Un Thé Gourmand

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Griselia invites her friend Jenny to tea to introduce her to...
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Trentenaire dotée d'une autorité naturelle, Griselia occupait un poste de responsable des ressources humaines au sein d'un grand groupe privé. Elle était ce qu'on appelle une "self-made woman". Appréciée de toutes et tous, parfois crainte, elle savait, en réunion, accompagner ses prises de décisions d'un sourire mutin qui faisait partie de son charme et lui permettait souvent, en bout de course, de gagner ses collaborateurs à sa cause.

Ce vendredi, elle avait délaissé son travail pour s'octroyer un grand week-end et recevait son amie Jenny pour le thé. Très complices, les deux jeunes femmes partageaient parfois la même couche pour de délicieux moments et n'avaient, de fait, aucun secret l'une pour l'autre. Gestionnaire d'une franchise de fleuristes, Jenny, tout comme Griselia, avait organisé sa vie autour de son talent naturel pour le commandement. Aussi blonde que son amie était brune, elle avait choisi de porter pour leur rendez-vous commun une mini-jupe Prince-de-Galles et un simple chemisier blanc noué sous la poitrine, laissant à découvert un nombril orné d'un ravissant piercing en forme de cœur. Toutes deux savaient aussi que cette invitation à prendre le thé n'était qu'un prétexte: Griselia tenait à présenter sa jeune sissy, Caroline, dont elle se chargeait de l'éducation depuis quelques semaines, à son amie. Jenny savait bien sûr que Griselia avait pris sous sa coupe un jeune homme, Charles, rebaptisé Caroline et avait hâte de faire la connaissance de cette apprentie soumise. Elle ne l'avait pas encore rencontrée pour la simple raison que Caroline, sous l'apparence de Charles, travaillait encore à mi-temps dans la société de Griselia et n'avait emménagé chez cette dernière que depuis quelques jours. A terme, soit dans un délai de deux semaines à compter de ce vendredi, Caroline quitterait son poste pour entrer à temps complet au service de Griselia et parfaire ainsi sa féminisation. Le jeune homme réservé, légèrement efféminé, qui servait les cafés et apportait les viennoiseries pendant les briefings de travail du matin deviendrait ainsi une sissy parfaite attentive aux désirs de sa maîtresse et de ses amies. Ainsi en avait décidé Griselia.

On sonna à la porte. Griselia ouvrit à Jenny qui lui tendit un énorme bouquet de pivoines. Après quelques exclamations, remerciements et compliments mutuels les deux jeunes femmes échangèrent un baiser avant de se diriger vers le salon. Griselia s'excusa: "Je passe à la cuisine confier ton bouquet à Caroline afin qu'elle dispose les fleurs dans un vase et je te rejoins". Jenny s'installa sur le sofa et Griselia vint la rejoindre quelques instants plus tard, les yeux pétillants de malice: "tu vas faire connaissance avec notre petite sissy. Je dis "notre" car j'entends bien la partager avec toi. Du moins jusqu'à ce que tu te décides toi aussi à te lancer dans l'élevage de ton propre animal de compagnie".

Jenny pouffa: "j'adore ton image, c'est trop drôle.Mais tu as raison, c'est une idée qui commence à me tenter".

- "Et tu sais, ces petites choses ne sont pas difficiles à démasculiniser. Il faut juste un peu d'autorité, d'opiniâtré, de constance, d'une discipline à leur imposer pour que leur volonté devienne la tienne"

-"Quand tu parles d'autorité" répondit Jenny, "tu veux dire que les corrections sont parfois nécessaires?"

-"Bien sûr. Et même quand ça ne l'est pas, je t'encourage à les pratiquer. Une bonne sissy doit être régulièrement fessée, ne serait-ce que pour ta propre satisfaction. Une fois par semaine, par exemple, mais jamais le même jour ni à la même heure. Pour l'effet de surprise".

Jenny se fit gourmande: "Mmm, j'adore l'idée. Et j'avoue qu'après une journée de travail stressante, pouvoir claquer les jolies fesses offertes d'une sissy doit être bien agréable."

-"Et vraiment délassant, je te le confirme. Et puis pour ces soumises, qu'il s'agisse de câlins ou de fessées, elles les perçoivent comme une preuve de l'attachement que tu leur portes".

C'est à ce moment que Caroline apparut, à la porte du salon. Griselia lui fit signe: "Approche, ma chérie, voici mon amie Jenny, la maîtresse dont je t'ai parlé".

