Vieux Pervers Dégueulasses

BÊTA PUBLIQUE

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Deux jours plus tard, on a retrouvé la veuve noire pendue dans sa cellule de garde à vue. Elle avait proposé au policier chargé de la surveiller de nuit une bonne pipe en échange d'un morceau de ficelle. Le collègue a stupidement accepté : il a bien joui, mais son dossier a écopé d'un blâme avec mutation disciplinaire. Je n'ai pas su si son braquemart avait reçu la marque des incisives à la base. En attendant, lors de l'autopsie que j'ai pratiquée, j'ai découvert que la fille avait beaucoup souffert lors de son suicide, car la ficelle était courte et fine, et la mort par asphyxie longue à venir. Elle était magnifique sur la table d'examen. Comme j'étais seule, Hubert me faisant une confiance absolue, j'en ai profité... Dieu qu'elle était belle et que c'était bon!

Nous avons chargé Thérèse de rhabiller le prêtre, puis de l'allonger sur le lit de chambre d'amis, afin de le présenter à ses proches d'une manière un peu plus décente, en prétendant qu'il était mort dans son sommeil de sieste -- mais il bandait toujours, de quel rêve érotique? Lors de l'enterrement, nous avons découvert qu'il avait de nombreux enfants naturels, conçus dans un confessionnal et nés de paroissiennes ingénues qui ignoraient tout de la contraception. Heureusement, il disposait d'une fortune personnelle lui permettant d'entretenir cette étrange famille sans laisser personne dans le besoin. Le discours prononcé par l'évêque au cours de la messe d'obsèques était un modèle d'hypocrisie, présentant le personnage comme un prélat exemplaire dans le respect de ses vœux d'obéissance et de pauvreté et surtout de chasteté.

Thérèse était une esclave sexuelle douce et docile, grâce à sa tendance masochiste qu'exacerbait son sentiment de culpabilité lié à l'accident qui avait coûté la vie à un enfant, par sa faute. Karine et moi ne nous gênions pas pour lui rappeler pourquoi elle en était là. Notre servante voulait expier par des châtiments corporels qu'elle nous suppliait de lui infliger, toujours plus sévères. Elle aimait souffrir ; elle s'enivrait de douleur à défaut d'alcool. Tout était bon pour elle : la fessée d'abord, le bondage avec des liens bien serrés, le bâillonnement, les suspensions par les pieds, le shibari -- Karine savait réaliser de magnifiques figures avec la corde et le corps de notre soumise. Et aussi la cire brûlante des bougies qui tombait sur ses zones sensibles, et surtout le fouet.

Elle adorait surtout être flagellée, et lorsque nous avions décidé de procéder, elle nous apportait la lanière de cuir entre ses dents, en se déplaçant à quatre pattes, la croupe bien relevée, comme nous lui avions appris. Ses yeux implorants nous suppliaient de la châtier sans faiblesse. Elle commençait par sucer le manche, qui avait une forme phallique. Puis elle se laissait suspendre au plafond par les poignets, docilement, et même avec complaisance. Une fois la séance accomplie, elle se confondait en remerciements, en baisant à genoux les pieds de son bourreau, toujours bien cambrée pour tourner ses fesses vers le haut. C'était alors de moment de la sodomiser, moi avec mon membre naturel, ou bien Karine avec son gode-ceinture. Il fallait faire attention et ne pas abuser de genre de persécution qui, ô combien excitant, laissait des marques sur la peau et risquait de dégrader l'état physique de notre esclave chérie.

***

La dégueulasserie est un art délicat que Karine et moi entendions pousser jusqu'au summum. Ainsi, nous avions pris contact avec Delphine, la maman du petit Lucas tué dans l'accident. Elle vivait seule. Dire qu'elle était effondrée est un euphémisme, surtout depuis la libération de Thérèse, qu'elle croyait intuitivement coupable, sans savoir pourquoi elle avait raison. Karine et moi sommes allés la voir pour tout lui expliquer, notamment notre faux témoignage. Elle était très en colère, tout en se demandant pourquoi nous étions venus la provoquer. Car même en sachant la vérité, elle savait qu'elle ne pouvait, du côté de l'enquête, rien faire, car rien prouver. Nous lui avons dit que si elle allait répéter nos propos aux policiers, nous nierions les avoir tenus, et personne ne la croira.

