Si tu vas à rio -- Ch. 01

Informations sur Récit
Je découvre le sexe et ma passivité.
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 07/07/2022
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Enfin les vacances d'été après cette première année de faculté. J'allais retrouver ma mère et mon beau-père à Rio au Brésil pour y passer trois semaines sur mes trois mois de vacances. Ils m'avaient laissés quand j'étais en terminale, seul dans un petit appartement avec la maigre pension héritée de mon père pour me débrouiller. J'avais passé cette année plutôt en solitaire, n'étant pas doué pour les relations sociales et étant d'une grande timidité, j'avais très peu confiance en moi.

Pour des raisons budgétaires mais aussi pour le plaisir j'ai pris un stop de 3 jours à Miami, puis j'arrive à Sao Paulo où un ami de mon beau père me loge avant de m'emmener à Rio ensuite. C'est la belle aventure et aussi mon premier voyage! Je débarque à Miami sans aucun plan précis et je me regroupe avec une bande de 4 filles un peu délurées pour chercher un appartement à Miami Beach. En fait c'est elles qui ont vu que j'étais tout seul et m'ont proposé de me joindre à elles à mon grand étonnement. Elles étaient plus rassurées avec un homme dans le groupe, même si je n'ai pas un gabarit de boxeur! Je suis mince mais assez musclé faisant de l'aviron depuis plusieurs années, d'une taille un peu supérieure à la moyenne, brun aux yeux noirs.

Trouver un appartement est finalement plutôt simple, la saison est creuse en Juillet, et je découvre Miami Beach qui me plaît vraiment beaucoup. Même avec la luminosité de l'été la lumière est vraiment très belle, comme le bleu azur de l'eau. Je ne me fais aucun plan avec les filles, plus timide que moi tu meures, je suis juste content d'avoir des amies avec qui faire la fête, et elles un garçon pour moins se faire emmerder. Nous sortons dans le coin art déco, et prénons quelques cocktails mais je fatigue vite. Je suis un couche-tôt, non je n'ai rien pour plaire, j'accompagne Sophie qui a mal à la tête et veut rentrer se coucher.

Dès que la porte est fermée, elle se déshabille devant moi et j'avoue être attiré par son corps de petite, avec des seins tous mignons. Je l'avais déjà matée à la dérobée sur la plage cet après-midi et c'est vrai qu'elle me plaisait bien. J'aime bien son côté à la fois délicat et vraiment très décidé, je prends plaisir juste à la regarder. Je n'aurais jamais osé faire le moindre geste, surtout qu'elle a la migraine.

En fait c'est ce qu'elle disait, mais elle se retourne et se jette littéralement sur moi, me dévorant de sa bouche avide. C'est un plaisir incroyable pour moi, qui n'ai même jamais embrassé une fille, et maladroitement je lui rends ses caresses. Je sens le poids de son corps contre moi, je fais le tour de mes bras, c'est une sensation qui pourrait me faire jouir sur le moment. Je n'ai jamais vécu un tel contact. J'adore le touché de sa peau, encore chaude du soleil de la plage. Elle me déshabille d'autorité, apprécie mon sexe bandant (ouf!) et me chevauche d'un coup, prenant clairement son pied sans me demander mon avis, juste en me disant qu'elle a envie de moi depuis qu'elle m'a vu dans l'avion.

Je comprends alors que c'est elle qui a demandé aux autres de m'approcher. J'ai la tête qui tourne, je ne suis pas simplement flatté, mais abasourdi de pouvoir même intéresser quelqu'un. En général je suis complètement transparent, personne ne se préoccupe de moi, ni mes camardes, ni même ma famille d'ailleurs. Sophie ignore complètement qu'elle vient de me dépuceler, ne se soucie pas de mon plaisir, me griffe les pectoraux, me demande de me retenir puis m'ordonne de jouir en rythme avec son orgasme qui la foudroie. J'aime décidément son caractère si décidé, elle sait ce qu'elle veut et ce qu'elle prend de moi, c'est tellement plus confortable de ne rien décider d'autant que je suis nul au lit puisque je n'ai jamais rien fait, même si j'ai maté bien des vidéos.

Je suis aux anges, et je la caresse doucement lorsqu'elle s'est effondrée sur moi, je la trouve divine. Je sens ses seins qui appuient sur mon torse, j'ai envie de les prendre encore doucement, de pincer doucement ses mamelons, de l'embrasser sans fin. Elle s'allonge contre moi, me demande de lui prendre des kleenex et me dit qu'elle a envie de moi. Les yeux pleins d'étoiles, je suis fou amoureux d'elle, simplement parce qu'elle a envie de moi. Son regard n'est pas celui que j'aurais pu attendre dans une telle situation, elle semble sérieuse, concentrée, et ses yeux sont remplis d'intensité. Je sens qu'elle me sonde, qu'elle attend quelque chose de ma part. Sans réfléchir je lui dis que je suis tout à elle, ce qui la fait sourire, se détendre. Elle me répond bizarrement que c'est bien.

