Bonnie Se Fait Partouser Ch. 02

Informations sur Récit
Bonnie appartient au patron de son mari puis à des vieux.
6.6k mots
4.28
74.9k
3

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 03/21/2008
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La ravissante Bonnie se fait partouzer 2

Banging Beautiful Bonnie!

Coulybaca / Black Demon

**********************************

Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite logique de

La ravissante Bonnie se fait partouzer 1

"Banging Beautiful Bonnie! 1".

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Clignant des yeux alors qu'elle essayait de reprendre ses esprits dans la grande chambre légèrement éclairée, Bonnie frémit alors que l'adorable Nasha Jones, l'hôtesse de cette soirée de débauche, elle lui tenait la tête une main sur la nuque l'invitant à savourer la délectable potion qui la droguait.

Regardant sa souriante hôtesse droit dans les yeux, Bonnie souffla :

- Jack... Où est Jack? Où se trouve mon mari?

Son avenante hôtesse lui sourit sans lui répondre alors que des mains calleuses caressaient l'intérieur de ses cuisses, elle se mit à trembler en réalisant qu'un pénis viril parcourait sa fentine cherchant sa cible avant de s'enfoncer sans effort apparent dans sa chatoune accueillante.

Nasha se pencha alors vers son visage l'avisant :

- Ne te ronge pas les sangs chérie... J'ai dit à ton petit mari qu'apparemment tu étais allergique à la boisson que je t'ai offerte, qu'elle t'avait affectée profondément, et que, de ce fait je t'avais invitée à te reposer dans une chambre d'amis.

- J'ai ajouté que tu dormais profondément et que tu étais e de bonnes mains... Comme celle dans lesquelles tu te trouves maintenant!

- J'ai terminé en lui disant que tu irais faire un tour chez toi cet après-midi...

- Cet... Cet après-midi... Demanda Bonnie épatée de voir que tant de temps s'était écoulé.

- Heu... Sait-il... Sait-il ce que... Ce j'ai fait? Interrogea-t-elle éperdue à Nasha.

Bien qu'elle aurait adoré voir le visage de cette innocente oie blanche afficher l'horreur de savoir que son mari avait assisté à sa déchéance, elle rétorqua :

- Non, il n'a aucune idée de qui s'est passé dans cette chambre... Il ne sait pas que tu as accueilli les tente centimètres de l'énorme bite de Mort dans ta chatoune distendue... Il ne sait pas quelle fieffée salope il a épousé... Il ne sait rien de la nuit de débauche de sa jeune femme supposée si innocente et fidèle! Il ne sait pas plus qu'une soixantaine de bâtards pervers ont profité des charmes de sa chienne de femme! Chinois, Japonais, Coréens, Indonésiens, Vietnamiens, Philippins, Thaïs... Tu as essayé toute la palette des asiatiques cette nuit!

- Oohhhhhhhh... Ohhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu! Palpitait Bonnie alors que l'homme posté entre ses cuisses coulissait avec vigueur dans sa petite chatte inondée.

Ses sphincters vaginaux se crispaient et se décrispaient sur sa bite alors que son jus s'écoulait à flot de sa foufoune, il se tétanisa soudain et gicla profondément enfoncé dans sa grotte embrasée.

Jamais Bonnie ne s'était jamais sentie aussi dépravée alors que l'Asiate lui susurrait :

- Oh ma petite chérie d'américaine, Jim Tseu serait très honoré d'être celui qui t'implante un petit bébé jaune dans le ventre!

Ce qui venait de lui donner tant de plaisir quelques instants plus tôt la révulsait maintenant alors qu'il venait de remplir sa chatoune de son infâme semence active.

Cherchant à reprendre haleine alors qu'elle serrait maintenant ses muscles vaginaux pour l'expulser de sa chatte, elle tentait de rassembler ses esprits pour réfléchir lucidement.

- Dieu merci, Jack ne sait rien de mon infidélité... Que j'ai eu des rapports sexuels avec un autre homme... D'autres hommes, un nombre incalculable! Frémit-elle soudain.

- Presse-toi Jim Tseu, magne-toi le cul c'est mon tour maintenant!

- Ca devrait être le mien... Dao Pang devrait être celui qui... Comme ils disent... Qui engrosserait cette pute américaine! Entendit-elle soudain un autre asiatique intervenir.

