Piège Au Shooting Photo

Célibataire, elle pensait être tranquille lorsqu'à vingt sept ans, sophie venait de se faire licencier. Le problème était qu'elle n'avait pas pris d'assurance pour sa maison et que si elle ne trouvait pas rapidement de revenu, elle risquait d'avoir de gros problèmes.

En revenant de Pole emploi, elle n'avait pas le moral. Son patron l'ayant renvoyée pour faute professionnelle, elle n'avait pas le droit au moindre centime alors que les traites continuaient à tomber. Elle n'avait rien fait de mal mais vu qu'elle avait repoussée les avances de son patron, ce dernier s'était vengé en la renvoyant tout en inventant une série de fautes qu'elle n'avait jamais commises. Elle aurait été moins belle, elle n'aurait pas eut autant de soucis car maintenant, avec un tel dossier, plus personne ne voulait l'engager. Elle ne pouvait même pas compter sur sa famille car ses parents étaient ouvriers et gagnaient difficilement leur vie.

Tous les jours, elle lisait les petites annonces et prenait des rendez vous pour des entretiens. Le problème était que des qu'ils avaient connaissance des raisons de son licenciement, ils ne voulaient plus d'elle. Il faut dire que son ex patron l'avait gâté. Retard, fainéantise et surtout détournement d'argent sans qu'il ne porte plainte. Elle n'avait pas pu s'innocenter et cela la poursuivait maintenant.

Ce matin là, elle n'avait pas vraiment le moral et des idées sombres lui traversaient l'esprit. Comme tous les jours elle se mit à lire les petites annonces lorsqu'un encadré lui attira l'attention.

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TRES BIEN REMUNERE

TEL ....

Elle n'était plus vraiment une jeune fille mais elle se savait très belle et avait un corps presque parfait. Pour le photographier, ils n'allaient pas lui demander ses antécédents et poser en tenue légère ne la gênait pas trop. Sophie prit le téléphone et fit le numéro. L'homme parut content de recevoir son appel car il prit avec elle immédiatement rendez vous pour le soir.

Le soir venu, elle prit une douche puis chercha dans sa garde robe des vêtements sexy. Elle enfila un string puis mit une mini jupe qui mirent ses jolies jambes en valeur. Pour finir, elle enfila un tee short sans manche qui laissait deviner sa superbe poitrine qu'elle avait laissée exceptionnellement sans soutien gorge.

Lorsqu'elle gara sa voiture devant la bâtisse que l'homme lui avait indiquée, elle fut surprise par l'état du bâtiment. Cela ne ressemblait pas du tout à un studio et faillit renoncer. Mais elle avait besoin d'argent et se dit qu'elle était stupide. Elle descendit de sa voiture et s'approcha de la vieille porte. En appuyant sur le bouton, elle se dit qu'elle faisait une bêtise puis se dit qu'elle n'avait pas le choix. Elle ne trouvait pas de travail et sa beauté pouvait enfin lui servir. Lorsque la porte s'ouvrit, un homme au regard froid apparut dans l'encadrement.

- Vous êtes sophie?

- Oui

- Suivez moi.

La jeune fille hésita un instant car ça n'était pas la voix de l'homme qu'elle avait eut au téléphone. Mais elle n'était pas venu jusqu'ici pour repartir tout de suite. Prenant tout son courage, elle suivit l'homme qui monta à l'étage. En entrant dans la pièce, elle faillit repartir en courant. Un autre homme l'attendait, équipé d'une multitude d'appareils photos, mais ça n'était pas ça qui avait effrayée la fille. Sophie avait eut peur en découvrant l'énorme lit qui se trouvait être le seul mobilier de la pièce avec une chaise placée dans un coin. Prenant sur elle, elle se ressaisit et fit comme de rien était.

- Mais vous êtes magnifique fit l'homme qui était cette fois celui qu'elle avait eut au téléphone. Nous allons faire du bon travail.

La jeune fille s'avança et tendis la main que l'homme serra.

- Déshabillez vous et allongez vous sur le lit

- Me déshabiller?

- Bien sur, vous n'avez pas lu l'annonce.

- Si mais je croyez que vous vouliez...