Caroline s'avança, tenant de la main droite un vase dans lequel elle avait harmonieusement disposé les pivoines de Jenny. Sur un discret signe de tête de Griselia, la jeune sissy déposa le vase sur une table basse et vint gratifier Jenny d'une gracieuse révérence.

-"Soyez la bienvenue, madame, et soyez assurée de pouvoir profiter de votre serviteuse comme vous l'entendez" lui sussura-t-elle d'une voix douce.

-"Elle est exquise, et quelle belle éducation" s'exclama Jenny à l'adresse de Griselia tout en détaillant la jeune soumise. Caroline était d'une taille moyenne (un peu moins d'un mètre soixante-dix jugea Jenny), et portait un carré court éffilé d'un joli blond-roux qui encadrait son visage à l'arrondi charmant. Un blush rosé avait été appliqué sur ses pommettes et ses yeux noisettes s'ornaient d'un mascara vert sapin. Ses lèvres pulpeuses (gourmandes songea Jenny) étaient maquillées d'un rose crémeux et son nez légèrement concave achevait de donner une note juvénile à son visage. Elle portait un collier ras de cou en dentelle rose bonbon orné d'une petite perle blanc cassé et ses pieds, habillés de socquettes cheville à volants faites de la même dentelle étaient chaussés dans des escarpins blancs vernis à bride et talon chaton. Entre son collier et ses socquettes, Caroline ne portait qu'une seule autre pièce d'habillement, un nœud de satin rose noué autour de son petit pénis, qui reposait sagement sur des bourses bien pleines dont la teinte était rehaussée du même blush rosé que celui utilisé pour son visage.

Griselia laissa son amie savourer le charmant spectacle qu'offrait sa poupée Caroline tout en étant légitimement fière de son travail de dressage. Tout n'avait pas forcément été simple dans l'éducation de sa soumise, elle avait eu à combattre quelques réflexes sottement masculins de la part de Charles qu'elle avait délibérément choisi d'appeler Caroline dès leur première rencontre. Malgré le respect de la hiérarchie et la fascination qu'exeçait sur lui sa supérieure, Charles n'avait pu s'empêchet de secouer la tête avec dénégation: "Mais, madame, je ne suis pas une fille!".

"En effet" répliqua Griselia, "tu es une sissy, et même si tu ne veux pas te l'avouer, je sais que tu en as conscience au fond de toi. Une sissy n'est pas une fille, je suis d'accord, mais en même temps, elle est plus qu'une fille. Un objet féminisé à l'extrême entièrement dévoué à sn maître ou sa maîtresse. Comme tu apprendras bientôt à l'être envers moi. Et maintenant, baisse ton pantalon!"

-"Quoi, mais je..."

-"Ne réplique pas, Caroline. Tu vas devoir apprendre à obéir à ta maîtresse, qui de plus est ta supérieure au sein de cette compagnie, sinon je..."

Griselia n'eût pas à finir sa phrase (elle n'aurait de toutes façons pas su de quoi menacer le pauvre garçon). Charles, rougissant, s'était exécuté, lui révélant le strings en satin crème qu il portait sous son pantalon. "Parfait", s'exclama Griselia, "Je me doutais que nous avions à faire à une petite femelle. Dorénavant, chaque matin, quand tu m'apporteras le thé, tu passeras derrière ce paravent (qu'elle désigna du doigt) et enfileras la tenue que je t'aurais préparée pour me servir." Ainsi tous les matins, Caroline servait-elle dans la tenue que Griselia lui avait choisie. Il pouvait s'agir d'un string dentelle invariablement rose ou blanc, d'un shorty transparent ou d'une paire de bas assortie d'un porte-jaretelles. Dans ce dernier cas Griselia aimait à taquiner les fesses nues de sa sissy pendant que celle-ci lui versait son thé. Ce qui provoquait souvent chez la jeune soumise une demi-érection. "Quelle coquine tu fais!" Commentait alors malicieusement Griselia glissant un doigt le long du sillon fessier de Caroline, ce qui avait pour effet d'exacerber le désir de cette dernière. Mais même au comble de l'excitation, son sexe tendu n'excédait pas la taille de six centimètres. Caroline donnait alors une claque plus forte sur la croupe de sa sissy, qu'elle assortissait souvent d'un commentaire du type: "quel petit clitty! A le voir, on se rend compte que tu n'aurais jamais pu être un garçon. Allons, rhabille-toi et comporte-toi en jeune fille obéissante. Je comprends ton désir et je t'autoriserai sous mon contrôle à te caresser ce soir." En alternant ainsi ordres, intimidations et autorisations au plaisir, Griselia s'assurait du contrôle total de sa soumise.

