Valérie Ou La Petite Fiole Noire 02

BÊTA PUBLIQUE

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Elle doit absolument valider et compléter cette opération secrète de prise de contrôle de leur concurrent direct. Son groupe serait alors propriétaires de nouvelles mines de minerais en Afrique. Les plus grosses, les plus rentables. Un pactole à leur disposition.

Elle déteste le dirigeant. Aldjoubani la révulse physiquement et moralement. Un homme grossier sans aucune limite, sans foi ni loi. Elle l'avait rencontré plusieurs fois dans des soirées de sa profession. Petit gros, genre lutteur turc, obséquieux, dans un costume impeccable qui la dévisageait sans cacher l'envie qu'il avait d'elle. A leur dernière rencontre il lui avait même demandé où elle avait acquis ce magnifique rang de perles qu'elle avait au cou. Il souhaitait le même pour sa femme. Elle lui avait sèchement rétorqué que c'était un cadeau de son mari et elle l'avait planté là. Elle a senti son regard concupiscent sur sa chute de reine et cela l'a dégoutée.

Vendredi 28 Avril

Elle avait chaud dans cette cabine. Elle entendait des voix de la musique. Un fond sonore étranger. Des paroles de films en Version originale. Des bruits de pas. Et des fois elle devine des visages qui s'encadrent dans ce rectangle. Elle tente tant bien que mal de cacher ses intimités.

Le visage sévère d'Habib s'est encadré dans le rideau de séparation.

- Tu te caches encore une fois et je te fous à poil au milieu du magasin... Penche toi et écarte tes fesses tout de suite sinon gare à toi.. Je veux que tu montres à tous ton trou à merde.

Elle lui obéit. Elle ne sait pas qui la regarde. Elle ne peut rien voir. Aucun des visages qui se succèdent devant la cabine pour admirer cette bourgeoise à mille lieux de leur monde.

- Tourne sur toi-même pour qu'ils voient bien à quoi tu ressembles et que mes amis admirent tes trous de salope.

Elle sent des rigoles de sueur coulent le long de son ventre, ses reins. Les coulées de sperme s'étaient figées sur son menton et son cou. Elle n'ose pas les enlever et garde les bras le long du corps. Nue dans cette cabine offerte à ces regards concupiscents, elle tourne sur elle-même, offrant toutes les parties de son corps à des regards avides de sexe.

Habib revint lui ôte le masque et lui tend des bouts de tissu.

- Mets çà.

Une jupe noire en lycra, très courte et moulante avec un caraco au décolleté très échancré. La micro-jupe lui arrivait au ras des fesses et on voyait parfaitement ses seins sous le caraco transparents. Elle ne pouvait pas se voir, mais elle se doutait bien qu'elle avait l'air d'une pute dans cet accoutrement indigne d'elle.

Habib écarte complètement le rideau.

- Allez sors. Montre ce que tu es.

Elle remet son loup et il lui prend le bras pour la sortir de la cabine et la diriger dans le magasin. Apeurée, elle le suit à travers toutes les travées sous les regards des clients, nombreux à cette heure de la journée. Il la promène au milieu des allées, à la vue de tous les clients subjugués et excités par le spectacle de cette française offerte à leurs regards avides.

Ils la dévisagent avec délectation, profitant de leur aubaine. Admirant les charmes de cette femme offerte dans ce magasin. Habib lui relève l'arrière de la jupe qui resta bloquée sur les reins. Et c'est cul nu et chatte à moitié découverte qu'il la dirige au milieu d'une faune bigarrée et admirative ou envieuse parlant toutes sortes de langues à l'exception du français.

- Ti vois que c'est pas si difficile que ça... Tout se passera bien....

Le jeune homme saisi les seins pour les dégager du tissu. Il la penche, lui ouvre les fesses, dévoilant son anus. Il parle en arabe. Des rires. Une voix inconnue rigolarde :

- Li bien ouvert

- T'i li a bien cassé à la moukère

- Putain! Sacrés loche la femelle!

Des rires. La promenade dans le magasin reprend. Mais cette fois des mains la touchent, la palpent. Cou, fesses, cuisses, seins. Elle sursaute à chaque contact sans pouvoir deviner ou ils vont tâter la marchandise ni comment..

