Prise au Dépourvu

Informations sur Récit
Une maman coquine dans une position compromettante.
3.1k mots
4.66
12.6k
4
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Rainett
Rainett
63 Admirateurs

« Bonjour ! » J'ai crié comme d'habitude, en entrant chez mon copain. La porte d'entrée n'était pas verrouillée, la voiture de ses parents n'était pas là, alors j'espérais qu'il soit seul à la maison, et qu'on pourrait faire des galipettes. Pas de réponse, j'ai vérifié la terrasse, mais je n'ai vu personne. C'était surprenant, peut-être avaient-ils oublié de verrouiller la porte d'entrée en partant. J'étais sur le point de repartir quand j'ai entendu un bruit.

Cela venait de l'intérieur de la maison. Je ne pouvais pas l'identifier, peut-être un chat, mais je devais m'en assurer, n'est-ce pas? Peut-être que mon chéri, avec son casque audio sur les oreilles, ne m'avait pas entendue, et qu'il était devant son écran. Un jeu vidéo, ou un film, pouvait l'absorber suffisamment pour qu'il oublie son environnement. Alors, j'ai fait le tour des chambres, à pas de loup.

Dans les trois premières, celles des enfants, je n'ai rien trouvé. La porte de la chambre parentale était entrebâillée. Je n'avais pas l'intention d'entrer, juste de jeter un coup d'œil. Mais j'ai vu la chose la plus étrange qui soit. Suspendue au plafond se trouvait ce qui aurait pu être une barre de traction, mais ce n'était pas utilisé pour des tractions. La mère de mon petit copain, Martine, était accrochée à cette barre par un jeu de courtes chaînes et des menottes en cuir.

J'étais tellement sidérée que je suis restée plantée là, à la regarder par l'ouverture. Elle me tournait le dos, donc elle n'avait pas réalisé que j'étais là. Mon esprit me dictait de foutre le camp, et de ne pas me mêler de ce qui ne me concernait pas. Je devais simplement oublier ce que j'avais entraperçu. Martine et Philippe, les parents de mon copain, étaient ce que l'on pourrait appeler des français moyens. En fait, je les aurais mis dans la catégorie des gens ennuyeux. Sérieusement, qui aurait pu imaginer qu'ils avaient des distractions aussi perverses?

J'ai passé ma tête pour jeter un coup d'œil circulaire dans la pièce. Je ne comprenais pas qu'elle soit ici, toute seule. J'ai vraiment apprécié la décoration de leur chambre, pour ce que j'en voyais. La chambre était vraiment grande, la pièce maîtresse était cet immense lit à baldaquin avec ces piliers épais. Cela lui donnait un air médiéval, un décor de film sur le moyen-âge. Il y avait une grande bibliothèque près de la fenêtre, avec un coin lecture. Normalement, le coin lecture aurait attiré toute mon attention, mais pas cette fois.

Martine était au centre de la chambre, debout, nue. Ses bras étaient attachés au-dessus de sa tête, mais elle était debout sur ses pieds, pas suspendue. Sur le pied du lit se trouvait ce qui ressemblait à une collection de jouets sexuels. Encore une fois, j'ai pensé qu'il était temps de partir, mais je ne pouvais pas me résoudre à le faire. Je ne suis pas une oie blanche, même si je n'ai pas tout essayé, mais Internet m'a beaucoup appris, surtout sur certaines pratiques.

Certaines d'entre elles me rebutaient, et jusqu'à présent, ce que je voyais là entrait dans cette catégorie. Mais il y avait quelque chose de vraiment fascinant dans le fait que Mme Mars se tenait là comme si elle était en attente de quelque chose. C'est alors que j'ai remarqué que ses chevilles étaient attachées à une barre qui maintenait ses jambes écartés. C'était tellement bizarre que je me sentais toute excitée. C'était une sensation familière que je ressentais avec Kevin, mon petit ami, quand il me caressait, juste avant que nous ayons des relations sexuelles.

J'avais cette envie de mettre ma main dans ma culotte pour me caresser. Ma main à plat sur mon ventre, mes doigts commençaient à ouvrir mon short, indépendamment de ma volonté. Mme Mars a peut-être entendu quelque chose parce qu'elle a bougé sa tête. C'est là que j'ai vu j'ai vu qu'elle était bâillonnée par une poire d'angoisse. C'était plus fort que moi, je suis entrée dans la chambre, en restant toujours hors de son champ de vision. En m'approchant d'elle, j'ai senti ma propre humidité poisser ma petite culotte.