Les choses auraient pu s'en tenir là, dans les cris et les larmes, ce qui était déjà bien excitant pour nous autres, le couple de pervers. C'est alors que nous lui avons proposé de châtier elle-même l'autrice du délit. À coups de fouet. Mais attention, nous l'avons prévenue :

-- La séance sera filmée. Vous aurez un quart d'heure, pas plus. Vous devrez être à visage découvert. Si elle meurt ou si elle en garde des séquelles irréversibles, nous enverrons la vidéo à la police.

-- Je m'en fous d'aller en taule. Ma vie ne vaut plus rien. Je veux me venger.

-- De toute façon, a répondu Karine, nous arrêterons la flagellation dès j'aurai le sentiment que sa santé est en danger. Je suis médecin, et je sais de quoi je parle.

-- Bon, d'accord, a-t-elle concédé. Mais il faut qu'elle souffre.

-- Elle souffre déjà. Le fouet, vous savez, ça peut faire très mal. Mais elle consent à ce projet. Son but est d'expier ce qu'elle a fait.

-- Dans ce domaine, elle sera servie, je vous le promets. Quand cela pourra-t-il avoir lieu?

-- Le week-end prochain, si vous êtes disponible.

-- C'est parfait.

-- Tenez, voilà le fouet. Vous savez vous en servir?

-- Non. C'est vrai, il me faut apprendre. Pourriez-vous me m'apprendre, s'il vous plaît?

Karine lui a expliqué le délicat maniement de cet instrument de douleur qui, mal utilisé, peut en effet causer de graves blessures, voire la mort.

-- Avant tout, il faut que j'en fasse l'expérience par moi-même, a dit Delphine. Fouettez-moi, s'il vous plaît.

-- Certainement, a dit Karine. Vous avez raison. Je vais vous montrer directement comment il faut faire. Déshabillez-vous.

Delphine s'est rapidement dévêtue, comme on le fait chez le médecin, en ne gardant que ses chaussures à talons hauts. Elle était très belle. Son esprit était totalement orienté vers son désir de vengeance, et on devinait qu'elle était prête à beaucoup souffrir dans ce but. Sans qu'il soit nécessaire d'user de liens, Karine a commencé par la flageller doucement sur le dos et les fesses, puis de plus en plus fort, de sorte que la lanière de cuir laissait des raies rouges qui ne s'estompaient plus rapidement. Elle a refusé de fouetter plus fort. Ensuite, Delphine s'est regardée nue dans un miroir, pour observer les marques du fouet, et les a trouvées belles. Karine s'est à son tour dévêtue afin de laisser Delphine s'entrainer sur elle à l'exercice de la flagellation. Le soir venu, la formation était terminée.

La cérémonie a eu lieu un mois plus tard, en pleine nuit, dans une église qu'un prêtre nous avait prêtée en échange de la possibilité d'assister à la scène. C'était là même où Thérèse avait été dépucelée. Celle-ci croyait qu'elle serait fouettée à mort, et s'y était préparée avec un mélange de joie et de résignation, d'excitation et de peur -- l'excitation étant le sentiment dominant. Elle ignorait qu'entre nos mains, il était hors de question de mourir. Dégueulasse ne veut pas dire meurtrier.

Depuis l'accident, Thérèse désirait ardemment se confesser, afin d'ôter de son cœur cette culpabilité qui la torturait jour et nuit. Seulement, elle pensait qu'aucun prêtre n'accepterait de l'absoudre pour ce délit, comme pour toute infraction à la loi, sans qu'elle se dénonce aux autorités en rétablissant la vérité. Ceci est une règle en vigueur dans l'Église catholique. Seul Pierre, un prélat que nous connaissions bien comme participant assidu aux partouzes organisées chez nous, acceptait le châtiment du fouet comme acte de contrition acceptable et substituable à la justice humaine, attendu que la mère de la victime devait tenir le manche.

