Valérie Ou La Petite Fiole Noire 05

BÊTA PUBLIQUE

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M. Aldjoubani lance le reportage et se laisse dorloter avec plaisir devant cette salope de Madame R. Habib s'est vraiment bien débrouiller. Il adore la séquence avec les clodos. Les photos ou elle jouit et qui prouvent son consentement.

- Ce n'est pas encore fini pour toi salope... Non Myriam ce n'est pas de vous dont je parle voyons.

Jeudi 11Mai

Valérie émerge lentement d'un sommeil profond. Elle est désorientée et ne sait pas où elle se trouve. Cela ressemble à une chambre d'hôtel assez simple. Il n'y a pas de fenêtres! Juste le bruit d'une climatisation. Elle a faim. Son ventre gargouille. Elle ne comprend pas ce qui se passe. Son dernier souvenir est cette voiture et l'épaule d'Habib. Tout lui revient peu à peu. Elle ne sait pas où elle se trouve. Elle ne peut ouvrir la porte verrouillée. Elle appelle sans succès.

Sa vessie et son ventre la rappellent à des besoins primaires. Elle marche laborieusement. Elle a la tête qui tourne. Elle trouve la salle de bain pour se soulager. La pièce est basique, douche, lavabo, bidet et toilette. Les joints sont noirs de crasse et la porcelaine a perdu de son éclat.

Odeur de javel. Elle se regarde dans le miroir. Cheveux hirsutes, maquillage massacré. Elle porte toujours la même robe noire qu'Habib lui a mise. Elle relève sa robe, elle ne porte pas de culotte et s'assoit sur la cuvette en porcelaine. A côté des WC il y a une petite douchette avec une canule

Son pubis la démange. Elle se gratte. C'est douloureux. Elle s'essuie et retourne dans la chambre. Il y a un miroir sur une des portes de l'armoire. Elle relève sa robe et découvre un léger pansement au-dessus de sa vulve. Elle veut l'ôter.

La porte s'ouvre sur une femme en abbaya noire. On ne voit que le visage et les mains.

- Bonjour... .

La femme pose un plateau repas et s'en va.

- Attendez ou on est?... Ne partez pas s'il vous plaît

Un homme sur le seuil laisse passer femme et entre.

- Bonjour Madame R.

- Qui êtes-vous? ... Ou suis-je?

- Vous devez avoir faim. Mangez. Je vais tout vous expliquer. Calmez-vous, ici vous ne craignez rien.

Valérie s'assoit devant le plateau repas. C'est vrai qu'elle a faim. Elle se sent sale dans cette robe et ses baskets. Le plateau sent bon des épices orientales. Elle commence à picorer. L'homme est grand, plutôt épais habillé comme un cavalier avec de hautes bottes, un chapeau et un foulard autour du cou. Environ la quarantaine. Il dégage un sentiment de puissance physique.

- Vous êtes au Yémen... A cent cinquante kilomètres de Sanaa. Pas loin d'une exploitation minière

- Quoi?!!!! C'est pas vrai! Pourquoi?

- Une des plus grosses exploitations de minerais... Mais vous devez connaître son nom non?

- Pourquoi? C'est quoi ce cirque!... Qui êtes-vous au juste?.

- Il y avait plusieurs pages de présentation de ce lieu dans le dossier de reprise de la société de M. Aldjoubani. Vous connaissez le lieu et vous avez évalué son potentiel et le nombre de personnes qui y travaillent.

- Quoi!!!!!!!!

Elle se lève affolée. Tente d'ouvrir la porte.

Imperturbable l'homme reprend.

- Vous dormez depuis trois jours. Habib a estimé que c'était plus confortable pour vous. Et à l'heure où je vous parle M. Aldjoubani est le nouveau patron de votre société. Et tous dans votre pays connaissent vos exploits sexuels. Je tiens à votre disposition le petit reportage qu'a réalisé Habib....

Valérie manque de s'évanouir en comprenant ce qui se passe.

- Votre société a porté plainte contre vous. Mais ils ne savent pas pour les informations que vous nous avez transmises. Tout votre agenda a reçu ce film... Vous comprenez ce que cela veut dire?

- Mon mari! Mes enfants!

- Aussi désolé.

Horrifiée, elle comprend que sont inclus mari et enfants. C'est insupportable pour elle qui s'effondre en sanglots.