- Bon, je n'ai pas de temps à perdre, vous vous foutez à poil ou vous partez. J'attends d'autres filles.

Sophie commençait à se diriger vers la porte lorsqu'elle se traita de conne. Elle s'attendait à quoi en venant ici. Après tout, les calendriers étaient remplis de femmes presque nues et cela ne choquait personne. Même les rugbymans l'avaient fait. Se retournant, elle retira son tee short sous l'œil intéressé des deux hommes qui ne purent s'empêcher d'admirer sa poitrine puis elle retira sa jupe, ne restant qu'en string.

- Tout, vous retirez tout, fit l'homme.

- Elle est vraiment très belle, remarqua l'autre, on a beaucoup de chance.

La jeune femme était presque au bord des larmes lorsqu'elle s'empara du bord du string et qu'elle le fit glisser le long de ses jambes fines et fuselées. Le photographe remarqua alors que la fille rasait avec soin son triangle pubien et qu'elle tenait épilé son sexe ce qui était beaucoup plus esthétique. C'est vrai que sophie le faisait mais c'était surtout pour des raisons d'hygiène, ignorant il y avait encore quelques heures qu'elle serait sur le point de dévoiler son intimité à un photographe.

Nue, elle se sentait bizarre et réussi à se calmer un peu. Elle avait fait le plus dur en se dénudant devant eux aussi lorsque l'homme lui redemanda de s 'allonger sur le lit, elle obéit telle une automate, s'allongeant sur le dos. Elle revint un peu à la réalité en entendant le déclic de l'appareil alors que celui qui lui avait ouvert la porte alla s'asseoir sur la chaise.

- Détendez vous, vous êtes raide comme un piquet.

L'homme la mitraillait, essayant dans un premier temps à l'habituer à l'objectif.

- Bien, mets tes mains derrière la tête, et replies tes jambes tout en les écartant.

Sophie se mit à jouer le jeu et obéit à l'homme qui tournait autour du lit tout en prenant des tas de photos. Ce devait être un numérique car il ne rechargeait jamais.

- Caresses toi les seins et cambre toi.

La jeune fille se sentait de plus en plus décontractée et prenait même du plaisir à se positionner comme il le demandait. Elle avait complètement oubliée l'autre homme qui se rinçait l'œil depuis sa chaise. Ses mains saisirent ses deux adorables seins et se mirent à les caresser, oubliant presque l'homme qui ne ratait rien.

- Caresse toi le sexe

Ca devenait de plus en plus chaud mais sophie ne s'en rendis pas vraiment compte, et c'est naturellement que ses doigts vinrent effleurer sa chatte avant s'y introduire légèrement ses doigts.

- Splendide, s'écria le photographe qui n'en revenait pas encore, pensant que la jeune fille allait se révolter.

La jeune fille se mit à gémir tant ses caresses et l'homme qui la photographiait la mettait dans un drôle d'état.

- tourne toi et mets toi sur le ventre tout en écartant bien les jambes.

Sophie ne se posait plus de question, elle adorait entendre le déclic de l'appareil la prenant sous toutes les coutures. Elle ne se savait pas autant exhibitionniste et ne regrettait pas d'être venue. Une fois sur le ventre, les cuisses bien écartées, elle se cambra bien pour mettre son petit cul en valeur lorsque l'homme le prit en photos-

- Tu as fait ça toute ta vie ou tu es très douée.

Il savait la mettre en condition aussi lorsqu'il lui demanda de se mettre à quatre pattes, histoire qu'il fasse de gros plans de son sexe et son cul, elle se mit dans la position demandée, docile comme un petit toutou.

La séance se termina d'un coup et l'homme lui demanda de se rhabiller. Sophie était presque déçue de s'arrêter ainsi mais quelle ne fut pas sa surprise en constatant que l'homme lui tendait une enveloppe contenant pas loin de mille euros. C'était de l'argent facilement gagné et elle allait pouvoir payer quelques traites en retard.

- Donnez-moi votre numéro de téléphone et votre adresse, demanda le photographe. Je vous appellerai bientôt

Sophie, sans hésiter un instant, donna les renseignements et quitta la bâtisse, heureuse de sa soirée.

Un fois la fille partie, les deux hommes discutèrent d'elle

- Elle est vraiment canon, je crois qu'on a touché le gros lot.

