Valérie Ou La Petite Fiole Noire 02

Informations sur Récit
La descente aux enfers de Valérie.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 04/29/2023
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Mars.

En fin de semaine, la pluie vient une nouvelle fois à son aide.

Sa voiture refuse de démarrer, malgré de multiples tentatives qui ont pour seul effet de noyer le moteur. De guerre lasse, elle doit se résoudre à appeler le P.C. sécurité pour demander de l'aide.

Sous une pluie fine et drue deux gardes arrivèrent en courant.

Elle a beaucoup de mal à se maîtriser en le voyant.

Il a un comportement exemplaire. Sous le regard quelque peu bovin de son chef, elle le voit trifouiller dans le moteur. Faire plusieurs manipulations qui lui parurent complétement ésotériques avant de lui demander d'essayer à nouveau de démarrer.

La voiture démarre du premier coup. Il la regarde avec son sourire d'ange. Sa voix est respectueuse.

- Voila Madame... Mais faut faire attention en rentrant. Il faut rouler doucement. Il faut la mettre au garage pour voir ce qui se passe... Si non c'i la panne.

L'autre homme prit la parole avec assurance.

- Ne vous inquiétez pas Madame R... Habib vous finissez à quelle heure?

- Maintenant Chef...

- Alors prenez le volant et raccompagnez Madame R... Vous ferez une note de frais pour votre retour chez vous..

- Oui Chef. Bien sûr. Je vais me changer..

- Pas la peine... Et soyez prudent.

Elle remercie chaleureusement le chef, minaude en félicitant son sens du service au personnel. Habib prend le volant pour sortir du parking.

La pluie noie tout. Il conduit prudemment et souplement sans rien dire.

- Je suis contente de vous revoir Habib... Comment allez-vous?

Il la dévisagea avec son visage d'ange.

- Enlève ta culotte Madame la patronne...

Elle se fige dans un sourire crispé. C'est tellement direct, incongru. C'était un ordre. Donné gentiment mais un ordre quand même. Et pourtant, son ventre s'embrase. Révolte surprise, et soumission à la fois. Impossible d'obéir. Pas comme ça se dit-elle. Pas aussi brutal. Aussi sec.

- Alors! Enlève la culotte... Sois gentille, Habib a envie de toi Madame...

Le regard juvénile est serein, sûr de lui. De son pouvoir sur elle. Honteuse elle se contorsionne pour lui obéir à son corps défendant. Elle lui donne le fin morceau de dentelle qu'il porte à son nez et hume longuement. Il l'apostrophe en rigolant.

- Toi t'i as envie de mon zob... C'i bien mouillé.

Elle rougit sous la réflexion et le sourire ravageur. Il lui prend le poignet gauche pour poser sa main sur la braguette. Elle comprend ce qu'elle doit faire. Elle le caresse lentement, sentant durcir le sexe sous l'étoffe épaisse du pantalon d'uniforme.

- Remonte ta robe...

- On risque de nous voir.

- Remonte ta robe patronne. Montre-moi ton abricot.

Elle baisse les yeux et obéit, dévoilant sa fente humide au regard gourmand du jeune tunisien. Elle est en train de mouiller le cuir du siège de sa voiture.

- Je suis seule tout le Week-end.

Pourquoi a-t-elle dit cela?

- Oui... Et ti veux que je reste avec toi.

Il tourna brièvement la tête vers elle avec un sourire gourmand. C'était pas une question.

- Oui tu veux... C'est bien. T'i vas recevoir beaucoup de coups de bitte. Si t'i veux bien sûr. T'i veux?... Alors t'i veux?.. Ouvre mieux ton abricot...

Elle resta silencieuse. Son sexe coule sur le siège passager. Elle ouvre les jambes au mieux de sa position. Indifférente aux risques d'exhibition.

- C'est Bien. C'est oui alors.

Il accélère. Elle est pressée de rentrer chez elle. Cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps.

Vendredi 28 Avril.

Elle est seins et sexe à l'air dans cette boutique sordide, devant ce jeune inconnu qui la dévore des yeux, sous les ordres de son amant. Elle n'avait pas le choix. Elle le sait. Aucun choix si elle veut préserver toute sa vie. Habib derrière elle, libère sa chatte et lui saisit la cuisse pour lui lever la jambe. Affalée contre lui, elle n'a aucun choix et le laisse lui remonter la jambe droite à son maximum.