Elle parvint alors à expulser la bite ramollie de Jim Tseu de sa chagatte, ainsi qu'un flot de foutre crémeux qui s'écoulait de sa foufoune béante alors que déjà une nouvelle mentule bandée se plantait dans sa fente engorgée de foutre.

Quelques secondes plus tard, le nommé Dao Pang la labourait vigoureusement de sa bite fine et allongée sans se soucier de lui donner du plaisir mais de prendre le sien en abusant de ses charmes.

- Ahhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... Grogna-t-il soudain alors qu'une bonne dose de sperme éclaboussait son intérieur.

Une fois que Dao Pang eut fini de projeter son ignoble jus au fond de sa foufoune asservie, un autre homme l'enfourcha et se mit à son tour la ramona énergiquement.

C'est alors qu'un autre enfonça ses doigts dans sa chevelure blonde lui tournant la tête sur le coté et une bite répugnante fora son chemin entre ses lèvres.

Bonnie reconnut la voix, elle appartenait au chef de la délégation chinoise, c'était le nommé Wo qui lui dit :

- Eh oui ma chérie, c'est le moment de te remettre à sucer une bite ma chère madame Speers! Rappelle-toi comment j'ai déjà englué ta langue agile ma chérie, cette fois je vais te faire un onctueux masque facial!

Un asiate après l'autre chaque homme eut la fierté de se la faire de façon conventionnelle lui disant çà chaque fois à quel point ils seraient honorés d'être celui qui l'engrosserait!

Apparemment la queue s'avérait trop longue pour certains impatients et Bonnie se retrouva couché sur un homme alors qu'un autre la sodomisait vigoureusement alors qu'un dernier lui fourrait sa bite entre les lèvres!

On lui saisit les poignets et ses mains se retrouvèrent sur deux pines qu'elle entreprit machinalement de masturber.

L'un d'eux était si gros et laid que Bonnie avait des nausées rien qu'à la vue de son gros ventre débordant de son caleçon.

Elle était maintenant seulement capable de rester à genoux, on lui tenait les chevilles alors que des pervers glissaient leurs bites contre ses soyeuses plantes de pieds, tout de suite elle les sentit éjaculer sur ses orteils.

Comme la majorité de ces asiatiques n'avaient jamais eu la possibilité de se faire une ravissante américaine auparavant, et de plus une somptueuse blonde, ils essayaient tous de satisfaire des phantasmes sexuels refoulés depuis de nombreuses années.

Une paire d'entre eux n'avait jamais du voir de chevelure blonde aussi soyeuse, ils adorèrent voir la jeune femme grimacer alors qu'ils enveloppaient leurs bites de ses longues mèches d'or les testicules frottant sur son front, ils déchargèrent alors leur foutre dans sa chevelure dorée.

Et, en tableau final, Bonnie grimaça et tourna la tête alors qu'une douzaine de bites projetaient leur gourme sur son visage, ses cheveux, ses nichons et son cou.

Ils lui jetèrent alors deux serviettes sèches afin qu'elle se nettoie.

C'est vers trois heures de l'après-midi, alors que Jack s'était effondré sur leur sofa après avoir trop bu de scotch lorsqu'une plume lui chatouilla le nez, le réveillant en sursaut.

Clignant des yeux, il avala sa salive à la vue de Nasha Jones lui souriant une plume entre les doigts.

- Ma femme... Où est-elle?

- Où est Bonnie? Balbutia-t-il incompréhensif.

- Oh elle est à l'étage, elle se rafraîchit! Elle avait grand besoin d'une bonne douche... Une douche vaginale... S'il est encore temps!

Elle avait peur de rentrer avec Wo et ses amis, elle avait peur que vous soyez en colère contre elle, d'autant plus que sa robe était couverte de foutre! Aussi nous a-t-elle priée de la ramener, elle nous a invité à souper pour que les choses se passent au mieux! Après tout, c'est elle qui a vous a permis d'obtenir une si importante promotion!

Quelques secondes plus tard, Abner Jones apparut lui tendit un bon verre de scotch écossais.

Deux scotchs plus tard, Jack avala sa salive en voyant sa superbe femme apparaître au bas de l'escalier, elle était toujours aussi élégante dans la tenue sombre qu'elle avait revêtu.

