Une Passion Inattendue Ch. 01

Informations sur Récit
Une jeune femme se découvre Dominante.
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Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/17/2022
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1.

La soirée est très avancée et j'ai beaucoup dansé, flirté et bu. Au moins la moitié des collègues présents ont essayé de me draguer pour la nuit. Depuis que je suis toute petite je sais que les hommes ne résistent pas à mes grands yeux bleus qu'encadrent mes cheveux noirs. Mais lorsque ma poitrine a poussé, j'ai deux obus en bonnet E tout en faisant un 34/36, cela a été un harcèlement permanent. Je ne m'en plains pas car cela a beaucoup d'avantages d'autant que j'ai une sexualité débridée et facile. Je ne comprends pas ces femmes pour qui leur vagin ou leur cul est une caverne sacrée ! Elles ne savent pas à côté de quoi elles passent.

Je n'ai pas encore décidé avec qui baiser cette nuit, mais il va falloir que je me décide car beaucoup sont déjà partis. Ou bien rentrer seule et m'amuser avec mes jouets, j'aime beaucoup aussi. Je ne suis pas une nymphomane, simplement j'adore jouir et je ne crois pas avoir passé une seule journée depuis mes 10 ans sans jouir trois ou quatre fois au moins. C'est mon équilibre à moi. Je suis en pleine période d'ovulation et l'envie est encore décuplée ! Mon seul regret c'est de ne pas être attirée par les femmes, mais alors vraiment pas. Du coup je passe à côté de plein d'autres plaisirs. J'ai essayé mais rien ! Pour moi c'est un drame. En fait j'essaie régulièrement en me disant qu'à maintenant 28 ans, je vais changer. Mais aucune émotion, ni aucun désir.

Je suis assistante commerciale dans une société américaine très bien implantée en France. J'adore mon job et l'environnement de travail. C'est très festif, comme ce soir où nous fêtons l'atteinte de nos objectifs du semestre. Tout le monde sait que je ne suis pas farouche, et à peu près toute la tour est venue tenter sa chance un jour ou l'autre dans mon bureau. J'adore ces jeux de séductions et cela concoure à ma bonne humeur légendaire. Je sors me rafraichir dans le jardin, j'ai la tête qui tourne. A quelques mètres je vois François le directeur marketing, appuyé sur un arbre, les yeux dans le vague, l'air triste. Un truc bizarre se passe en moi. Vraiment très bizarre. Je m'approche de lui, il prend conscience de ma présence au moment où nos lèvres se touchent. La tête relevée, avec mon mètre soixante-dix il a une tête de plus que moi, je l'embrasse passionnément, prenant possession de sa bouche, pressant ma poitrine contre son torse, tout mon corps collé contre le sien. Instinct maternel diraient certains? Mais là je l'ai vu vulnérable comme jamais, lui le mâle alpha parmi les alphas, que je n'ai pas résisté. C'est rare en fait que je résiste à mes envies sexuelles. C'est un plaisir qui ne coute pas cher et qui ne fait pas grossir !

Après un moment de surprise et de paralysie, je sens ses lèvres sourirent, il me rend mon baiser et se laisse aller à mon câlin qui est de plus en plus pressant. Je ne suis pas une femme passive au lit, au contraire, j'aime prendre les choses en main et donner du plaisir à mes amants, et prendre ce qui me convient ! Mes doigts ont tiré sa chemise de son pantalon, et découvrent la fermeté de son dos, de son torse. Lui reste assez passif, ne sachant sans doute pas quoi faire. Je le prends par la main, nous n'avons pas échangé un mot. Le fond du jardin est dans la pénombre, je lui arrache la chemise, défait sa ceinture, et je baisse son pantalon puis son boxer, avant de m'arrêter interloquée. Je me retrouve devant le sexe le plus impressionnant que j'ai jamais vu en 16 ans de carrière (oui j'ai commencé jeune). Il est absolument magnifique et très bien proportionné, et quelques caresses suffisent à le rendre dur et parfaitement horizontal. Avec la grosse paire de couilles qui l'accompagne j'ai le trois pièces d'un mâle alpha ou je ne m'y connais pas ! J'en tremble de désir. Je suis une fana des pénétrations.

