Rose La Lesbienne

Mon amie Sandrine me demande de venir la voir, elle me dit que ses parents sont absents ainsi nous serons tranquilles pour papoter et regarder des films qui nous plaisent.

Je sais qu'en parlant de films elle pense "porno".

Arrivée chez elle je suis surprise en constatant qu'elle n'est pas seule contrairement à ce qui était prévu.

Elle me présente sa cousine Rose plus âgée que nous, blonde au physique agréable avec des petits seins et de belles fesses.

Nous parlons beaucoup en buvant de l'orangeade.

Rose s'est assise à coté de moi sur le canapé.

Si ma robe courte laisse entrevoir mes cuisses elle n'est pas en reste et Sandrine assise en face d'elle sur un fauteuil doit avoir une belle vue sur sa culotte.

Rose est très gentille et me sourit beaucoup, elle a tendance a se coller à moi.

Quand elle me parle sa main droite vient se poser sur ma cuisse ou mon genou. Je suis gênée et cela me procure des sensations.

Bien que son comportement me semble bizarre je ne me formalise pas trop de son attitude.

Avant de nous quitter Rose nous invite à lui rendre visite le surlendemain. Sandrine est d'accord et insiste pour que je vienne aussi. J'acquiesce.

Nous nous quittons, comme d'habitude j'embrasse Sandrine sur les joues, Rose s'approche de moi pour me faire la bise.

Ses lèvres ont tendance à déraper vers ma bouche, en même temps elle se colle à moi et ses mains se promènent discrètement sur mes seins.

En partant Rose me dit:

- après demain 14 heures, je compte sur toi Aude, tu verras on ne va pas s'ennuyer -

Que veut t'elle dire, qu'à t'elle prévu ???.

Le jour fixé j'arrive juste à l'heure chez Rose.

Elle m'ouvre, elle passe ses bras autour de ma taille et m'embrasse tout en se frottant contre moi.

Son attitude est bizarre et me met mal à l'aise.

Stupeur Sandrine n'est pas là, j'apprends qu'elle a un imprévu et ne viendra pas.

Rose occupe un deux pièces très bien meublé et décoré.

Un canapé est installé coté fenêtre, je m'assois dessus.

Rose nous sert des gâteaux et du jus de fruits.

Elle vient s'asseoir près de moi et en parlant passe un bras sur mes épaules.

Après avoir échangé quelques banalités c'est surtout elle qui parle et c'est de moi.

- je vois que Sandrine disait vrai, tu es une belle femme avec un beau petit cul et quelle poitrine, si je pouvais en avoir une comme toi -

Sans gêne elle déboutonne son chemisier, écarte les pans.

- regarde les miens ils sont petits -

Elle n'a pas de soutien-gorge et je vois ses seins pas très volumineux mais bien faits avec les tétons dressés.

Je ne sais que répondre et dis simplement.

- ce n'est pas la grosseur qui compte, parfois les miens sont encombrants -

Elle enlève son chemisier qui atterrit sur la moquette.

Je réalise que mes doutes étaient fondés et que cette invitation était un piège et aussi que Sandrine est certainement complice.

Rose est lesbienne comme je le pressentais.

Que vais je faire: partir, si je reste je suis bonne pour une partie de Jambes en l'air.

Je n'ai jamais fait ça avec une femme.

Je décide de rester et de voir la suite, si je ne peux pas supporter je partirais.

Rose passe ses bras autour de mon cou, ses lèvres cherchent les miennes, sa langue s'insinue dans ma bouche et cherche la mienne.

Je réponds à son baiser qui est long et passionné en mêlent ma langue à la sienne.

Ses lèvres me paraissent douces tout comme ses baisers bien que cela me fasse drôle d'embrasser une femme ce que je ne me serais pas cru capable de faire.

Elle caresse mon corps, déboutonne mon corsage, déplace mon soutien-gorge et caresse mes seins.

- c'est beau et doux, je vais les manger -

Sa bouche se déplace de sein en sein en les embrassant puis ses lèvres et ses dents agressent les tétons.

Les envies commencent à tenailler mon ventre.

Rose me demande de me lever et me déshabille tout en caressant mon corps. Mon corsage, ma jupe, mon soutien-gorge et mon string gisent sur le sol.

Agissant comme une automate j'obéis et la laisse faire.

Ensuite elle finit de se déshabiller, sa jupe rejoint mes habits, je peux constater qu'elle ne portait pas de sous-vêtements.

Elle contemple mon corps et passe la main sur mes parties intimes.

- tu es déjà bien mouillée -

Elle se penche sur moi et s'acharne avec sa bouche, sa langue et ses dents sur mes seins et mes tétons. Je retiens mes gémissements.

