Une Passion Inattendue Ch. 07-08

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Je deviens une Maitresse, presque comblée?
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/17/2022
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Je me suis habillée très domina ce soir. Pour une fois j'ai mis du noir sur mes yeux pour renforcer l'éclat de mes pupilles. La robe en cuir qu'il m'a offerte lors de notre premier week-end avec des bottes à talons pointus et des bas noirs tendus. Pas de sous-vêtements, je me sens ainsi très impudique. Je suis très curieuse de ce que François m'a préparé. Je n'ai pas cherché à savoir pour que la surprise soit complète et j'espère à la hauteur de l'enjeu. En même temps je suis plutôt très calme, juste légèrement excitée. Avec Alice nous avons échafaudé plusieurs pistes et je dois la tenir au courant en temps réel de l'avancement de la soirée. Cela peut paraître bizarre de partager à ce point là avec elle, mais nous sommes devenues encore plus proches si tant est que cela soit possible. Je ne me demande plus pourquoi elle adore autant partager avec moi cette relation, mon plaisir est ainsi au maximum. J'ai beaucoup hésité à ce qu'elle soit présente ce soir, à la fois comme témoin, mais aussi pour partager cela avec elle.

François est magnifique dans un costume bleu nuit, il les porte vraiment bien. Il a pris le coup pour ses couilles et les poids qui y sont attachés. Je l'ai martyrisé toute la semaine quand il a fallu attendre sa ceinture de chasteté, c'était la suite de la punition. Les couilles compressées sont très sensibles et je me suis amusée à les battre avec une cuillère en bois et il a dégusté. Il devait jouir chaque fois après ainsi j'étais certaine qu'il ne se toucherait pas. Ce qui est fou c'est que plus je le frappe, plus il bande et plus je mouille. Je me suis même caressée avec ses couilles ainsi exposées, les faisant rentrer dans mon vagin mais c'est encore malaisé. Avec 10 centimètres de plus j'aurais un gode disponible en permanence. C'est bon de savoir qu'il est contraint en permanence et quand je vois la tension de ses couilles je me dis qu'il doit bien souffrir.

Lorsque nous sommes retournés chez Gérard, François était encore plus tendu. Je suis certaine qu'il aurait aimé faire demi-tour, mais quand je lui ai proposé il m'a répondu qu'il voulait me montrer à quel point il était prêt à tout pour moi et que ce ne serait pas ce qu'il aurait de plus difficile à vivre. Moi je pense que si quand même, mais peut-être ne devine-t-il pas mon sombre dessein.

A nouveau eau froide puis crème réfringente, le voici tout ridicule et souffrant le martyr. Lubrifiant le tube étincelant, Gérard le fait pénétrer jusqu'à ce que le méat émerge dans la grille métallique. La tige est vraiment longue, mais ne fait qu'un tiers de son sexe en érection, il faut faire pénétrer tout le corps caverneux m'explique l'artisan. Elle rentre presque dans les chairs, tandis que le plug urétral fait son chemin en même temps. Il émerge au-delà de la tige à quelques centimètres seulement des muscles péniens. François doit avouer que si la sensation est étrange, elle n'est pas dérangeante. La ceinture métallique est mise en place sur ses hanches puis verrouillées devant, forçant le sexe vers le bas, et nécessitant de dégager les couilles lestées sur le côté pour faire de la place. Cela ne doit pas être confortable. La tige entre les fesses peut s'enlever en cas d'absence prolongée, mais sinon est très facile à mettre en place. Elle appuie sur l'œillet de mon petit chien qui doit en être tout excité.

Je m'entraîne à enlever et remettre la barre entre les fesses, c'est simple mais nécessite une personne extérieure, François lui ne peut rien faire. Je le regarde très excitée, ravie d'être arrivée si facilement à mes fins. Une photo pour Alice, je lui dois bien cela. François se met à genoux, m'embrasse les pieds, décidément il aime cela, et me remercie. Je suis touchée de son geste spontané. Il me remercie de quelque chose que je voulais! Il me promet une totale obéissance et de me combler toute ma vie. Je l'espère bien, surtout avec cette cage, elle est vraiment compliquée à enlever et il n'y a qu'une clé. Je suis au paradis, François ne peut plus jouir ni même se caresser. Il m'offre ainsi toute sa sexualité, et ce pour le reste de sa vie.