- Vous ne pouvez plus rien faire maintenant. Tout est fini. Tous là-bas vous cherchent. Et la vie serait un enfer pour vous si vous y retournais. Votre mari et vos enfants savent que vous êtes une pute. IL en va de même de toute votre famille et amis. Votre ancienne société a porté plainte contre vous. Ici loin de tout cela vous serez tranquille. Personne ne sait où vous êtes.

Il la laisse pleurer sans rien dire et regarde un coin de la pièce ou est dissimulée la caméra reliée au bureau de M. Aldjoubani. Il attend patiemment qu'elle reprenne contenance.

Il lui sert un verre d'eau qu'elle boit lentement. Elle relève la tête vers l'homme.

- Mais pourquoi? ... Pourquoi ici.... Après un long silence elle reprend, Il m'avait dit qu'il aurait un poste pour moi... Que tout se passerait bien pour moi...

- Tout va bien se passer. Je vous conseille d'aller prendre une bonne douche. Cela vous éclaircira les idées et vous avez besoin de vous détendre. Donnez-moi vos vêtements, je vais vous faire porter des propres. Amira la femme qui vous a apporté le plateau-repas est à votre service. C'est elle qui s'occupera de vous. Elle ne parle pas notre langue.

Valérie est fatiguée. Sans révolte elle ôte ses baskets et se débarrasse de sa robe. Elle a perdu toute pudeur et dignité avec Habib. Consciente du regard gourmand que lui porte l'homme elle se dirige rapidement vers la salle de bain.

- C'est quoi ce pansement?

- Rien de bien méchant, je vous l'ôterais après votre douche. Ne l'enlevez pas s'il vous plaît.

Obéissante Valérie prend une longue douche. L'eau chaude la détend et lui fait prendre conscience de la situation dans laquelle elle se trouve. Seule, loin de la France et certainement mise au ban de son clan social. Elle sait confusément que cet homme à raison, et que le retour à sa vie d'avant est impossible. Sur le lavabo trône une grande trousse de toilette féminine. Avec tous ses produits habituels.

Elle se sèche, coiffe ses cheveux humides et retourne dans cette chambre qui va être son lieu de vie.

L'homme est toujours là.

- Vous êtes très belle Madame R.... Habib a eu de la chance. Au fait je me prénomme Jéricho... Comme les murs. Venez je vais ôter votre pansement... Allongez-vous et écartez vos jambes.... N'ayez pas de pudeur voyons. Cela n'est plus de mise avec moi.

Valérie obéis. Couchée sur le lit, jambes écartées, elle s'offre sans pudeur dans cette position. Elle est surprise de ne pas être gênée outre mesure. Elle sent son vagin entrouvert.

L'homme applique un liquide sur le pansement et masse doucement le mont de vénus.

- Vous avez eu une épilation intégrale au laser c'est plus simple. Ici les femmes sont toutes parfaitement épilées... Voilà c'est fait.

Valérie se lève et se regarde dans la glace. Sur son mont de venus deux petites arabesques orientales couleurs henné. Perplexe elle se tourne vers Jéricho. Avant qu'elle ne pose la question l'homme prend la parole.

- Ce sont deux lettres araméennes. Un M et un A.

- Un M et un A?

- Oui c'est un signe d'appartenance. Vous appartenez au porteur de ces initiales.

- Vous êtes complètement fou!

- Non Madame R, je ne suis pas fou. Il vous avait dit qu'il vous trouverez un emploi.

Valérie comprend brusquement. M et A. Mansour Aldjoubani!

Elle se jette sur l'homme qui n'a aucun mal à la maitriser.

- Calmez-vous. Calmez-vous. Vous ne pouvez rien faire. Vous lui appartenez. Calmez-vous...

Il la serre contre lui et lui caresse les cheveux document.

- Calmez-vous ... Il vous protège.

Elle s'écroule assise complétement prostrée.

Jéricho revient et lui tend une petite fiole noire qu'elle connait bien.

- Buvez, vous irez mieux après. C'est une décoction de plante que l'on boit ici pour voir la vie sous son meilleur angle. On dit aussi qu'on en donne pour la nuit de noce. Cela exacerbe les sens. Il y en a toute une boite de flacons comme celui-ci dans l'armoire. Je crois que vous allez en avoir besoin. C'est Habib qui a obtenu de M. Aldjoubani l'autorisation d'en mettre à votre disposition. C'est un produit excessivement onéreux. Vous avez de la chance, Habib vous aime bien.