Cela m'a rappelé cette fois où nous nous embrassions avec ma meilleure amie. C'était censé n'être que de la pratique, car à cet âge nous n'avions pas accès aux garçons, mais au moment où nous avions fini l'entraînement, nous étions tous les deux pantelantes, effrayées par nos sentiments. Nous n'avons jamais donné suite à cette complicité, mais j'en ai gardé un souvenir fort, pendant très longtemps. Je ne pouvais pas imaginer à quel point quelque chose d'interdit pouvait être aussi excitant.

Je lui ai parlé pour la première fois : « Mme Mars, je ne vous avais jamais vue aussi belle »

Elle a sursauté en entendant ma voix, puis elle a lutté avec ses menottes pour essayer de se libérer. Malgré sa tenue et sa position, j'ai tenu à utiliser une formule courtoise pour m'adresser à elle. D'abord parce que je l'avais toujours appelée ainsi. Et puis mon éducation ne me permettait pas d'être familière avec quelqu'un qui ne me l'avait pas demandé. Enfin, c'était ce que je ressentais en la voyant.

Je savais qu'elle était proche de la fin de la quarantaine, mais je dois dire que, vue de dos, elle était bien conservée. Ses fesses et ses cuisses ne trahissaient pas son âge, même si ses hanches s'étaient élargies après avoir eu trois enfants. Mais elle avait l'air sacrément bonne. Je n'ai rien dit d'autre, je suis restée là, à la regarder lutter pour se libérer. Quelque chose dans ses mouvements m'excitait, je me sentais puissante. C'était une situation vraiment enivrante. Moi, la fille qui passait son temps plongée dans la lecture, je goûtais ce sentiment de pouvoir presque écrasant. Je n'avais jamais rien ressenti de semblable.

Je n'avais pas besoin d'humilier Mme Mars, je ne ferais jamais ça. Mais l'idée d'avoir quelqu'un totalement à ma merci était irréelle. Je m'avançais tout près d'elle, par derrière, assez près pour ressentir la chaleur de son corps. Je ne l'ai pas touchée, mais je lui ai parlé doucement, en essayant de l'apprivoiser un peu. Elle était en panique. Elle avait reconnu la voix de la copine de son fils, et elle se voyait perdue. Je ne l'avais jamais vue dans un tel état. J'ai déjà vu cette dame maîtriser des évènements inattendus, comme organiser un repas pour toute une bande de copains que son mari lui ramenait à l'improviste.

Mais elle était tellement en panique, que j'avais peur qu'elle ne se blesse : « Calmez-vous, Mme Mars, tout va bien. Je suis sérieuse, vous êtes magnifiquement belle et sexy »

J'ai tendu la main et j'ai caressé sa peau nue, très délicatement : « Je n'aurais jamais pu imaginer que je vous trouverais un jour dans cette position, et je ne peux pas m'empêcher de vous admirer » J'ai caressé son corps, ses longs cheveux blonds. Alors que je respirais sa fragrance, je suis tombée amoureuse de son parfum. Je ne pouvais pas le nommer car c'était très léger, très discret, mélangé à ses effluves corporelles. D'ailleurs, je ne me souvenais pas qu'elle ait jamais porté quoi que ce soit de distinctif. C'était aussi enivrant que le sentiment de domination que je ressentais.

Elle a essayé de dire quelque chose, mais le bâillon était efficace. Je posais mes mains sur ses hanches pour la caresser des aisselles jusqu'aux genoux. Elle a frémit et sa respiration est devenue rauque. Ce son m'a traversé le cœur. C'est alors que j'ai senti son parfum, elle devenait de plus en plus excitée. Je glissais mes mains vers ses seins pour les agripper et les manipuler. Mes mains étaient les seuls points de contact physique avec elle. J'étais un peu plus grande qu'elle, mais même si j'étais tentée de presser mon corps contre le sien, je voulais savourer le désir de l'attente.

