Le Doyen (01)

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Une histoire, un vieil homme, une jeune femme et le diable d.
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Siham
Siham
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Il est vrai qu'à l'aube de ce qu'on appelle la jeunesse, tout ce que nous avons tient en quelques mots : hormones, fantasmes, pulsions etc. Mais quand le miroir renvoie le reflet d'un corps qui fait suspendre les lectures sur les terrasses de café, on est piqué par le jeu et la provocation devient, alors, comme un épisode indispensable pour connaître le degré de ce pouvoir qu'on appelle en anglais le "sex appeal" ou ce pouvoir d'attraction qu'exerce une personne sur une autre grâce à son comportement, son aspect physique, son apparence. Cela ne se limite pas aux mensurations mais va au-delà jusqu'à englober la gestuelle, la démarche ou le look. Cette année-là, j'étais encore novice quant aux conséquences d'une exploitation à outrance de cette manière d'être féminine. Comme pour le qualificatif sexy qui en plus de désigner une fille ou une femme attirante, suggère aussi son art à savoir donner du plaisir.

A cet âge, à moins d'être de ces "nanas" qui trouvent refuge sécurisant dans la radicalité religieuse, on est tenté, que dis-je? Poussée pour tout faire et tester l'aspect de notre physique, notre gestuelle sur la gent féminine. Si pour certaines, avantagées par l'héritage physionomique, comme sans me vanter, c'est mon cas, pour d'autres, c'est tout un travail pour cacher, camoufler, maquiller ou au contraire montrer, exposer ce qui les désavantage ou avantage!

Je n'étais pas du genre mince, ni grosse et comme on dit, ce qu'il faut, là où il faut répondant et se conformant avec l'idéal culturel en matière d'attirance et de séduction. Certaines de mes copines trouvaient mon postérieur proéminent, ma poitrine trop forte mais pour la grande majorité des garçons, j'étais "bandante"!

Était-ce l'essentiel? Je ne sais mais, si en plus, un de mes traits de caractères était d'attirer l'attention comme une sorte d'égocentrisme latent avec un soupçon de narcissisme et, qui n'en souffre pas? Je cherchais à plaire jusqu'à, parfois, être tentée par l'exhibitionnisme surtout dans le regard des hommes mûrs, ceux qui ont l'expérience du plaisir charnel. Un gage de confirmation d'une féminité débordante et, j'avoue, j'aimais cela avec une sensation perverse même.

Si le titre de cette histoire suggère un homme âgé, le plus vieux, c'est plutôt celui d'une faculté où je suivais mes études de littérature française. Néanmoins, c'est un autre doyen qui m'initia aux plaisirs sensuels qui, dans un contexte surveillé par les parents, les voisins, la société, ajoutait de l'adrénaline quand l'approche comme les attouchements subis auxquels s'était livrés sur moi, cet ami de la famille sexagénaire, venu de sa campagne pour subir une opération dans la ville, se faisaient en douce, à l'abri des regards et sans témoins aucun. J'aime à rappeler cet épisode car il déterminera les raisons de ce qui suivra par la suite.

Le vieil homme qu'on appellera tonton Omar, souffrait d'une hernie située au niveau de l'aine. C'était un familier de la maison vivant à la campagne, terrien notable dans sa région, il nous couvrait de ses produits agricoles, de la viande d'agneau de lait au beurre frais, miel pur et huile d'olive vierge, légumes et fruits en plus des préparations culinaires régionales. Ses visites étaient synonymes de joies festives où on se régalait, riait en partageant, pour un temps, ses riches et nourrissants présents.

Naturellement et étant la seule à pouvoir le guider dans le labyrinthe des procedures médicales, j'étais devenue son assistante attitrée. De la clinique aux laboratoires d'analyse jusqu'à l'opération, notre entente était telle que mes parents voyaient en mon dévouement, sincère et spontané d'ailleurs, comme un acte de générosité dont, je l'avoue, j'étais fière. Tout au long de cette période, promiscuité oblige, en voiture et dans les salles d'attente et même chez nous, car à chacune de ses visites, on lui réservait la chambre de mon frère ainé, exilé pour ses études, au Canada, une sympathie et une complicité discrète s'étaient installées. Au fond, je trouvais sa compagnie plaisante et agréable au point de devenir comme un couple d'amis qui s'appréciaient mutuellement.

J'eus la puce à l'oreille, un jour quand, au retour d'une visite à la clinique, dans la voiture il me dit :

- Tu sais, ma fille, je vais te dire quelque chose mais prends cela comme un conseil de ma part. Je suis plus âgé que ton père et je connais les adultes mieux que toi.