Les trois jours passent trop vite, nous restons collés et presque toujours à faire l'amour. C'est à chaque fois elle qui décide et parfois me réveille la nuit tant elle a envie de s'empaler sur mon sexe, ou bien que je la prenne en suivant ses indications. Je suis excité en permanence par elle et c'est avec joie que j'apprends aussi à la lécher pour lui donner du plaisir, malgré la douleur dans ma langue car après plusieurs orgasmes, je dois continuer à la lécher longuement. Elle ne se soucie pas trop de mon plaisir, mais comme je suis aux anges, je n'ai pas à me plaindre.

Je la surprend parfois à me regarder, ou presque à me surveiller, observant comment je réagis. C'est avec un de ses regards profonds qu'elle relève ma tête enfouie entre ses cuisses de déesse, se retournant, elle me demande d'écarter ses fesses et de lui lécher son petit trou. Je ne réfléchis pas, et c'est avec plaisir que je découvre son sillon, que ma langue descend doucement jusqu'à trouver son petit trou. La sensation est douce, je la sens tout de suite vibrer ce qui m'excite prodigieusement. Je lui mets un doigt dans le sexe comme elle aime et son orgasme est très violent, mais je continue à lui lécher le cul, je sais qu'elle aime que je n'arrête pas. J'aimerais rentrer ma langue mais je n'y arrive pas.

Ses autres copines me surnomment le toutou, parce que je fais tout ce que Sophie veut, cela me fait rire, et je m'en fous, c'est vrai que je trouve que j'ai une chance incroyable et que ces vacances d'ennuyeuses se révèlent bien surprenantes. Nous faisons largement bande à part, dormons dans le seul grand lit, mais ses trois copines ne semblent pas se formaliser. Sophie est clairement le leader, et moi je lui appartiens. Ces trois jours de rêve ont hélas une fin.

Dans l'avion pour Sao Paulo je me demande si nous nous reverrons. Elle est du nord, et je n'ai pas son adresse ni aucune coordonnée, c'est elle qui décidera de me recontacter. J'aurais quand même du insister pour avoir son 06. Peut-être même qu'elle se dit que je ne tiens pas tant à elle puisque je n'ai pas insisté. En même temps pendant ces quelques jours elle a bien pris la mesure de ma passivité.

C'est quelque chose de nouveau pour moi, je le réalise seulement avec du recul. Et avec honnêteté je dois avouer que j'ai toujours été ainsi. Je fais toujours ce qu'on attend de moi. C'est aussi que je n'ai pas vraiment d'envies à moi, aussi cela ne me gêne pas de faire ce qu'on attend de moi. Je me sens à la fois vide de son départ, enfin techniquement c'est moi qui suis parti, mais aussi éberlué de cette expérience, je n'aurais jamais pensé pouvoir susciter l'intérêt de qui que ce soit. Je ne suis pas très grand, ni très costaud, ni moche, ni beau, je me trouve quelconque. C'est vrai que j'aime rendre service, parce que je pense que c'est ainsi que je peux espérer être aimé. Je découvre que mon sexe aussi peut plaire, c'est curieux pour moi, car c'est quelque chose que je déteste.

J'aurais aimé être une fille, je trouve ce sexe, agressif et vraiment pas classe. Souvent la nuit je lui impose des contraintes surtout maintenant que je vis seul, mais j'ai débuté dès que j'ai commencé à le sentir devenir dur : je l'attache très fermement, parfois avec un élastique, je le retourne entre mes jambes pour l'écraser quand je m'assois, je l'enferme aussi dans une gaine que j'ai trouvée qui se ferme avec un cadenas, comme cela je ne le vois plus. Quand j'ai envie, ou même plutôt besoin, j'attache à la base du prépuce, très serré, un lacet qui rentre dans les chairs. J'ai mis un anneau dans le mur, et en y attachant le lacet et en reculant, je tire très fort sur le prépuce, et mon sexe est étiré à l'horizontal. Je prends alors une cravache et je frappe le membre de plus en plus fort. Cela fait très mal sur le sexe lui-même mais aussi sur le prépuce qui reçoit des coups le tirant vers le bas. Après quelques dizaines de coups, le sexe devient bleu noir, il est alors très sensible. Mais je ne faiblis pas, je donne le nombre de coups que j'ai décidé à l'avance.

