Valérie Ou La Petite Fiole Noire 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Fous-toi à poil Patronne... Montre tes gros nichons. Ti es très belle. Je veux voir ton abricot.

Ce langage, mélange de politesse et de vulgarité la tétanise. Elle obéit sans rien dire et se laisse dénuder en tremblant de honte, de gêne et d'excitation. Elle se trouve moche laide grosse.

Il l'effeuille lentement en prenant son temps, savourant par avance ce qui allait se passer. Il se dit que c'est une bonne salope sous ces airs de patronne hautaine et fière. Elle a un corps admirable pour son âge. La peau blanche, ferme, le ventre plat, la toison brune entretenue. Les jambes fines musclées. Les seins opulents. Les grossesses ne l'ont pas marquée.

Elle baisse les yeux comme une gamine effarouchée.

Elle est devant lui, nue à l'exception de ses escarpins. Il jubile. Prend conscience de ce qui se passe. De son pouvoir sur cette femme inaccessible.

Déjà dans la voiture il se demandait si cela était possible et elle lui a facilité les choses.

Il la pousse doucement et l'aide à se coucher sur le lit de son fils.

Elle ferme les yeux quand un soupçon de lucidité l'envahit. Elle est offerte à un inconnu sur le lit de son fils! Lucidité vite oubliée quand elle sent le garçon lui ouvrir les jambes. Il insiste pour qu'elle fasse une espèce de grand écart. Elle n'a pas de mal à imaginer son intimité ouverte et offerte à cet inconnu. Il est à genou entre le compas de ses jambes, pointant fièrement son sexe devant elle. On aurait dit une arme qui allait l'ouvrir.

- Ecarte bien tes cuisses Madame... Je veux voir ton abricot couler le miel ... Ouvre-toi. Je vais ti ti faire du bien patronne. Je vi t'aider

Il saisit les chevilles de la femme pour remonter les talons contre les fesses. Il écarte les genoux.

Dans cette position, elle se sent encore plus ouverte et offerte. Exhibée comme jamais.

Le regard fiévreux du jeune homme la transperce.

- Ti coule. C'est mieux... Tu vas être à moi patronne...... Ti a envie di gros zboub d'Habib.

Il s'abat d'un coup sur elle. De tout son poids et sa puissance. Son pénis trouva tout de suite le bon angle de pénétration. Elle mouille tellement qu'il n'a aucun mal, d'un mouvement puissant de bassin, à la pénétrer en totalité. Ses chairs intimes s'ouvrent brutalement. Jamais elle n'avait reçu en elle un sexe aussi long, aussi épais. Jamais personne n'était allé aussi loin en elle.

Elle feule de plaisir quand elle sent les couilles dures contre son périnée. C'est tellement gros en elle! Ses chairs se sont ouvertes, écartelées par l'engin

Elle gémit longuement en le recevant du premier coup, profondément en elle, là où son mari n'avait jamais pu aller. Son corps tressaute sous la puissance de l'assaut. Elle s'ouvre encore plus, écartant au mieux ses jambes. Elle sent son intimité dilatée par le passage du sexe. Jamais ses chairs n'avaient été ouvertes à ce point. Il est fiché au plus profond de son utérus.

- C'est bien patronne. Tu comprends. Ti mouilles bien. Ti la à l'os.

Il va lentement, prenant son temps pour la labourer, sortant presque entièrement avant de revenir brusquement tout au fond. Elle gémit sans discontinuer. Elle sent la jouissance arriver à grand galop, dans une explosion qui la fait hurler. Cela dure longtemps par vagues successives qui l'anéantissent de bonheur.

Elle crie sous l'orgasme ravageur. Rien à voir avec ce qu'elle avait connu, ou ce qu'elle connaissait avec son mari. Elle sent sa cyprine gicler de son sexe et tacher le couvre-lit. Elle a du mal à retrouver son souffle. Ne sait plus ce qu'elle fait.

