Une Passion Inattendue Ch. 10

Informations sur Récit
Je découvre la passion lesbienne avec Nala.
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/17/2022
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Je pousse la porte du club dans un mélange de curiosité et de timidité. Je nous sens, nala et moi, un peu intruse dans un club lesbien. Même si nous sommes folles l'une de l'autre, je ne nous sens pas lesbienne. Depuis que nous nous sommes embrassées il y a deux mois je regarde les autres femmes de façon différentes. Très clairement ce blocage que j'avais vers les relations homosexuelles a sauté. Et m'a fait revisiter mes relations avec les hommes. Mais pour l'instant ce sont les femmes qui aiment les femmes qui nous attirent ici. Nous avons choisi ce club car c'est curieusement le seul qui n'accepte aucun homme, d'autres clubs lesbiens sont plus ouverts. Je commence à ressentir un rejet des hommes qui a de quoi surprendre!

L'ambiance est feutrée, la musique est sympathique et il y a beaucoup de lumière. Personne ne remarque notre entrée, ce qui me change la vie. Tout de suite nous somms frappées par l'ambiance douce, sereine. Et ne voir que des femmes devant ou derrière le comptoir est vraiment étrange. Je me sens détendue, je sais que personne ne va venir nous aborder ou nous offrir un verre. Enfin je le crois! C'est en tous cas plein de bienveillance.

Nala revient avec un gin tonic pour moi et un verre d'eau pour elle. Elle est radieuse et épanouie comme jamais. Elle porte une robe patineuse blanche et bleue, bien marquée à la taille ce qui me la rend affolante. Je l'ai serrée au maximum dans un corset avant que nous ne sortions, j'avais envie de sentir toute sa féminité. J'adore les corsets, en porter, mais aussi que nala soit enfermée dans cette main géante, sentir comme elle a du mal à respirer, sa taille tendue, ses hanches sortir magnifiquement. Pour compléter, des sandales blanches toutes simples. Je me suis dit qu'il nous fallait être discrètes! Moi j'ai fait simple, un T-shirt, un jeans et des basket. Et je ne suis pas loin de l'uniforme général des femmes et filles présentes.

Une femme aux cheveux très court vient s'asseoir en face de moi, avec trois shots de vodka en signe de bienvenue.

- Bonjour les filles, je suis Maria la gérante. Cela fait plaisir de vous voir et pour votre première visite laissez moi trinquer avec vous un shot de vodka offert par la maison!

C'est trop gentil et cela me détend. Je laisse nala boire son shot avec un hochement de tête pour l'autoriser.

- Soumise ou esclave me demande Maria en pointant nala.

- Soumise je réponds en riant. Mais comment tu devines?

- Tu sais c'est mon métier de connaître les femmes qui rentrent et c'était évident dès l'entrée, elle est totalement en dévotion devant toi et je la comprends. Tu es magnifique.

- Merci c'est très gentil.

- Ici vous faites ce que vous voulez. Ce lieu est dédié aux femmes et à toutes leurs envies. Toutes les envies des femmes sont belles, mais celles qui choquent trop, vous avez un bak room pour les faire.

- Vraiment? J'aurais pensé que cela gênait. C'est pour cela qu'elle est venue sans collier ni laisse.

- Tu peux les lui remettre, ici on est habitué. Et une femme avec un collier et une laisse reste une femme.

- Je suis bien d'accord.

- Votre tatouage sur le bras, vous avez plusieurs clés?

- Oui, je lui souris, j'ai aussi un mâle à la maison, mais lui bien castré.

- Castré?

- Oui cela fait des mois qu'il est ainsi sans jouir et ne prendra plus de plaisir, cela les rend si obéissant.

- Je vois, me dit-elle avec un grand sourire. Je vous laisse tranquille, n'hésitez pas à visiter, nous avons même une croix dans la cave si vous avez envie de jouer. Et vous êtes mes invitées aujourd'hui, c'est open bar pour vous!

- Merci pour la conversation, c'est drôle tu es la première à me faire une remarque sur mon tatouage.

- Tu verras, ici on regarde vraiment les autres. Tu as envie de te dévoiler, tu le fais, et si tu ne le fais pas, personne n'est gêné.