- C'est normal qu'ils touchent la camelote.

Elle sursaute quand un doigt se visse entre ses fesses. Puis un autre dans sa bouche. On lui écarte les mâchoires au maximum pour ausculter sa bouche. On lui écarte les jambes à coups de pieds sur l'intérieur des chevilles. Une pression sur sa nuque pour qu'elle se penche. On lui ouvre les fesses. Cul offert à la vue de tous sans rien pouvoir voir ni faire. Elle pleure doucement et ses larmes silencieuses imbibent encore plus son masque. Quelqu'un joue avec son clitoris. Des rires. Des jets de foutres atterrissent sur elle. Sur ses fesses, ses jambes, son ventre. Les mecs se branlent devant ce superbe corps de salope.

Une phrase lancée à la cantonade.

- Il dit que tu es bien humide... Ton miel coule! T'i es une vraie salope.

Habib prononça une phrase. Elle sentit un mouvement de foule. Personne pour l'empêcher de se redresser. Une légère claque sur les fesses.

- Allez c'est fini. Rhabille toi ti peut rentrer chez toi.

Elle voulait regagner la cabine pour se changer.

- Non ici.

Il lui enlève le masque. Ils sont entre deux travées cachés de l'extérieur et de la rue, mais offerte à tous. Habib prononça quelques mots et les visages des spectateurs s'éclairèrent de satisfaction. Maintenant ils savent à quoi elle ressemble.

- T'attends quoi? Tu préfères que je te vire du magasin dans cette tenue? Tiens tes frusques.

Toute honte bue, elle se déshabille devant tous, pour remettre ses vêtements de bourgeoise, et quitter, sous des remarques certainement salaces le théâtre de son humiliation.

Dans la rue ses larmes coulaient sans discontinuer.

Elle avait jouit et ne comprenait plus ce qui se passait.

Début Avril

Assise à son bureau, elle ferme le dossier secret et ouvre sa messagerie professionnelle et personnelle, traite ses mails et ses dossiers. Son vagin la démange et elle évite de penser à son amant de peur de mouiller et tâcher sa jupe. La journée s'écoule tranquillement. Elle étudie à fond le fameux dossier de son concurrent. Gros boulot en perspective et grosse prime aussi.

Le soir, seule chez elle, elle téléphone à ses enfants et son mari. Ils seront tous réuni ce week-end.

Elle n'a aucune nouvelle de son amant de toute la semaine. Toutes les nuits elle se caresse en revivant les séances avec lui. Et toutes les nuits, elle jouit.

Fabien lui parait fade. Elle sent sa queue en elle mais le sexe de son mari ne frotte pas assez ses chairs intimes. Elle jouit ou fait semblant. Elle est heureuse qu'il soit là. Sans plus. Toute la famille est en forme et présente toute la semaine.

Elle est heureuse de les avoir autour d'elle bien sûr....

Mais il lui manque terriblement. Il ne lui a même pas donné son numéro de téléphone, ni son mail.

Au lit elle s'imagine avec Habib à tel point que Fabien surpris et heureux lui dit un soir :

- Dis donc, tu es en forme toi. C'est moi qui te fais cet effet-là après tant d'années

- Qui d'autre chéri?

Il n'avait pas l'habitude de la voir le chevaucher en se caressant nue et seins orgueilleux.

Enfin seule!

Envie à en crever de lui. Mais aucune nouvelle. Elle a failli le convoquer dans son bureau dès lundi. Mais il lui restait un zeste de prudence. Elle rentre chez elle le cœur maussade.

Elle actionne le bip pour ouvrir son portail.

Devant la grille il y a un motard. Lui!

Le cœur battant la chamade, elle franchit le portail lentement.

Il lui sourit et la suit en moto dans le garage.

Elle sort de la voiture. Le regarde sans un mot.

Il enlève son casque, ouvre le haut de sa combinaison.

Mon dieu qu'il est beau pense-t-elle.

Sans un mot, il quitte sa moto, ôte ses bottes, le pantalon de cuir noir, et les chaussettes. Et enfin le blouson. Il est uniquement vêtu d'un boxer noir moulant.

Pour un peu elle aurait joui sur place, sans même se toucher.