A moitié groggy, assise nue sur le lit, Valérie voit Jéricho ôter ses bottes de cavalier, puis enlever sa chemise maculée de sueur et se débarrasser du foulard qu'il porte autour du cou.

- Qu'est-ce que vous faites?

- Je vais vous baiser Madame R.

- Quoi! Ça ne va pas non!?

- Mais au contraire, ça va très bien. Et j'irai encore mieux toute à l'heure

Elle le regarde se débarrasser de son pantalon et de ses chaussettes. Il est en boxer noir devant elle. Grand puissant poilu. Peau brune poils noirs muscles saillants et bosse camouflée.

Valérie ne peu détacher son regard du boxer.

- Vous aller commencer votre nouveau job Madame R....

Elle ne comprend pas tout de suite le sens de la phrase. Elle voit les grandes mains de l'homme saisir la ceinture du boxer et le baisser avant de s'en débarrasser d'un mouvement de jambe. Le sexe est impérial. Elle regarde le mandrin en pensant qu'il est aussi beau que celui d'Habib. Et bien plus gros. Les couilles pendent bas, grosses, ridées.

- Vous appartenez à M. Aldjoubani. Vous êtes une de ses putes et il vous a marqué comme une pute. Je vous conseille d'accepter la situation. Vous n'avez plus aucun choix. Vous avez aussi subit une petite intervention chirurgicale. Rien de bien méchant.

Elle le trouve beau. Beaucoup de charisme.

- Qu'elle intervention? Pourquoi?

- On m'a dit une ligature des trompes. Au cas où... On ne sait jamais...

- Salaud!!!! Espèce de salaud!!!!

- Ne vous plaigniez pas trop Madame. Cela aurait pu être pire. Ici l'excision est courante.

Jéricho se rapproche d'elle. Le bout de sa bitte touche les lèvres de la femme.

- Allez chère madame, montrez-moi ce que vous valez. Je vais vous baiser et profiter de vous au maximum. C'est rare une pute de luxe comme vous.

La bitte prend possession de la bouche de Valérie et commence un lent pistonnage. Valérie laisse faire sans bouger. Elle sent son intimité s'humidifier. Jéricho prend son temps. Va au maximum des possibilités du palais de la femme, lui donnant des renvois. Il déguste cette merveille.

- Il faut que vous soyez réceptive. Habib vous a formé à cela et moi je vais parfaire cette formation.

Il libère la bouche et pousse la femme qui s'écroule sur le lit.

- Ouvre-toi sale pute.

Il s'écroule sur elle à la recherche de sa chatte humide. Il la défonce d'un coup.

- Tu mouilles déjà salope. T'aimes ça! Tu vas être servie.

Il lui relève les jambes et les plie pour que les genoux touchent les seins. Valérie est cassée en deux sous le male. La bitte va loin, profond, lui donne des sensations qu'elle connaît. Ses chairs intimes s'ouvrent. L'excitation monte. Jéricho pilonne le corps à sa merci. Il la baise en force. Ses couilles claquent contre le périnée. La femme gémit. De plaisir. Va au-devant de lui. C'est le moment qu'il choisit pour sortir du vagin et baisser sa bitte pour casser d'un puissant mouvement de reins l'anus offert sous le cri de surprise et de douleur de la femme.

- Tous tes trous ma pute... Ordre de ton maître. Caresse-toi... Caresse toi j'te dis!

Valérie obéit et malgré la douleur l'excitation revient et elle jouit dans un cri de bonheur.

Jéricho la libère. A genoux entre les jambes de la femme il se branle rapidement et déverse sa semence à grand jets, sur le ventre, les seins, le visage de la femme.

- Tu restes comme çà.

Face au lit contre le mur opposé, il y a un petit canapé et deux fauteuils autour d'un guéridon. Jéricho s'assoit sue le canapé et allume un cigarillo. Il regarde la femme. Il a encore envie et il a tout le temps. M. Aldjoubani lui accorde toute la journée avec elle.

- Viens ici.

Valérie se lève et quitte le lit.

- A quatre pattes salope.... Ici tu te déplaceras souvent à quatre pattes.

Valérie obtempère. Elle le rejoint à quatre pattes. Des filets de sperme goutent sur le sol. Il lui caresse les cheveux comme on flatte un animal.

- Ici tu vas apprendre à être une bonne chienne madame R....

- Comment vont mon mari et mes enfants? Puis-je avoir au moins de leurs nouvelles.

Jéricho met deux doigts dans la bouche de la femme.