- De quoi s'agit-il? Lui demandai-je, étonnée quat au ton sérieux qu'il prit pour me parler. D'habitude, nos échanges étaient superficiels, se limitant à l'essentiel

- Voilà, tout à l'heure, quand nous étions dans la salle d'attente et que tu t'es levée pour aller chercher les résultats, nous étions une dizaine de patients. Figure-toi, que tous les regards, sans aucune exception, t'ont suivie comme si tu étais toute nue. Les hommes, c'est normal, tu es belle et attirantes mais les femmes, jalouses et envieuses étaient, plutôt, du genre venimeux. QUE dieu te préserve de leurs diaboliques intentions. Dit-il solennellement.

- Ne t'inquiète pas Tonton, j'ai l'habitude. C'est leur problème, pas le mien.

Un silence puis :

- Toi, cela ne te gêne pas d'être ainsi suivie du regard?

- Pourquoi cela me gênerait?

- On dirait que cela te plait même! Dit-il en éclatant de rire.

- J'avoue, Tonton mais je crois que toutes les femmes aiment attirer le regard sinon comment tu as fait, toi, pour remarquer Tata Zahra, ta femme, qu'elle repose en paix?

- Ah! Ok, dit-il, je ne te connaissais pas ce côté coquin! Plaisanta-t-il.

C'est à partir de ce jour que son regard changea car si avant, il me voyait, maintenant il me regarde. Il me "mate", comme on dit comme s'il voulait que rien de mon anatomie ne lui échappe. Du Tonton, presque indifferent, il me révéla son côté mâle dans toute sa splendeur. Prenant le temps de rester derrière pour profiter du spectacle de mon déhanchement ou loucher jusqu'à regretter de ne pas pouvoir faire sauter les boutons de mon chemisier pour voir plus. Son regard était devenu de plus en plus lubrique jusqu'à, parfois, le surprendre en train de rêver... À moi et de moi! Venant de lui, comme un oncle, cela me gênait au début puis, curieuse ou sensible, cela me flattait. A tel point que le diable ou le travail des phéromones, me suggérait des attitudes, des postures plus tentantes, suggestives ou franchement sexy.

La veille de son opération, je sentis la peur le gagner avec une telle intensité que cela me poussa à être plus attentive, plus près pour lui communiquer un tant soit peu d'énergie pour affronter la douleur et la crainte d'un éventuel accident fatal. Sur la table d'opération, on le sait, le risque zéro n'existe pas. Dans sa chambre, à la clinique, après la visite des parents, je devais rester jusqu'au passage de l'anesthésiste, pour l'aider à répondre aux questions d'usage. Pour le rassurer, je le laissai prendre ma main pour la garder. Un geste de réconfort mais un contact tactile qui, devint, vite voluptueux et sensuel après le passage du praticien et me sachant sur le point de le quitter, il se mit à me caresser les doigts, la paume, le poignet tout en me posant des questions puériles dans le but de détourner mon attention. Je compris son jeu et, bizarrement, à l'idée peut être du risque qu'il allait courir, je me mis à faire de même, plus pour le réconforter que pour répondre à son envie secrete et coquine! Ce soir-là, quelque chose s'était passée entre nous. Moi, dans un élan de charité et de générosité, lui, plus opportuniste et, disons-le, plus pervers. Il insista pour que je reste un peu plus jusqu'à oublier la crainte de ce qui l'attendait le lendemain. Il glissa ma main sous le drap pour se livrer en cachette à des caresses franchement sensuelles, remontant un plus. Le contact était doux et témoignait plus du désir charnel que de la simple caresse innocente au point que, sans le montrer, cela m'excita! La fin des visites me sauva la face quand je retirais ma main et revenir sur terre.

- Tu seras là, demain? Me demanda-t-il.

- Je serai là bien sûr.

C'est le soir, après l'opération que nous le retrouvions, toute la famille et malgré ses regards du coin de l'oeil comme pour récolter un peu de ce qui, dans sa tête, commençait à germer, je fus distante presque indifférente mais au moment de le saluer avant de partir, je sentis ses mains me serrer les bras comme me signifier que je lui manquais. Sur le chemin du retour, des pensées s'entrechoquaient dans ma tete. des plus softs aux plus coupables. Au fond, cette situation, un peu perverse, semblait me séduire et révéler en moi, ces pulsions que nous refoulons tant par crainte que par habitude.

