Une Passion Inattendue Ch. 05-06

BÊTA PUBLIQUE

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6.

[SMS François]

Je suis vraiment désolé ma Déesse, ce matin c'était impossible de partir ainsi, j'étais bien trop affolé par toi et je me suis soulagé, malgré ton interdiction. Je suis vraiment désolé. Je suis prêt à tout pour toi.

Ce message n'est pas une surprise, je savais bien qu'il allait craquer. Pourtant je suis furieuse. Folle furieuse même. C'est étrange. J'ai tout fait pour que la situation se déroule ainsi, mais j'espérais que François tiendrait quand même bien plus longtemps. 4 jours. Franchement. A relire son message mon énervement ne fait que grandir, pourquoi me dire qu'il est prêt à tout et ne pas être capable de se retenir et de m'obéir. J'hésite sur la conduite à tenir. De toute façon ne pas lui répondre. Mais je me demande si je rentre ce soir ou si je le laisse poireauter quelques jours. Le risque étant qu'il franchisse la ligne rouge et vienne me voir au bureau fou de souffrance de la séparation.

Les sms s'enchaînent maintenant, de plus en plus pitoyables et me promettant de plus en plus de choses. Il me supplie maintenant de lui répondre, de le punir comme je le voudrais et qu'il est tout à moi. La probabilité qu'il arrive tout seul sur une cage ou une ceinture de chasteté reste assez faible, il est loin de cet univers, tout comme je l'étais il y a quelques semaines. C'est amusant comme des mondes parallèles peuvent exister sans que nous puissions en avoir conscience, et parfois juste à côté de nous. Peut être plusieurs mecs sont en cage dans la tour, qui sait?

Je lui demande de m'attendre nu et à genoux dans l'entrée à partir de 20h, que s'il n'est pas ainsi quand je rentre, je repars avec ma valise. Je lui précise à quel point je suis déçue. A 23h j'ouvre la porte sans avoir fait de bruit ni même déclenché la minuterie, je veux le surprendre. Je soupire en le voyant comme demandé, la mine épuisée, mais soulagé que je sois là. Il se précipite pour embrasser mes chaussures. Je ne comprends pas trop ces gestes qui semblent répandus dans les pratiques D/s, moi je fais quoi pendant qu'il embrasse mes chaussures? Je lui donne un petit coup de pied pour me dégager. Je lui demande de reprendre sa position, les cuisses écartées. Ma voix est froide, je me surprends. La fureur est toujours là.

Le temps de poser mes affaires et sans qu'il n'ai pu le prévoir je lui décoche un monumental coup de pied dans les couilles. Il hurle, plus de peur que de douleur, enfin je crois, s'effondre à terre. Je lui indique que pour commencer, ce sera 10 coups dans les couilles, après il va falloir qu'on discute. Je lui demande s'il est d'accord. Son ton plaintif me ravit, il se remet en position, mes coups sont plus ajustés, plus douloureux sans aucun doute. Je le sens qui cherche sa respiration, moi je me calme par magie, je mouille, j'adore infiniment ce pouvoir que j'ai sur lui. J'en jouis tellement que je double le nombre, à sa grande consternation. J'aime cette cruauté, pouvoir être injuste. L'abus n'est-il pas l'essence du pouvoir? J'essaie de viser le plus juste. Je me dis que la prochaine fois je les lierai à la base pour qu'elles soient plus tendues et offertes. Sans surprise son sexe est dur comme l'acier.