J'avais conscience que les choses qui allaient se produire entre nous auraient un impact sur notre relation future, mais c'était dans un avenir lointain, et ce n'était pas une préoccupation urgente. La seule pensée qui occupait mon esprit à cet instant, c'était combien ses seins étaient troublants. Moi, j'ai une petite poitrine. Comme je suis plutôt mince, ça va. J'ai l'air pas mal, pour une fille dans la vingtaine. Mais les seins de Mme Mars étaient si différents des miens. Si ronds, si fermes. C'était étrange de les presser et de les sentir remplir ma paume. J'ai joué avec, et j'ai senti mes tétons durcir.

« Vous aimez mes caresses, n'est-ce pas, Mme Mars? Je sens vos mamelons durcir sous mes doigts. Dites-moi, aimez-vous? » Elle n'a rien dit d'intelligible, mais sa réaction valait tous les aveux. J'étreignais plus fort ses seins, tordant ses tétons entre mes doigts.

« Je vous ai posé une question, Mme Mars, ou dois-je vous appeler Martine? Mme Mars, cela a l'air si formel, alors que j'ai vos seins nus dans mes mains, n'est-ce pas? » Elle hocha la tête pour donner son assentiment, et elle émit un gémissement en réponse à mon traitement sur ces magnifiques seins.

« Je prendrais cela pour un oui à mes deux questions, Martine. Je pense que vous appeler Martine serait plus approprié en ce moment. Bien sûr, une fois ce petit intermède terminé, je recommencerai à vous appeler Mme Mars en public, mais je suis certaine que nous aurons une petite pensée toutes les deux pour ce délicieux moment » Je caressais son corps, ses seins, son ventre jusqu'à son pubis, ses hanches, ses fesses.

« Je serais tentée de retirer ce bâillon, mais je crains de le regretter. Quelque chose me dit que vous voudriez que j'arrête, et que je vous détache. Et je crois que je n'aurai plus jamais l'opportunité de vous tenir dans une position aussi intéressante. Mais je veux que vous le sachiez. Je sais à quel point vous êtes excitée, mais vous ne savez pas à quel point vous m'excitez en vous offrant juste comme ça »

J'écartais ses cheveux, et je me penchais pour l'embrasser dans le cou. J'avais quelques centimètres de plus, donc je ne me collais pas contre elle. « Votre mari serait-il fâché si je vous faisais un suçon? » Elle se figea en entendant ce commentaire, puis elle fit un nouveau bruit. Je ne suis pas sûre de ce qu'elle essayait de me dire, et je me suis abstenue de laisser des traces. J'avançais toujours sur un terrain hésitant, mais l'excitation ne cessait de monter. Je me suis assise sur le bord du lit pour contempler sa collection de jouets.

J'en ai reconnu plusieurs, mais quelques-uns étaient nouveaux pour moi. Le truc argenté en forme d'ampoule avec un anneau à son extrémité, c'était un plug anal. C'était intrigant, mais je n'avais pas envie de l'essayer. Je me suis demandée si elle en avait un, positionné sur elle, mais ses fesses étaient trop serrées pour que je puisse le dire d'ici. Il y avait plusieurs vibromasseurs, de formes et de tailles différentes. Et quelque chose qui m'a intriguée. Un pénis tellement long, en fait, cela ressemblait à deux pénis collés ensemble à la base. Je suppose que cette chose pouvait réjouir deux femmes en même temps.

Un autre élément était plus intéressant. J'avais vu cela sur Internet, un gode-ceinture. Lanières en cuir noir, emplacement pour insérer un gode. C'était tentant, inévitable. Je ne pouvais pas imaginer les pensées de Martine tandis qu'elle m'écoutait manipuler les jouets sur son lit. Mais la tension dans tout son être était évidente. L'excitation franchissait un autre niveau. Je pouvais voir luire son jus entre le haut de ses cuisses, parce que la barre d'espacement ne lui permettait pas de serrer ses jambes.

C'était trop envoûtant, je m'agenouillais derrière elle, et je soufflais légèrement dessus. J'ai vu sa chair de poule éclore, tandis qu'elle émettait un gargouillis incompréhensible. Son humidité s'est propagée encore plus rapidement sur ses cuisses. Sa fragrance était encore plus capiteuse. J'étais tentée de la goûter, mais j'essayais de ne pas précipiter les choses. Je n'aurais jamais osé imaginer une telle situation. Avoir en mon pouvoir la maman coquine de mon petit copain. Pour la faire mariner, je suis retournée vers le lit pour manipuler ses jouets. Je voulais calmer la fièvre que j'ai ressentie en la tourmentant.