- Mais il va falloir y aller progressivement. Elle a déjà mordu à l'hameçon, le reste devra se faire en douceur...

Sophie passa une très bonne nuit, rêvant qu'elle devenait mannequin et célèbre. Avoir posé nue la ferait peut être connaître et en tout cas, son passé ne serait pas une gêne. Au petit matin, elle ne lut pas les petites annonces, s'octroyant ce plaisir. Elle avait une hâte, celui de recevoir un appel pour une nouvelle séance de poses. Si l'homme ne la rappelait pas, elle ferait les castings, mais elle savait qu'elle avait trouvé sa voie. Le soir, elle ne reçu aucun coup de téléphone ce qui ne la perturba pas. L'homme allait sûrement exploiter ses photos avant de refaire appel à elle.

Les jours passèrent et le téléphone resta muet. Elle commençait à désespérer, se demandant s elle ne s'était pas trompée lorsqu'un matin, elle reçut dans sa boite au lettre un paquet assez épais. Quelle ne fut pas son étonnement en découvrant des photos de nus, parfois dans des positions très osés. Elle trouva la femme splendide et réalisa d'un coup que cette femme, c'était elle. Un petit mot était glissé avec qu'elle s'empressa de lire.

Félicitations, vous avez été repérée par plusieurs maisons d'éditions. D'autres séances de poses sont prévues, je prendrais contact avec vous très bientôt.

Sophie sauta de joie, car même si elle trouvait les photos osées, elle se trouvait sublime et était assez fier d'elle. Le soir même, lorsque le téléphone sonna, elle ne tenait plus en place

- allo, sophie?

C'était le photographe

- Etes vous libre ce soir pour une nouvelle séance.

- Oui bien sur, j'arrive tout de suite

- Fantastique Vous serez payée deux mille euros mais on vous demandera de vous investir d'avantage...

Sophie était abasourdie par le montant et répondit sans vraiment s'en rendre compte

- tout ce que vous voudrez

Deux milles euros, elle allait gagner en un soir plus qu'elle ne faisait pas en un mois. Elle prit une douche rapide et s'habilla simplement. Elle savait qu'elle allait être nue aussi cela ne servait à rien de faire des efforts vestimentaires.

Lorsqu'elle sonna, ce fut le même homme qui lui ouvrit. A priori, cela devait être un voyeur mais cela ne gênait pas la jeune femme. Depuis qu'elle avait vu les photos, elle se savait vraiment désirable et si des hommes prenaient du plaisir à l'admirer elle n'en était que plus flattée. Lorsqu'elle rentra dans la pièce, un troisième homme s'y trouvait. Elle eut très peur et faillit s'en aller en découvrant que le nouvel arrivant était allongé entièrement nu sur le lit.

- Ah, vous voilà, déshabillez vous et rejoignez Bruno sur le lit

- Il y a erreur, fit la fille, je ne peux...

- Si cela vous gêne de gagner facilement deux mille euros vous pouvez partir. Il ne s'agit que de quelques photos de nus et rien d'autre.

La jeune femme avait besoin d'argent et finalement, pourquoi ne pas poser avec cet homme. Elle se déshabilla et ne remarqua pas un petit sourire de victoire sur le visage de l'homme qui lui avait ouvert. Comme la première fois, il alla s'asseoir sur la chaise, essayant de se faire oublier.

Une fois nue, elle monta sur le lit à coté de l'homme qui était vraiment bien bâti. Elle était mal à l'aise, ce qui n'était pas le cas de son partenaire qui s'était allongé sur le dos, les bras sous la tête.

- Mets toi sur le coté et regarde Bruno d'un air amoureux.

Sophie obéit alors que le crépitement de l 'appareil annonçait le début de la séance.

- Sophie, pose lui ta main sur son torse, histoire de paraître plus proche.

Avec hésitation elle toucha le torse de l'homme qui restait impassible.

- Bien, très bien maintenant caresse le lentement.

La jeune femme se dit que cela allait trop loin pourtant, sans vraiment le vouloir, sa main se mit à se déplacer, lui caressant la poitrine. L'homme parut apprécier car il se mit à avoir une érection, ce qui plut au photographe.