- Cousin? Tu penses quoi des trous de cette salope mariée.

- Très beau...

- Elle a un mari et deux enfants... Mais elle adore mon zboub. Elle adore quand je la nique.

Il parle fort. Les autres clients peuvent entendre.

De son bras, l'enserrant pas la taille, il l'offre au regard concupiscent du vendeur. Puis la main descend pour couvrir le vagin. Un doigt la fore lentement à nouveau avant de ressortir. Le doigt brille sous la lumière crue du néon.

- Regarde comme elle mouille...

Les doigts progressent vers les fesses, puis l'anus.

Les doigts libérèrent le vagin pour continuer leur progression vers son anus.

- Elle adore qu'on lui démonte le cul. Son mari ne l'a jamais enculée.

Elle le laisse l'humilier, les larmes aux yeux et le vagin en feu.

Enfin il la libère. Habib ouvre un rideau à droite du comptoir, dévoilant une cabine ressemblant à une cabine d'essayage.

- Fous toi à poil...

- Comment! Ici!

- A poil je t'ai dit. Fissa

Elle se débarrasse de la fine ceinture puis de la robe. Elle est nue au milieu de la boutique. Uniquement vêtue de ses escarpins noirs.

- Entre et assieds-toi sur le tabouret...

Elle obéit. La cabine sentait la sueur et le moisi. Une lourde tenture identique à celle de l'entrée du magasin occulte les murs de la cabine.

- Assise et jambes bien écartées pour qu'on voit bien ta chatte.... Redresse-toi bien et soulève tes seins... Regarde-moi... Bien droite... Allez regarde-moi... Ouvre ta bouche.

Le téléphone en mode photo ou film la mitraille dans cette position. Son amant recule et parle en arabe au vendeur qui s'approche d'elle pour se mettre à sa droite dans la cabine exiguë.

- Merci Habib, tu es un frère. C'est une belle salope.

- Normal Mehdi... Ti vas être le premier à profiter de sa bouche. Tu vas voir comme elle est bonne. Ti gènes pas mon frère. Se tournant vers Valérie. Et toi ti ouvre bien la bouche.

Le jeune vendeur baisse son pantalon et son boxer. Sa bitte circoncise bien dure prend immédiatement possession de la bouche grande ouverte de la femme. Il bloque la tête de la femme et lui baise la bouche lentement, essayant de pousser son sexe au maximum. Heureusement le sexe n'est pas très long.

- Dégage-lui les cheveux qu'on voit bien son visage... Ca va faire de belles photos de putes tout çà.

Valérie se laissait faire, matée, impuissante à imaginer la moindre révolte. La bitte de l'inconnu a un goût acide d'urine et de sueur. Le gland tape régulièrement au fond de sa gorge, lui donnant des envies des renvois. Le mandrin dur et chaud semble avoir une vie propre et lui fouille le palais sans aucun ménagement.

- Occupe-toi mieux que ça de sa queue. Montre lui tes talents de pipeuse. C'est ton premier client..

Elle obéit, prend des initiatives, malaxe les bourses brunes pleines et bien dures, lèche la hampe courbée vers le ventre plat du jeune homme. Lèche le gland, le happe, mordille le frein. Elle branle la hampe en le pompant de plus en plus intensément, joue avec les couilles pendantes. Au fil des secondes, elle démontre son talent pour le plus grand plaisir d'Habib qui ne cesse de la filmer. La bite coulisse de plus en plus vite. Mehdi tient fermement le visage de la femme tourné légèrement vers le coté pour que Habib puisse filmer correctement la scène. On voit parfaitement le visage dégagé et la bouche pleine.

Mehdi ralentit le rythme et prononça une phrase en arabe.

- Vas-y mon frère...

Il reprend un pilonnage de la bouche de plus en plus rapide, de plus en loin. Puis d'un mouvement de bassin, il propulse son gland au maximum et lâche de lourds jets de sperme dans la bouche grande ouverte. Surprise, Valérie essaye sans succès de reculer sa tête. Impossible de tout avaler. Elle veut désespérément reculer. Le sperme coule sur son menton la fait tousser. Mehdi sort son sexe de la bouche pour se branler rapidement devant elle et arroser le visage des derniers jets de sperme. Valérie subit l'affront en fermant les yeux.