C'est curieux dans cet avion je pense à cela et à bien pire. Je me sens tellement coupable d'avoir utilisé mon sexe, même si c'est Sophie qui l'a décidé. J'ai parfois des images très violentes qui me viennent, surtout quand cela fait des jours que je n'ai pas jouis. Je m'interdis alors de jouir pour que le désir et les folies qui m'enivrent soient bien pires, et surtout que je le mérite. Et là cela fait deux jours que je n'ai pas jouis, Sophie voulait que je pense à elle et que je sois en manque, mais aussi que je montre que j'étais capable d'être tourné seulement vers son plaisir. J'ai envie de me soulager dans les toilettes mais je me retiens.

Je ne sais pas si c'est moi, mais je déteste la jouissance et je me dégoute d'en avoir tant envie, c'est aussi pour cela que je me punis. Je suis pris d'une fièvre folle, puis je jouis et tout est différent, comme si j'étais un autre. Et le pénis qui rentre dans une femme, j'ai l'impression que c'est un viol, aussi je me sens tout le temps coupable. Ma mère m'a toujours dit que les hommes étaient de gros cochons et qu'on devrait leur couper le sexe, aussi j'en suis pas mal persuadé. Comme pour les couilles. J'aime bien les attacher très serrées comme de petites noix, mais ramenées sur le devant du sexe, là je peux les mutiler comme je veux, en les tapant, ou en les serrant très fort. Une fois j'ai pris une agrafeuse pour les murs. J'ai mis du temps à le faire. Je l'avais déjà essayé sur mon pénis et je m'étais fait un gros hématome. Il avait une allure toute déformée, bleu et il m'a fallu pas mal de temps pour que cela parte.

Pour les couilles je me disais que cela devrait faire très mal, déjà rien que d'appuyer l'agrafeuse pour la maintenir en place. Je me suis convaincu que je le méritais et j'ai pris tout mon courage pour appuyer et enfoncer le métal dans mes couilles si sensibles. Je me suis évanoui d'emblée tellement c'était violent. Quand je suis revenu à moi il y avait du sang sur la serviette que j'avais mis par précaution et l'attache était bien enfoncée dans la couille. C'est dingue car alors j'ai senti mon sexe grossir et devenir si dur. Quel souvenir! Je sentais des frissons rien que d'y penser.

Pierre, l'ami de mon beau-père est un très bel homme. Il a les cheveux gris coupés courts avec une allure assez sévère, un corps puissant et musclé, je le sens très alerte bien qu'il ait largement dépassé la quarantaine. Plus grand que moi, il a le teint halé et ses yeux sont cachés par ses lunettes de soleil. Il m'accueille avec un grand sourire et me prend dans ses bras comme si j'étais son fils. La valise dans le coffre, nous visitons la ville dans son coupé Mercédès puis nous nous rendons à son club de sport.

C'est un club hyper select dans un endroit divin, avec une grande piscine, des tennis, et beaucoup de calme, ce qui contraste avec la folie et la pollution de la ville. J'attrape juste mon maillot de bain pour profiter du soleil, de la piscine puis du sauna. C'est vraiment la belle vie. Nous mangeons un morceau servi que par de jolies filles. Pierre est un riche Business man et je suis surpris qu'il soit célibataire tant toutes tentent de le charmer. Il m'avoue avoir couché avec la moitié au moins des employées, et j'en suis ébahi, car elles sont vraiment canons. Mais aucune n'a eu l'heure de le décider à s'engager.

Il me demande si cela me plairait de m'en taper une, qu'il peut arranger cela, je rougis, je pense à Sophie, je me sens engagé, aussi je dis non d'une toute petite voix timide, il rit, il appelle une des filles et lui demande quand même de me mettre de la crème solaire avec un clin d'œil. C'est une métisse avec une superbe poitrine dont j'ai du mal à détacher le regard. Elle m'appuie fermement sur le dos pour que je m'allonge sur le ventre et commence à me masser sensuellement avec la crème solaire. Tellement en manque il ne me faut pas une minute pour me mettre à bander.

Je pense fort à Sophie mais cela ne me calme en rien. Quand je dois me retourner, je suis rouge pivoine, mon bermuda est complètement déformé, je suis indécent. Pierre et la fille rient, mais elle continue de me masser tout le reste du corps sous prétexte de me mettre de la crème. Je n'en peux plus et heureusement elle me laisse là, avec mon érection douloureuse. Pierre me demande si je ne veux vraiment pas qu'elle me soulage, j'hésite, mais non, je suis à Sophie. Cela me remplit de passion pour elle, j'aime tant comme elle me fait l'amour.

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