Cela fait trois semaines qu'il la porte, et les premières nuits ont été particulièrement douloureuses avec les érections nocturnes. Il a appris à ne faire pipi que comme une fille, et commence à s'habituer à la sensation et à la pression permanente sur son sexe et sa taille. Il a aussi appris à aller aux selles que quand je lui dit, c'est terriblement humiliant pour lui. Du coup je l'oblige à me demander la permission même pour aller faire pipi. Il me dit qu'il sent son sexe en permanence, comme si je le serrai fort dans ma main, ce qui l'excite aussi tout le temps, mais sans pouvoir bander de quelques façons que ce soit, et que la frustration va au-delà de ne pas jouir, c'est aussi de ne pas pouvoir bander et de sentir cette tension sexuelle en lui. Je sens la fièvre dans ses yeux qui ne le quitte pas, et sa dévotion devenir vraiment très voyante et sans retenue. Il a besoin de me toucher et me regarder tout le temps, c'est délicieusement agréable. Et quel pied quand je lui interdis de toucher mes seins ou mon visage. Il devient fou.

Ce soir je le sens un peu plus stressé, il veut que tout soit parfait. La table sur la terrasse est magnifique, le sol a été couvert de pétales de rose, c'est tellement romantique. Sonos diffuse du piano, l'air est suspendu. Sur la table je distingue 4 paquets dont je ne devine pas nécessairement le contenu. Une bouteille de Mouton Rothschild de l'année de ma naissance est ouverte, je lui demande de me faire goûter. C'est ineffable. Je n'ai jamais imaginé que le vin puisse être aussi incroyable en goût. Je veux qu'il le goûte et que nous partagions cela. Voilà c'est pour cela que je voulais que Alice soit là, maintenant c'est avec François que je dois partager tous ses présents. Je ressens que ce n'est pas sa place. Enfin j'ai compris et mis le doigt sur ce qui me gênait. Si nous sommes en couple c'est avec lui que je partage. Il y a là une dissonance dans la relation, cela les livres n'en parlent pas. Je n'ai pas envie d'être seule, mais pas envie de partager avec François, il est là pour servir mon plaisir. Bref, Alice était idéale pour cela, même si un peu déplacée. Peut être que je l'utilise trop elle aussi?

Je lui demande alors de mettre un autre couvert et de partager avec moi le repas qu'il m'a offert et qui est délicieux tout en étant léger. Je ne veux ouvrir ses présents qu'après le dessert et que nous ayons fini cette merveilleuse bouteille. L'alcool l'a détendu, moi aussi. Je me sens béante à l'accepter, certaine qu'il aura su mettre la barre aussi haut que possible.

Le premier cadeau est un livre. Loin d'être inconnu pour moi : Posséder et éduquer un esclave. Je suis certaine qu'il ne sait pas que je l'ai déjà lu (et relu maintes fois en fait). Il m'explique que ce livre c'est d'abord pour exprimer comment il se ressent par rapport à moi. Esclave. C'est la première fois que nous employons un tel mot. Que nous mettons les points sur les i. Mais aussi que le contenu lui paraît vraiment intéressant et que si j'avais envie de le lire que je sache qu'il est assez fidèle à son approche et son ressenti pour moi. Quand je pense au contenu du livre, je réalise à nouveau que je n'ai cessé de le sous-estimer. Je me demande si en fait ce n'est pas lui qui m'a amenée là où nous en sommes et pas du tout moi? Je m'en moque, je suis très bien là où je suis. Tellement heureuse, tellement moi.

Finalement ce livre est une très belle déclaration et je lui dis que cela me convient. Je repense au test, la dernière fois que je l'ai fait, j'étais à 18 sur 20. Et sur les 2 points qui me manquent, je suis en train d'évoluer! Il ne va pas être déçu.

Le second paquet est très long et je découvre sous le papier une boîte orange aux couleurs d'Hermès. J'avoue ne pas savoir ce dont il s'agit. J'enlève les rubans et découvre une très longue cravache en cuir, prolongée par une fine mèche de 10 centimètres. L'objet est magnifique, je sens bien son poids dans la main. François m'indique que c'est une cravache de dressage. Que c'est à la fois le mot qui lui a plu, mais aussi l'usage bien entendu. Et qu'ainsi je pourrai le punir chaque fois que je serai déçue ou mécontente de lui. Je suis très surprise, la punition n'a jamais fait vraiment partie de mon approche, sauf bien sûr pour la ceinture de chasteté. Et c'est justement sur la question des punitions qu'il me manque ces deux points pour le brevet de dominatrice! Dressage, punition, ce sont des notions nouvelles pour moi qui était dans la dévotion et l'obéissance. Mais je comprends que François est prêt à passer un cran plus loin. Cela me donne le vertige.