Un frisson d'excitation couru au travers de son corps alors que Bonnie se penchait sur lui pour lui donner un petit sur les lèvres, lui disant :

Pourquoi n'irais-tu pas prendre une douche rapide pour te rafraîchir un peu, je prendrai soin de ton patron et de sa femme le temps que tu redescendes!

Hochant la tête en signe d'approbation, il remonta l'escalier pour prendre une douche et se remettre les esprits en place.

Il saisit un caleçon propre dans sa penderie puis il gagna la salle de bain.

Il enlevait sa chemise sale en entrant dans la salle de bain et ouvrit la corbeille à linge pour y jeter ses effets sales.

Il se figea alors à la vue de la robe beige de sa femme roulée en boule, avec au-dessus sa petite culotte blanche qu'il avait vu Wo lui ôter pour la porter à ses narines.

Saisissant la petite culotte entre pouce et index, la fragile parure semblait lourde et empesée, elle était couverte d'une épaisse croûte et sévèrement décolorée par le jus de corps d'homme qui l'avait souillée.

La portant à ses narines, Jack frissonna en inhalant la lourde flagrance de sperme, plusieurs hommes s'en étaient servis comme d'un chiffon pour se nettoyer la bite, le fond qui, était détrempé par les flots de foutre mêlé à de la cyprine qui s'étaient échappés de la chatte engorgée de Bonnie.

Il se doucha et se rasa avant de se vêtir élégamment et de redescendre au rez-de-chaussée, il avala un nouveau scotch alors que Bonnie lui tendait un plat de steaks qu'elle venait de sortir du réfrigérateur afin qu'il se charge de les faire griller.

Alors que Nasha se penchait sur lui alors qu'il s'exécutait, il entendit soudain Bonnie l'informer :

- Chéri, le temps que tu prépares la braise pour cuire les steaks je vais présenter la maison à Abner!

Jack se retourna pour voir sa ravissante épouse précéder son patron dans l'escalier.

Se penchant sur sa gauche, il essayait de voir au-delà de la cage d'escalier qui lui bouchait la vue, Jack aurait juré que la main noire de son patron se promenait sur la croupe de son épouse avant qu'ils ne disparaissent dans l'escalier.

Déjà Nasha s'approchait de lui, lui murmurant à l'oreille :

- Vous êtes-vous rendu compte que mon cher mari veut profiter des charmes de votre somptueuse épouse?

Jack allumait le barbecue, d'abord des petits morceaux de bois puis, le charbon de bois, levant les yeux vers leur chambre conjugale, il voyait la chevelure blonde de sa femme et son dos.

Il cligna une nouvelle fois des yeux, il aurait juré que s'il avait d'abord vu le dos de la robe de sa femme et il voyait maintenant sa croupe blanche!

Sa mâchoire lui en tomba en voyant la main noire de son patron caresser la peau lisse et soyeuse de ses fesses.

Effarouché, il sentit soudain Nasha empoigner sa bite rigide au travers de son pantalon, il avala sa salive tandis que la femme d'Abner l'informait

- Sur le chemin il m'a dit qu'il voulait se faire ta femme sur son lit conjugal, et regarde maintenant!

Alors que les deux personnages disparaissaient de leur vue, elle sortit de son sac son téléphone qui sonnait.

Elle l'alluma et regarda l'écran, elle lui souriait de toutes ses dents alors qu'elle jetait un oeil sur la retransmission en cours.

Puis elle tourna l'écran vers lui demandant.

- Ne trouves-tu pas cette chambre familière?

Il se pencha en avant pour mieux voir, il constata qu'il s'agissait d'un couple dans une chambre.

Se penchant encore plus il comprit pourquoi cette chambre lui semblait si familière, c'était leur chambre conjugale au premier.

A l'insu de sa femme qui ne soupçonnait rien, après avoir pressé le bouton d'appel de sa femme, il avait posé son portable sur une commode, dirigé vers eux, la caméra démarrée.

Sur le petit écran on voyait clairement l'élégant noir presser contre lui sa femme qui le suppliait :

- Monsieur Jones... Abner... Je vous en prie, mon mari doit attendre que nous redescendions! Il... Il va se demander où nous sommes!

Mais cela n'empêchait pas son patron de lui descendre sa robe dénudant ses deux nibards, Jack entendit ensuite sa femme défaillir alors que son patron embouchait ses tendres tétons.