- Suce...

- S''il vous plaît.... Donnez-moi de leurs nouvelles.

- Non... Je peux juste te dire que M. Aldjoubani a décidé de s'occuper de tes enfants... Si tu vois ce que je veux dire. Peut-être les croiseras-tu un jour dans la région. C'est Habib qui doit s'occuper de ton fils. Je en sais pas qui pour ta fille. Allez suce mes doigts.

Valérie anéantie se laisse flatter l'encolure. Elle voudrait mourir, disparaître. Mais elle n'a plus aucun choix. Elle est impuissante entre les mains de son Maître.

- Lèche-moi les couilles.

Valérie obéit et le sexe se déploie à nouveau au-dessus de son visage. Elle aime le goût de sa peau et son odeur. Elle oublie ce qu'elle est devenue.

- Viens t'assoir sur ma queue... Ton cul... Mets ton cul sur ma queue et assieds-toi! Voilà.

Valérie est empalée sur le mandrin qui va au fin fond de ses reins. Cul reçoit le pieu au maximum.

- Allez bouge! Fais ton taf!

Le liquide de la fiole la rend obéissante et excitée. Il lui relève les jambes. Elle ne tient assise que par le sexe dans son fondement. Il lui écarte les jambes, elle n'a plus aucun soutient et le sexe va encore plus loin.

- AMIRA!

La femme entre. Jéricho lui parle en arabe.

La femme s'agenouille devant Valérie et commence à lécher la chatte ouverte. C'en est trop pour Valérie qui jouit en pleurant. Le trop plein de stress, de peur, explose à grands cris. L'homme la baise à toute vitesse et la femme continue son manège lingual. Valérie s'écroule comme une poupée.

La femme quitte la chambre et Jéricho porte Valérie sur le lit.

L'homme se rhabille. Valérie sent le sperme couler entre ses fesses.

- Ton maître a besoin de toi pour remercier certains hommes puissants de la région. Il attend de toi un dévouement sans faille. Tu es une pute de luxe qu'il offre à ses meilleurs partenaires. Je te déposerai tous les vendredis soirs chez un de ses partenaires qui pourra te garder avec lui le week-end ou plus. Il pourra t'utiliser sexuellement comme bon lui semble. A sa convenance mais ne pas t'abîmer bien sûr. Ce sont des hommes puissants qui rêvent d'avoir une femme de ta classe dans leur lit. Ils ont souvent déjà plusieurs femmes d'ici. Mais rien à voir avec toi. C'est ton nouveau job pour le bien de notre groupe. Tu as été équipe d'une puce qui permet de suivre tous tes déplacements au cas ou...

- Quoi!!!?...

- Dans cette région tout peut arriver surtout à des femmes comme toi....

Jéricho appuie sur une petite télécommande. Au-dessus du lit un panneau coulisse et laisse apparaitre une télévision encastrée dans le mur. La télé s'allume et le film honnit passe. Le son est atténué.

- Il tournera en boucle. Tout le monde doit profiter de tes exploits. Pour que tu comprennes bien ce qui risque de t'arriver si tu n'es pas à la hauteur je vais te mettre à la disposition de mes équipes de surveillance du site. Ils n'ont pas eu de femmes depuis longtemps. Et ils sont un peu rustres. Ils viendront te voir pour se soulager de cette solitude sexuelle. Pendant quatre jours. Nuit et jours. Des fois à plusieurs. Ils sont nombreux... Très nombreux.

- Non s'il vous plaît non pas çà... Je ferais ce que souhaite M. Aldjoubani. Mais pas ça!

- Tu vas adorer salope. Et n'oublie pas les petites fioles à ta disposition.. Après leur passage tu seras vraiment docile avec les VIP de M. Aldjoubani. Tu vois M. Aldjoubani ne ment pas il prend soin de toi et de tes enfants et t'a trouvé un nouveau job dans sa boite. Tu ne vas pas arrêter de prendre ton pied. Mon premier homme ne va pas tarder à venir. Je te conseille de te préparer en profondeur. La douchette à côté des toilettes facilite les lavements. Ici il n'y a pas de blanche à leur disposition. Ils vont se régaler avec toi. Aller je te laisse.

Vendredi 12 Mai 18 :00

M. Aldjoubani, vient de signer tous les accords de cessions de son concurrent. Tout lui appartient. L'opération est une réussite totale. Son cheval de trois a été parfait et mérite largement sa récompense. Le maillot faible a joué son rôle au-delà de toutes espérances et cette Madame R a été parfaite. Il ne peut s'empêcher de la détester. Elle qui se pensait bien au-dessus de lui et sa femme.

