Une Passion Inattendue Ch. 11

Informations sur Récit
La vie à 3 s'organise avec yara et nala.
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/17/2022
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J'ai un peu de mal à suivre l'intrigue de ma série, que je regarde sur ma tablette. J'ai l'esprit occupé par les décisions que je vais annoncer à mes deux chiennes, toute remplie que je suis de leurs attentions respectives. J'aime de plus en plus leur infliger des contraintes et sévices en miroir, même si Nala est ma compagne et Yara mon animal de compagnie. Ils se rejoignent alors dans leur offrande.

Là ils sont tous les deux remplis du même gode impressionnant, qu'aucun des deux n'aurait imaginé pouvoir avaler. Plus de 30 centimètres en eux, maintenu par une ceinture en acier pour qu'il ne bouge pas malgré ses 8 centimètres de diamètre. Un vrai monstre, contraint par leur corset lui aussi très serré. Nala est confinée à une taille 30 qui m'affole de désir, le pauvre Yara peine avec un 36 qui l'empêche pourtant de respirer! Les deux ont les bras retournés dans le dos, les coudes se touchant, projetant leur poitrine en avant. Les deux ont également des pinces japonaises lestées sur leur téton. Ceux de Nala sont plus sensibles mais je veille toujours à ce que mon amour pour elle ne transparaisse pas trop, aussi elle porte comme yara 1 kg sur chaque téton, provoquant chez elle un gémissement constant, des mots d'amour, des supplications de la prendre plus encore, l'expression de sa douleur et de son offrande. Un flot continu de parole tandis qu'elle est ligotée sur la chaise à mes côtés.

Yara lui est allongé entre mes cuisses, la tête douloureusement relevée pour me prodiguer un cunnilingus sans fin. Ses tétons sont, pour l'instant, ménagés. Sous les draps depuis une bonne heure, les pieds attachés aux mains dans son dos, il doit souffrir mille mort tout de même, et surtout il ne doit pas pas me le faire sentir dans une langue que j'exige agile, précise et douce. Il sait parfaitement le faire maintenant. Il a interdiction de me faire jouir, et doit donc faire attention de varier ses attouchements pour me procurer du plaisir sans aller trop loin! Mon dieu que je suis bien! Il me manque juste un serviteur pour me remplir mon verre de vin. Je me demande parfois si cela ne serait pas une bonne idée, d'avoir un soumis sans aucune importance à exploiter de cette façon? Mais je sais qu'il y a toujours un prix à payer, je ne me fais pas d'illusion. Et j'ai deux perles que j'aime, dont l'une plus que ma vie! Il est maintenant temps d'avancer et de passer à une phase plus mature de notre relation.

Mes deux chiennes sont maintenant assises l'une à côté de l'autre, gémissante, puisque Yara a été mise dans la même situation que Nala. Je leur interdis de faire du bruit, et je prends un plaisir à me perdre dans les yeux de chacune des deux, qui m'offre ainsi sa souffrance silencieuse.

- Mes petites chiennes, il est temps maintenant de passer à une nouvelle étape de notre vie à trois. Vous avez fait de moi une Maîtresse toute puissante, vous avez voulu que je prenne les rennes de votre vie, que je vous contrôle et décide de tout pour vous. Aussi notre vie va prendre un nouveau tournant tel que je le désire moi, et votre réaction ou accord n'a aucune importance.

- Pour commencer, sachez que si je suis très heureuse de la situation, il y a encore beaucoup à faire pour ce que j'imagine être ma vie et me place et vous avez chacun de vous beaucoup à travailler pour m'apporter la satisfaction que je mérite. Je suis là pour vous guider et vous corriger, vous le savez.

- Le premier point c'est que je veux que vous soyez pleinement à mon service et non au service d'autre chose, à l'extérieur, à rendre des comptes à d'autres personnes. Cela me devient insupportable. Aussi la première décision évidente, que j'ai bien trop tardé à prendre, est que Yara soit chienne à domicile à temps plein. Ainsi demain tu vas donner ta démission, faire les trois mois règlementaires et tu n'auras alors plus aucune vie sociale à l'extérieur. Tu seras pleinement à mon service.