Elle sent sa mouille couler. Elle n'a pas mis de culotte.

Il se colle à elle.

- Ti m'as manquée patronne...

Le baiser est fougueux, brutal, impatient. Les mains sont partout à la déshabiller. Elle tremble de bonheur. Il la soulève par les fesses l'assoit sur le capot de la voiture.

- C'est bien! Ti a pas mis la culotte

Elle est heureuse de lui avoir obéit. Il lui écarte les cuisses, baisse son boxer à mi-cuisses et l'embroche d'un ample mouvement de rein. Elle crie son bonheur tout le temps qu'il l'a pilonne. Elle jouit à la limite de l'évanouissement quand elle le sent se déverser en elle à gros bouillon.

Il la libère, la soulevant sans difficulté, pour la poser sur le sol rugueux du garage.

Elle a voulu au moins remettre sa jupe mais il lui interdit.

- Non, non, non, non ti es magnifique nue...

- Merci.... Tu m'as manqué...

- Toi aussi ti as beaucoup manqué à mon zob patronne. Il avait faim de toi.... Et il ajouta dans un grand sourire ravageur, et moi aussi j'ai très faim....

Pendant la douche commune ou elle a sucé avec délice la hampe brune et les grosses burnes gorgées de sève, il lui fait franchir une nouvelle étape. Il soulève ses couilles , lui demande de lécher entre les couilles et l'anus. Un vague mouvement de recul vite dompté d'une poigne d'acier. Il se tourne lui présente ses fesses et tire son visage vers sa raie. Elle tente de résister mais abdique bien vite. C'est elle qui dévoile l'anus de son amant pour le lécher. Il la laisse faire fier de son nouveau pouvoir sur elle. Quand il le décide il se tourne pour lui donner sa bitte à boire.

Après cette douche, elle n'ose le regarder. Une vérité crue l'oppresse. Elle vient de lécher le cul de son amant. Elle a encore les odeurs épicées et poivrées dans son nez. Perturbée, elle file à la cuisine préparer un encas tandis qu'il va chercher leurs vêtements abandonnés dans le garage.

Ils mangent nus. Au dessert il prend une crème vanille qu'il étale en partie sur sa queue tendue.

- Ji suis sûr que t'i aimes la vanille.

Elle vient à genoux entre les jambes poilues pour se délecter de la vanille. Il la lève et la porte dans la chambre. Il la coucha et resta debout devant elle.

- Ouvre tes jambes patronne... Montre-moi ton minou...

Elle n'avait jamais pris cette pose en pleine lumière. Elle hésite

- Vas-y ouvre bien et aussi ta fente.

Elle obéit, il la regarde fiévreusement en se branlant lentement.

- Caresse-toi... Je vais bien te mettre mon zob... Tu aimes mon zob hein patronne...

Elle ouvre sa fente pour promener deux doigts sur son clitoris gonflé de sang.

- Alors tu aimes mon zboub? Il va bien te défoncer l'abricot...

Elle halète de plus en plus excitée. Offrant sa nudité et son sexe à son mâle au sexe tendu vers elle. Sa fente ruisselle sous les caresses de ses doigts. Elle avait besoin de lui. Un besoin viscéral.

- Viens... Viens... Vite...

Le matelas tangue légèrement sous le poids de l'amant. Il la chevauche à genoux au niveau de la taille fine puis remonte lentement jusqu'au visage.

Elle ne comprend pas. Elle a envie de lui. De sa queue enfoncée en elle.

Elle se retrouve avec les couilles lourdes collées sur le visage.

- Lèche... Lèche bien ...

Elle lèche les grosses boules chaudes, la peau légèrement fripée. Elle ne peut pas utiliser ses mains, bloquées par les jambes de l'homme.

Il se retourne et ce sont ses fesses sur le visage de la femme.

Puis les doigts de l'homme fouillent son vagin. Elle devient fontaine.

Il ouvre ses fesses et colle la raie sur le visage de la femme et l'anus contre ses lèvres.

- Lèche... Ta langue... Vas-y lèches.

Les doigts fouillent et caressent le clitoris elle devient folle et obéis.