Nos bouches se rejoignent à nouveau, tandis que je le branle doucement. Il cherche à décrocher mon soutien-gorge mais je porte une brassière ce soir, il n'a aucune chance. Aussi ses mains viennent flatter mes seins par les côtés, il est malhabile. Je le couche sur le dos, à même l'herbe fraichement coupée, je peux admirer son torse puissant complètement glabre tout comme son sexe, ce qui est rare chez les hommes. Enervant d'ailleurs comme ils veulent toujours qu'on soit impeccablement épilée mais eux ne font pas cet effort. La nudité de son pubis renforce l'impression de puissance de son sexe qui pointe comme un énorme gode. A genoux sur lui, ma bouche penchée sur la sienne, j'écarte juste ma culotte pour sentir le bout de son sexe glisser entre mes lèvres. Un frisson d'appréhension et de désir parcourt mon dos. J'ai complètement oublié la fête au loin, juste centrée sur mon plaisir.

La sensation est divine, je jouis rien que de ce contact tant j'en avais envie depuis le début de la soirée (j'ai aussi un doigt sur mon clitoris en même temps, je dois l'avouer). Il a les yeux fixés sur moi, ses mains trouvent enfin le chemin de mes seins qu'il fait jaillir de ma robe d'été. Je crois qu'il est aussi sidéré par eux que je l'ai été par son sexe. Je n'ai rien fait pour avoir ces seins, mais bon, j'en suis quand même très fière. Je peux avoir ce que je veux avec ! Et là c'est lui que je veux. Je ne le savais pas il y a 5 minutes mais c'est devenu vital ! Je m'enfonce doucement sur son pieu, mes chairs s'écartent comme rarement et bien avant que je sente son pubis, il cogne conte mon col. Je fais des allers et retours doux, je suis trempée. Je me sens m'ouvrir, mon vagin se distendre, la sensation est magique. Heureusement il ne bouge pas, me laissant jouer de son sexe comme j'en ai envie. J'ai la tête qui tourne mais pas seulement à cause de l'alcool, d'autres substances remplissent mon corps. Je vais et je viens sur son sexe, frottant mon clitoris contre son pubis quand je suis pleinement enfoncée, tandis qu'il me malaxe et suce mes seins.

Le voir me sucer le téton me remplit d'une drôle d'émotion. Autant du plaisir que je ressens sur ma chair tendre, que de le voir, lui, me sucer. Une image de dépendance, comme si sa vie en dépendait. J'adore mes seins, les sentir bouger, les sentir malaxer, mais ce n'est rien par rapport à mes tétons. Ils sont moins sensibles que d'autres femmes parait-il et j'adore sentir des dents le mordiller. J'ai encore envie de jouir mais je me retiens cette fois-ci. J'ai une autre envie, totalement folle et déplacée, mais mon surmoi est parti en fumée et dès qu'il s'agit de sexe je ne résiste pas à mes envies. Je ralentis les allers et retours, en m'enfonçant de moins en moins loin à chaque mouvement. Je joue avec le prépuce à l'entrée de mon vagin qui s'ouvre et se ferme rythmiquement. Je dois ralentir encore pour ne pas jouir. Je le sors tout à fait et j'avance mes genoux vers son visage. En me redressant, je guide son gland vers mon petit trou (enfin bon c'est une expression). Je lis la surprise dans son regard, mais toujours aucun mot n'a été échangé. Je lubrifie ma rondelle des sécrétions qui recouvre son sexe, avant d'appuyer sur le sexe tendu à la verticale de mon fondement.

