Valérie Ou La Petite Fiole Noire 03

Informations sur Récit
Destin de femmes.
4.7k mots
4.45
8.2k
3
0

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 04/29/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
ANDRERP95
ANDRERP95
24 Admirateurs

Dernière semaine d'Avril.

Son mari et ses enfants sont partis pour quinze jours. Habituellement une séparation aussi longue l'aurait rendu triste. Mais là, elle se réjouit d'avance de revoir son amant dans la soirée. De vivre avec lui trois semaines.

Ce jeudi,elle est concentrée sur ce fameux projet lorsque les mails arrivent sur les deux boites. Personnelle et professionnelle. Au début, elle n'y prête pas attention. Ce n'est qu'un mail de plus à traiter mais le libellé l'intrigue.

L'objet était : Comment être super salope avec les hommes.

Pas de texte dans le corps du message mais une photo aux pixels agrandis au maximum qui la rend incompréhensible. Déconcertée par le fait de l'avoir sur ses deux adresses mails, elle reste perplexe quelques secondes avant de prendre la décision de détruire le message en maugréant contre les informaticiens incapables de bloquer ce genre de spam. Elle ne connait rien à l'informatique et au net de toute façon.

Elle se remet au travail. Mais à 10H30 le même mail.

Mais cette fois la photo est moins floue. Incompréhensible mais moins flou. Et toujours sur ses deux adresses. Intriguée, elle tente sans succès de comprendre cette photo. On aurait dit des halos de couleurs différentes. Elle décide de garder le mail sur son adresse personnelle et de détruire l'autre. Elle reprend son travail avec une pointe d'inquiétude.

A 11H30 le troisième mail arrive.

Toujours le même objet. '' Comment être super salope avec les hommes. ''

Son inquiétude monte d'un cran. Qui pouvait lui envoyer ce genre de message? L'expéditeur, une suite de chiffre, lui est totalement inconnu. Toujours la même photo de plus en plus compréhensible. On distinguait un lit, une forme dessus, une armoire derrière, des murs clairs.

Et au milieu de ce flou, un objet bien net à droite de la photo. Une statuette!

Qu'elle reconnait immédiatement!

Elle recule dans un reflex de défense, comme pour échapper à l'image.

La déesse de la fertilité qui se trouvait sur la commode de sa chambre.!

Prise de panique, elle efface tous les mails. Le sang s'est retiré de son visage. Ses mains tremblent. Heureusement qu'elle est seule dans un bureau. Elle ne comprend pas ce qui se passe. Ce que veut dire cette photo, ni ce qu'elle montre. Mais elle est sure que c'est sa chambre à coucher!

Agoissée, elle reste prostrée devant son écran. Incapable d'aligner deux idées cohérentes.

Tout se bouscule dans sa tête. Elle a peur de comprendre ce qui se passe. Cela lui semble impossible. Mais les faits sont là. Peu de monde connait sa chambre à coucher. En fait seuls son mari et ses enfants la connaissent .... Et lui!

Pourquoi?... Elle a du mal à respirer.

Le mail suivant l'oblige à courir aux toilettes pour vomir d'angoisse. Pas de photo floue sur celui-ci. Juste la liste de tout son carnet d'adresses professionnelles et personnelles. Et bien plus grave, ceux de son mari et ses enfants. Elle n'arrive plus à marcher. Assise sur la cuvette, elle est comme assommée. Sa vessie se vide contre sa volonté.

Elle se sent tellement mal, en panique, incapable d'aligner deux pensées cohérentes.

Elle doit pourtant retourner à son bureau. Elle réussit tant bien que mal. Vide sa boite professionnelle. Laisse un mot à sa secrétaire et quitte son bureau comme une somnambule.

Chez elle, ayant retrouvé un peu plus de contrôle et de calme, elle ouvre sa boite mail.

Aucun nouveau mail. Tous les autres sont là. Ce n'est pas un cauchemar, mais la réalité. Elle fait défiler les photos. Il y avait aussi absolument tous les contacts et elle suppose ceux de sa famille. Comment avait-il pu faire cela. Elle ne l'a jamais vu avec un téléphone ou n'importe quel autre appareil. Toute au long de la soirée, elle regarde les photos et ne sait plus quoi faire. Elle a compris que c'est la même photo mais de plus en plus net.