J'ai bien entendu beaucoup réfléchi à la domination, et à mon côté dominante. C'est évidemment génial d'être servie et adulée en permanence, mais dominer c'est bien autre chose que recevoir, c'est à la fois guider, diriger, décider, contrôler. C'est aussi beaucoup d'énergie et une constance, une intégrité, sinon la personne soumise est perdue, voire se délite. Il se trouve que je suis d'une constance totale et que je n'ai pas de souci à m'astreindre des rites et rituels. Pour ma gymnastique, il faut vraiment des circonstances particulières pour que je ne la fasse pas. Et pour notre vie de couple, pas une seule fois je n'ai baissé la garde, laissé François décidé de quoi que ce soit, ou m'être contenté du minimum. Même Alice que j'admire est plus fluctuante et souvent moins claire dans ses choix et ses envies.

Et là je comprends qu'avec ce présent, cette dimension qui m'échappait un peu du dressage et de la punition, vient s'inviter dans notre relation. Oui François me surprend ce soir, il emmène notre relation bien plus loin comme je le souhaitais. Et le fait que cela vienne de lui, me libère de toute réticence, ou culpabilité. J'accepte le cadeau et je lui demande de se mettre nu, je veux l'essayer tout de suite. Je cingle l'air avec un bruit effrayant et magnifique, je sens qu'il se crispe un peu. Mon garçon il fallait y penser avant. Le champ des possibles m'assaille : debout, couché, à 4 pattes? Sur le dos? les fesses? le torse? Je n'ai jamais frappé un homme (ni une femme d'ailleurs). Finalement debout c'est pas mal pour le dos, mais moins bien pour les fesses. Mais c'est mon choix.

Je tapote doucement pour trouver le geste, et l'endroit où je veux le fouetter. Je le touche pour créer un contact, il se détend. Je comprends le fonctionnement de la mèche et me méfie de son retour sur son visage. Je passe bien 15 minutes à le fouetter doucement, sans aucune douleur, juste pour voir comment cela se manie, ce qui se passe. En fait les fesses c'est pas mal debout, il faut juste que je m'éloigne. Je donne des coups plus fort, il sursaute. Pourtant ce n'est pas très fort. Enfin je me sens prête. Le sifflement précède le coup, et le hurlement de François. Il s'effondre par terre, le dos barré d'une trace rouge violette magnifique. Il me regarde effaré de la violence de mon coup. Qu'est-ce qu'il croit? Il se relève terrorisé cette fois-ci et il a raison. Hors de question que je le ménage. C'est une punition, pas une partie de plaisir.

J'essaie d'espacer les coups de façon régulière, avant de les croiser. Je peux compter les 20 coups qu'il a reçu sur le dos, je suis fière de mon œuvre. Il titube, se jette à mes pieds entre chaque coup non pour me demander d'arrêter mais pour me supplier de le garder à mes pieds, qu'il m'aime plus que ce n'est pas possible, qu'il a terriblement envie de moi, que c'est terrible d'être ainsi castré, que je suis la plus magnifique des femmes. Avant de se remettre pour le prochain coup. C'est absolument jouissif, j'adore cette sensation dans le poignet, ce pouvoir sur lui, cette souffrance infligée, ces marques dont certaines saignent un peu. J'ignore à ce moment-là que je frappe bien plus fort que ce qui est attendu. Son regard est brillant, il réclame encore plus de coups maintenant! Je l'ai senti basculé à un moment donné, ne comprenant pas trop pourquoi. Sans doute son masochisme est-il comblé.