- caresse lui le sexe, dit il alors

ce fut comme un choc électrique. Elle s'assit sur le lit et dit

- Je ne peux pas, je veux bien faire des photos de charmes mais pas plus loin.

- Dans ce cas habilles toi et casse toi. Si tu n'as pas besoin d'argent fallait rester chez toi.

- Mais? Vous me demandez...

- Et tu n'as jamais vu de sexe avant ; la coupa le photographe

- Si...

- Alors de quoi tu as peur. Je t'ai photographiée sous toutes les coutures et maintenant tu fais ta mijaurée. Si tu veux plus d'argent, j'irai jusqu'à deux mille cinq cent.

- Trois mille dit alors sophie

- D'accord mais tu m'obéis

- Oui

La jeune femme avait vraiment besoin de sous mais elle prenait des risques car elle savait que l'homme allait en vouloir pour son argent.

- Mets toi à quatre pattes sur le lit et suce le.

- Hein, je ne pensais pas aller si loin

- Suce-le ou casse toi.

Sophie ne savait plus quoi faire. Elle était paniquée alors que son partenaire restait calmement allongé. Le cœur au bord des lèvres, elle se mit à quatre pattes sur le lit et approcha sa bouche du sexe qui bandait déjà pas mal.

- n'utilise pas tes mains, lèche le comme une chienne.

Sophie se décida alors et sortant sa langue, commença à lécher le membre sous les déclics de l'appareil. Elle partait du gland pour descendre lentement vers les testicules. Elle tressaillit lorsque la main de l'homme qu'elle léchait lui emprisonna un sein mais elle continua pourtant sa lèche. La jeune femme n'en revenait pas de ce qu'elle était en train de faire, surtout que l'homme bandait de plus en plus et qu'il avait un sexe magnifique. Du coup, sans vraiment s'en rendre compte, elle se mit à prendre du plaisir et lorsque le photographe lui demanda de le prendre dans sa bouche, elle n'hésita pas un instant et enfourna le gland entre ses lèvres, alors que l'homme ne put s'empêcher de gémir. Le photographe jubilait car la superbe créature était en train de changer. Il la mitrailla alors qu'elle s'était mise à faire une pipe sans que personne ne lui demande rien. Il faut dire que la jeune femme était de plus en plus excitée et dans la mesure ou elle avait commencé à lécher la queue, elle n'avait plus aucune raison de faire la fine bouche.

- Ca suffit, s'écria après un certain temps le photographe. Je veux garder Bruno en état de bander encore un peu.

Sophie eut du mal à obéir tant elle y avait pris goût.

- Mets toi à quatre pattes et Bruno passe derrière elle.

La jeune fille ne fut pas choquée tant elle était excitée. Elle se mit à quatre pattes et écarta les cuisses pour laisser se positionner l'homme. Elle ignorait si il ne s'agissait que de feindre pour les photos ou si l'homme allait vraiment la pénétrer mais cela n'avait plus d'importance. Elle voulait être désirée et que les hommes qui regarderont les clichés aient envie d'elle. Elle ne se révolta même pas lorsque le gland s'introduisit dans sa chatte alors que le photographe clichait la pénétration.

- Fantastique hurla l'homme alors qu'il donnait le feu vert à Bruno pour commençait les vas et vient.

Il tournait autour du couple pour les prendre sous tous les angles, faisant des gros plans du visage de la fille en pleine jouissance. Cette dernière ne se savait pas aussi réceptive elle elle finit par oublier l'objectif tant elle prit son pied.

- N'éjacule pas encore et sodomise la

La jeune fille ne broncha pas et resta immobile alors que l'homme se retirait pour présentait son gland contre son anus. Elle avait déjà été enculée mais avait eut mal et avait détesté ça. Pourtant, là, elle ne chercha même pas à ce dérober tant elle avait perdu le contrôle de son corps. Lorsque l'homme poussa, le photographe prit quelques clichés du cul mais en entendant gémir la fille, il se positionna devant et photographia le visage de la fille qui laissait apparaître la douleur de la pénétration.