L'heure des visites autorisées dépendaient de l'état du patient et pour Tonton Omar, il fallait attendre, vu son âge, qu'il sorte des services de veille et d'observation. Ce n'est que 3 jours après l'opération, qu'on a pu, mon père et moi, le voir entre midi et 14h. Il semblait abattu mais hors de danger, selon le médecin. Au 5° jour, quand je suis arrivée, il était en discussion, plutôt gaie, avec une infirmière, un peu dans le genre de sa défunte épouse. Il semblait s'entendre et cela me détendit un peu, en sachant que la pression allait diminuer me permettre de l'éviter mais dès qu'il me vit, je compris que non, il m'avait dans le citron ou devais-je dire la banane? Il me retrouva avec cette flamme dans le regard me signifiant que j'étais devenue, son fétiche, son chouchou. j'attendis que l'infirmière s'en alla pour le taquiner

. Ca semble aller pour toi, dis-je en m'approchant du bord du lit.

- Oui, ca va et selon le médecin quelques jours encore et je pourrais quitter la clinique.

- Tant mieux alors, surtout que tu as de la bonne compagnie! Il comprit vite l'allusion et:

- Quelle bonne compagnie? Ah, l'infirmière! Ce qui l'intéresse, c'est le bakchich!

- Avoue qu'elle te rappelle Tata Zahra.

- N'importe quoi, dit-il, avec air presque renfrogné. Approche, mon soleil, maintenant c'est toi! Sans toi, je ne sais pas ce que j'aurai fais.

- Ça te fait mal la cicatrice? Dis-je en faisant diversion

- Quand je bouge, oui!

- Alors ne bouge pas! dis-je. Je n'ai pas beaucoup de temps, je reviendrais, ce soir. Tu as besoin de quelque chose?

- Oui! dit-il comme s'il n'attendait que cette question.

- Oui, quoi?

- Juste toi, que tu viennes me tenir compagnie. Avec tous ces étrangers, je me sens perdu. Le soir, la visite est plus longue, jusqu'à 21h, parait-il.

- Ok, je me libère et je viendrais vers 19h30

- Pas un peu plus tôt?

- je vais essayer. En tout cas je viens. Je sentis sa main me presser la main en tremblant quand je me suis penchée pour lui faire la bise.

En quittant la clinique, comme envahie par je ne sais quel sentiment, je me suis murmurée, en démarrant, ce bonhomme est en train de faire une fixation sur moi et ce n'est pas bon!

C'est cinqu jours après l'opération que nous sommes allés le ramener à la maison et feinte ou réelle, sa mine faisait peine à voir. Il souffrait atrocement à chaque mouvement. Installé dans le lit de la chmabre de mon granfrère, il était à l'écart du bruit et du va et vient. Une fois la porte fermée, c'était un havre de paix. Bizarrement, il tenait toujours à ce que les rideaux soient tirés plongeant la chambre dans une pénombre reposante peut-être mais propice à ces gestes qu'il allait me prodiguer dès notre première tête à tête. Après l'avoir installé et bordé, tout le monde s'était retiré pour le laisser se reposer. J'étais chargée, de par ma

disponibilité, à lui rappeler sa médication, les heures et la posologie. Dès qu'il me voyait entrer, un sourire et un regard comme pour me signifier que j'étais la seule présence qu'il préférait et à chacune de mes visites :

- Ferme la porte, s'il te plait et viens! En tapotant sur le lit, à côté de lui. Dès je prenais place, sa main se tendait vers moi. Cette envie tactile me faisait frissonner. Que je lui tende le verre d'eau et les comprimés ou que j'essaie d'arranger son oreiller, sa main, de plus en audacieuse, puis baladeuse, cherchait mon corps. Ma cuisse si je m'assois sur le lit, ma main pour recevoir le médicament ou carrément ma taille quand elle n'est pas hors d'atteinte.

Un matin, quand j'entrai dans sa chambre, je le trouvai presque endormi mais dès qu'il me vit, il se mit sur son séant et attendit que je sois proche de lui. Il me demanda, à voix basse :

- Ils sont tous partis?

- Oui, mes parents au travail et il n'y a que la femme de ménage au rez de chaussée! Pourquoi?

- Juste que je ne veux pas qu'on nous voit et j'ai besoin de me donner ton avis?

- Apropos de quoi?

- De la cicatrisation. Hier l'infirmière m'a changé les pansements mais toute la nuit ça m'a fait souffrir.

- C'est normal! Lui-dis-je pour le tranquiliser.

Non, ce n'est pas normal. S'il te plait je veux te demander quelque chose!

- Oui tout ce que tu veux! Il regarda vers la porte et me demande :

- Ferme la porte à clé, je ne veux pas qu'on nous voit!

Légèrement intriguée, j'allai tourner la clé dans la serrure et revint vers lui. Il m'indiqua l'autre côté pour approche, du côté de la blessure.