Je suis une folle du cul. Pas du cul qui veut dire sexe, mais du cul qui veut dire cul. Depuis que je me souviens d'un émoi sexuel, j'ai toujours aimé me remplir le cul avec tout ce que je trouve. Même aller en classe avec le cul rempli d'une petite endive ou de mon tube de dentifrice, cela m'excitait tellement. En grandissant j'ai utilisé des sextoys tout en gardant le plaisir d'y mettre des objets pas prévus pour. Une de mes grosses excitations était d'aller dans les toilettes invités et de me remplir avec tout ce que je trouvais dans les placards des maisons où j'étais convié. Puis replacer les objets gardant mon odeur et rapidement nettoyés. C'est vraiment crade, mais cela me faisait défaillir. Jusqu'au jour où je me suis retrouvée avec une grosse, très grosse bonbonne d'eau à rafraichir qui s'est bien coincée dans mon rectum et impossible à enlever comme cela. La panique a été telle, l'humiliation aussi que j'ai arrêté ce petit jeu pour maintenant ne jouer qu'avec mes jouets, sauf exception...

Mon petit trou donc, s'ouvre doucement, au gré du poids que je mets dessus. Quelques centimètres, une douleur fulgurante me fait reculer et prendre mon souffle. Je ne m'inquiète pas je l'attendais, il faut qu'il se déplie et là j'y ai été franco. Après une minute je reprends la bite dans mon cul et je m'empale d'un coup malgré la taille et l'épaisseur. La sensation est monstrueusement jouissive, je tremble de tous mes membres. Cela tire dans mes jambes et mes pieds, je suis au paradis. L'impression est ineffable. Je connais cette sensation sur mes plus gros godes, mais là je m'empale sur une bite qui est chaude, qui vibre et qui pourrait venir me défoncer. Et qui plus est, appartient à ce magnifique male. Je remonte avant de me refaire tomber, encore et encore, sentant les picotements partout dans le corps. Il suffirait que je me touche pour partir au firmament mais je ne veux pas que cela s'arrête. Non là je veux qu'il me prenne, me défonce, fasse de moi sa chienne en manque. Mon sexe n'est qu'une flaque et même mon cul mouille abondamment. Lui semble perdu dans mes seins, le regard affolé tout en se laissant faire.

Je me mets à quatre pattes et sans fioritures je lui prends la bite pour le guider vers mon cul qui est tout béant. Maladroitement avec son pantalon sur les chevilles, bonjour la sensualité, il se met à 4 pattes, pose ses mains puissantes sur mes hanches et mon ventre, et enfin s'enfonce de lui-même dans mon anus palpitant. Il était temps qu'il se réveille. Enfin, j'ouvre la bouche, et c'est pour lui demander de me défoncer, d'aller plus loin, plus vite, plus fort. Et il obéit très bien, je reçois des coups de boutoirs de folie, je n'ai jamais été prise ainsi même par une fuck-machine que j'avais essayée. La sensation est divine, je suis pantelante, je ne sais même pas si j'ai envie de jouir. En fait mon corps répond pour moi dans un orgasme de folie, ma vue devient toute noire, je n'ai plus de force dans les bras et je m'effondre dans l'herbe, le privant ainsi de son fourreau confortable. Je suis à la fois soulagée de ce pieu en moi et déjà en manque. Mais surtout épuisée. Il s'allonge à mes côtés, je me love la poitrine sur son torse et je m'endors rassasiée à peine coupable qu'il n'ai pas joui.

Les clins d'œil sont appuyés ce matin au bureau. J'ai la tête dans le sac mais un énorme sourire sur les lèvres, quelle soirée ! Lorsque je me suis réveillée, j'étais seule ou presque. Il avait posé ma tête sur un coussin et m'avait laissée ainsi sur l'herbe, c'était gentil d'avoir pensé au coussin. Evidemment ce matin toute la tour est au courant et se demande si cette fois c'est sérieux pour moi ou pas. Comme si, parce que c'était le directeur marketing, qu'il a 15 ans de plus que moi, cela a des raisons d'être sérieux ! Je couche régulièrement avec mon directeur commercial, que j'adore, et cela ne signifie en rien que c'est sérieux. Oui mais François c'est le quaterback de l'entreprise, son héros ! Et personne ne lui connait de femme ou même de fréquentation. Quand les soirées sont accompagnées il vient toujours seul. Je ne peux qu'être folle amoureuse de lui. Mes copines m'expliquent tout cela, et je ris tellement je suis loin de toutes ces pensées. J'ai fait une baise d'enfer, ce n'est pas la première et pas la dernière ! Par pudeur, j'en ai, je ne dis rien de comment est monté mon amant d'hier. Mais mon cul s'en souvient bien ! Et me demande encore.