Le bouche-à-oreille avait bien fonctionné : l'assemblée était nombreuse, les bancs bien garnis de tout ce que les environs comptaient de personnes perverses des deux genres, bandant dur et mouillant d'abondance à l'idée d'assister à un authentique spectacle de flagellation punitive. En France, la dernière exécution capitale en public a eu lieu en 1939 ; depuis, plus rien à se mettre sous la dent.

Beaucoup d'hypocrites dissimulaient leur visage sous un masque ou un loup. Tenue correcte exigée : costume et cravate pour les messieurs, robe de soirée pour les dames. Avant que l'on commence, nous offrons l'apéritif avec du champagne. Évidemment, pas d'enfants, mais des scouts et des membres de mouvements eucharistiques de jeunes étaient présents, parfois tout juste majeurs, accompagnés par leur encadrement, ou par leurs parents. Les puceaux au visage couvert d'acné savaient qu'à la sortie, ils ne le seraient plus, alors les verges frétillaient et gambadaient dans les slips en formant de jolies protubérances aux pantalons. Leurs ainés leur avaient conseillé au moins une semaine d'abstinence d'onanisme, ce qui représentait un véritable chemin de croix nécessitant une forte motivation. Les filles aussi mouillaient dans leurs culottes blanches de vierges (ou pas) ; elles étaient plus attirées par la perspective de voir du sang et de la souffrance.

L'orgue envoyait des cantiques, comme pour une messe ordinaire. L'encens brûlait. Pas d'électricité : éclairage à la bougie seulement, ce qui produisait des ombres fantastiques et accentuait le caractère émouvant de la célébration.

Vêtue de sa robe noire de deuil, maquillée avec soin par une maquilleuse professionnelle, Thérèse s'est présentée au micro afin de témoigner de sa faute, avec tous les détails et circonstance de l'accident qui avait coûté la vie au petit Lucas, sans rien oublier, ni son ivresse au moment des faits, ni sa lâcheté d'avoir fui ses responsabilités. Delphine, au premier rang, s'agrippait à son banc en entendant la tragédie de son fils unique. Elle était vêtue d'un vêtement de cuir rouge vif ajusté à sa peau, avec des gants et des bottes de même couleur, et tenait le fouet à la main. Dans l'assemblée régnait un silence absolu et chacune, chacun était suspendu aux lèvres de Thérèse qui ne lisait aucun texte, mais improvisait son récit avec ses mots à elle. Lorsqu'elle a eu terminé, tant l'émotion était grande que de nombreux visages de l'assistance étaient couverts de larmes, et tout le monde a longuement applaudi la sincérité de ce témoignage.

Puis est venu le moment de l'absolution. Thérèse s'est mise à genoux. Le Père Pierre a posé sa main du la tête de la pénitente. Celle-ci était pardonnée. Mais il restait une étape : l'expiation du péché.

Thérèse a dû se dévêtir totalement devant toute l'assemblée qui n'en perdait pas une miette. Ceci était très intimidant, mais sa formation d'esclave sexuelle l'a aidée à surmonter l'épreuve de la nudité en public. L'humiliation fait partie du châtiment. Elle a pris son temps, mais elle n'a pas tremblé, et même soutenu le regard sévère de Delphine qui se préparait à entrer en action.

J'ai attaché Thérèse par les poignets à des fers reliés à des chaînes fixées au plafond de l'église. Installer ce dispositif, durant la soirée qui a précédé, n'avait pas été une mince affaire, car il y avait plus de dix mètres de hauteur. J'ai hissé notre repentante d'un mètre environ, afin que le public la voie bien, tout en laissant son corps accessible à la caresse brutale du fouet.

Delphine s'est avancée. Son visage était dur. Elle s'apprêtait à faire justice elle-même. Un claquement du fouet sur la pierre du sol, avec le bruit caractéristique de l'extrémité de la lanière franchissant le mur du son, a rappelé à tous combien cruel est ce supplice. La main gantée a caressé la peau fragile des cuisses et du ventre.

Thérèse souriait. Elle était prête à endurer le pire, persuadée qu'elle n'y survivrait pas. Dans son testament, elle nous avait légué le peu de biens qu'il lui restait. Nous lui avons même montré le cercueil qui lui était destiné. Tout ceci n'était que du cinéma, car il n'était pas question de mourir, ni même de trop blesser. Si Delphine était avisée de fouetter à l'excès, nous l'aurions interrompue.