Elle n'a pas faim, tourne sans but dans cette si grande maison. Seule et incapable de penser à autre chose que cette photo et à son présumé auteur. Fatiguée, elle se couche. L'angoisse la fait trembler. Impossible de dormir, de penser à autre chose que ces photos.

Le mail arrive à minuit. La même photo. Bien nette. D'une qualité professionnelle.

Elle se découvre avec effroi.

Couchée, nue, cuisses écartées, chatte ouverte luisante, visage souriant et gourmand. Au bas de la photo on voit le gland d'un sexe d'homme. Impossible de ne pas comprendre ce qui s'est passé pour cette femme repue et offerte. Impossible de nier l'évidence.

Elle reste prostrée devant la photo. On voit tout sur cette photo : le ventre plat la fourche des jambes ouvertes et le friselis des poils de son intimité. On voit les lèvres luisantes entreouvertes, on devine un liquide blanc à l'entrée. Cette photo montre une salope qui vient de se faire remplir et qui est heureuse et reconnaissante, à dispo de cette bite .

Impossible de dormir. Nuit blanche.

Le lendemain vendredi, assommée de fatigue, et pour la première fois de sa vie professionnelle, elle décide de ne pas aller travailler. Et toute la journée, à chaque heure, nouveau mails et nouvelle photo. Toutes les photos la montrent offerte dans diverses positions. On devine toujours qu'elle n'est pas seule. On voit parfaitement les coulées de sperme, le sexe dans sa bouche, son vagin. On la voit en levrette anus offert et chatte pleine d'une grosse verge ou nue sous la douche, toujours nue en train de cuisiner, de ranger, de servir cet amant inconnu, de le sucer à genoux entre ses cuisses lui assis à table. Et surtout sur un grand nombre de photos, on voyait des cadres avec les photos de son mari ou ses enfants. Et c'est cela qui lui fit le plus mal.

Au téléphone, elle a beaucoup de mal à tenir une conversation cohérente avec son mari et ses enfants ou ses collaborateurs inquiets de son absence non prévue.

Petit à petit elle essaie de retrouver un semblant de maîtrise de soi.

Mais impossible de dormir pour la deuxième nuit de ce cauchemar.

Le lendemain au bureau sur ses deux boites mail une autre photo et même procédure. Cette fois ci elle est en levrette et on voit parfaitement son visage dans le miroir de sa penderie. On voit aussi un homme visage flouter en train de la baiser. Impossible de ne pas comprendre que madame la responsable des ressources humaines est en position de levrette et en train de se faire défoncer.

On devine aisément la jouissance sur son visage.

Puis le jour suivant une autre photo et ainsi de suite pendant cinq jours.

Le manque de sommeil la rend apathique. Elle est incapable de travailler, de mener correctement ses missions. Certains membres de son staff lui demandent si tout va bien. Elle est en train de perdre pied et ne peut parler à personne. Elle n'a aucun contact avec Habib. Impossible de le joindre. Ni de le voir au sein de la société.

Aux lueurs de l'aube d'une nuit comme les précédentes, son portable la sort de sa léthargie comateuse figée devant son écran. Il est six heures du matin. Hagarde, elle décroche.

- Salut...

C'est lui!

- Ouvre...

Elle ne comprend pas ce qu'il demande.

- Quoi....

- Ouvre ta porte ...

- Mais quelle porte?...

- T'es conne ou quoi! La porte d'entrée...

Elle a le vertige, se tient au mur pour aller ouvrir la porte. Elle ne comprend pas comment il peut être dans la propriété. En chemise de nuit elle ouvre la porte.

Il est devant elle. Dans sa tenue de motard. Avec son casque sur la tête. Silhouette menaçante.

Il la pousse pour franchir le seuil et ferme la porte derrière lui.

- Habib. Quoi!!!! Qu'est

- A poil! ...

- Quoi! Mais

- A poil...

- Non... N..

La gifle la cloue sur place. Un aller-retour sec qui lui coupe la respiration.

- Quand je dis à poil ti te fous à poil!

Il lui arrache la chemise de nuit qui se déchire. Il la traine dans le salon et la jette sur un fauteuil.

Il se déshabilla en silence. Entièrement. Il fouille dans sa veste en cuir pour en retirer une petite fiole en verre qu'il pose sur un des guéridons harmonieusement réparti dans le grand salon. Puis il s'approcha d'elle en se branlant.

