer le contrat. Je suppose que ces chinois ne se contenteront pas d'un bon repas, ils veulent surtout goûter à une chatoune blonde. Pensait Abner ravi.

Cette pensée perverse lui restait à l'esprit, et avant qu'ils ne partent rejoindre d'autres invités, Abner prit à part le leader du groupe et lui susurra à l'oreille :

- Que diriez-vous, Cher Wan, si cette magnifique pouliche servait de bonus à la signature du contrat avec votre compagnie?

Alors qu'ils se dirigeaient vers d'autres invités, le leader du groupe de chinois demanda à Abner s'il pouvait lui consacrer un peu de son temps.

Abner demanda alors à sa femme de présenter Jack et Bonnie à d'au-tres convives se trouvant au beau milieu de la salle, de façon à pouvoir discuter librement avec Wan Ho.

Après avoir été introduit auprès de nouveaux convives, Jack observait son patron et l'Asiatique discutant l'un avec l'autre tout en hochant la tête pour marquer leur accord.

Puis Jack vit le leader du groupe de jaunes retourner vers ses associés, ils sourirent à pleines dents hochant la tête avec enthousiasme, alors que monsieur Abner faisait signe à quelqu'un se tenant dans un coin éloigné de la salle de les rejoindre.

Il vit alors un homme à qui il avait été présenté, un véritable colosse noir prénommé Mort, rejoindre Abner qui le présenta au groupe de jaunes.

Chaque asiatique semblait enthousiaste de rencontrer cet homme, ils souriaient tous à pleines dents se courbant à chaque serrement de main.

Lorsqu'il revint vers Jack, Abner il lui dit en riant :

- Cette soirée a porté ses fruits! Monsieur Ho est ravi de vous avoir rencontré toi et ton adorable femme. Il m'a demandé si tu viendrais m'assister lors de mon voyage en Chine, je l'ai assuré que cela pourrait s'arranger et que t'étais un jeune homme digne de confiance...

- Je suppose qu'il faudra donc que je t'emmène avec moi en Chine, je me verrai alors obligé de doubler tes appointements habituels... Qu'en penses-tu mon gars?

Au fin fond de lui-même Abner pensait : j'aurai du comprendre tout de suite qu'ils attendaient qu'on leur offre un somptueux morceau pour les amener à signer le contrat!

Ce marché fera ma fortune, riant intérieurement, Abner ne parvenait pas à croire que Wan voulait seulement qu'il s'arrange pour qu'il puisse par-touser la somptueuse femme de Jack avec ses amis ce soir même.

De plus ce salaud de chinois veut que Mort leur donne un savoureux spectacle en se faisant cette innocente jeune femme.

- Un statut de délégué spécial et un salaire doublé! C'est fantasti-que!

- Il va falloir faire attention à ce que monsieur Ho et ses associés vont me demander! Il faut que je m'empresse de mettre Bonnie au courant! Pensait-il enchanté.

Jack ignorait que Mort était reçu comme une célébrité par le groupe des asiatiques et pour une bonne raison, il avait participé à un grand nombre de films X produit par une société secrète d'Abner Jones.

Les deux derniers films qu'il avait produit, avec Mort en vedette princi-pale, avaient été distribués dans le marché underground, c'était une ré-ussite importante.

Dans ces deux dernières productions, Mort violait des jeunes asiatiques, devant leurs malheureux compagnons ligotés qui regardaient leurs com-pagnes terrifiées se faire agresser.

Mais avant que Jack puisse informer Bonnie de la bonne nouvelle, Abner insistait pour le présenter un peu mieux à ces importants invités, après avoir donné consigne à Nasha d'éloigner la ravissante jeune femme.

Nasha était ravie du rôle que lui faisait jouer son époux dans l'éventuelle dégradation de cette belle jeune femme guindée et innocente, d'autant plus qu'elle constatait l'amour aussi réciproque que profond qui l'unissait à son époux.

Mais cela devrait changer très bientôt!

- Je vais adorer le voir regarder sa femme bon chic bon genre se faire baiser par le grand Mort et ces chinois pervers!

Jack cherchait des yeux son adorable femme, il voulait s'assurer que Bonnie appréciait cette soirée sachant à quel point elle était conserva-trice et naïve.

Bien qu'il connaisse les rumeurs concernant ses prédécesseurs qui avaient refusé leur promotion, Bonnie était la chose la plus précieuse dans sa vie, et Jack voulait surtout que rien ne vienne perturber son innocente jeune femme l'amenant à prématurément quitter la soirée au grand désagrément d'Abner Jones et de son épouse avant même qu'il ait pu lui dévoiler sa nomination dans un nouveau travail à l'étranger et le doublement de son salaire.

Il fut heureux de constater que Bonnie riait et souriait à tous dans le sil-lage de madame Jones, il ne lui restait plus qu'à espérer bien que les choses ne se gâteraient pas.

En peu de temps Bonnie et Jack se retrouvèrent dans des coins totale-ment opposés de la grande salle de réjouissance.

Ne voulant pas paraître faible aux yeux de son patron, Jack tira une première bouffée d'un joint et en ressentit tout de suite l'effet planant.

Pendant ce temps, loin de l'autre coté de la pièce, son adorable jeune épouse vêtue de sa robe beige qu'elle avait achetée spécialement pour cette occasion, était assise entre deux des démoniaques asiatiques à qui elle avait été présentée quelques instants plus tôt.

Et Bonnie sirotait un nouveau verre de ce délicieux cocktail rose que son hôtesse venait de lui tendre, mais ce nouveau verre contenait une important dose d'un puissant aphrodisiaque indétectable, alors qu'elle venait d'en consommer une première dose.

Jack réalisait à quel point son adorable épouse était séduisante dans cette tenue avec ses longs cheveux blonds cascadant sur ses épaules.