- Ooooooooohhhhhhhhhh... Oh, monsieur Jonesssssss... Ohhhhhhhhhhhhhhhh! Gémissait Bonnie alors que sa robe et sa petite culotte de dentelle noire étaient repoussée sur ses jambes.

Elle était maintenant allongée sur leur lit, elle ne portait plus que ses hauts talons noirs, ses soyeuses jambes blanches contrastaient extraordinairement avec le corps noir ébène de son patron.

Comme Nasha avait mis le portable sur haut-parleur Jack entendait sa délicieuse femme couiner :

- Ohhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii... baisez-moi... bourrez-moi votre grosse bite dans la chatoune! Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii!

Jack ne pouvait s'empêcher de penser :

- Comment les choses pouvaient-elles être si différentes d'un jour à l'autre!

Dans cette courte période du temps, moins d'un jour de fait, Jack avait sa femme innocente se faire baiser par un nombre incalculable d'étrangers.

Pantelant d'excitation il voyait maintenant sa femme et son patron forniquer allégrement à l'étage, alors que Nasha la branlait lascivement.

Sa femme avait ses cuisses blanches verrouillées dans le dos ébène de son patron, son patron se penchait sur elle bourrant sa grosse bite jusqu'à la racine dans sa chatte juteuse, il se tétanisa soudainement!

Quelques secondes plus tard Jack explosa entre les mains de Nasha en entendant sa femme hurler :

- Oh oui... oui... Gicle dans ma chatteeeeeeeeeee!

L'éjaculation de Jack fut bien prêt d'éteindre son barbecue qui venait de prendre un bon départ.

Cette nuit même, une fois leurs hôtes repartis, Bonnie était un peu stressée, elle avait peur que son mari ne soupçonne ce qui s'était passé la nuit dernière pendant la fête chez son patron.

D'après ce que lui avait dit Nasha, Jack n'avait rien vu et ne se doutait même pas de son infidélité, quant à elle-même elle mettait cette nuit de dépravation sur le compte de la trop grande absorption d'alcool.

Elle ne soupçonnait même pas que ses boissons avaient été droguées cette nuit là ce qui lui avait fait perdre tout contrôle de soi en levant ses inhibitions tout en l'excitant prodigieusement.

Elle ignorait tout autant que son gentil mari avait observé sa prestation avec le patron de son mari, dans leur lit conjugal cet après-midi.

Serrant ses cuisses l'une contre l'autre, elle frémit en constatant que le foutre d'Abner continuait à s'écouler de sa foufoune embourbée.

En allant se coucher cette nuit là, Bonnie tremblait se demandant si son mari aurait encore envie de la toucher, s'il l'embrasserait encore s'il connaissait son infidélité.

Lorsqu'il l'embrassa avec la langue, Bonnie pensa :

- Que ferait Jack s'il avait vu l'importance de la dose de foutre que le gros et gras Wo lui avait injecté en pleine bouche.

Pendant ce temps Jack grignotait son cou, mordillait ses mamelons et descendait plus bas sur son ventre.

- Oh mon Dieu... Il va me le faire!

Frissonnait-elle alors que son mari humait les flagrances intimes de sa foufoune.

Elle était un peu choquée, Jack n'avait jamais manifesté le désir de faire de telles choses!

Comme elle écartait docilement les cuisses, elle sentit sa chaude haleine courir sur sa fentine, elle frémit à l'idée que sa chatoune était encore engorgée de l'épaisse semence de son patron.

- Oh Jack... Ohhhhhhhhhhhhhhhh... Bouffe moi la chatteeeeeeeeeeee!

Hurlait-elle alors qu'il lapait la chaude semence de son patron!

Tout au long de la semaine suivante, Bonnie fut bourrelée de culpabilité, se demandant comment tout sens moral pouvait l'avoir aussi subitement abandonné.

Elle se blâmait de tout ce qui était arrivé, se gourmandant de n'être rien d'autre qu'une fieffée salope, une pute incapable d'interdire au patron noir de son mari de profiter largement de ses charmes, de s'être laissée baiser dans son lit conjugal, à quelques pas de son mari qui préparait le barbecue du soir.

Que lui arrivait-il?

Pourquoi s'était-elle laissée faire par tous ces bâtards dépravés!

N'était-elle donc qu'un jouet sexuel pour tous ces hommes!