Il allume son ordinateur et se branche sur l'adresse de la caméra. Le temps que tout se connecte il se débarrasse de son pantalon et de son caleçon à fleurs.

Il appuie sur une touche de son téléphone de bureau.

- Oui Monsieur que puis-je pour vous?

- Venez Myriam nous avons encore un dossier à étudier.

- J'arrive Monsieur.

Sur l'écran on voit la chambre en totalité.

Myriam entre, voit son patron et sait ce qu'elle doit faire. En plus elle adore cela.

On peut même zoomer.

Sur le lit la femme est en levrette en travers d'un coin du lit. Un homme devant elle et un autre derrière. A leurs mouvements on comprend qu'ils la baisent. Dans le petit salon quatre hommes nus se branlent lentement en attendant leur tour. La porte de la chambre est ouverte. D'autres hommes passent entrent ou sortent. Celui de devant recule, se nettoie le sexe. Un autre se lève pour le remplacer. Quelques minutes plus tard un autre remplace celui qui baisait ou enculait le femme. D'autres entrent se déshabillent et attendent leur tour. Ils regardent en rigolant les exploits télévisuels de la femme qu'on a mis à leur disposition.

M. Aldjoubani savoure la fellation de sa secrétaire.

Et le nouveau job de l'ex directrice des ressources humaines.

Fin

12
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9 Commentaires
ANDRERP95ANDRERP95il y a 2 moisAuteur

Merci cher lecteurs de prendre ma défense face a cette hurluberlue qui sévit sur plusieurs sites.

Je rappelle qu'à l'exception d'un texte qui est une vérité romancée tous les autres ne sont que fiction et fantasme.

Et comme je ne cours pas après le Goncourt disons que la bite a la taille d'une bitte....

Merci encore !

marco_solomarco_soloil y a 7 mois

Bon.

Je ne peux pas laisser passer. Je pensais avoir été clair, mais apparemment AnonymE (puisque c’est une fille) n’a pas capté ma réponse.

Je trouve assez étrange de s’infliger la lecture de cinq (5) épisodes de plus de 6000 mots (d'un texte me semblant médiocre -ce n'est que mon avis et je n’ai fait que le survoler- parce qu’écrire bitte pour bite, franchement ça donne pas envie !) classé dans la rubrique « non consentement » pour venir cracher son mépris pour le genre masculin ensuite…

C’est un peu comme s’astreindre à regarder la collection complète des films d’Amir Shervan puis pleurer qu’on vient de perdre son temps à mater une tonne de nanars.

Pourtant il y a de bons textes sur Literotica, il faut chercher… ou les écrire, chère Anne O'NymE.

Mais chacunE ses goûts et ses perversions masochistes, hein !

Sinon, l'herbe est soi-disant plus verte ailleurs. Mais… il faudra toujours choisir le pré où brouter.

trouchardtrouchardil y a 7 mois

Bon débarras, bye l'anonyme :)

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Alors d'abord je suis 1 fille et non 1 mec , ensuite tu parles de pleutre mais viens on se donne RDV et tu seras le premier à te defiler !!!

Bref vous etes bien des mecs pour defendre 1 recit qui fait l'apologie de la connerie humaine !!!

Donc moi j'irai voir ailleurs et je confirme il y a des sites erotique bien plus valable et vous allez vous faire mettre !!!

marco_solomarco_soloil y a 7 mois

Je suis tombé par hasard sur ces commentaires (anonymes). Il me semble que le titre de la catégorie est : Non consentement/ à contre-cœur. Ça dit bien ce que ça veut dire. Si on n’aime pas, on va lire ailleurs et on ne commence pas un débat inutile. D’une part, il y a une censure exercée par la validation du site (je crois). D’autre part, ce type de polémique ne sert strictement à rien, car oui, un fantasme n’est pas un tract électoral, même s’il "dit" quelque chose.

La question à se poser : est-ce un bon texte ? Bon, moi quand je lis « bitte » répétitivement, je pense soit que l’auteur est un "germain" qui nous invite poliment et par avance, à faire l’effort de le lire, soit qu’il veut nous mener en barque et nous amarrer de force à son texte (mais pas nous faire marrer).

Plus prosaïquement les deux marchent dans ce cas, mais, là, ce n’est que mon avis.

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