Je fais mettre nala à genoux à mes pieds et je lui mets le collier avec une courte laisse attachée. Je la sens satisfaite de le retrouver. Beaucoup de choses se sont passées ces derniers deux mois et certains ont du sursauter en lisant mon échange avec Maria.

Nous avons vécu tous les trois, avec Yara, un mois de pure folie. J'aurais pu en mourir d'émotion, de bonheur, de plaisir. Chaque jour je me suis évertuée à briser, torturer et avilir l'amour de ma vie. A ce qu'elle m'offre tout d'elle, sans aucune limite à mes désirs et exigences. Yara a subi sa part et lui aussi a souffert comme jamais. J'ai fait sauter tous mes verrous, et j'ai fait en sorte qu'il y ait toujours un des deux en train de gémir ou râler quand j'étais à la maison. Folle de pegging, j'ai exigé de mes deux esclaves qu'ils soient en permanence dilatés de façon importantes pour pouvoir les prendre quand je voulais. Et pas d'exception pour le boulot. Je pense que ces quelques semaines ont été particulièrement improductives. J'ai acheté deux fuck machines installées sur la terrasse et mes deux chiennes y ont passé des heures à se faire ouvrir pendant que je faisais la sieste ou prenait le soleil. En me faisant jouir rien que de les entendre!

C'est amusant comme dresser et exploiter deux esclaves est très différent d'un seul. La relation est plus complexe, moins de temps à y consacrer et paradoxalement une capacité à aller beaucoup plus loin puisque je peux oublier un esclave pour m'occuper de l'autre. Et la vision des deux est un aphrodisiaque puissant, surtout quand les deux sont torturés et me supplient. Je jouis presque sans me toucher. Je crois que cela leur réussi aussi, Nala et Yara sont resplendissants, je les sens profondément bien. Surtout Nala, c'est elle qui compte le plus, Yara je l'ai déjà bien intégré, même si j'ai beaucoup de projets pour lui.

Le récit serait fastidieux, sachant que j'ai abord des rives inconnues comme la scatologie pour les mettre plus bas que terre jusqu'à un matin où je me suis réveillée particulièrement sereine et calme. Pleinement heureuse, rassasiée d'une certaine façon. Sans aucun signe prémonitoire. Mes deux esclaves avait passé la nuit à genoux aux pieds de mon lit, torturé, à devoir se remplir de moi toute la nuit sans avoir droit de dormir, eux. En regardant nala, l'amour qui me rempli a explosé comme au premier jour. Elle me manquait terriblement. Et d'une certaine façon yara aussi me manquait. Je savais bien que les tourments que je leur imposais les remplissais encore davantage d'amour et de dévotions, mais ce n'était plus la relation que je voulais.

Yara parti se coucher sur mon ordre, et je fis venir nala à mes côtés dans le lit. Je la couvrit de baiser et de caresse, les répétant des mots d'amour et de passion, la caressant encore et encore, lui ordonnant de jouir et de se remplir de moi. Nous étions aux anges. Je la fis mette à genoux pour m'écouter.

- Nala, je vais peut être te décevoir, mais peu importe, je suis ta Maîtresse et ta Propriétaire. Je te veux à mes côtés, avec moi. Je veux que tu sois ma femme, ma femelle, ma soumise, ma chose mais pas mon esclave. Ce n'est pas de cette vie là que je veux. Mais que nous riions ensemble, que tu te moques de mon narcissisme, que nous fassions les folles et que sais-je. Tu seras toujours à moi pour la vie, tes contraintes seront toujours suivant mon bon vouloir, mais je veux que tu partages ma vie, ma couche, mes plaisirs. J'ai juste envie de vivre avec toi.