Je m'acharne sur les fesses en fouettant de toutes mes forces. La mèche vient éclater la peau sur les côtés, les fesses sont gonflées. J'adore voir son corps ainsi marqué. Quand j'ai fini cest une loque à mes pieds. Je me sens toute fraîche, terriblement mouillée et en pleine puissance. Je le regarde dans les yeux pour le remercier de son cadeau. Je lui offre en retour, pour le remercier, d'être battu tous les matins avec 20 coups de badine. Son regard vacille, il sait que je tiens mes engagements à la lettre et c'est plein d'émotions qu'il me remercie et baise mes pieds avec dévotion. C'est bon de posséder un esclave comme lui. La vie est belle. Il est temps de passer à la suite, mais je le laisse un peu récupérer. Il me verse une coupe de champagne rosé que je lui ai fait prendre, je me délecte de ce moment suspendu. Un petit message à Alice, tandis qu'il est à mes pieds. Je jouis incroyablement du moment présent, de son abandon, de ma puissance. Je suis juste un peu frustrée de ne pas le partager, et c'est avec elle que je voudrais le faire.

A genoux, il m'offre le troisième cadeau, très facile à deviner. Une petite boîte en velours, marquée Tiffany, qu'il ouvre dévoilant une bague avec un diamant étincelant et vraiment magnifique. Je ne suis pas adepte des bijoux, encore moins des pierres précieuses, mais cette bague est absolument magnifique, équilibrée et incroyablement scintillante. Il m'expliquera que c'est un diamant sans défaut de classe D pour la couleur. J'aurais préféré classe A, Non? Mais en fait le D est la plus blanche et pure, A, B, C n'existent pas, une sombre histoire de normes historiques. Bref c'est le plus beau et le plus magnifique qu'il soit.

- Voudriez Vous me prendre pour Esclave?

La demande est un peu différente de l'habituelle, mais me convient beaucoup mieux. Je suis émue. C'est bête, mais je suis émue. Je ne pensais vraiment pas me marier un jour, et je ne pensais pas du tout que François me ferait une demande. Nous nous connaissons que depuis quelques mois, et notre relation est tellement asymétrique. Il veut vraiment vivre cette relation toute sa vie comme je le fantasme. Car pour être honnête, quand je jouis qu'il soit enfermé dans sa cage à jamais, pour moi cela ne dépassait pas quelques semaines ou mois. Je n'ai jamais fait de plans sur la comète. Les larmes me montent aux yeux.

Je note aussi le vouvoiement. Il lui est venu naturellement et je suis heureuse que cela soit venu de lui. Et à l'écouter, cela semble couler de source. Dès cet instant, je ne supporterais plus qu'il me tutoie. Cette relation ne cesse de me surprendre.

- Tu me veux comme Femme et comme Maîtresse pour la vie? C'est ainsi que tu veux vivre, comme un esclave à mon service?

- Oui Maîtresse, je le désire tellement, aussi loin que Vous voudrez nous emmener, je serai toujours là à Vos pieds

- Je veux être ta Maîtresse

Je l'embrasse follement, je le renverse sur le dos et vient l'écraser de mon sexe détrempé. Je jouis en quelques secondes, en hurlant des insanités humiliantes sur lui. Je n'en pouvais plus, il fallait que je me lâche. Je reprends mes esprits tandis que je le sens tendu comme un arc, voulant tellement jouir que cela m'attendrit. Je le prends dans les bras, lui caressant doucement les couilles tendues et suppliciées pour l'apaiser. Je lui promets dans l'oreille que je serais la Maîtresse la plus attentionnée, sadique et perverse qu'il puisse imaginer, que chaque seconde de sa vie je remplirai ses pensées et son corps, et que jamais plus il ne sera libre de rien. Cela ne le calme en rien, l'impossibilité même de bander le rend fou de désir et je n'ai d'autre solution que de lui écraser les couilles de mes doigts pour le calmer. Il m'en remercie chaleureusement. Nous nous assoupissions ainsi sur le sol de la terrasse.

Je le secoue, je veux encore du champagne. Il se lève prestement et vient me donner une coupe à genoux à mes pieds, la tête baissée, j'aime beaucoup.

- Ta place est maintenant bien claire n'est-ce pas. Pour moi c'est irréversible, je ne tolèrerai aucune réticence, remarque ou recul, est ce que tu comprends?

- Oui Maîtresse, c'est tout ce à quoi j'aspire aujourd'hui.

- Parfait. Tu continues le vouvoiement en toutes circonstances, est ce que c'est compris. Et le Maîtresse que tu dois dorénavant utiliser que devant des inconnus ou des initiés, sinon c'est Déesse et Reine comme tu le fais aujourd'hui.