- Je vois à ton regard que tu comprends et attendais cette évolution n'est ce pas? Cela n'a aucun sens que tu partes travailler.

- Sache que j'ai convenu avec notre chère femme de ménage, ou gouvernante, qu'elle va te former à toutes les taches de la maison. Tu auras un mois pour tout assimiler. Ensuite je prendrai le relais pour te former à un service d'esclavage de luxe, que tu te comportes à chaque instant exactement de la façon que je veux. Cela prendra le temps qu'il faudra, les punitions et incitations qu'il faudra, mais tu arriveras à exécuter un travail impeccable à chaque instant. Je te veux à la fois en pleine dévotion, en pleine concentration, et en pleine terreur de fauter.

- Et n'oublie pas que si Nala est ma chienne, elle t'est largement supérieure et tu lui dois un service, une dévotion, et une obéissance aussi importante qu'à moi.

- Notre gouvernante nous quitte dans 4 mois, elle te remercie pour son golden parachute de deux ans, et va en profiter pour revenir au pays.

Je marque un temps d'arrêt pour sentir l'effet sur mes deux chiennes. Je sais bien qu'en cet instant, les mots entrent à peine dans leur cerveau, saturé de souffrance et d'envie de jouissance. Surtout chez Yara complètement stérile depuis si longtemps. Je sens néanmoins un désir d'exprimer son abandon et son envie de moi, de se jeter à mes pieds. Et pourtant je lui fais perdre toute place sociale pour le mettre au plus bas de l'échelle. Cela me donne très envie de jouir. Il n'imagine pas mon exigence dans ce que je vais attendre de lui, de me deviner, de me sentir, de savoir s'éclipser. Je veux le faire devenir totalement transparent, comme une troisième main, toujours disponible. J'ai une bouffée de sadisme à cet instant, je tire sur ses tétons qui se tendent de façon folle, ses gémissements sont des cris, il me supplie, me promet un amour ineffable, voudrait lécher le sol que j'ai foulé, il part dans un délire que j'attise sans jamais soulager ses tétons au contraire.

Ce que j'apprends sur moi c'es que le sadisme appelle le sadisme. Nala me regarde intensément, elle me connaît et se doute que cela ne va pas en rester là. D'une main je tire sur les pinces qui serrent les tétons (et avec les anneaux c'est encore plus douloureux), et avec l'autre je saisis ses couilles violacées à force d'être étirées. Elles sont dures, compactes, affreusement sensible. Mes ongles s'enfoncent progressivement, je vois son regard chavirer, son hurlement devenir rauque. Je les presse comme si je voulais les faire exploser, en fait j'aimerais, mais je ne pourrais plus jouer avec.

Quand enfin je le relâche, il tombe comme une poupée inanimée, tandis que le lit sous mes fesses est inondé, j'ai joui de cette torture épouvantable. Je me caresse pour faire durer l'orgasme, en reprenant cette fois-ci sur un ton plus extrême.

- Dieu merci tu n'es pas un vrai mâle, tu l'as bien senti en me demandant de te prendre comme esclave. Pas une femme non plus, ce serait tellement prétentieux! Tu es juste une femelle, et je me demande qu'est-ce que je vais faire de tes attributs mâle (je sens une inquiétude dans son regard)

- Oui ce serait très jouissif de te faire couper complètement, mais alors je ne pourrais plus te torturer, et surtout ton excitation permanente ne serait plus là, je crois que j'aurais beaucoup à perdre.

- Alors voilà, je me demande si je ne vais pas faire de toi un animal hybride, ni homme, ni femme. Tu serais très sexy avec une peau bien douce et une poitrine aussi grosse que possible. J'adorerais que tu puisse avoir la même que le mienne, il faut que je regarde comment faire cela. Et te mettre des hormones, pour te rendre plus douce, moins poilues, tu vois? Toute émotive. J'ai tellement envie de te faire ramper encore et encore.

Je prends un écrase couille, deux planches qui se serrent avec des vis, où je coince les deux testicules de ma femelle. Fiévreuse, je serre comme jamais, elles sont écrasées malgré la pression des poids dessus, ma femelle gémit d'une voix stridente. Je la regarde, je lui demande si elle m'offre encore deux tours de vis, les pupilles se dilatent, la tête fait oui. Comment pourrait il refuser. Les couilles sont écrasées, les planches se rejoignent, la douleur est sans doute atroce.