Plutôt que de répondre, elle leva son regard vers moi avec un grand sourire, et prenant à la lettre ce que je venais de lui dire, se jeta sur moi pour m'embrasser et me faire l'amour. Il nous fallu quelques semaines pour nous caler, mais il était convenu qu'elle ne me vouvoie et se comporte en esclave que quand cela était nécessaire, mais que le reste du temps elle était ma femme soumise et obéissante. Quant à yara, qui avait pris l'arrivée de nala avec une certaine joie, il repris sa place traditionnelle mais je lui ordonnais de vénérer nala comme sa Déesse. Notre vie semblant alors s'équilibrer ainsi. Nala ne porte plus son collier en permanence, et je ne l'avais pris dans mon sac qu'au cas où (nala ne porte jamais de sac, elle n'aurait rien à y mettre!).

La soirée est bien avancée, des groupes de filles s'esclaffent, tout le monde est décontracté et nous sommes les seuls à mater les autres filles, collées l'une à l'autre. C'est fou comme je ne me lasse pas de la toucher et de la sentir vibrer. Plusieurs filles sont déjà descendues et j'ai envie de plus de contact avec nala. Nous prenons le vaste escalier qui débouche sur un magnifique sous sol aux voûtes éclairées. L'ambiance est très réussie. Des coins câlins un peu partout, cela fait très propre et donne envie. Des filles sont allongées, la plupart nue ou presque. Cela sent la sensualité, le désir, le plaisir, tout est calme, voluptueux. Je vois une fille avec un mince gode ceinture prendre sa copine tout en discutant avec une autre. Au fond, c'est plus sombre, nous nous approchons. La croix de saint andré se découpe à peine sur le mur sombre.

J'embrasse nala, à moins que ce ne soit l'inverse. Elle se laisse faire pour que je l'attache à la croix, les mains et pieds bien écartées, parfaitement offerte. Je l'ai battue ce matin, comme tous les matins et les marques sont toujours visibles. Je les caresser, enfonce ma main dans son sexe trempé et offert, son cul fermé par un plug métallique très présent en elle. Je suis surprise de la qualité de tout ce que je touche, la croix, les attaches, maintenant les instruments mis à disposition. Je prends une badine, certes pas une Hermès, mais je la trouve plaisante. Pour une fois je n'ai pas quinze mecs affamés à me regarder, juste deux femmes enlacées qui se caressent en nous regardant, c'est tellement sensuel.

Je commence doucement, pour sentir l'instrument. Je sens nala qui s'offre, tend ses fesses, elle veut avoir mal pour moi, devant ces femmes, ce public, que chacune sache comme elle m'appartient. Je commence à frapper plus fort. Le bruit attire d'autres femmes. Quand j'arrive à 100 coups, nala est retenue par les attaches, ne résiste pas, s'abandonne à la morsure. Je pose l'engin, je me précipite sur elle pour la caresser, lui murmurer tous les mots d'amour qui me viennent à l'esprit. Elle vibre de bonheur. Une autre main vient la caresser, la flatter, je laisse faire curieuse. Plusieurs femmes se sont rapprochées, nous touchent toutes les deux, nala toujours suspendue à la croix. Les mains, les bouches se font plus précises. J'entends ma chienne déjà jouir de se sentir pénétrer par un poignet moins timide. Je me laisse faire moi aussi pour une fois.

Une jeune femme me caresse le ventre, ses doigts cherchent mon vagin, le trouve béant et affamé, en prennent possession, je sens toute sa main qui rentre en moi, je me retiens de hurler mon orgasme. Une autre m'embrasse, se remplit de mes seins, me susurre des mots tendres et de vénération, me trouve si belle, si somptueuse. Une dernière se met à genoux, et tandis que la plus jeune continue de me pomper, enfonce sa main sans se retirer tout au fond de mon cul. La sensation est trop jouissive ; J'éjacule en hurlant, ce qui ne calme aucune de mes trois tortionnaires qui continuent à exciter mon corps, me rendant folle de désir. Le point dans le cul est enfoncé jusqu'au coude, je le sens dans mon ventre, je vois à peine nala mais je l'entends gémir et jouir, je m'évanouis de plaisir. C'est la première fois de ma vie que l'on me fait l'amour. Que je m'offre ainsi.