Contre sa volonté, elle ne peut s'empêcher d'avoir le regard fixé sur la virilité qui durcit.

- Suce ...

- Mais...

Il leva sa main dans un geste menaçant et elle comprend qu'il n'hésiterait pas.

Alors elle ouvre la bouche.

- Bien... Je vais bien ti niquer la bouche...

Il lui bloque la tête et commence lentement à coulisser entre ses lèvres.

- Ti es belle et pas bête. Ti a compris ce qui va se passer maintenant.. J'ai des tas de photos d'une belle salope qui adore les jeunes bites arabes...

Il poussa un peu plus son gland vers la gorge lui donnant des renvois.

- Ti as vu que j'ai toutes les adresses mails qu'il faut... Et les adresses aussi. Applique toi pour la suce salope... Voilà comme çà... Alors la règle elle est simple. Ti es à moi. Ti obéis et j'envoie rien. Ti refuses et tout part partout et aussi sur des réseaux avec tout ce qu'il faut pour te reconnaître....

Il libéra sa bouche. Le sexe fièrement dressé devant le visage semblait la narguer. Elle avait envie de vomir. Il lui releva le visage pour qu'elle le regarde. Il tient sa bitte qu'il promène sur le visage puis il la caresse avec. Des grandes coulées humides sur les joues et le front de Valérie.

- Ti as compris....

- Qu'est-ce que tu veux?

- Ti as compris?

- Tu veux de l'argent?

La gifle la statufia. Il reprit doucement

- Ti as compris?

- Oui... Oui...

Elle baissa la tête.

- C'est bien.

Il lui tendit la fiole.

- Bois... Bois...

- C'est quoi?...

Elle voit le bras se lever et avale d'un trait le contenu de la fiole. C'est sucré. Un goût de fruits et de plantes. Un peu sirupeux.

- C'est bien. Vas me préparer à manger...

Il la suit à la cuisine. Dans l'entrée, il lui donne une claque sur les fesses

- T'i as un très beau cul. Beau à visiter.

Elle fait rapidement une omelette qu'il déguste lentement devant elle, debout. Sans comprendre pourquoi, elle se sent fataliste, ne perçoit plus le danger, ni ce qui se passe. Elle comprend que le contenu de la fiole commence à agir. Elle est moins oppressée, respire mieux. Elle regarde l'homme nu assis mastiquant lentement dans un mouvement de mâchoire puissant. Il lève les yeux vers elle. La fixe sans un mot. Elle est à peine gênée d'être nue devant lui et baisse les yeux.

- Viens sucer ton mec.

Elle se met à genoux entre les jambes musclées. Elle obéit et ne comprend pas pourquoi elle le fait sans rien dire. Elle le prend en bouche.... Il la laisse faire en lui caressant les cheveux.

- Caresse-toi .... Allez fait du bien à ta chatte.

Elle obéit en fermant les yeux. L'excitation vient lentement. Elle aime cette bite. Sa consistance, son odeur, sa douceur.

- Je suis ton mâle maintenant et je vais prendre soin de toi... Tu m'appartiens et tu dois obéir sans discuter à ton amant. Tu es à moi... Je vais t'apprendre à être une bonne fatma... Une bonne blanche à mon service... Suce bien... Applique-toi. Déguste ta sucette. Tu comprends ce que je dis? Réponds!

Elle ne dit rien se contentant de hocher la tête et sucer cette queue tellement belle et tellement dure, qu'elle commence à bien connaître. Elle le fait sans plaisir mais sans dégoût. Elle l'écoute pour comprendre ce qu'il voulait. Elle s'excite seule. Elle sent la mouille sur ses doigts agiles.

- Avec moi ti seras jamais en danger. Et personne chez toi ne devinera... Mais il faut obéir... Si tu obéis tout se passera bien pour tout le monde... Ah ti es vraiment bonne suceuse... Je ne veux pas bouleverser ta vie ni détruire ta famille. Juste que tu m'obéis.... Putain t'as une sacrée bouche à pipe toi!

Quand il se vida, elle le boit entièrement sans rien dire, avalant sans répulsions les giclées de foutre qui fusent du sexe de son amant. Il la regarde boire en se délectant du spectacle de cette bourgeoise buvant sa liqueur. Quelques gouttes tombèrent sur le sol. Il la repoussa violement.

- Lèche! Ne perds jamais une goutte de ce que te donne ton mâle.