Elle en était là de ses réflexions lorsque Jenny lui demanda: "Zélia, tu m'avais promis un thé, je me trompe?"

"Oh, bien sûr ma chérie, excuse-moi, j'étais perdue dans mes pensées", lui répondit Griselia avant de claquer dans ses mains à l'attention de Caroline:" tu vas nous préparer une collation, ma petite chatte. Deux thés noirs abricot gourmand".

"Bien Madame, avec plaisir", fut la réponse de Caroline qui, après une légère courbette, se retourna et prit la direction de la cuisine en se dandinant, révélant à Jenny le plug rose bonbon qu'elle arborait entre les fesses.

"Mmm... Cette petite est vraiment adorable. Mais, en parlant d'abricot gourmand", ajouta Jenny en se penchant vers son amie avec lubricité, "il y en a un que j'aimerais goûter..." Et, sans attendre, leurs lèvres se rejoignirent pour un baiser passionné, chacune essayant d'absorber la langue de l'autre le plus complètement possible. Pendant un moment, il n'y eut plus que des gémissement qui parvinrent à Caroline depuis le salon. A entendre ces râles, ces feulements, ces soupirs, une vague de désir submergea la jeune sissy et son clitty se dressa, bien contre sa volonté. C'est à ce moment que sa maîtresse l'appela, d'une voix altérée:"Caroline mmm, aah, oh ouiii, viens mmm nous rejoindre!"

Essayant tant bien que mal de cacher son érection, Caroline s'avança vers le salon, mais le spectacle qui l'attendait était de nature à l'émoustiller plus encore que les gémissement qui précédaient ne l'avaient fait.

Sa jupe relevée autour de la taille, Griselia chevauchait le visage de Jenny. Cette dernière, allongée sur le sofa, entièrement nue, lappait consciencieusement l'entrejambe de sa compagne en couinant de plaisir. Griselia maintenait ramenées vers elle les cuisses de Jenny en les tenant écartées, exposant largement la vulve et l'anus de son amie au regard ébloui de Caroline. "Approche, ma chérie, viens goûter le minou de maîtresse Jenny", lui intima Griselia. Caroline, au comble de l'excitation, le clitty douloureusement tendu, s'agenouilla devant la chatte de Jenny qu'elle se mit à lécher, sucer, gober avec frénésie. Elle allait et venait le long du clitoris de sa maîtresse qu'elle imaginait être un délicieux sucre d'orge. Elle était heureuse de n'être plus qu'une langue, un objet de plaisir, au service de ces deux merveilleuses femmes. Elle s'enhardit même à glisser un doigt dans le petit trou de Jenny, ce qui fit gémir celle-ci un peu plus fort. Après quelques minutes d'une débauche de halètements et dans un orgasme qui les submergea, les deux amies explosèrent en même temps. Griselia dans la bouche de Jenny et Jenny dans celle de Caroline. Puis Griselia libéra les jambes de Jenny que celle-ci rabattit autour du cou de Caroline, enserrant le visage de cette dernière entre ses cuisses. "Quelle langue experte" la complimenta-t-elle, "tu m'as bien fait jouir. Tu es une vraie petite cochonne. Mais maintenant tu vas devoir t'occuper de ma toilette intime. Je ne veux pas avoir besoin d'aller au bidet quand j'ai la langue d'une sissy à ma disposition. Nettoie-moi bien, comme tu as l'habitude de le faire pour ta maîtresse Griselia". Celle-ci acquiesça: "Chaque matin avant la douche. C'est une bonne habitude à donner à une sissy. Et au-delà de l'aspect hygiénique, pour ces petites créatures, commencer leur journée à genoux devant leur maîtresse ou leur maître est un signal important pour entretenir leur sentiment d'infériorité et d'appartenance".