- Tu vas essayer de décoller le pansement et regarder s'il n'y a pas d'infection ou de saignement, s'il te plait!

Quand il souleva le drap, la première chose que je vis, c'est qu'il ne portait pas de culotte. Je fis mine de baisser le drap et le lui retirant de la main. Je voulais éviter de découvrir son sexe et me limite à l'aine. Un grand pansement collé avec des sparadraps tout au long du haut de sa cuisse. Une main retenant le drap, je voulus glisser ma main quand il revint à la charge.

- Attends me dit-il, de quoi tu as peur?

Il prit le drap et le releva pour me mettre en présence d'une queue déjà raide. Il la coucha en gardant la main dessus, tant pour la cacher que pour la retenir horizontale. Mes mains tremblaient en essayant de décoller le sparadrap. L'opération, je le savais, était douloureuse et quand, gémissant de douleur, il tourna la tête de l'autre côté comme incapable de regarder mais suffisamment conscient pour retirer la main de dessus son sexe sous le drap. Ce faisant, la bite en érection souleva le drap et pointa vers le plafond. J'eux comme un choc. Je ramenai le drap dessus mais rien n'y fait, elle se contractait et ressortait de sous le drap.

- Ahhhh! Gémissait-il comme si l'incident de la queue en érection était banal!

D'une main j'essayais de décoller le sparadrap sans le brusquer pour ne pas lui faire mal et de l'autre, je remis le drap sur son sexe et la posai dessus. Je ne la voyais plus mais je la sentais sous ma main par-dessus la toile. Je pense que c'était le but de ce stratagème mais j'avais déjà enlevé la moitié du pansement quand je sentis sa main se contracter. Toujours la tête tournée vers l'autre côté, il ne sentait plus sa blessure mais ma main sur sa queue. Juste aux derniers centimètres du sparadrap, comme si c'était normal, il posa sa main sur la mienne et la pressa contre son sexe. Comme je continuai à enlever les sparadraps, n'en tenant plus, il prit ma main et la glissa sous le drap, directement sur son sexe.

- Hum, ce que ça me fait du bien, dit-il en caressant sa queue de plus en plus dure avec ma main dans la sienne. J'arrivais à tout décoller, je retire ma main et il me demanda de vérifier.

Dans la pénombre, je ne vis ni écoulement de sang, ni signe d'affection mais je vis surtout sa queue, raide pointant vers le plafond. Il se tourna vers moi et me fixa droit dans les yeux comme me convaincre que je lui fais un grand bien, tout en devenant, ainsi, sa complice dans un jeu sexuel qu'il a planifié. M'avait-il piégée? Oui et non car j'aurai pu refuser et appeler l'infirmière. Je commençai à refaire l'opération dans le sens inverse sous le regard de sa queue toujours raide. Il tendit sa main vers mes cheveux, et, pendant que je m'occupai pour remettre le pansement. Sa main me caressa la nuque, les épaules, glissa sous mon blouson pour me prendre le sein. Il testait mon consentement. Il revint vers ma nuque, je sentis une légère pression comme pour m'inviter. Je n'opposai aucune resistance quand il insista pour diriger ma tête vers sa queue. De l'autre main, il l'orienta vers moi. Mes lèvres à quelques centimètres, s'ouvrirent en "O" et je touchai le gland chaud et lisse. Il appuya sur ma nuque comme pour me dire "suce!" je pris sa queue à la base et me mit à me l'enfoncer dans la bouche. Oh! Je la voulais au fond de moi car je me mis à la sucer avec une telle fougue qu'il fut surpris! Il se retenait au lit pour ne pas crier et, même pas cinq minutes après, je le sentis se crisper. Tout de suite après il éjaculait dans ma bouche! Plus je continuais et plus il se libérait. Il s'effondra, presque inconscient. On avait oublié l'opération, la cicatrice, le pansement, la douleur.

En attendant qu'il reprenne conscience, ma tête sur son bas ventre au point que je faillis m'assoupir. Je le sentis reprendre. Il me caressa les cheveux et je l'entendis murmurer à voix basse :

- Tu es merveilleuse!

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3 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 5 mois

Très très beau texte très excitent et très bien écrit ,vivement la suite

MulierscriptorMulierscriptoril y a 5 mois

Oh, si peu et cela n’est rien et parfaitement excusable. Très beau texte dont la qualité d’écriture et la précision dans la narration dénotent avec ce que l’on découvre ici généralement ! Je vous envie ! À vous lire régulièrement.

Caresses et soumission

MS

SihamSihamil y a 5 moisAuteur

Quelques erreurs de frappe et je m'en excuse. Je ferai attention la prochaine fois !

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