Nala m'attend toujours attachée, et je la fais venir à mes pieds, que nous reprenions un peu d'énergie. Nous partons d'un fou rire en nous regardant, émerveillée de cette soirée dont nous n'attendions rien. Son dos comme ses fesses sont bien marqués, les autres filles viennent discuter avec nous en nous apportant à boire. Je le sens toutes les cinq très attirées, voire fascinées, c'est grisant. C'est bien autre chose de séduire une femme, un homme finalement cela n'a aucune valeur. J'ai repris des forces et je m'apprête à remonter pour rentrer quand une dame d'un certain âge s'approche de moi. J'aurais tout vu. Elle semble sortir du 16ème arrondissement, en tous cas elle sent l'argent très très fort.

- Bonsoir, je ne vous dérange pas?

- Non bien sur, j'allais juste remonter, la soirée a été plus émotionnelle que prévue!

- Oh j'aurais voulu vous demander un petit service.

- Oui bien sur? Je suis toujours curieuse.

- J'ai assisté discrètement à la correction que vous avez donnée à votre soumise, et j'ai beaucoup apprécié. J'ai ma petite fille là-haut qui mérite une punition du même acabit, et je me demandais si vous accepteriez...

- De la corriger pour vous?

- Oui voilà! Qu'en pensez vous.

- Avec plaisir, mais ce n'était pas une correction ni une punition, là c'était une flagellation d'amour. Lorsque je suis furieuse contre nala c'est bien autre chose.

- Oh! Encore plus intéressant. Et vous croyez que vous pourriez me montrer cela sur Charlotte?

- Votre petite fille? Oui pourquoi pas, la soirée est tellement merveilleuse.

Lorsque Charlotte arrive, la petite fille donc de cette dame qui me dit s'appeler Marie, je suis sidérée. Je me demande si je suis dans un film tant elle ressemble à une actrice, lumineuse, radieuse. Elle doit avoir 20 ans, un charisme de folie, une bouche pulpeuse comme ses joues, une silhouette de pinup, je ne l'aurais jamais imaginée dans un club lesbien, moins encore avec une femme dominatrice bien plus âgée qu'elle. Tout en Charlotte respire la sensualité mais aussi la fraîcheur, la lumière. Son sourire est ravageur, et elle se jette à mes pieds pour me remercier de la punir. Je ne sais pas de quoi mais peu importe. Je la relève, lui murmure que la punition c'est 100 coups de badine ce qui quand même fait un peu fuir le rouge de ses joues.

Je la caresse doucement, décidément les femmes me font fondre. Je la déshabille moi-même, une courte robe évasée sous laquelle elle est nue. Je lui fais garder ses escarpins ainsi que ses bas. Sa chute de rein est très jolie et elle offre un fessier que ne donne qu'une envie, le marquer. J'installe à nouveau nala sur la croix, mais face à moi cette fois-ci et face à Charlotte que j'attache contre nala. Celle-ci ne se prive pas de l'embrasser, dans le cou, sur les lèvres et leurs deux corps collés sont un délice. Je sais que sur les coups un peu longs, c'est nala qui aura la plus grande souffrance sur la mèche. Elle le sait aussi, et elle est heureuse d'être associée.

Je me remplis de cette jeune beauté. Il y a plus de monde pour nous regarder, même Maria est descendue nous voir. Je prends d'abord un martinet pour ne pas la cueillir à froid. Et puis les lanières n'épargnent pas nala sous Charlotte. Ce n'est pas douloureux, juste bruyant et spectaculaire. La tension est palpable quand je reprends la badine. Je m'éloigne, mesure la distance. J'ai un peu de pression et cela ne me plaît pas. Les premiers coups seront pour les fesses, c'est plus facile à supporter, mais je suis bien décidée à donner une punition et non une flagellation de plaisir. Le bruit du coup est jouissif, la fesses qui plie sous la violence de la tige, la mèche qui vient brûler la fesse droite. Le coup était puissant, tout comme le hurlement qui suit. Charlotte fond en larmes, alors que ce n'est que le premier des cent coups. Elle manque de chance car cela ne m'attendrit pas du tout.