- Oui Maîtresse. Merci Maîtresse, cela me comble tellement.

- Ta Maîtresse aussi est comblée. Tu as parfaitement répondu à ma demande, mais je vois encore un cadeau?

- Oui Maîtresse, juste l'application de ce que Vous venez de dire Maîtresse

Le cadeau est un banal Ipad sans grand intérêt jusqu'à ce que je l'ouvre : il affiche un blog qui présente l'esclavage de François à visage découvert! Quelques photos compromettantes, mais sans plus. Il m'explique que je pourrais y ajouter des photos, comme celle de la battue de tout à l'heure et le rendre public s'il n'est pas conforme à mes attentes, ainsi une menace qu'il ne peut se retirer sans perdre toute son image et son orgueil. Je trouve l'idée amusante, bien plus intéressante que celle du livre qu'il m'a offert. Car dans le non consensuel, il faut bien avoir un moyen de pression si l'esclave résiste. Et je pense que le mien a bien senti que je l'utiliserais le cas échéant. Je n'en ai aucun doute.

Dans la présentation du blog, il a écrit son serment d'esclave, il me dit que c'est en lisant le livre qu'il a voulu composer cela pour moi. Mais bien entendu ce n'est qu'un esclave et c'est une proposition pour me faciliter la vie et que je façonne sa vie à ma guise. Je ne suis pas très convaincue par son texte, il est très tourné vers lui, pas assez vers moi. Je l'écrirai plus tard. Je regarde les photos, il est très reconnaissable en effet, certaines je les lui avais envoyées pour s'exciter par sms. Il y a aussi les photos de sa ceinture ainsi que de ses couilles déformées, avec son visage.

Je suis un peu mitigée sur cette initiative. Je vais y réfléchir mais je ne pense pas donner suite. En tous cas pas comme cela. Il faut que j'en parle à Alice. Je trouve cela assez banal en fait et finalement narcissique pour moi. Ceci dit je me dis que c'est un des rares plaisirs qu'il peut avoir que de se complaire dans ce masochisme. Et peut-être une porte pour évacuer sa frustration. Je lui demande de publier chaque jour une photo avec un commentaire à ma destination pour m'expliquer le choix de la photo, ce qu'elle évoque pour lui et ses émotions vis-à-vis de moi. Ce sera une bonne façon de le sonder sans me prendre la tête. Prise d'une grande inspiration je lui ordonne de rendre le blog ouvert au public dès maintenant.

Il me regarde apeuré. Je lui demande s'il est réticent à assumer sa position si nécessaire. Il me répond boulot et je lui dit que cela n'a aucune importance. Alors il baisse la tête. Nous avons tous les deux les codes, il peut publier et moi faire le reste. J'ouvre donc le blog à la terre entière et le fait référencer sur Google. Je n'ai pas trop de craintes, personne ne va le trouver par hasard! Cela pourra être intéressant de le partager avec des contacts. Le non consensuel n'est pas si facile, mais une fois encore, vaincu, il vient lécher mes pieds et me remercier de le pousser bien au-delà de ses rêves les plus fous.

8.

Je suis la plus heureuse des femmes. Et comment ne pas l'être. Je vis dans un cadre luxueux avec un homme brillant qui s'est mis complètement à mon service et un job qui me passionne chaque jour un peu plus!

Cela fait maintenant 3 mois que nous sommes mariés et 9 mois que Yara est sous cage et ceinture de chasteté. Ah oui! Avec le mariage j'ai changé son nom, je voulais que cela marque une nouvelle vie, une nouvelle existence pour lui. Je cherchais un nom de chien, mais c'était vraiment très niais tout ce que je pouvais trouver, jusqu'à ce que je tombe sur Yara. Cela fait certes féminin, mais c'est aussi ce qui me plaît que de le déviriliser un peu plus. Un peu plus parce que son sexe si beau et si fier est totalement inutilisé depuis le jour où il a été enfermé dans son tout petit tuyau bien trop étroit. Je crois qu'il s'y est fait, et maintenant je ne le sens plus gêné par la contrainte. C'est simplement qu'il est totalement dingue de moi en permanence, sans jamais pouvoir se soulager de ce désir qui lui prend les tripes. Je n'aurais jamais cru cela possible d'être autant dépendant et autant en besoin de quelqu'un.

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