Elle le regarda sans comprendre vraiment ce qu'il demandait.

- Lèche... Tu dois rien perdre de ma liqueur. Il lui penche la tête vers le sol et elle lèche sans révolte les traces de spermes qui maculent le sol de marbre.

Il lâche la nuque de la femme et se lève.

Elle reste à genoux sans rien faire. Le produit agissait. La tête lui tourne un peu.

- Viens ma salope.

Elle ne dit rien sous l'insulte et le suit dans la chambre. Elle le voit fouiller dans un coin de la chambre au-dessus d'une commode et se saisir d'un petit rectangle noir.

- Caméra wifi comme pour les drones...

Elle comprend vaguement ce qu'il dit. Elle se sent dans un curieux mélange, de révolte, de peur et de fatalisme. Elle ne se comprend plus. Elle a juste envie de dormir. Pas de révolte, que dormir.

- On va faire de belles photo de toi en putasse...

Elle s'en fout.

- Assise sur le lit et écarte bien tes jambes.

Elle obéit.

- C'est quoi ton prénom?

- Valérie

- Valérie comment? ... Ton nom.

- R... Valérie R...

- Mariée?

- Oui

- Des enfants?

- Oui deux...

- Garçon? Fille? Ages? Soit précise salope!

Elle répondait docilement. Impossible de refuser ou de se révolter.

- Un garçon de 19 ans et une fille de 21 ans

- C'est quoi ton job?

- Directrice des ressources humaines et de la relations externe chez B.....

- On va faire une petite série et après on reprend.

Elle suivit ses instructions du mieux qu'elle put.

Debout, assise, couchée. Bouche, jambes ou fesses ouvertes. Se caressant la chatte. Titillant sa rondelle inviolée. En levrette reins creusée, croupe offerte. A genoux jambes grandes ouvertes comme sa bouche, se caressant le vagin, se doigtant tout au fond de son intimité. Tout cela sourire aux lèvres parce qu'il l'exige. Aucune honte, juste fatiguée et incapable de se révolter.

Puis le questionnement reprit.

- Tu baises combien de fois par semaine avec ton mari?

- Quand il est là deux fois par semaine...

- Tu as un amant?

- Oui

- Tu aimes te faire baiser par ton amant?

- Oui j'aime ça.

Elle est effarée de répondre cela mais impossible de mentir ou taire les choses.

- Tu aimes ma bite?

- Oui.

- Tu la trouve comment?

- Belle, grosse...

- Tu as envie d'elle?

- Oui

- Ti as envie de te faire baiser par ma grosse bitte d'arabe?

- Oui

- Dis-le.

- J'ai envie de me faire baiser par une grosse bite d'arabe...

- As-tu envie de me faire plaisir et m'obéir?

- Oui... J'ai envie

- Tu vas être une bonne salope à notre disposition. Tu es ok?

- Oui.

- Dis-le

- Je veux être une bonne salope à votre disposition.

- Très bien... Je ne veux pas t'obliger... Alors répète que tu es ok.

- Oui je suis OK

Puis il dispose son téléphone d'une certaine façon sur la commode.

- On va finir ce petit film tous les deux. Mets-toi en levrette sur le lit...

Elle prend la pose demandée. Elle sait que le téléphone filme. Mais cela lui est égal. Sentiment d'euphorie parce qu'il va la baiser.

- Ecarte bien les jambes. Cambre au maximum. Baisse la tête.

Il met son pied sur le matelas devant son visage.

- Embrasse. Prouve moi que tu es a moi et ok pour tout.... Allez! Embrasse.

Elle embrasse le pied devant elle. Aucune révolte. Cela dure un moment. Il dirige. Elle obéit et embrasse un orteil après l'autre, passe sa langue sur le coup de pied la cheville le talon. Puis il se met debout. Cela l'excite encore plus, elle sent son intimité sourdre sa liqueur.

- Mets ta joue contre le matelas. Prosterne-toi bien. Cambre bien.

Elle a la tête et les seins contre le matelas, les reins creusés. Le derrière est offert. Les fesses sont offertes, légèrement entrouvertes. A genoux derrière elle, il ouvre les globes pour dévoiler l'anus et la fente humide. Il tient son sexe bien droit et pose le gland contre le vagin offert suintant.