Je lui demande de se coucher sur le dos, il gémit, a du mal à bouger. Son sexe est entre ses cuisses que j'écarte du pied, avant de marcher dessus, de tout mon poids. Je sais que ce n'est pas si douloureux. Puis j'appuie avec la pointe sur une couille, il hurle, je continue même s'il bouge. Je lui ordonne de s'offrir, il se calme, j'appuie encore plus, la couille est aplatie. Je fais la même chose avec la seconde, en équilibre sur ses deux couilles, si je me penche en avant je les fais éclater je pense, il le sent, gémis terriblement, son sexe encore plus gonflé qu'à l'habitude. Il est énorme, tout violet, je ne l'ai jamais vu ainsi. Je fais durer pour qu'il s'en souvienne. Je regarde ma montre, je calcule 5 minutes, les 5 minutes les plus longues de sa vie. Quand je me penche en avant il halète, puis hurle, et respire quand je reprends un peu mon équilibre.

Je n'avais rien pensé de tout cela, c'est en le voyant ainsi offert que cela m'a donné envie. C'est quelque chose de nouveau en moi. A la fois cette fureur d'avoir été désobéie, mais aussi cette cruauté sans aucun état d'âme. Ses cris et ses pleurs m'excitent et je n'ai aucune empathie. Au contraire, cela me donne encor eplus envie de continuer et d'aller plus loin.

Je me penche un peu plus en avant, les couilles sont écrasées comme jamais, il ne bouge plus, je crois qu'un malaise vagal l'a sauvé des pires tourments. Je le laisse ainsi et vais prendre une douche dans ma chambre. Oui ma chambre, je me la suis pleinement appropriée et il arrive très souvent que je l'envoie dormir à côté, soit que j'ai envie d'être tranquille, comme pour lire des livres sur la domination, ou bien passer la nuit avec Alice qui reste parfois dormir dans une soirée pyjamas entre filles. Je vais prendre une douche, je me sens puissante et forte. Je commence à ressentir toute cette adrénaline de la domination, cette jouissance de la possession, je me sens si bien. Sans rien perdre de la situation. Je prends une longue douche sans me soucier de François, profitant de l'eau brûlante, me lavant les cheveux. Je me mets en nuisette et shorty blanc curieuse de savoir comment je vais retrouver mon homme.

Evidemment il n'est pas allongé mort dans l'entrée, mais à genoux dans le salon, la tête et les épaules baissées, les mains dans le dos, je le sens particulièrement contrit. Je m'assois sur le canapé à côté de lui, caressant ses cheveux. C'est tellement excitant qu'il m'attende ainsi. Si ce n'était la situation je me ferais jouir en le regardant ainsi. Mais bon, j'ai du boulot!

-Bien alors où en sommes nous?

-Je suis désolé ma Reine, il me répond avec plein d'humilité.

-Oui tu peux l'être cela est certain. C'est aussi bien pathétique que lamentable. Que tu ne sois même pas capable de rester chaste quelques jours pour moi.

-Je...

-Non ne dit rien, c'est moi qui parle. Je comprends que malgré tes airs doux et attentionné tu es exactement comme tous les mecs, et que tout passe par ta bite.

-Non, je ...

-Je t'ai dit de ne pas m'interrompre, tu parleras quand je te le dirai. C'est compris?

-Oui ma Déesse.

-Bien. Tu n'imagines pas comme je suis déçue. Tu e sun queutard comme les autres, juste plus bizarre ou plus retors pour me mettre dans ta vie, mais il n'y a que le sexe qui t'intéresse. Je me suis vraiment demandée si j'allais rentrer ici cette nuit. Franchement ce n'est pas un mec comme cela avec qui j'ai envie de vivre! Je me sens d'autant plus trahie, que tu ne cesses de me répéter que tu es tout à moi, que tu feras tout pour moi, et à ma première demande, pffft, il n'y a plus personne. Je comprends que tout cela ne sont que des mots et qu'en fait ce que tu veux c'est jouir avec moi et faire ce que tu veux. Est-ce cela dont tu as envie? Une vie de couple où tu me trompes en cachette dans les toilettes pour commencer?

-Oh non ma Déesse, non pas du tout, je te l'ai dit je suis sincère.

-Tellement sincère que tu craques au bout de 4 jours!

-Oui tu as raison, j'ai besoin de toi, je suis faible. C'est pour cela que j'ai besoin de toi ma Déesse.