Je n'attends pas qu'elle se calme, malgré les baisers assidus de ma chienne, et j'enchaîne une série de dix coups tout aussi puissants sur ses fesses déjà boursouflées. Pas question de l'aider à se détendre, une punition doit être marquante. Les dix suivants sont sur les cuisses, bien espacés, la chair se boursoufle, elle n'a clairement pas l'habitude. Ma cruauté et le goût du sang font surface. Je m'acharne les 30 coups suivants sur les fesses sans lui laisser le temps de récupérer, ses hurlements sont silencieux, son corps est secoué de spasme, Nala est bouleversée, je l'aime tant celle là. J'allonge quelques coups pour qu'elle partage a souffrance de sa jeune amie. Les fesses sont méconnaissables, il est temps d'attaquer le dos. Je sais la douleur à la fois plus terrible mais paradoxalement plus supportable.

Charlotte bloque son cri de surprise sur le premier coup reçu en travers. Il est magnifique, le dos se strie immédiatement. Je lui laisse sadiquement le temps de récupérer pour qu'elle réalise que les autres seront tout autant douloureux. Je vois Marie se gouiner avec Maria sur le spectacle, sensation bizarre. Les 29 autre coups sont donnés sur le dos, au rythme d'un coup toutes les 10 secondes environ. Le silence est entrecoupé des sifflements de la badine, et des pleurs de Charlotte. Certaines filles sont remontées, clairement le spectacle ne leur plaît pas. Mais les autres sont complètement fascinées par cette offrande. Car pas un instant Charlotte n'a demandé à arrêter. Les 20 derniers sont pour réveiller la souffrance dans ses fesses, toujours aussi forts et violents, elle pleure toutes ses larmes et nala aussi car elle en a pris son compte.

Je me rapproche de Charlotte, j'essuie son visage, met ses cheveux chatins derrière l'oreille, je l'embrasse doucement. Je lui dis que cela y est, elle a été punie, que tout est pardonné, que c'est une bonne petite fille. Elle essaie un petit sourire. Me soupire un merci. Dans l'oreille je lui demande si elle m'offre 30 coups supplémentaires, pour mon plaisir? Surprise, elle me regarde, ferme les paupières et me demande, me supplie de lui donner ces 30 coups supplémentaires. Marie est surprise n'ayant rien capté de nos mots, je lui demande quand même son autorisation. Elle semble ébahie que Charlotte ait accepté après avoir tant souffert. Ces 30 coups sont pour moi et surtout pour Charlotte. Tout de suite elle sent la différence, la main qui vient calmer la douleur, caresser son corps, la doigter doucement, lui laisser reprendre ses esprits, avant de recommencer. Elle s'offre, tend ses fesses. Elle est merveilleuse. Je jouis de cet instant en me perdant dans les yeux de nala qui n'en perd pas une miette.

Quand nous remontons, Charlotte et Marie s'apprête à partir. Cette dernière me propose de venir un soir chez elle si cela me plait, pour un dîner entre femmes. Je pourrais emmener mon chien aussi, elle a un grand parc avec une niche pour lui. Maria lui avait donc parlé. J'embrasse Charlotte avec passion, j'ai envie de la manger, de la protéger aussi peut être de cette dame.

- Maria, vous lui avez tout raconté à Marie? Je la gronde gentiment.

- Oui bien entendu, c'est mon patron, elle sait tout ce qui se passe ici.

- Ton patron? Elle possède le club?

- Oui entre autre. C'est une femme discrète mais immensément riche. Personne n'en a vent mais elle est multi milliardaire. Et si elle venue c'est parce qu'après avoir discuté avec toi, je l'ai appelée. J'étais certaine que vous alliez vous entendre de folie.

- Oui c'est vrai. Et j'avoue que Charlotte est craquante.

- Sa petite fille? Oui elle est magnifique.

- Elles jouent au jeu de la grand-mère et de la petite fille? Je souris, je ne connaissais pas.

- Pas du tout, c'est vraiment sa petite fille!

Nous sommes toutes les deux scotchées. Maria s'est éloignée. Charlotte m'a excitée, j'ai envie de jouir tranquillement à la maison avec mes deux jouets d'amour. Je regarde nala, je lui dis un énorme merci avant de l'embrasser follement. Elle sait très bien que j'ai flashé sur Charlotte et n'a exprimé aucune pointe de jalousie.

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