- Super...

Le vendeur remonta son pantalon en rigolant.

- Putain! Tu as une bonne chienne Habib

- Et de très belles photos...

- Elle peut rapporter beaucoup...

- On verra mon frère, on verra, ça dépend d'elle...

Valérie anéantie, ne dit rien. Elle comprend les implications des mots échangés entre eux.

Elle sent les traces de sperme se figer sur son visage et ses cheveux. L'échange entre les deux arabes lui a confirmé ce qu'Habib voulait d'elle. Elle reste sur ce tabouret complétement sidérée par la situation. .

- Lève-toi. Allez grouille toi! N'essuie pas ton visage.

Elle est lasse et exténuée. Physiquement et moralement. Mais elle obéit sans force. Habib plante deux doigts dans le sexe.

- A poils et avec tes pompes, t'i as l'air d'une vraie pute... Mais tu mouilles salope!

Nue, dans cette cabine, elle est fatiguée, veut se rasseoir. Mais Habib enlève le tabouret et Mehdi pousse le rideau qui occulte les pans de murs de la cabine, dévoilant des grandes vitres sur chacun des murs. Derrière les vitres, le noir.

D'un geste dérisoire, elle cache ses intimités de ses mains et bras.

- Mets ça

Il lui tend un masque en tissu pour cacher une partie de son visage. Comme ceux que l'on distribue dans les avions pour dormir. Valérie, matée l'ajuste. Elle ne dit rien et sent les traces de sperme se figer sur son front, ses joues. Elle respire l'odeur de son amant tout près d'elle.

- Baisse les bras et écarte bien tes jambes.

Il ne cesse d'admirer silencieusement le corps de cette femme. Une dirigeante d'un des plus grands groupe international. Sa maîtresse! Les cheveux figés dans un brushing impeccable, les seins lourds et encore fiers avec les aréoles brunes et les tétons érigés qui trahissent un début d'excitation. Le ventre légèrement bombé au-dessus du pubis. La fente fermée du sexe dégagé de tous poils. Et ces jambes interminables serrées dans un dernier sursaut de pudeur.

Il la trouve magnifique. Une prise de premier choix.

- Ne crains rien. Si tu fais ce que je te dis, tout se passera bien... Rappelle-toi que le choix t'appartient. Mets une jambe sur le tabouret... Allez! Ecarte mieux. Montre ta fente... Et ne bouge pas.

Puis il ferme le rideau, isolant la cabine du reste du magasin.

Elle est seule et nue dans cet endroit exigu. Ne peut rien voir. Juste entendre les bruits dans le magasin. Elle a du mal à respirer et essaye de se raisonner pour se dire qu'elle n'a rien à craindre si elle obéit à son amant.

Derrière les vitres, des hommes vont venir admirer cette femelle offerte. Ils vont pouvoir se branler devant cette bourgeoise française chatte ouverte et offerte à leur concupiscence.

- Ecarte mieux ta fente.

Le défilé de mâles de l'autre côté vient de commencer. Elle obéit sans rien dire. Laissant des larmes silencieuses imbiber le masque. Elle entend les rires les insultes les mots d'admiration. Elle devine les gestes obscènes. Elle ne peut ignorer, les rires gras, les mots arabes qui commentent son anatomie offerte à la vue de tous.

- Penche-toi... Ecarte tes fesses... Mieux. Ils veulent voir ton trou du cul.... Ils ont jamais vu le cul d'une bourgeoise comme toi.... Caresse-toi... Oui doigte-toi comme une salope... Je sais que tu mouille ...

Elle obéit, caresse sa chatte et son anus. Sa cyprine coule lentement sur ses cuisses. Elle serre les dents.

- Travaille-toi le cul.

Elle obéit. Des sanglots silencieux se mêlent à son excitation impossible à contrôler. Devant des inconnus, dans cette cabine sordide, elle dévoile au bord de la jouissance son œillet plissé avec un sentiment d'impuissance et d'humiliation totale. Elle sent ses pulsions d'excitations au fond de son intimité.

Mars

La pluie a redoublé de violence, elle actionne le bip du garage dont la porte coulisse silencieusement. Habib gare prudemment la voiture. Elle s'apprêtait à quitter l'habitacle.

- Non attends

Il recule son siège et d'un mouvement de rein, se soulève légèrement pour baisser pantalon et boxer. Son sexe jaillit vers le plafond de la voiture. Magnifique. Elle est hypnotisée.