Franchement, je ne comprends pas que tout le monde s'excite comme cela, je ne vais pas faire ma vie avec François et je n'en pince pas pour lui. D'accord j'ai pris l'initiative hier soir, mais sur un coup de tête non prémédité, je le jure ! Je n'ai pas trop le temps de fantasmer sur les mecs, à vrai dire, j'en vois trop défiler.

[SMS François]

Bonjour Claire, tu es bien rentrée? Je voulais m'excuser mais tu dormais si bien que je n'ai pas voulu te réveiller.

[SMS Claire]

Bonjour François, oui je te remercie, mon cul était un peu déçu de ne pas te retrouvé hier, notre chevauchée était énorme !

[SMS François]

Je suis désolé, vraiment mais je devais rentrer. Puis je me faire pardonner en t'invitant à dîner demain chez moi?

Oups je me dis que cela prend une autre tournure qu'imaginée. Cela répond à l'interrogation de Samia qui partage mon bureau, François doit être célibataire pour m'inviter chez lui. Ou alors c'est un gros pervers, mais dans ce cas il cache bien son jeu. Evidemment j'ai dit à Samia qu'il m'invitait et elles sont 4 dans mon bureau à me pousser à accepter. Je suis ambivalente. A la fois François a un physique que j'aime beaucoup et tout, et tout, mais son côté macho, premier de la classe et vainqueur me hérisse et me fait fuir. Je déteste les hommes dominateurs. J'en ai fréquenté quelques-uns, je me suis même amusée à jouer la soumise pour voir, mais c'est insupportable. Et si hier soir j'ai craqué c'était parce qu'il avait l'air si vulnérable que cela m'a touchée. Mais je ne peux résister à la pression de mes copines. Elles sont terribles. Et je les adore !

[SMS Claire]

D'accord, avec plaisir, tu m'envoies l'adresse. Je vais repasser chez moi prendre une douche et me changer. On se dit 20h30?

Heureusement que les relations entre collègues ne sont pas proscrites dans la société. Parce que tout l'étage commercial est au courant. Il faut dire que les gens du marketing sont à la fois nos partenaires privilégiés mais aussi nos 'ennemis'. On se frotte tout le temps. Alors qu'une assistante commerciale sorte avec le directeur marketing, cela fait tout un foin. C'est rigolo tout le monde semble bien plus excité que moi. C'est juste un coup d'un soir ! Oui mais François me répète Samia. Bref, elles sont toutes folles dingues de lui. A l'étage du marketing personne n'est au courant et personne n'évoque quoi que ce soit. François c'est le leader maximo que tout le monde craint.

Moi ce soir j'ai un autre rencard et c'est sur lui que je me concentre. Armand. Je me demande comment je vais m'habiller pour le rendre fou : C'est un ami de mes parents qui m'est très cher. Il m'a beaucoup appris sur le sexe, mon corps, mon plaisir et a toujours été là pour m'accompagner. Il n'a pas voulu me toucher avant mes 15 ans malgré mes demandes, mes strip tease, et tout ce que j'ai pu inventer pour le faire craquer. Aussi quand nous nous rencontrons, je joue chaque fois un personnage pour nous faire rire. Je crois que ce soir, comme il est fatigué, je vais jouer à l'infirmière perverse ! J'aimerais bien trouver une grosse seringue pour faire un clystère, mais c'est un peu tard pour commander sur Internet.