-Ah oui, tu as besoin de moi pour quoi donc?

-Pour vivre à ma place ma Reine, te servir, te combler, mais aussi t'obéir et être comme tu le veux.

-J'ai envie de cette vie où tu me serves et m'obéis, mais je ne suis pas certaine que tu en sois capable. Et moi contrairement à toi je n'en ai pas besoin, juste envie. Si tu ne peux pas, tant pis, je n'ai pas besoin de toi.

Je sens ses épaules s'abaisser, le coup est rude. Je ne l'avais pas prémédité non plus, mais ce n'est que la vérité et il le sait parfaitement. Simplement dit dans des mots crus, cela fait très mal. Et là il est désemparé.

-Puisque tu as besoin de moi je vais t'aider à m'obéir. Demain tu me sers mon petit-déjeuner dans le lit, toi tu dors dans la petite chambre du fond. Tu viendras me présenter la sélection de ceinture de chasteté que tu auras jugé fiable et de qualité pour toi. Une ceinture, pas une cage. Tu sais ce que c'est?

-Je... oui ma Reine

-Et comment sais-tu cela?

-Je ne sais pas trop, j'avais déjà regardé, peut être un article de journal.

-Un article de journal? Vraiment? T te moques de moi. Dis-moi la vérité.

-J'avais regardé cela avant de te rencontrer, je ressentais un besoin de contrôle et je trouvais l'idée excitante.

-Et tu ne m'en as pas parlé?

-Oh non ma Déesse, je ne voulais pas te choquer, ni t'imposer quoi que ce soit.

-Et tu en as déjà acheté?

-Non pas vraiment, quel intérêt si j'ai moi-même le cadenas?

-Je ne sais pas, pour t'amuser par exemple. Bien donc demain matin tu me fais passer sur mon whatsapp trois modèle de ceinture qui te semblent fiables. Tu sais que très peu le sont.

-Non je ne savais pas ma Déesse.

-Je vais bientôt exécuter ton fantasme. Et d'ici là trouver une solution à tes tromperies.

Comme quoi il est moins naïf que je ne l'imagine, tant mieux, cela va dans le bon sens. J'adore l'humilier, c'est salaud de parler de tromperie quand je me fais jouir plusieurs fois par jour, mais l'argument ne lui vient pas en tête. Heureusement car sinon je le colle au plafond. Je l'envoie se coucher et faire ses recherches sans manger, punition supplémentaire. Je lui dis qu'il ne sera quitte que quand il sera enfermé dans cette ceinture.

Je me sens un peu coupable après. C'est bizarre car sur le moment il me pousse à aller bien plus loin que je ne le ferais naturellement, à appuyer et à lui faire très mal, physiquement ou mentalement. Je ne culpabilise pas vraiment par rapport à lui car tout le monde me dit qu'il est épanoui comme jamais, mais plutôt je me demande si je ne deviens pas une mauvaise personne. Cela fait rire Alice à qui je me confie. Une relation intime n'est en rien révélateur d'une personnalité mauvaise comme je lui dis, mais c'est un jeu, un échange entre nous. Lui adore et moi je dois dire que j'adore encore plus que cela, je ne peux pas me contrôler. Alice lève mes scrupules, et m'assure qu'en voyant François je n'irai jamais trop loin et qu'il est terriblement demandeur. Par contre, elle n'est pas plus éclairée que moi sur ses motivations et sa raison de s'abandonner ainsi! En fait je m'en moque, comme je ne me demande pas pourquoi je deviens ainsi de plus en plus humiliante et dure avec lui.