- Fais une gâterie... Je suis sûr que ti a une grosse envie de zob.

Bien sûr qu'elle veut et plutôt deux fois qu'une. Elle se penche et gobe goulument le gland avant d'entamer une fellation passionnée. Il lui remonte la jupe autour de la taille. Il voit ses fesses et le début de sa raie. Il se dit qu'il allait bientôt lui fracasser le cul.

- Ti es trop gourmande attends... Attends ti as dit qu'on a le week-end

Elle libère le sexe avec regret. Laisse son amant se rajuster avec beaucoup de mal. Sa tige bien dure n'arrive pas à retrouver sa place.

- Ti vois comme elle a envie de toi...

Ils sortent du véhicule, elle veut rabattre sa robe.

- Non s'il ti plait...

Elle le regarda interrogative.

- Enlève la...

- Ici?

- S'il ti plaît... Ti es tellement belle.

Elle a un bref instant d'hésitation.

Lui sourit gentiment.

Elle dégrafe la robe et la descend. Le tissu noir tombe en corolle autour de ses escarpins. Elle est gênée et excitée. Elle n'avait jamais eu ce genre de comportement. Cul nu, elle n'ose pas regarder son jeune amant qui s'approche d'elle.

- Le soutif...

Elle est devant lui, nue à l'exception des escarpins, dans son garage sous l'œil inquisiteur et surtout gourmand de son jeune amant. Il l'embrasse fougueusement, et sa langue épaisse prend possession de la bouche de la femme.

Elle sent un doigt s'immiscer dans sa fente humide. Elle s'ouvre avec un plaisir anticipé, laisse les doigts la prendre pendant que sa bouche béante reçoit la langue conquérante.

Elle est entre ses mains dans le garage et elle a brusquement une jouissance fulgurante qui la laisse pantelante entre les bras musclés du jeune homme. Il l'a faite jouir avec ses doigts et sa langue en même pas cinq minutes. Elle découvre un nouveau monde sensuel.

Il recule, la libère des bras puissants.

- T'i aime le sexe toi... C'est bien... Très bien.... Il a de la chance ton mari... Mais Habib aussi!

Il éclate de rire. Elle rougit, sans oser lui dire que ce qu'elle faisait avec son mari était bien loin de la faire jouir autant. Elle ramasse sa robe pour la remettre.

- Non. Reste comme ça ti es trop belle patronne.

Vaincue, elle le précède cul nu et seins à l'air, gênée et encore excitée, la fente coulante et l'entrejambe humide. Lui admire la chute de rein avec des lueurs gourmandes dans les yeux. Les fesses blanches, magnifiques, dansent devant lui. Il se dit qu'il va bien la démonter pendant ces deux jours. Le regard rivé sur le postérieur épanoui, il se félicite d'avoir réussi à avoir une femme comme elle et compte bien en profiter au maximum. Et que peut-être, si tout veut sourire, il y aurait bien mieux à faire. Depuis le temps qu'il la surveille...

Dans le couloir il l'apostrophe.

- Attends... Baisse-moi le pantalon.

Elle le fait pour découvrir la bosse sous le boxer.

- Continue..

La bitte jaillit, conquérante.

Il la soulève sans difficulté par les cuisses pour la planter sur son engin. Elle crie de bonheur. Un feulement rauque de contentement. Elle est empalée sur l'engin et transportée comme ça dans la chambre du fils. Il la couche toujours planté en elle et la baise en puissance, avec délectation. Elle jouit une première fois. Il continue et la veut accro à la bitte...

La sienne.

Elle jouit une seconde fois en même pas dix minutes.

Encore enraciné en elle, il se dit qu'il allait passer un bon week-end...

Un lundi de Mars

Valérie a les traits tirés, elle marche lentement dans les couloirs de l'entreprise pour gagner son bureau. Le maquillage dissimule au mieux les cernes et le masque de fatigue. Elle a du mal à récupérer de ce long week-end. Beaucoup de mal. Le Week-end passé avec le jeune homme l'a éreintée. Mais elle est heureuse. Extraordinairement heureuse. Son vagin endolori lui rappelle ce qu'elle avait vécu. Les multiples assauts de son jeune amant, la fougue, la puissance, la domination aussi.