Le sexe pénètre la vulve encore un peu sèche d'un coup. Ouvrant les chairs délicates. Elle grimace sous la légère douleur. Sous le mouvement de piston ses muqueuses libèrent la mouille et il peut la baiser souplement en profondeur. Elle ferme les yeux, mord ses lèvres. L'excitation s'empare de son corps. Son intimité coule.

- Tu aimes...

- Oui

- Tu sens bien ma bitte dans ta chatte de salope...

- Oui...

- Tu mouilles à fond ma garce.

Il colle son corps musclé sur le sien. Torse contre son dos son bassin contre les fesses. Elle sent les poils rèches contre ses cuisses, son dos. Son souffle profond balaye sa nuque. Il tient une petite fiole à la main. Elle sent la chaleur de son corps contre son dos.

- Prépare-toi ma belle, on va faire ça comme on le fait chez moi...

Il cracha plusieurs fois sur l'anus pendant qu'il coulissait dans la chatte élargie. La mouille est abondante il l'étale sur l'anus serré.

- T'inquiète ça va bien se passer

Elle marmonne des phrases incompréhensibles en dodelinant de la tête quand elle comprend ce qui va se passer. Elle ne veut pas. Mais elle ne peut rien faire, consentante contre son gré. Il écarte bien les fesses au niveau de l'œillet et admire le petit cratère inviolé, d'une couleur brune et sans poil.

Il sort le sexe de la chatte humide pour le poser contre l'anus de la femme au cul offert. Il fait couler sur son sexe bien droit une partie du liquide de la fiole et se branle rapidement. Il saisit son sexe pour le positionner rapidement sur l'anus. D'un bras il ceinture la taille de la femme et son autre main appuie sur la nuque. Il se colle contre elle pour bien l'immobiliser et lui chuchote à l'oreille.

- Tu vas être toute à moi

D'un puissant coup de rein, il donne un coup de bassin et défonce d'un coup l'anus qui ne peut résister à une telle charge.

Le cri de souffrance de la femme emplit la pièce. Elle se cabre tente d'échapper, tremble de douleur. Mais elle ne peut rien faire. Il la tient immobile contre lui. Sa bite vient de perforer le cul inviolé. Il vient de casser le cul de cette femelle et il savoure l'instant présent.

- Ne bouge pas, ti peux rien faire et ti auras moins mal. Tu vas vite aimer le donner ton cul crois-moi. Je vais bien te l'ouvrir. Tu vas avoir une deuxième chatte.

Il donne lentement plusieurs coups de reins, sourd aux cris de douleur de la femme qu'il empale lentement sur son pieu lubrifié. Tout lui mettre sans lui laisser le temps de souffler ou de se rebeller. Déflorer le trou de balle d'une seule poussée puissante et régulière. Malgré les cris et les pleurs.

Puis elle ne crie plus, se laisse aller sans révolte.

- C'est bien ma salope. C'est bientôt fini. Tu vas devenir une bonne enculée..

Elle pleure.

- J'ai mal... Ça fait mal...

- Caresse toi, t'i auras moins mal...

Elle obéit difficilement.

Encore quelques coups de bassin et ses couilles pleines se collent contre le cul cassé. Elle est plantée sur son pieu. Il la laisse gémir sachant parfaitement qu'elle n'a plus aucune volonté de révolte. Elle se tait enfin. Elle ne bouge plus, attendant en pleurant la suite de son supplice. Elle se caresse de plus en plus vite et titille son bouton.

- Je ti bien cassé le cul ma pute...

Il parlait fort pour avoir un bon son sur le film.

- Ton cul m'appartient maintenant. Comme le reste...

Il lui tira les cheveux en arrière l'obligeant à relever la tête.

- Tout le monde doit voir qu'elle salope tu es...

Il reprit ses mouvements de piston. De plus en plus amples, de plus en plus puissants, de plus en plus profonds. Il lui démonte méthodiquement le cul, sourd à ses pleurs, ses supplications. Il va lentement pour ne pas la blesser. Il lui ouvre le cul méthodiquement par des mouvements de bassin.

Visage ravagé de larmes, tourné vers le téléphone qui filme Valérie le subit dans la douleur et pourtant sans aucune révolte. Elle a mal, peur, honte. Elle, dirigeante puissante et crainte, subit la loi d'un amant qui est en train de la dompter. Elle feule de jouissance quand ses doigts écrasent son clitoris.

ANDRERP95
ANDRERP95
24 Admirateurs
12