Flagellation raisonnable donc, mais calvaire quand même : il y avait du sang qui fusait par gouttelettes, y compris sur l'assemblée. Le choc du cuir sur la peau était sonore, et s'accompagnait d'un cri de douleur. Un son qui excitait beaucoup les fidèles, dont certains se masturbaient déjà en sortant sans pudeur les oiseaux de la braguette ouverte, mais en prenant garde d'économiser leur semence pour la suite. Une dame que je connaissais de vue recevait sous sa robe un cunnilingus de la part de son jeune fils, sous le regard complice du père au long braquemart dur. Tout le monde attendait que Thérèse succombe, et que la célébration tourne à l'orgie entre tous les fidèles. Le spectacle était si excitant que le Christ lui-même, sculpté de bois peint sur sa croix millénaire à côté du tabernacle, bandait sous son pagne. Il avait aussi a subi ce tourment.

À la surprise générale, au fouet s'est substitué le vibromasseur. Déception pour les uns qui attendaient un spectacle macabre à l'issue définitive, plaisir des yeux et des oreilles pour les autres qui préféraient l'éros au thanatos, car les orgasmes de Thérèse étaient sonores de hurlements, humides comme les brûlants geysers d'Islande, et communicatifs. Le Paraclet lui-même ne pouvait pas rester insensible à un tel chant de grâce.

Cependant, la position était très inconfortable pour notre amie qui, suspendue par les poignets, respirait avec peine. Nous l'avons détachée, et ses jolis pieds nus ont retrouvé le sol. Puis nous l'avons suspendue cette fois par les chevilles, aux mêmes fers, la tête en bas. Confuse d'être toujours vivante, elle ignorait ce qui l'attendait ensuite : l'ensemble des fidèles, toutes et tous, ont été invités à la rejoindre afin le lui exprimer tendrement leur joie que son péché soit enfin pardonné. Delphine elle-même, au micro, a admis qu'elle ne voyait plus l'intérêt de haïr encore cette pauvre femme qu'elle venait de fouetter.

Pas question pour autant d'accepter que ce soit la ruée, de se jeter sur elle comme des soudards au pillage : chacun son tour, avec dignité. Comme pour communier, une file d'attente s'est formée. On pouvait laisser, pour être plus à l'aise, ses vêtements sur le banc à condition de les remettre ensuite, pour le chant final. On passait deux par deux, pour une double pénétration, et pas question non plus de s'éterniser, car au matin, il fallait rendre l'église impeccable pour l'office de dix heures. Parfois, le mari et l'épouse passaient ensemble, Madame équipée d'un gode-ceinture -- on pouvait en emprunter à la sacristie, de même que des préservatifs étaient à disposition. Ou bien, pour les adeptes du sexe oral, on pouvait pratiquer le cunni ou l'anulingus. Ou insérer son manche ou sa chatte dans la bouche. Ou, en montant sur un escabeau, s'exciter sur les pieds de notre pénitente. Tout ce qu'on voulait, à condition de ne pas lui faire de mal et de contenter d'admirer les estafilades causées par le fouet, sans y toucher. La semence dégoulinait sur le ventre, le dos, les bras, et gouttait sur le sol.

À la fin de la célébration, les hommes avaient les testicules à sec. Ceux à qui il restait quelques forces pouvaient étreindre leur épouse, ou toute autre partenaire qui voulait bien, sur le banc. Plus un seul gars n'était puceau.

Quelques mois plus tard, Thérèse a fini par mourir dans nos bras, son cœur ayant lâché d'un orgasme trop intense. Elle avait atteint l'ultime extase et, telle Icare, brûlé les ailes de sa vie à trop s'approcher du soleil de la volupté.

Conformément à ses dernières volontés, Karine et moi, plus quelques amis, sommes allés nuitamment forniquer sur sa tombe.

Entre nos mains de maîtresse et maître pervers et dégueulasses, Thérèse a connu la joie sublime d'être elle-même.

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1 Commentaires
Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Très excitant, j’aurais aimé moi aussi avoir des choses à me reprocher et être ...... puni !

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