Une qualité que j'ai, une autre en plus, c'est que j'ai une accoutumance très faible au plaisir. Je peux le répéter sans fin. Comme le bonheur d'avoir mon plateau de petit-déjeuner présenté le matin par mon François qui chaque jour varie un peu pour me faire une surprise. Aujourd'hui il est silencieux, fatigué et n'en mène pas large. J'ai droit à mon chocolat, un yaourt grec avec une assiette de framboises fraiches et des chouquettes. Le traditionnel verre de citron pressé est là, une habitude que j'ai prise depuis que je suis installée ici. Je lui ordonne de se branler et de se faire jouir pendant que je mange, ainsi il ne le fera pas dans mon dos. Il est profondément humilié, d'autant que je ne le regarde pas, entendant simplement son souffle court, et son râle quand il jouit. Il ne sait pas quoi faire, aller dans la salle de bain se nettoyer.

Je lui ordonne de lécher son sperme. Je vois un éclair de stupeur, puis la tête qui se baisse dans l'expression de sa reddition. Il fait couler son sperme dans sa main, la porte à sa bouche. Je lui interdis la moindre expression faciale, je bois bien son sperme moi quand je le lèche. Il se nettoie consciencieusement, à ma satisfaction. Je lui passe ma serviette pour qu'il s'essuie enfin, je le sens fier d'avoi obéi. C'est tellement difficile juste après une éjaculation, le désir retombant lourdement.

Débarrassée du plateau il me présente sur la tablette les trois ceintures qu'il a sélectionnées. Seule celle sur mesure me semble être portable longtemps et l'artisan semble proposer énormément d'accessoires et d'autres objets excitants. Il me faut une demi-heure de recherche pour trouver son numéro de téléphone, ne pouvant accepter un délai de 4 mois que son site propose! Il est un peu surpris quand j'arrive à le joindre. Ma voix, mes arguments, mes flatteries lui font accepter de nous recevoir cet après midi et de fabriquer la ceinture pour François en une semaine. Pour le double du prix quand même! Finalement c'est peut-être cela l'argument, car le gars me semble très gay et sans doute que mon charme n'agira pas comme sur les hétéros!

Nous voici dans la Marne, le rendez-vous est dans une petite usine de la zone industrielle. Cela sent l'huile et le métal et Gérard nous accueille en bleu de travail. C'est un bel homme la soixantaine passée, et à son regard (qui ne tombe pas immédiatement sur mon décolleté mais reste rivé à mes yeux) je confirme son orientation sexuelle. Il nous présente un modèle de visu et je fais mettre François nu pour la prise de mesure. Gérard est impressionné par le sexe de François et me confirme que ce sera le plus gros sexe qu'il aura enfermé! La ceinture peut se porter vraiment longtemps et certains de ses clients la portent en continu depuis plusieurs années! Je vois François blêmir. S'il savait!

Le sexe est enfermé dans un tube fin terminé par une grille. Le méat dépasse du tube qui est très serré et recouvert à l'intérieur de silicone pour ne pas irriter la peau. La cage est maintenue par un harnais en chaîne plate et métal qui épouse la forme du corps, avec une tige passant entre les fesses. Le tout est fermé par un cadenas plat sur le devant, la tige fessière s'enlevant avec une autre clé pour empêcher le castré de se libérer même le cul tout seul! Mon petit toutou ne pourra plus aller aux toilettes se soulager sans mon accord! Une fois en place, rien ne bouge, le sexe est bien poussé en arrière. Les couilles sont laissées libres. Enfin si on veut!

Il peut aussi les enfermer dans une coque en métal, mais alors je ne peux plus les écraser, je ne suis pas d'accord! Il me propose alors des anneaux d'élongation qui permettent de tirer les couilles vers le bas. L'idée me séduit. Un premier anneau est posé en bas des couilles avec une tige les séparant en deux, on dirait deux noix côte à côte. Puis on ajoute des anneaux au fur et à mesure pour les éloigner du sexe. Cela m'excite trop fort et je choisi cette option que nous essaierons après les mesures.