- Elle n'a pas l'habitude de se faire forcer le cul, prends la avec plus de force pour qu'elle grimace encore plus. Son sexe étant suffisamment enfoncé, l'homme la saisit par les hanches et d'un grand coup de reins, la pénétra au maximum ce qui eut pour effet de lui faire pousser un cri. L'homme était tellement excité qu'il se mit à la bourrer avec hargne, faisant crier la jeune fille qui avait mal mais qui ne se débattait pas. L'homme ne mit pas longtemps pour éjaculer ce qui mit fin au calvaire de la jeune femme. Elle n'avait même pas remarquée que le photographe avait posé son appareil durant sa sodomie pour admirer le spectacle. Lorsque Bruno, la jeune femme s'écroula sur le coté. Elle avait honte de ce qu'elle avait fait, pas trop pour avoir posé, plus pour avoir pris de plaisir. Pourtant, elle ne réagit pas lorsque le photographe s'asseye sur le lit et, tout en se mettant à lui caresser la hanche lui dit :

- tu as été formidable, tu es vraiment la plus belle

- merci

- c'est fini pour aujourd'hui, rhabille toi, je te prépare ton enveloppe.

Elle obéit en remettant ses vêtements devant les trois hommes. Elle n'était plus gênée vu ce qu'elle venait de faire et la honte commençait à la quitter. Après tout, elle utilisait ce que la nature lui avait donné et il n'y avait pas à en rougir. Lorsque l'homme lui donna son argent, sophie constata qu'il n'y avait que deux milles euros mais n'osa pas réclamer les milles manquants. C'était déjà beaucoup d'argents et elle avait l'impression de les avoir volé vu qu'elle avait pris du plaisir malgré la sodomie.

Lorsqu'elle fut parti, les deux hommes discutèrent à nouveau

- J'espère que l'on ne se trompe pas car elle nous revient assez cher

- Non, elle sera parfaite et nous fera gagner un paquet d'argent. Elle n'a même pas osé dire qu'il manquait de l'argent.

- C'est qu'elle estime sa prestation moins chère que ça...

Sophie prit une longue douche, comme si elle essayait de se purifier puis alla se coucher dans le plus simple appareil. Ce qu'elle avait fait ressemblait à de la prostitution et elle avait des scrupules. Pourtant, elle avait gagné pas mal d'argent et elle ne savait plus quoi penser. C'est vrai que c'était immoral pourtant, cela lui avait plus et elle se sentait toute bizarre rien que d'y penser. Elle réussit tout de même à s'endormir vers les deux heures ce qui fait que lorsque l'on sonna à sa porte vers les sept heures du matin, cela la réveilla en sursaut. Qui pouvait bien venir chez elle à une heure pareille?

Elle enfila une robe de chambre pour cacher sa nudité et alla ouvrir. Qu'elle ne fut pas sa surprise en découvrant le photographe.

- Bonjour, dit ce dernier, je ne te réveille pas?

- Heu, non, j'allais déjeuner, mentit la fille

- Je me permets de venir ce matin car je me suis rendu compte que je ne t'avais pas donné la bonne somme hier

- Ca n'est pas grave

- Tu veux dire que tu me faisais cadeau de mille euros?

- Non, c'est pas ça, c'est que...

Sophie s'emmêlait les pinceaux et l'homme la coupa en disant

- Ta prestation d'hier ne valait pas plus de deux mille euros?

- C'est pas ça...

- Je ne veux pas être venu pour rien. On s'était mis d'accord avant prend les sous...

-

Tout en disant ça, l'homme pénétra dans sa maison, et alla poser les billets sur la table. Sophie, qui était restée à la porte, ne pensa même pas à protester et referma la porte, ne sachant plus quoi faire.

- Si tu estimes ne pas avoir mériter ton argent, je vais prendre le solde maintenant.

Et tout en disant ça, il s'approcha de la fille et desserra la ceinture de sa robe de chambre. Elle ne réagit même pas car il avait raison, ce qu'elle avait fait ne méritait pas cette somme et même si elle n'était pas une pute, cela ne la choquait pas qu'il se paie avec son corps. Pire, elle en avait envie aussi resta elle immobile alors que l'homme écartait les pans de sa robe de chambre et qu 'il faisait apparaître son corps nu. Il lui dégagea ses épaules et fit tomber le vêtement par terre la dénudant complètement.