J'ai enlevé mes chaussures, mes chaussettes, et mon short. J'ai réalisé à quel point j'étais trempée. Ma culotte en coton était pratiquement translucide. J'ai enlevé mon haut pour être aussi nue que Martine. Le contraste entre nos corps était évident, j'étais plus grande et plus mince, elle était plus petite et beaucoup plus pulpeuse. Je sentais ma culotte. Mon parfum était différent du sien, mais c'était aussi celui d'une femelle en chaleur. Je me suis demandée quelle serait sa réaction, alors j'ai posé ma culotte sous son menton. Instantanément, je l'ai vue inspirer profondément.

« Vous voyez, Martine, je ne sais pas laquelle de nous deux est la plus excitée. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai été aussi mouillée. Je me demande, si tu n'étais pas bâillonné par cet appareil, me laisserais-tu mettre ma petite culotte dégoulinante dans ta bouche, à sa place. Voudriez-vous cela? »

Elle n'a eut aucune hésitation cette fois, elle hocha rapidement la tête. J'ai installé ma culotte sur son nez en la coinçant des deux côtés dans les lanières de sa poire d'angoisse. Je l'ai entendue inhaler intensément mon arôme personnel. Pendant qu'elle se passionnait pour cela, je revenais vers le lit pour me préparer. Je ne sais pas si elle faisait encore attention à moi, alors qu'elle baignait dans ce tourbillon de phéromones. La chambre puait le sexe !

Je me tenais une fois de plus derrière elle. La tentation était grande de la laisser me voir. Mais j'ai adoré la surprendre. J'ai fait un pas en avant pour que le bout du gode-ceinture vienne heurter son cul. Elle se figea au contact. Elle ne savait pas ce que c'était exactement, mais elle devait savoir que cela ne faisait pas partie de mon corps. Le fait de pousser légèrement contre elle, faisait presser la base du gode contre moi. L'image mentale d'elle, équipée de cet instrument, et l'utilisant sur Philippe, a flashé dans mon esprit. J'ai été surprise de constaté à quel point cette image était salace, parce que je n'avais jamais pensé à Philippe de manière sexuelle auparavant. Il était plus âgé que Martine, et il était bedonnant. Si ce n'était pour s'en servir sur son mari, pourquoi posséderait-elle cet appareil?

Mes pensées impures se sont enfuies lorsque j'ai poussé le gode entre ses cuisses charnues. Je l'ai fait passer sous elle, en frottant le long de sa chatte. J'étais tellement contente d'être légèrement plus grande qu'elle. Cela a rendu l'opération facile, presque parfaite. Tandis que j'avançais lentement sous elle, je la sentis cambrer ses reins, pour tenter de m'accueillir en elle. J'ai entendu une douce musique à mes oreilles, elle geignait et gémissait dans son bâillon. J'adorais sa plainte, cela déclenchait une putain de lame de désir qui inondait ma chatte ! J'ai cru que j'allais presque jouir, juste à cause de cette plainte rauque.

Je pouvais entendre sa respiration s'accélérer, ma culotte est tombée par-terre, mais je m'en fichais, j'ai pris le gode dans ma main, je l'ai tiré le long de ses fesses, et je l'ai frotté fermement dans la fente de son cul. Elle ne portait pas de plug anal. Bien, peut-être que nous pourrons arranger cela plus tard. Pour le moment, j'avais autre chose en tête. D'un brusque soubresaut des reins, elle m'a repoussée. Je l'ai presque perdue.

J'ai perdu la tête, et j'ai pressé mon corps contre elle. Sa chaleur corporelle était incroyable. Je me demandais si elle sentait mes tétons pointus lui gratter le dos. Ils étaient assez durs pour lui laisser des marques. J'ai frotté le gode de haut en bas dans la raie de son cul plusieurs fois, son déhanchement s'est accéléré, et il est devenu légèrement saccadé. Une situation que je connaissais bien, car c'est celle qui annonce l'arrivée du plaisir.