Il plonge le sexe mou dans de l'eau glacée, il se rétracte énormément. Une fois séché il applique une pommade qui fait gémir François de douleur, le sexe se contracte encore. Gérard m'indique que c'est nécessaire pour rentrer dans le fin tuyau, comme cela sans pommade, il est impossible de l'enlever. C'est fou comme le sexe se contracte, on dirait un petit garçon. Cela semble très douloureux. Gérard essaie plusieurs tuyaux pour enserrer le sexe, et sélectionne celui de la plus petite taille où il a pu rentrer. Quand je vois la taille, je me dis que François va pouvoir oublier toute érection. C'est tellement excitant, j'ai vraiment le sentiment de le castrer.

Mais Gérard a d'autres tours dans son sac, après avoir pris les mesures aux hanches et à l'anus, il me conseille d'équipe la tige d'un insert dans l'urètre, lui aussi couvert de silicone. Un plug. Maintenu en permanence, ainsi le jet est toujours extérieur à la cage et elle reste bien plus propre, y compris des sécrétions d'excitation. Et C'est à la fois inconfortable au début mais bien plus agréable car sinon le tube serre très fort l'urètre et il est parfois difficile et compliqué d'uriner. Je prends cette option aussi. François ne pipe pas un mot. Il est juste terrorisé. Le plug urétral fait une bonne dizaine de centimètre qui vont se trouver en lui en permanence.

Avant de partir nous nous occupons de ses très grosses couilles. Un premier anneau métallique de 2 centimètres est posé avec la barre séparant ses deux couilles. Je trouve cela bien plus joli ainsi, et les couilles sont un peu compressées. Mais rien en comparaison de ce qui l'attend. Gérard me propose un coffret avec des anneaux de tailles différentes, certains pesant plus d'un kilo! Il tire les couilles pendantes sans ménagement, serrant bien la peau, la faisant coulisser sur l'anneau déjà présent. Les couilles se tendent et rosissent déjà, on dirait des rognons. Il tire toujours, François halète. Il choisit un des plus gros anneaux et le visse lui aussi juste au dessus du premier. Le résultat est tout simplement magnifique. Les couilles sont complètement détachées et étirées, déjà violettes, et à la tête de François je comprends que c'est douloureux. Gérard m'explique que je peux au fur et à mesure ajouter des anneaux ou remplacer un petit anneau par un plus gros. Là il est étiré à 12 cm, ce qui pour un débutant est exceptionnel (je suis bêtement fière) mais que cela peut aller facilement à 20 centimètres voire plus.

Je dois avouer que je coule abondamment. J'adorerais me faire baiser par Gérard là tout de suite, mais bon je ne suis pas sa viande préférée! J'imagine me sodomiser avec les couilles ainsi étirées de mon chien, cela devrait être très excitant et tellement pervers avec son sexe inutile et encagé. Pour la vie. Car c'est vraiment ce que je veux. Je suis dingue, mais j'ai toujours été excessive. Je veux contrôler totalement François, mais je ne le lui dirai que lorsqu'il sera enfermé.

Nous prenons rendez-vous pour samedi prochain, et repartons, François s'est rhabillé, cherchant maladroitement à trouver la place pour ses couilles suppliciées et étirées. Il m'avoue que la sensation est très excitante, son sexe n'est pas encore dur à cause de la crème, mais aussi très douloureuse. Mais comme il aime souffrir. Je lui demande s'il est sur qu'il veut aller aussi loin, je le sens fébrile que je change d'avis et me répète son engagement sans faille. Je le regarde dans les yeux, je lui dis que je veux aller beaucoup plus loin. Il tressaille, s'étire, signe d'excitation, il me répond simplement en me remerciant. Nous repartons comme un couple amoureux normal. Je suis impatiente et mille idées tournent dans ma tête. Je suis fascinée par cette envie en moi de l'écraser. Je sens bien que c'est profondément sexuel, mais une sexualité bien au-delà du coït!

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1 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Excellent de progressivité inexorable. Ce soumis sera détruit et comblé

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