Pendant deux jours et deux nuits, ils ont baisé, mangé, discuté. Nus.

Il était magnifique, un vrai soldat du sexe à sa disposition. Un mélange de force et de tendresse qu'elle n'avait jamais connue. Plus grand et plus costaud qu'elle croyait.

Il est en France depuis 5 ans. Après son armée dans les commandos tunisiens, il avait suivis des stages militaires en France. Puis avait fait une formation en sécurité informatique et divers petits boulots avant de rentrer dans le groupe.

Il était infatigable, le sexe toujours au garde à vous, à lui fouiller le vagin, la bouche. Elle n'avait jamais autant jouit en aussi peu de temps. Faire l'amour avec lui n'avait rien à voir avec ce qu'elle connaissait avec son mari.

Elle n'a pas connu beaucoup d'hommes et Fabien a su la combler. Ils s'étaient mariés jeunes et leur seul objectif avait été une réussite professionnelle commune alliée à une vie de famille harmonieuse. Elle pensait avoir réussi tout cela jusqu'à qu'Habib ''la plante'' comme il dit et lui fasse atteindre des sommets inconnus de jouissance.

Avec Fabien la relation est délicate, partagée, tendre. Rien à voir avec ce gamin qui l'a mise aux ordres de son sexe. Et elle, d'habitude d'un tempérament plutôt autoritaire, accepte cette inversion des rôles avec une facilité qui l'étonne.

Il l'avait prise et fait sucer dans toutes les pièces et dans toutes les positions. A tous moments de la journée, son pénis devenait dur devant elle et comme une marionnette elle prenait la position qu'il désirait pour honorer ce sexe triomphant. Son vagin pourtant malmené, ne cessait de couler. Sa bouche écartelée essayait de prendre cette hampe au maximum. Et ses jouissances à répétition la laissaient pantelante de bonheur... et de fatigue.

Elle a le vagin un peu irrité à force d'être visité. Quand c'était pas son mandrin, c'était langue qui la faisait chavirer et crier de bonheur.

Elle se revoit devant le miroir de la chambre, prosternée, visage collé au matelas, reins cambrés, jambes ouverte, donnant une vue sur toute son intimité. Et Habib à genoux entre ses cuisses écartelées en train de la pistonner lentement en remontant vers son anus avant de replonger dans sa chatte béante et coulante de désir. Il l'oblige à relever la tête pour se découvrir dans le miroir femelle soumise à ce jeune arabe. Française aux cheveux bruns perforée par les puissants coups de bites de son amant à la peau cuivré. Regard hagard de bonheur. Bouche ouverte pour hurler sa jouissance. Puis c'est avec sa langue râpeuse qu'il lui lécha la chatte et le cul. Elle sentait les poils de sa barbe contre la chair fine de l'intérieure de ses cuisses. Il la rend folle. Sa langue jouant avec son clitoris la fait atteindre des sommets de bonheur. Elle devient fontaine qu'il boit avec avidité.

Elle le sent contre son anus inviolé à ce jour. La seule preuve d'indépendance fut son refus de la sodomie. Il n'insista pas lui disant que quand elle sera prête, elle décidera elle et non lui.

Elle lui en fût reconnaissante.

Au petit déjeuner, elle lave les bols dans l'évier quand il se colle contre son dos. Il pousse doucement sa nuque et avec son pied il tape sur l'intérieur des chevilles de Valérie. Elle se laisse disposer comme il le veut. Marionnette penchée, jambes écartées et bien cambrée. Elle ne peut pas se voir, mais dans cette position elle fait vraiment salope en mal de sexe. Il la prend comme cela, à la hussarde sans trop faire attention à son plaisir à elle. Elle a mal mais elle jouit encore plus.

Dans son bureau, elle a déjà envie de lui.

Il ne lui avait pas proposé de la revoir. Sa seule exigence l'avait déconcertée.

- Je banderais fort au travail en pensant à toi si je sais que ti portes pas de culotte.

Il avait refusé de dormir chez elle dimanche nuit. Il était parti la laissant avec un grand vide dans cette maison et dans ses entrailles.

Obéissante mais troublée, elle est venue sans culotte. Pas très hygiénique pense-t-elle mais pas désagréable non plus et assez excitant. Assise devant son bureau, elle met en marche son ordinateur et essaye de se concentrer sur ses dossiers.

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