Valérie Ou La Petite Fiole Noire 04

Valérie crie appelle Habib qui regarde la scène en bandant.

Des clodos prennent le matelas pourri qu'ils déposent près du brasero. La femme est jetée dessus. Tenus écartelée en étoile. Les hommes se battent pour se coucher sur elle. Comme souvent c'est la loi du plus fort qui s'applique et le premier passe sur elle.

Habib voit les sous-vêtements déchiré s'envoler.

Quelqu'un a mis de la musique. Le premier a rapidement fini et laisse sa place. Ils tiennent fermement leur proie et veulent profiter un maximum d'une telle aubaine. Certains boivent une piquette au goulot. La femme crie puis gémis à son corps défendant. Habib reconnaît ses cris de jouissance. Cette salope prend son pied avec cette chienlit. Des clochards avinés sont en train de se taper une des plus belles femmes qu'il connaisse. Et ils arrivent à la faire jouir.

Habib enregistre une partie de la bande son et l'envoie a un interlocuteur. Il arrive à prendre de bonnes photos à l'insu des clochards.

Pendant une bonne heure les hommes vont se relayer sur le corps de Valérie. La femme ne crie plus, ne bouge plus, reste ouverte à attendre d'être couverte et pénétrée. Les clodos se succèdent, baissent leurs pantalons sous leurs fesses et baisent directement la femme ou la font sucer. Ils baisent la chatte et la bouches offertes. A peine quelques vas et viens avant de se soulager. Puis un autre le remplace. Ils jouent avec comme avec une marionnette, la mettant dans des positions sexuelles pour en profiter un maximum. Les chiens la flairent et sont repoussés violement par les hommes qui attendent leur tour..

Habib en a compter dix en à peine une heure. Il les entend s'exclamer et rigoler ou échanger quelques blagues. Ils sont heureux. Et ils picolent autour du matelas.

Un type vient demander quelque chose à Habib qui opine de la tête.

Il repart en courant vers le matelas et parle aux autres.

Les mecs se saisissent de la femme et la positionne à quatre pattes. On lui tient les jambes bien écartées. Les fesses aussi. A nouveaux ses cris. Un mec contre elle. Et rapidement le cri devient douleur. Et à nouveau les mecs passent derrière et devant elle. Et tous les trous de la femme servent à la meute de clochards. Ils se servent d'huile. Ils se soulagent plusieurs fois mais sans jamais faire de mal. Ils sont assez nombreux pour immobiliser la fille à leur convenance.

Et régulièrement, Valérie jouit à son corps défendant.

Presque trois heures après leur arrivée c'est enfin fini. La femme couchée sur le matelas est comme évanouie. Elle est couverte de sperme. Les cheveux en bataille. Le maquillage massacré transforme son visage en visage de clown triste.

Deux hommes la portent et la posent nue dans le coffre.

A la maison, il s'occupe d'elle. Inspecte son corps, l'anus est encore ouvert, le vagin béant. Il va devoir faire des lavements calmants. Puis il la lave, la désinfecte, lui donne une soupe à manger avant de la coucher.

Il échange longuement au téléphone puis travaille une partie de la nuit sur son ordinateur.

A l'aube, il va voir Valérie la réveille pour lui faire avaler deux cachets.

Il envoie des messages à son mari et ses enfants pour leur dire qu'elle part trois jours en excursion et qu'il sera difficile de la joindre. Echanges d'émoticônes rires, cœur, soleil.

Elle dort vingt-quatre heures d'affilées d'un sommeil de plomb grâce aux cachets.

Quand elle se réveille, l'horloge de son chevet indique 18 :30.