Lorsqu'un homme me regarde pourquoi se demande-t-il immédiatement s'il pourra se glisser entre mes cuisses?

Se demande-t-il à quoi je ressemble toute nue?

Se dit-il que je dois être une femme facile?

Se demandait-elle assise à son bureau, la tête perdue dans ses pensées moroses, c'est alors qu'elle reprit pied dans la réalité se rappelant qu'elle était à son poste de travail.

Elle rougit en voyant monsieur Bently, le vieil associé principal, âgé de 72 ans, qui la regardait fixement, elle lui retourna un sourire.

Comme elle se retournait pour taper une lettre sur son ordinateur, elle ôta un mouvement du coin de l'œil, elle aurait juré que monsieur Bently la toisait du regard à cet instant.

Tout en tapant sa lettre, elle se gourmanda de ressentir une certaine excitation et croisa ses longues jambes l'une sur l'autre.

Bonnie se mordit les lèvres, alors qu'elle laissait audacieusement pendiller un de ses hauts talons au bout de son pied, elle aurait juré avoir entendu le vieux Bently haleter tout le long du chemin de son bureau.

- Se demande-t-il, s'il pourrait partager mon lit?

- Se demande-t-il ce que cela fait de baiser une jeune femme deux fois plus jeune que soi?

- M'imagine-t-il nue au lit avec lui, verrouillant mes jambes dans son dos alors qu'il enfouirait sa vieille bite dans ma chatoune?

- Se pourrait-il qu'il me voit gagner son bureau, m'agenouiller pour lui tailler une pipe?

Se demandait-elle lubriquement.

- Mon Dieu, à quoi suis-je en train de penser?

- Un homme plus âgé que mon père et je me demande si cela me prendrait longtemps pour faire bander sa vieille bite en refermant mes mains sur sa hampe! Se gourmandait-elle.

Deux semaines plus tard, par un chaud après midi du samedi, Jack réconfortait sa femme en larmes aux funérailles de Phil Bently.

Comme ils offraient leurs condoléances à la famille, la veuve de monsieur Bently remercia Bonnie pour tout ce qu'elle avait fait pour monsieur Bently alors qu'en voyage, il avait appelé sa chambre pour réclamer son aide, se plaignant de douleurs dans la poitrine.

Apparemment il avait une seconde attaque cardiaque, une attaque massive lorsqu'il fut emmené à l'hôpital, malgré tous les efforts des secours à l'hôpital ils ne purent rien faire pour le sauver.

Bonnie sanglotait, la veuve l'étreignait fiévreusement lui disant :

- Vous avez fait tout ce que vous avez pu pour lui venir en aide! Et je vous en remercie ma chérie!

Les larmes de Bonnie ne traduisaient pas que son désespoir de voir monsieur Bently trépasser, mais étaient l'expression de sa culpabilité.

Monsieur Bently avait bien appelé sa chambre mais pas pour réclamer une assistance médicale, ce n'était qu'une histoire inventée pour éviter le scandale.

En fait, il n'avait pas eu à l'appeler dans sa chambre puisque Bonnie se trouvait avec lui.

La crise cardiaque n'était pas prête de s'effacer de sa mémoire, elle ne s'effacerait jamais en fait, elle était gravée de façon indélébile dans son esprit.

Son cœur avait cédé au stress causé par une excitation sexuelle excessive au mauvais moment... Juste à l'instant où il éjaculait dans sa chatoune alors qu'elle verrouillait ses chevilles dans son dos.

La vie avait littéralement était extirpée du corps du vieillard, mais quelle agréable façon de trépasser pour un vieillard, son dernier acte avait été de se vider les couilles dans la chatoune d'une ravissante blonde.

Bonnie n'avait pas pris immédiatement conscience du problème de monsieur Bently alors qu'il râlait :

- Bonnie... Oh, Bonnie... Je jouis... Ahhhh... Ahhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... mon Dieuuuuuuuuuuuuuuu!

Alors qu'il s'effondrait, Bonnie caressait le corps du vieillard qui convulsait serrant ses sphincters vaginaux sur sa bite pour lui soutirer sa dernière goutte de foutre.

Ce n'est que lorsque sa bite eut glissé hors de sa chatoune crispée et qu'elle le repoussait sur le flanc qu'elle prit conscience du problème.

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