Elle lui lèche le cul avec un mélange de dégout pour ce qu'elle fait et d'excitation pour ce qu'il lui fait. Mais l'odeur forte du male l'enivre.

- C'est bien patronne. Ton miel coule bien!

Le grand corps s'affale sur le ventre de la femme, la tête entre ses cuisses et c'est la langue qui fouille le coquillage. Elle devient folle de jouissance. L'odeur épicée du cul qu'elle lape et les doigts inquisiteurs dans sa mentule la bouleversent et lui font atteindre des sommets de jouissance. Elle hurle longtemps. Cri étouffé par les fesses de son amant.

Ils restent en soixante-neuf un moment avant qu'il la libère et se remet à genoux entre les cuisses de la femme.

- Je vais te défoncer comme ti aimes patronne...

Elle le reçoit d'un coup de rein en elle. Il commença à la pistonner rapidement, de plus en plus fort, de plus en loin. Elle criait sous les coups de boutoir.

- Doucement... Doucement.... Ooooooooh Ouiiiiiiiiiiiii...

Cela dura plusieurs minutes. Ils suent les deux à grosses gouttes. Elle mord ses lèvres et profite de la vigueur de sexe qui lui fouraille le ventre.

- Mets-toi en levrette, je vais te démonter la chatte...

Elle obéit se tournant dans l'autre sens, lui derrière elle à genoux à la tête de lit.

- C'est bien, comme çà oui.

Il appuie sur ses reins pour mieux la cambrer. Il l'enconne d'un seul mouvement, tout au fond de sa matrice. Puis il commença un pistonnage vigoureux. Sous les coups de boutoir, elle s'affala et il doit la tenir par la taille, lui soulevant les fesses pour continuer ses mouvements de piston de toutes ses forces. Puis il la libérant pour s'avancer devant son visage.

- Suce... T'aimes ma bitte... Vas-y régale toi...

Il est dominateur, macho, à la recherche de son plaisir à lui. Mais cela plaît à Valérie, qu'il la traite comme une vulgaire femelle. Elle est à deux doigts d'un nouvel orgasme. Il lui tire les cheveux en arrière pour redresser sa tête et elle jouit comme une dingue avant de s'écrouler sur le matelas à la recherche de son souffle.

Il s'écroule près d'elle et embrasse son cou avec une douceur infinie.

- Merci patronne.

Elle se mit à pleurer de bonheur.

- Pourquoi tu pleures patronne? Je t'ai fait mal?...

- Non non. Bien sûr que non... Je suis heureuse c'est tout...

- Alors c'est bien....

Et tous les soirs de la semaine, ils baisent dans toutes positions, dans toutes les pièces.

Elle attend sa venue dans le garage. Et quand la porte automatique se baisse elle se met à genoux pour la première pipe du jour. Elle adore l'odeur de ses poils, et de son sexe . Un mélange subtil de savon de sueur et d'odeur d'épices. Elle n'en perd pas une goutte de son sperme épais et salé. Lui lécher le cul ne la révulse plus. Au contraire. Les subtiles odeurs piquantes l'excitent et les soixante-neuf donnent à son corps une acuité sexuelle nouvelle.

Dans la maison, il la veut nue. Maquillée. Se caressant en pleine lumière, dès qu'il le demande Il veut la voir se laver, pisser, manger, se caresser les seins. Il la prend à tout moment de la soirée et elle est heureuse de ses marques d'admiration. Il utilise sa bouche et son vagin à satiété.

Dans la salle de bain, il prend un tampon par la ficelle et le balance devant elle.

- Rappelle-toi patronne... Plus de culotte... Sauf ... Sauf quand tu as besoin de ça... Tourne toi et penche toi, tu me donnes encore envie.

Elle sait qu'il aime qu'elle se cambre au maximum pour lui faciliter l'entrée de son vagin tellement malmené et tellement excité. Coulante et offerte au glaive qui allait une fois encore la rendre heureuse. Et elle a satisfait toutes ses envies jusqu'au retour de sa famille.

Son mari la trouva en super forme et d'une santé éclatante au lit. Ses enfants la trouvait rayonnante et au boulot, elle traitait les problèmes avec une acuité qu'elle ne se connaissait pas. Trouvant des solutions pour répondre aux contraintes de l'opération de reprise.

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