- Et toi ma Nala, à toi le tour.

- Je ne veux pas que tu arrêtes tout ton travail, tu es trop douée et je t'admire pour cela. Mais tu vas fortement le réduire en passant à ton compte, que tu bosses de la maison, à mes pieds et à ma disposition.

- Si Yara doit être encore et encore transformée, toi tu es simplement parfaite, je n'ai pas envie de plus te modifier. Ah et Yara portera le collier en permanence et je vais le sceller de façon définitive, ainsi il n'y aura plus lieu à discussion. Toi Nala, non, ce sera quand j'ai envie, comme j'ai envie, mais je souhaite que tu aies un peu d'activité, sentir que tu as encore une part de vie en dehors de notre cercle.

- Mais cela ne veut pas dire que je n'ai pas de projet.

- J'ai envie de faire de toi une salope. La pire des salopes qu'on puisse imaginer. Pas une salope à mecs, non quelle horreur, mais une salope à lesbienne, pour toutes les lesbiennes, qu'elles puissent tout imaginer et tout vivre avec toi. Et que tu t'offres comme si c'était moi, que tu m'excites dans ta dépravation.

- Quand tu seras pleinement dépravée, si je sens vraiment que c'est ta vie, alors tu pourras arrêter ton travail et ne te consacrer qu'à moi et la satisfaction de mes désirs pervers.

Les gémissements de Nala ont changé de ton, je sais bien que là elle a envie de jouir. J'approche ma main, son sexe est vide, dégoulinant, tout ouvert. Il ne faut que quelques secondes pour qu'elle explose dans un orgasme bruyant qui ne fait que renforcer la frustration de Yara incapable même de bander. Je ne manque pas de l'humilier à ce sujet.

Le regarde de Nala est mouillé, implorant, elle a encore envie de jouir, sans s'arrêter. Peut être tout à l'heure. Car je n'ai pas fini.

- Mes chiennes, nous allons aussi agrandir notre cercle. (je les vois retenir leur souffle), je voudrais que nala et moi nous ayons un enfant. Que nous fassions une famille. Peut-être étrange, transgressive, hors norme. Nous trouverons comment faire, je n'ai aucune inquiétude. Nous allons créer notre vie, notre rythme et les enfants les plus heureux de la terre. En les préservant évidemment de notre sexualité déviante. La votre surtout, car avant que vous ne vous donniez à moi, je n'étais qu'une jeune femme bien sage!

Evidemment ils sont un peu décontenancés. Et mes mots sont vrais. Cela m'est complètement égal ce qu'ils peuvent en penser. Je laisse Yara méditer sur sa chaise pour la nuit, tandis que je détache Nala, j'ai terriblement envie de faire l'amour avec elle. Je la libère de toutes ses contraintes, l'envoie se vider et dénouer son corset, j'ai envie de son corps, lisse et doux, sans contrainte, totalement offerte. Quand elle vient se glisser sous les draps, elle est fraîche, et se colle contre moi, nos bouches se trouvent tout de suite, sa main vient presque brutalement prendre possession de mon vagin. L'autre main prend mes deux poignets, je la laisse faire, c'est elle qui est remplie d'une rage de désir, qui veut me posséder, cela m'excite tant, je coule, j'ondule, j'ai très envie de jouir, mais elle fait retarder le plaisir. Ses yeux pétillent, elle adore prendre la moindre once de pouvoir que je lui laisse, et ce soir cela m'excite terriblement après avoir ainsi décidé de leur avenir.