Comme la soirée avançait, on tamisa les lumières les coussins délimi-taient maintenant le plancher de la vaste salle.

Installés sur ces coussins de nombreux invités étaient étendus s'accor-dant des caresses amoureuses.

Les yeux brumeux Jack ne distinguait pas grand chose dans l'atmos-phère enfumé, il était totalement incapable de repérer son adorable jeune femme.

Abner le vit soudain se lever, prétextant devoir se rendre aux toilettes, puis se diriger lentement vers l'autre bout de la salle.

Abner gloussa, il savait pertinemment que le jeune crétin s'inquiétait du sort de sa somptueuse jeune femme, d'autant plus qu'il savait que les toilettes les plus proches se trouvaient juste à la gauche de l'endroit où ils se tenaient.

La salle était maintenant totalement obscurcie, Abner constata l'air cho-qué qui s'afficha sur le visage de jeune homme lorsqu'il se rendit compte que beaucoup de couples illégitimes s'enlaçaient dans les coins les plus sombres se caressant visiblement avec lubricité, il y avait même un cou-ple qui copulait dans le coin le plus sombre.

Suivant le jeune époux à distance Abner sourit se demandant :

- Et que vas-tu faire mon cher Jack... Quand tu trouveras ton inno-cente femme si pure dans les bras de nos amis chinois! Mieux encore que feras-tu quand tu verras qu'ils ont demandé à Mort de la poignarder de son énorme braquemart noir!

Ayant consommé de nombreuses boissons, Jack avait vraiment besoin de faire un tour aux toilettes, il fit le détour nécessaire pour se libérer la vessie avant de continuer ses recherches.

Il ne pouvait qu'espérer qu'elle n'était pas trop choquée par l'affichage impudique des couples en pleine activité sexuelle qui se vautraient de ci de là, sur des coussins, dans toute la pièce.

Lorsqu'il se tenait dans les toilettes il avait entendu une paire de drogués plaisanter et rire en échangeant des commentaires lubriques :

- J'ai hâte d'assister au clou de la soirée! J'ai entendu dire que c'était un véritable show!

Son interlocuteur lui répondit alors :

- Vouai, je ne manquerai ça pour rien au monde! Ce Mort est une véritable célébrité en extrême orient! Bordel j'ai un CD de ses exploits et crois moi ça c'est un vrai baiseur! Une scène particuliè-rement était drôlement chaude : une jeune beauté asiatique hurlait de douleur alors que Mort plongeait sa monstrueuse bite dans sa chagatte... Tout cela sous les yeux de son mari ligoté sur une chaise et obligé de regarder cet agresseur noir violenter sa jeune épouse!

En sortant des toilettes, Jack jeta un coup d'œil circulaire, puis descendit un long vestibule jetant un oeil dans les petites pièces peu éclairées qui le bordaient, y observant de nombreux couples qui dansaient, se trémoussant lentement au rythme lent de la musique.

Une forte odeur d'encens mêlée au parfum prenant du haschisch que diffusaient des pots disséminés dans les salles maintenait un haut degré d'intoxication et Jack en ressentait les effets délétères à chaque inspira-tion.

Ses yeux habituaient à la pénombre, mais il ne trouvait toujours pas trace de Bonnie, il commençait à s'inquiéter, se demandant si elle ne l'avait pas cherché désespéramment avant de quitter cet antre de dépra-vation.

Retenant son souffle, Jack ne parvenait pas à s'enlever de l'idée qu'un de ces foutus batards pouvait avoir tenté de la suborner sachant très bien qu'elle ne supporterait pas une telle agression.

Abner espérait que sa ravissante mais perverse femme avait exécuté sa tâche en constatant que l'adorable Bonnie Speer avait consommé suffisamment d'aphrodisiaque pour lever ses inhibitions, sachant pertinemment que cet aphrodisiaque l'amènerait à désirer franchement avoir une grosse bite dans sa petite craquette.

Son cocktail contenait par ailleurs une bonne dose de drogue qui affaiblissait ses défenses lui interdisant de coordonner ses mouvements tout en la laissant parfaitement consciente de ce qui lui arrivait.

Abner suivait toujours l'insensé mari et l'observait attentivement fouiller des yeux la pièce toujours à la recherche de sa succulente jeune femme alors que des couples plus ou moins déshabillés, s'étreignaient à diffé-rents stades de rapports charnels.

Poursuivant lentement son chemin sur le côté de la vaste salle, il traver-sa une petite pièce en jetant un coup d'œil rapide sur une blonde portant robe beige semblable à celle de sa femme qui se trouvait assise sur un sofa mais il n'aurait pas su dire si c'était ou non sa chère Bonnie.

Il ne parvenait pas à voir son visage, mais il doutait que ce soit sa femme, elle ne se serait pas laissée embrasser par un asiatique qui lui pétrissait les nichons au travers de sa robe. C'était sûr ça ne pouvait pas être Bonnie! Se disait Jack alors que la jeune femme n'opposait aucune résistance à son suborneur.

Au moment où il allait reprendre ses recherches, un autre asiatique s'as-sit à son tour sur le canapé et posa une main sur le genou gauche de la jeune femme, la seconde suivante sa main disparaissait sous l'ourlet de la robe de sa conquête.

- Bordel quelle salope! Pensa Jack en reprenant sa route.

Jack Speers ne pouvait s'empêcher de sentir son excitation croître à la vue tant de femmes sexuellement actives, disposant sans pudeur de leur corps, mais il était tracassé de savoir ce qu'en pensait sa jeune et naïve épouse si conservatrice.

Ayant fouillé toute la grande salle, il n'avait pas retrouvé son aimée, il se demandait s'il ne l'avait pas vue ou si elle avait quitté la fête.

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