Ses lèvres descendent sur mon ventre, elle se met a genoux et m'oblige a écarter les cuisses. Sa langue fouille ma chatte, je commence à gémir.

Rose se relève, me prend par la main m'obligeant à me lever moi aussi.

- viens, ce n'est pas confortable ici -

Elle m'emmène dans sa chambre.

Bien en évidence sur la table de chevet il y a des godes et des vibromasseurs.

Elle me couche sur le lit et se met à l'inverse de moi.

Sa bouche est sur mon ventre puis sur mon intimité.

Sa langue fouille ma chatte pendant que des doigts masturbent mon clitoris.

Désinhibée je me décide à participer.

J' embrasse son ventre, ses cuisses et je caresse tout ce que mes mains peuvent atteindre de son corps.

Mes mains écartent les lèvres de son vagin et ma langue pénètre dedans et se met en mouvement.

Pas désagréable le goût et l'odeur de sa chatte.

Copiant sur elle je lèche son anus puis reviens à sa chatte.

Sous l'effet de ses mains et ses doigts qui masturbent mon vagin et mon clitoris je commence à remuer et à crier.

Une de mes mains masturbe son clitoris qui est très proéminent, les doigts de l'autre main fouillent sa chatte et son anus.

Rose commence à gémir.

Nous continuons à nous caresser et masturber longuement et frénétiquement, c'est maintenant un concert de gémissements et de cris.

Nos corps se déplacent sur le lit dans des mouvements incontrôlés.

Notre étreinte prolongée et ce que chacune fait subir à l'autre finit par apporter le résultat recherché.

Je suis la première à jouir, elle me suit quelques minutes après, nous continuons ce que nous avons entrepris.

Elle en est à sa deuxième jouissance et moi à la troisième quand elle vient se coucher contre moi mettant sa tête près de le mienne.

Nous récupérons un peu, je commence à être dans le brouillard.

Rose prend un gode, l'enduit de produit certainement pour favoriser la glisse.

Elle me demande de relever et de bien écarter mes jambes puis elle met du produit sur un de ses doigts qu'elle introduit dans mon anus.

Une fois qu'un doigt puis deux ont bien fouillé dans mon cul elle se positionne à genoux sur moi, les jambes de chaque coté de mon corps en me tournant le dos.

Elle présente le gode a l'entrée de mon vagin et d'une poussée me pénètre. Les va et vient de la queue de substitution commencent pendant que je caresse ses fesses et sa chatte, j'introduis un doigt dans son anus et le masturbe.

Le plaisir s'amplifie vite dans mon ventre et je crie de plus en plus pendant que Rose s'acharne avec le gode dans mon intimité.

Elle arrive à ce qu'elle voulait, j'ai un orgasme et le corps secoué par des spasmes du liquide jaillit de mon vagin.

Je n'ai pas le temps de récupérer que le gode sort de ma chatte et vient se placer contre mon anus, Rose exerce une poussée continue et je sens l'engin s'enfoncer en moi.

Je crie fort et mon corps se soulève.

Elle me défonce le cul avec le gode pendant que sa main libre masturbe mon clitoris.

Je jouis plusieurs fois arrosant les draps de cyprine et je suis dans un état second. Comme d'habitude les jouissances multiples ont raison de ma lucidité.

En attendant que je refasse surface Rose m'embrasse et me caresse les seins.

Elle est contente et me sourit.

- tu es une grande jouisseuse, je n'en reviens pas -

Un peu remise je lui propose de m'occuper d'elle avec le gode, elle refuse.

- je ne supporte pas la pénétration que ce soit d'un pénis ou d'un objet -

Je lui demande ce que je peux faire pour lui donner du plaisir.

- rien, je dois rencontrer mon amie dans quelques heures et je dois ètre fraîche pour faire l'amour avec elle -

Elle reste discrète sur sa liaison pour éviter les commérages et éviter d'être montrée du doigt.

Nous allons dans la salon, nous nous rhabillons et buvons un verre en parlant.

- quand je t'ai vue chez Sandrine j'ai su que tu n'es pas lesbienne mais que tu ne refuserais pas de faire l'expérience. Je sens ces choses là -

Elle espère me revoir rapidement envisageant de continuer à avoir des relations intimes avec moi persuadée que je suis une bisexuelle qui s'ignore.

Je ne dis rien et ne la détrompe pas mais je sais que je ne le referais pas, j'aime mieux le pénis d'un homme.

Nous nous embrassons longuement, nos langues se mêlent. Troublée par ce qui vient de se passer je la quitte en lui disant à bientôt.