Ses lèvres dans mon cou, elle me fait me retourner sur le ventre, les bras tendus devant moi, elle enlève le drap pour découvrir tout mon corps nu sou la couette. Yara n'en perd pas une miette. Nala saisi le gode qu'elle avait en elle il y a quelques minutes, l'enduit de silicone et le présente à mon cul offert. Je me relève moins pour protester que pour lui permettre de marquer son autorité par une fessée appuyée que j'adore, faussement matée, je me laisse faire. Elle appuie fort, très fort, m'ouvre en deux, je halète, j'essaie de m'offrir, il est vraiment énorme. Et dire qu'ils l'ont porté pendant plusieurs heures et que Yara va dormir dessus! Il bute au fond, mais Nala continue, le fait tourner, pousse, je sens mon intestin qui cède, l'objet rentre totalement en moi. Je supplie de pouvoir jouir mais Nala fait durer le plaisir, en faisant coulisser le monstre en moi. C'en est trop le frottement du drap suffit et je hurle mon orgasme qui n'en fini pas et qui macule les draps de mon éjaculation.

Nala est un peu anxieuse une fois l'acmé passé, mon sourire la rassure immédiatement. Je la cale sur moi, j'adore sentir son poids, ses seins contre moi, ses fesses au creux de ma main. Je lui dis des mots d'amour que seule elle peut recevoir, j'ai tellement l'envie qu'elle se fonde en moi!

C'est une nouvelle relation qui s'établit entre nous 3. Je n'aurais pu aller si loin avec Yara sans la présence de Nala. Parce que je me serais sentie très seule, et que cela aurait alors eu peu de sens, cela m'aurait coûté bien trop de joie de vivre. Cette joie de vivre qui s'épanouit comme jamais avec elle! Yara s'est livrée de façon pleinement consentante à moi, sans limite et sans tabou. Je n'en avais finalement pas tant profité que cela, puisque j'avais toujours ce besoin de complicité, d'empathie aussi pour ressentir ce qu'il pouvait vivre, et surtout m'inquiéter si cela lui convenait vraiment. De ce jour ces sentiments ont laissé place à une froide résolution d'aller jusqu'au bout de notre relation Maîtresse esclave. C'est fou comme changer d'état d'esprit peut avoir comme bouleversement. Tout est lu et interprété différemment.

Et donc de rompre un lien, ce lien particulier entre nous fait d'affection et de respect que je pouvais avoir, et de le remplacer par un sentiment d'absolue possession et d'objectisation de Yara. Sans me préoccuper plus une seule seconde de ses ressentis, sensations ou ses émotions. Je suis évidemment convaincue que cela ne peut que développer si c'est possible sa dévotion et son obéissance aveugle. Maintenant je veux le façonner exactement à mes attentes, avec celles de Nala qui est entrée dans le jeu et qui n'est pas la dernière à prendre plaisir à ainsi le dresser. Pour notre plaisir et notre bonheur à toutes les deux.

La période en attendant la fin de son contrat de travail a été un peu frustrante, il m'a fallu attendre pour me lâcher complètement. Mais je le faisais prendre des cours denses avec notre gouvernante, qui m'a toujours adulée et trouvait cela tellement amusant de voir son ancien patron, un homme, prendre son relais. Il n'y eut finalement pas de besoin de recouvrement, et c'est avec émotion que je lui souhaitais bonne chance et bonne route. Yara était maintenant toute à moi. Toute, car je ne la vois plus que comme une femelle, ma chienne, mon objet servile.

La dimension domestique occupe désormais une grande partie de sa journée. Levé le matin à 4 heures pour tout préparer, ranger si nécessaire, sortir acheter notre petit déjeuner à Nala et moi et que tout soit prêt à notre réveil. C'est aussi le temps pour certaines taches administratives que je lui confie. Nous traînons souvent au lit avec Nala, j'adore les câlins du matin, et sous le regard plein de dévotion de Yara c'est encore plus excitant. Nala est d'une sensualité sans nom et devient vraiment la salope que je veux faire d'elle. Yara a droit à notre miction du matin, et il n'arrive qu'exceptionnellement qu'il ait autre chose à boire dans sa gamelle.

Toutes nos affaires sont toujours propres, repassées et disponibles par notre fée du logis et c'est un plaisir particulier que j'ai le matin d'essayer plusieurs tenues avant de m'en fixer sur une, laissant tout en chaos derrière mois et sachant que dans quelques minutes tout sera parfaitement plié et rangé. Je fixe le programme de mes deux chiennes alors, ne laissant à Nala que quelques heures de travail. Yara porte maintenant un collier définitif, inratable, je ne lui permets un foulard que lorsque nous risquons de trop choquer.