J'ai ralenti pour changer d'angle et revenir frotter contre sa chatte. Je me suis collée fort contre elle, et mon bras a fait le tour de sa taille pour venir pétrir sa chatte. Elle était aussi humide que moi. J'ai touché le bout du gode, et c'était en fait un peu déconcertant. Mais je l'ai sentie réagir si ardemment que ce n'était pas une simulation. J'ai retiré mes doigts et je les ai sucés. Elle avait un goût divin, si différent du mien, presque fruité avec un arrière-goût légèrement amer.

J'en avais assez des préliminaires, et j'ai changé de nouveau l'angle du gode pour l'aligner sur l'entrée de sa chatte. J'ai poussé doucement et, du bout des doigts, je pouvais le sentir s'enfoncer lentement. Je n'avais aucune certitude sur la manière de procéder, alors je me suis laissée guider par mon instinct. Après l'avoir pénétrée sur une courte distance, je me suis retirée un peu, avant de pousser de nouveau en avant.

Progressivement, par à-coups successifs, je l'ai pénétrée entièrement. Chaque poussée pressait contre ma chatte l'embout du gode, et les sons qu'elle émettait me mettaient en transe. La situation était à la fois surréaliste et tellement envoûtante. Le peu de décence qu'il me restait s'effilochait rapidement pendant que je la baisais. Je l'ai baisée comme un macho baise une femelle. Il n'y avait pas d'autre moyen de le dire. J'ai baisé la mère de mon copain à grands coups de reins, et j'ai adoré chaque seconde.

Après un moment, je l'ai sentie jouir. J'ai pensé que je devais m'arrêter, mais un orgasme montait du fond de mes reins, que rien ne pouvait stopper. Martine tenait fermement la barre à laquelle elle était attachée pendant que nous baisions, aussi fort et aussi vite que j'étais capable de le faire. Je l'ai entendue rugir dans son bâillon pendant tout son orgasme, mais le martèlement du gode contre mon clitoris c'était tout ce que je pouvais vraiment ressentir. J'ai commencé à jouir, et la sensation était indescriptible.

Je n'aurais pas pu m'arrêter, même si Philippe était entré dans la pièce à ce moment-là, même s'il était avec Kevin. J'aurais été mortifiée plus tard, mais à ce moment-là, je ne m'en serais même pas souciée. Je me concentrais uniquement sur ma chatte, et l'orgasme qui secouait tout mon corps. Mon cerveau était vide de toute pensée, tous mes sens se concentrant sur cette lame de plaisir qui balayait tout.

J'ai retrouvé un peu mes esprits lorsque je me suis calmée. J'avais un phallus luisant de mouille qui pointait devant moi, bien rigide. Martine restait accrochée à sa barre, mais elle était pantelante, épuisée comme si elle venait de courir un marathon.

« Eh bien, c'était un spectacle très intéressant à regarder » a déclaré une voix dans mon dos. Je sursautais et me retournais pour voir une grande brune aux cheveux courts, sculpturale, vêtue uniquement d'un gode-ceinture.

Elle a poursuivi en entrant dans la pièce : « Martine, ma chérie, tu ne m'avais pas prévenue que tu me ferais un si charmant cadeau »

Rainett
Rainett
63 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
9 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Très excitant!!!

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Toujours pas de suite depuis 1 an déjà

Plaisirs54Plaisirs54il y a 7 mois

Très belle histoire, tant pour le scénario que pour la qualité de l’écriture, avec une chute fort prometteuse qui ne peut que nous rendre impatients d’une suite attendue.

nikaianikaiail y a environ 1 an

grand plaisir a lire cette histoire, la chute laisse présager une suite que j’espère assez rapide.... encore merci pour ces écrits

emmanuellewaldmanemmanuellewaldmanil y a plus d’un an

quel plaisir à lire et superbe chute qui me fait frémir!

Montre plus
Partagez cette Récit

récit TAGS

Histoires SIMILAIRES

Madeleine Se Réveille Madeleine tente de Faire de son mari un sex-toy sans limites.
Casinothérapie 01 : Le Démon Du Jeu du démon du jeu aux démons du sexe
Les Expatriés – Robert et Sarah L'afrique équatoriale et libertine.
Une Jeune Étudiante Se Dévergonde 01 Etudiante, Florence trouve une colocation.
Mes 2 Voisines 01 Nathie découvre le vrai visage de ses 2 voisines.
Plus d'histoires