Je suis toujours ponctuelle. C'est un truc hyper important pour moi, une forme de respect, à la fois pour les autres mais aussi pour moi. La moindre des choses est de maîtriser mon temps ! Je suis un peu mal à l'aise devant l'immeuble correspondant à l'adresse fournie par François, où un portier m'ouvre la porte. Ce n'est pas trop le genre à Paris, mais là j'ai l'impression que nous sommes un peu ailleurs. Heureusement j'ai tapé dans le haut de gamme de ma garde-robe avec une robe Agnès B, noire évidemment, offrant un décolleté vertigineux et assez courte, avec les Louboutin que mon amant d'hier soir m'a offertes ! Pour le décolleté j'ai découvert que les hommes étaient aussi affolés quand j'avais un profond décolleté que quand mes seins étaient invisibles. Leur taille et leur fermeté se devinent et ils sont raides dingues. Alors je ne me prive pas car j'adore voir cette vallée sombre entre mes deux seins, je trouve cela très joli et irrésistible. Narcissique? Oui sans doute je le suis, mais je crois le mériter ! Un dernier coup d'œil dans la glace, mes cheveux sont libres sur mes épaules, j'arrive au dernier étage. Mon cœur un peu plus que d'habitude je dois l'avouer.

Je ne sais pas cacher mes émotions, et c'est la mâchoire décrochée que je fais un pas dans l'entrée où s'est ouvert directement l'ascenseur. Le salon est immense, éclairé par de grandes baies vitrées avec une terrasse toute aussi grande et toute aussi éclairée. Au loin je devine Notre Dame et le Sacré Cœur, c'est quelque chose de fou. Cela fait rire François qui me prend mon trench et mon sac, me trouve sublime et me fait faire le tour du salon pour venir admirer la vue. Je suis incapable de dire un mot, je n'ai jamais rien vu de tel, ni même imaginé que cela existait à Paris. La terrasse donne directement sur les pelouses devant les Invalides, éclairés magnifiquement. L'air est doux, la terrasse est fleurie, sans vis-à-vis, une table est dressée dans un coin avec un chandelier dont la lumière vacille doucement. J'ai juste envie de fuir. Je ne suis pas dans mon élément. Je vote à gauche depuis toujours et ce genre de luxe aussi ostentatoire me révulse. En même temps je trouve cela sublime et incroyable. Je pense aux filles au bureau, je sais bien ce qu'elles me diraient.

C'est comme François, à la fois je suis attirée mais repoussée par son assurance, son côté patriarcal.

- Cela t'ennuie si on va plutôt au restaurant?

Je ne lui ai même pas dit bonjour, ce sont les premiers mots qui sortent sans même que j'ai eu conscience. Son regard est tendre, il me regarde intensément en souriant, je le sens me sonder. Je reprends mon manteau et mon sac et je l'embrasse dans l'ascenseur pour avoir été aussi prévenant avec une pimbêche comme moi. Je vais me faire engueuler par Samia Lund quand je vais lui raconter ma réaction débile. Je respire mieux une fois dehors. La brasserie en face sera très bien.

Le dîner a été vraiment agréable, la nourriture excellente (j'adore bien manger), le vin délicieux et François très à l'écoute, me faisant parler encore et encore. Je me détends, le vin aidant sans doute, et je le trouve séduisant. Il est doux, attentionné et je ne me souviens pas d'un amant aussi intéressé par moi. J'en apprends plus sur lui quand même, qu'il est célibataire, qu'il était triste avant-hier après une séparation compliquée. Que son appartement est un héritage et qu'il est blindé d'argent. Il s'en excuse presque. Il a raison, je n'adore pas cela du tout. Et j'apprends aussi qu'il a vécu l'expérience sexuelle la plus folle de sa vie avec moi avant-hier soir ! Je ris de son compliment en lui disant que je regrette pour lui qu'il n'ait rencontré que des coincées du cul avant ! Ceci étant je suis flattée. Je sais que les mecs craquent encore plus pour moi après qu'avant. J'aime baiser, et les hommes aiment les femmes qui aiment le sexe. Pas à les épouser bien entendu, ils veulent une sainte avec qui se faire chier toute la vie, mais pour une aventure je suis un fantasme absolu. Mais je ris quand même en lui disant qu'il n'a vraiment pas vécu grand-chose alors.

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