Caroline s'exécuta, s'appliquant tant et si bien à nettoyer la vulve crémeuse de Jenny qu'elle la fit jouir à nouveau. "Eh bien" s'exclama Jenny, "non seulement tu es une cochonne, mais aussi une vicieuse petite salope!". Griselia pouffa: "pas autant que moi, j'espère?". Non, la rassura Jenny, "la reine des vicieuses c'est bien toi!" Les deux amies éclatèrent de rire et se donnèrent un baiser. Jenny desserra légèrement l'étreinte de ses cuisses et s'adressa à Caroline:"dis-moi, tout à l'heure, qui t'a autorisée à me doigter?" Au ton menaçant de Jenny, Caroline se sentit glacée de l'intérieur et perdit son érection. Elle baissa piteusement la tête. "Quoi?" S'écria Griselia, "qui crois-tu être pour te permettre ce genre de liberté? Je t'ai demandé de t'occuper du minou de maîtresse Jenny. Rien d'autre. N'oublie pas que tu n'es qu'une sissy. Et une sissy n'a pas à penser par elle-même. Tu dis qu'elle t'a doigté, Jenny? Je n'en reviens pas." "Effectivement" répondit Jenny. "Ce n'était d'ailleurs pas désagréable mais je ne m'attendais pas à voir un animal domestique prendre ce genre d'nitiative". Le terme d'"animal domestique" utilisé par Jenny était humiliant mais nécessaire dans le cadre du programme d'éradication de la personnalité de Caroline entamé par Griselia. "Excuse-toi maintenant," ajouta Jenny. "Pardon Madame, je ne suis qu'une sotte", renifla Caroline. "Une sotte et une petite truie qui s'est permis un geste déplacé", ajouta Griselia avec colère, "Approche". Caroline se releva et s'approcha de sa maîtresse, les yeux baissés, sous le regard amusé de Jenny. "Les mains dans le dos" tonna Griselia puis, à l'adresse de Jenny: "ma chérie, voudrais-tu saisir le clitty de cette petite truie et le tenir levé?". "Avec plaisir", répondit Jenny, et, saisissant l'extrémité du pénis de Caroline, elle le tira vers le haut en gloussant:"quelle petite chose, vraiment". A ce moment, Caroline, dans l'attente d'une punition, n'était plus du tout émoustillée et, entre les doigts de Maîtresse Jenny, son "clitty" comme elle l'appelait, avait tout d'une petite nouille flasque. Griselia malaxa un instant les bourses de sa sissy ainsi offertes, arrachant à celle-ci de petits gémissements, puis, saisissant une tapette à mouches qui se trouvait à proximité, les frappa d'un coup sec. La surprise de la douleur fit crier Caroline, ce qui amusa beaucoup Jenny:

-J'adore l'entendre couiner. Un couinement de truie, tu as raison. J'ai bien envie d'essayer moi aussi.

-Je t'en prie, prends la tapette et frappe bien de bas en haut.

-Comme ceci?

Nouveau couinement de Caroline.

-Oui, tu peux même être un peu plus sèche, regarde.

Et Griselia frappa à nouveau, provoquant un cri de sa sissy. Le jeu continua ainsi de suite et Caroline reçut au total quatre coups de chacune de ses deux maîtresses. Puis Jenny commenta:

-Ses boules sont en train de changer de couleur!

-Oui, les cerises commencent à être mûres!

Et les deux amies s'esclaffèrent.

"Je crois qu'elle a compris la leçon" finit par dire Griselia. "Est-ce le cas, Truinette?". Le sobriquet déclencha le fou-rire de Jenny. "Oui", ajouta Griselia, "jusqu'à la fin du week-end tu seras Truinette. Si tu te comportes en jeune fille obéissante, sage comme la poupée que je t'ai apprise à être, respectueuse des ordres et des consignes, ne t'autorisant pas la moindre initiative personnelle, tu récupéreras le prénom de Caroline. Est-ce d'accord?

-Oui Madame. Merci Madame.

-Et qu'as-tu envie de dire à Maîtresse Jenny? Qu'as-tu pensé de ta correction?

-Merci beaucoup Maîtresse Jenny. Vous aviez raison et j'avais besoin d'être corrigée.

-C'est bien. Tu es une bonne petite femelle au fond.

-"Maintenant vas donc finir de nous préparer ce thé. Et au passage, presse une poche de glace sur tes petites boules", ajouta Griselia.

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3 Commentaires
TamokinkTamokinkil y a 10 mois

Je pense malheureusement qu'il manque un morceau du texte, d'un paragraphe à l'autre nous passons de la maison de Griselia avec Caroline nue portant juste un noeud à une demande que Caroline baisse son pantalon dans ce qui semble être un contexte professionel.

Le texte semble trés prometteur, j'ai arrété de lire là pour ne pas me gacher le plaisir du texte entier!

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Ça donne envie de connaître la suite des aventures de Caroline et de ses Maîtresses

OlivX

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Bien écrit et très amusant.

Merci.

Rudy.

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