Je prends du plaisir avant de partir travailler à inspecter son corps que je veux impeccable, il doit faire beaucoup de sport pour qu'il soit un magnifique esclave dont je sois fière. Je vérifie chaque jour l'état de tension de ses couilles pour voir si je peux ou non rajouter un anneau, je n'ai aucune limite à ce que je voudrais en faire. C'est une sensation si délicieuse de le sentir ainsi prisonnier, souffrant en continu de cet attribut qui rend les hommes si dingues et dangereux. En bonne femelle, il vit pluggué, et n'a le droit que de se soulager une fois chaque matin, lorsqu'il fait son lavement profond. Il s'habitue, aussi je n'hésite pas à passer à la taille supérieure quand c'est nécessaire. Mais là cela fait longtemps qu'il souffre et ne semble pas trop s'élargir. Peut-être une limite physiologique? Sans doute quelques heures à la fuck machine devrait faire lâcher cette résistance.

Ce matin je caresse ses tétons très développés avec les anneaux de 10 mm qui les traverse. Avec le collier cela ne laisse pas de doute qu'il est un esclave. Mais je le trouve trop viril. Sans doute j'ai une part de responsabilité en lui faisant faire autant de sport, mais l'envie de lui greffer une énorme poitrine m'envahit de plus en plus. Sa mission aujourd'hui sera de trouver un chirurgien renommé capable de faire cela, et de prendre rendez vous pour nous deux. Malgré tous ses efforts, ses pectoraux pendent un peu, et je me dis que c'est l'occasion d'en faire quelque chose!

Je l'allonge sur le dos, et je viens m'empaler sur ses couilles étirées qui font presque 18 cm maintenant, un bien beau gode. Le plus plaisant c'est de voir la souffrance que cela provoque chez lui, tandis que je me laisse tomber encore et encore sur cet olisbo très original, et finalement très épais. La sensation d'être remplie est délicieuse, et l'idée de le voir avec une lourde poitrine me fait décoller au ciel. Nala se caresse discrètement à mes côtés et je lui ordonne de venir écraser la tête de yara avec son sexe. Il doit être aux anges, nous nous embrassons passionnément. Je suis en retard à mon travail.

Je suis convoquée, ou plutôt invitée dans le bureau du directeur général, que je ne vois guère habituellement. C'est dans un coin de la tour, avec une vue somptueuse sur la Seine. Nous nous installons sur les canapés dans le coin salon, et il m'interroge gentiment sur ma satisfaction actuelle, qui est grande, car j'animé le réseau Europe et Moyen Orient des chargées RH concernant la formation et le suivi des personnes à potentiel. J'attends que l'objet de l'entretien soit sur la table, me convaincant que les rumeurs à l'étage n'étaient finalement pas dénuées de fondement.

- Si je vous ai demandé de venir aujourd'hui c'est parce que je voudrais vous proposer le poste de Rose qui va nous quitter dans deux mois. Vous êtes un élément de valeur dans notre entreprise, vous nous apportez beaucoup et je serais heureux de vous compter dans mon comité exécutif en tant que notre nouvelle DRH. Qu'en pensez-vous?

- (Je prends mon temps pour répondre, heureusement que j'ai eu le temps d'y réfléchir. Mais là de but en blanc, je ne sais comment tourner les choses. Je sais juste que je veux refuser) Je suis très flattée que vous ayez pensé à moi. Cependant je ne suis pas prête à prendre cette responsabilité.

- Si nous vous le proposons, nous c'est le comité exécutif, c'est que nous pensons que vous l'êtes.

- Une fois encore je vous remercie de votre confiance, et que vous ayez détecté cette capacité chez moi, mais, pour m'exprimer différemment, je ne le souhaite pas à ce stade de ma vie. Je suis pleinement heureuse dans ce que je fais, je crois assez compétente et appréciée de tous. Et je ne souhaite pas basculer de l'autre côté. (Voilà il ne fallait pas que je dise cela!)

- De l'autre côté? Que voulez-vous dire?

- Du côté des cadres dirigeants.

- Vous me surprenez, j'aurais cru que vous aviez l'ambition de progresser.

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