- C'est bien la patronne. Ti aimes le zob d'Habib.. Tu vas plus aimer encore.

Il est toujours bien dur en elle. Abuté à sa matrice.

Habib saisi les jambes de la femme par les mollets et les relève à la verticale pour poser l'arrière des genoux sur ses épaules. Jamais son mari, ne l'avait traitée de la sorte. Le jeune homme commence un pilonnage intensif, brutal, rapide. De toutes ses forces. Faisant fi des plaintes de la femme, il la baise de toute sa puissance de sportif. Les cris de douleur devinrent gémissement puis à nouveaux hurlements de jouissance. Elle perd connaissance quelques microsecondes sous la puissance de son orgasme.

Sûr de son pouvoir sur elle, immobile au fond de la grotte de sa nouvelle femelle, il se vide en elle, sans même lui demander si elle est protégée. Elle pleure de bonheur, sentant le corps lourd de son jeune amant avachi sur elle. La queue encore dure au fond de son vagin meurtri et inondé.

Il la libère en souriant gentiment.

- T'i as aimé faire le zob Madame. On dirait hein? Je suis content pour toi patronne.

Elle ne lui répond pas. Trop honteuse de son comportement. Elle a 45 ans, mariée, deux grands enfants, un mari aimant. Elle n'a aucun mal à envisager les complications qui s'annoncent.

Il vient à genoux à côté de sa tête, lui glissant tendrement un deuxième coussin en dessous de ses chevaux épars pour la surélever. Il lui caresse le front, remet en place une mèche rebelle. Lui présente sa queue luisante de sécrétions intimes au-dessus de sa bouche.

Le sexe semble énorme au-dessus de son visage.

- Fais la filation Madame.... S'il ti pli...

Jamais elle n'avait sucé son mari après. Il n'aurait jamais osé lui demander de toute façon. Habib lui caresse le visage avec sa queue encore gluante d'un mélange qu'elle n'ose imaginer. Le gland impatient poussa sur les lèvres.

- Allez Madame ti le fais... Ti vas voir c'est bon. Si ti veux pas c'est pas grave... Essaye.

Vaincue elle ouvre la bouche et le suce, au début avec réticence, à la fin avec passion. Le goût est fort et les odeurs animales prenantes. Elle arrive à prendre en bouche une bonne partie de la verge. Comme une affamée, elle lèche, tète, branle le membre encore dur et les couilles pleines. Elle découvre ce membre couleur caramel et adore le goût, la texture, la chaleur.

Rien à voir avec celle de son mari, moins.... Moins sauvage... Elle coule à nouveau.

Au bout de quelques minutes, Habib prend soin de lui bloquer la tête avant d'éjaculer, ne lui laissant que le choix de le boire en totalité. Une femelle ne doit rien perdre de l'élixir de vie que lui donne un mâle.

Elle tousse sous l'avalanche de jets salés et gluants. Ne pouvant tout boire.

Le sperme coule sur le menton quand le mandrin la libère.

Il n'hésite pas à l'embrasser goulument avant de rejoindre la salle de bain.

Elle reste inerte sur le lit de son fils.

Le jet de pisse dru de son jeune amant heurte la cuvette. Un bruit de torrent impulsif. Identique à la manière dont il l'a baisée. Car c'était bien ce terme qu'il fallait employer.

Ce jeune homme l'avait baisée dans la chambre de son fils.

Vingt minutes avant qu'il la baise, elle avait échangé des paroles d'amour avec son mari. Et là, elle reste immobile, jambes ouvertes et sexe dégoulinant dans l'attente du retour de son amant. Même pas la force de se lever. Ni de penser. Elle vient de se comporter comme la dernière des cougars.

Mais cela avait était tellement bon.!

La douche chante. Elle se lève quitte la chambre pour au moins mettre un peignoir. Sa chatte un peu irritée lui fait mal et coule. Des filets glaireux de sperme descendent le long de ses cuisses. Elle a un peu mal au ventre. Elle n'est pas habituée à un tel calibre, ni une telle puissance. Une grande auréole tache le drap. Elle doit changer le drap housse. Elle rougit de honte. Elle a le goût de son sperme dans la bouche.

Elle revient dans la pièce avec un nouveau drap. Il sort de la salle de bain en souriant. Il la prend dans ses bras, la serre contre son corps musclé et encore humide. Elle sent son sexe contre sa taille. Il la dépasse de deux bonnes têtes.

Il lui prend la bouche avec avidité, visitant son palais d'une langue inquisitrice.

- T'es tellement belle Madame... Merci... Habib a beaucoup de chance.

A nouveau ce regard juvénile. Ces remerciements dans les yeux.

- T'i peux me raccompagner Madame? C'est pas grave si c'est pas possible pour toi... Juste à un arrêt de bus... C'est suffisant pour moi...

Il la regarde s'habiller, se coiffer, se maquiller. Il regarde les photos sur la commode. Celles du mari et des enfants.

- T'i as de beaux enfants.... Ils ont de la chance. Ti est tellement belle!

Ils restent silencieux dans la voiture. Elle le dépose à quelques rues de chez lui.

- Ecoutez Habib.... Ce qui s'est passé là... entre nous...

Il l'interrompt tout de suite.

- Toi t'i t'inquiètes pas Madame... Habib a de l'honneur... Ti a rien a craindre de moi!

Si tu veux je pars du travail. Ci pas grave pour moi...

- Non... Non bien sûr que non.. Mais j'aimerais...

- Habib est comme la tombe Madame...

Il la quitte avec un regard plein de tendresse et de douceur.

Et déjà il lui manque ... Son sexe le réclame par vagues humides.

Elle ne l'a plus croisé pendant toute une semaine.

Son mari était rentré. Ils avaient fait l'amour. Bien sûr, elle avait joui. Mais pas avec la même intensité. Fabien était tellement... tellement doux, prévenant... Pendant qu'il coulissait tendrement en elle, elle pensait au sexe du jeune homme. A la manière dont il l'avait défoncée. Elle ne trouvait pas de terme moins vulgaire.

Les enfants passèrent le week-end avec eux avant de reprendre le chemin de Londres pour un mois. Fabien devait repartir à Singapour pour 15 jours. A nouveau seule dans son grand lit froid. Bien sûr, elle avait l'habitude de cette solitude.

Mais quelque chose s'est détraquée en elle et le corps du jeune homme la hante. Pas que son visage. Elle revit en permanence ce qui c'était passé et elle ne résiste pas au plaisir de caresses intimes. Cela ne lui était plus arrivé depuis l'adolescence.

Elle jouit dans un souffle, le visage de son amant imprimé dans son cerveau.

Au travail, lors de ses déplacements dans les couloirs de la société, elle le cherche d'un regard discret. De même quand elle rentre chez elle. Sans succès.

Elle avait consulté son dossier. Noté comme très bon élément. Avec pas mal de possibilités de promotion à de haut-niveaux de sécurité. Un excellent élément. En fixant la photo d'identité du jeune, elle s'aperçut qu'elle mouille sa culotte en revivant leur rencontre....

Envie irrépressible de le voir, le sentir, le recevoir en elle.

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1 Commentaires
sandradruunasandradruunail y a 2 mois

...bonsoir... je découvre votre récit que j'avais mis de côté pour le lire tranquillement, dans l'intimité... et mon dieu... j'avoue avoir été très touchée, cette femme est comme beaucoup d'entre nous, épanouie dans sa vie professionnelle, une mère et une épouse aussi parfaite que possible dans le cadre familial... mais qui reste aussi, surtout, une femme... avec ses doutes, sa solitude, ses besoins, ses désirs... votre texte est beau, émouvant, troublant, excitant... je l'adore... merci...

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