Une Fille Bien Sage

BÊTA PUBLIQUE

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Pour ma part, c'était une autre sorte de renflement qui se formait dans mon pantalon. Ça n'était pas la première fois, depuis le début de cette séance, que je pouvais sentir mon sexe gonfler en réaction aux tourments de Camille. À ce moment, pourtant, je prenais une plus ferme conscience de mes besoins. Après avoir pris le temps de la réduire à l'état de docilité où elle se trouvait, après avoir pris soin de la récompenser et de la punir, en fonction de ses réactions et après avoir fait d'elle un parfait petit bébé, il me semblait que c'était à mon tour, finalement, de prendre le plaisir que je méritais.

La perversion de cette pensée ne fit que renforcer la fermeté de mon érection. Fallait-il absolument que ma victime consentante porte la couche, pour que l'envie de la prendre me devienne irrésistible? Non, je l'avais possédée bien souvent dans d'autres circonstances. Le contraste, pourtant, entre sa régression et mon désir ajoutait un tabou délicieux à cette perspective. Et puis, ne l'avait-elle pas voulu? N'attendait-elle, pas, elle aussi, ma queue dure en elle? Elle dont la bouche avait déjà subi bien des outrages mais dont la chatte demeurait désespérément vide. Le désir d'être prise, ici et maintenant, n'emplissait-il pas toutes ses pensées? Alors qu'elle tentait désespérément de faire le vide dans sa tête, replissant au feutre les motifs du cahier, n'étais-ce pas la seule menace de nouvelles tortures qui la retenait de se jeter contre moi et de libérer mon sexe pour s'y empaler?

Elle ne pouvait pas ne pas sentir mon érection. J'étais maintenant au-dessus d'elle et dans le mouvement désordonné de ses hanches, elle portait l'une de ses cuisses entre les miennes chaque fois qu'elle le pouvait.

Finalement, je déboutonnais ma braguette pour libérer mon organe trop longtemps contraint. D'une main, j'en flattais la fermeté, la pulsation et de l'autre, je maintenais en place le cul en couche de ma soumise pour qu'elle cesse de trop s'agiter.

- Qu'est-ce qui te gène, ma petite Camille? Pourquoi est-ce que tu ne fais pas ton pipi dans ta couche comme un gros bébé? Je vois bien que tu ne sais pas te retenir... Fis-je d'une voix douce, mais sans la laisser s'écarter du sol contre lequel je plaquais son bassin.

L'effet fut presque immédiat. Ne pouvant plus se tordre et se contorsionner, Camille était finalement incapable de contenir sa vessie. Pour moi, qui avait la main sur son change, ce fut d'abord une chaleur diffuse, puis le début d'un remplissage progressif et alors que je pouvais jusque-là sentir un peu de son sexe à travers le plastique, il n'y eut bientôt sous mes doigts que le renflement indécent de la couche qui faisait son office.

Je continuais de me masturber pendant ce moment d'abandon. Que pouvais-je exiger de plus? Elle qui m'avait maintenant presque tout donné, il ne me restait plus qu'une chose à lui prendre.

À peine avait-elle fini son besoin que j'ouvrais la couche pleine d'urine pour m'offrir à nouveau l'accès direct à son intimité.

- Tu es un petite pisseuse, Camille, dis-je en m'allongeant sur son corps épuisé.

Elle réagit d'un gargouillis étouffé, seule sorte de bruit que lui permettait son bâillon. J'ignore si ce son se voulait acquiescement ou protestation et à vrai dire, je ne m'en souciai pas. Sa chatte, mouillée de pisse et de sécrétions, se positionnait parfaitement sous mon gland turgescent mais alors que Camille se cambrait pour mieux m'accueillir, je remontais ma bite lubrifiée entre des fesses bien chaudes.

- Je ne baise pas les petites pisseuses comme toi, Camille, non... Toi tu es juste bonne à te faire enculer!

Et avant qu'elle n'eut le temps de me résister, j'appuyais de tout mon poids contre son petit trou jusqu'à le faire céder.

Mon gland épais s'y logea d'abord, puis la plus grande partie de la hampe et ce n'est qu'une fois que je fus bien entré en elle que la petite soumise tenta de se débattre. Elle qui avait su rester si calme et silencieuse durant toute cette dernière séquence, elle se tournait en tout sens pour essayer de me déloger, tout en essayant de crier à travers le gode qui lui violait la gorge.

D'une nouvelle pression, je m'enfonçais plus profondément tout en assurant ma prise sur elle, pour qu'elle ne m'échappe pas. Elle avait déjà tant subi, elle était déjà si fatiguée que sous moi, qui avais encore toute ma force, elle n'avait aucune chance.

Je m'autorisais enfin un gémissement de plaisir. Plus elle essayait de me repousser, plus son anus distendu se serrait autour de ma verge. Les contractions et les poussées de son cul, le balancement de ses hanches, les spasmes de tout son corps enfin, tout cela était pour moi un délicieux massage.

La souffrance de mon intrusion fut, finalement, pour Camille, d'assez courte durée. Pourquoi aurais-je plus pris mon temps? La sensation, certes, était incomparable mais mon seul objectif était la jouissance et je sentais que je m'en rapprochais.

En la tenant par les cheveux pour qu'elle se cambre bien, de l'autre main je maculais son visage de ses larmes et de sa bave mêlées, puis je pinçais son nez pour bloquer sa respiration. Privée d'air, elle eut pour réflexe de contracter chaque muscle de son corps : ceci fit se serrer encore plus ses adorables fesses. Avec ma queue prise dans le petit trou dur comme l'acier, quelques derniers coups de reins m'amenèrent enfin au plaisir suprême.

Je vins en plusieurs longs spasmes. D'abord un profond jet que j'imaginais projeté dans ses entrailles, puis une série de secousses que je sentais passer la barrière de chair pour se mieux emplir celle qui était devenue ma vide-couilles. À chaque poussée, une vague de plaisir parcourait mon corps et je serais contre moi celle que je n'arrivais plus à désigner par son prénom. Salope, chienne, pute, sac à foutre... étaient les seuls mots qui venaient à mon esprit embrumé par la jouissance.

Haletant mais sans la laisser encore respirer, mon organe était encore dur quand je m'approchais de son oreille :

- Tu as arrêté ton coloriage, petite pute.

Puis avisant le cahier qu'elle avait jeté à l'écart en se débattant : « Et tu as débordé partout, regarde! »

Camille ne bougeait plus, pour économiser son oxygène. Je crois qu'elle comprenait qu'il était dans son intérêt de vraiment bien écouter ce que j'avais à lui dire :

- J'ai prévenu l'université, tout à l'heure. J'ai dit que tu étais malade pour la semaine... Alors tu vois, je vais avoir tout le temps de t'apprendre à être une petite fille vraiment bien sage!

Elle écarquilla les yeux. Je lui rendis son souffle, mais pas sa liberté. Ma petite Camille avait voulu savoir ce que signifie « ne pas avoir le choix ». Je comptais bien lui donner satisfaction, au-delà de tout ce qu'elle avait pu imaginer.

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1 Commentaires
Sium38Sium38il y a 3 mois

Magnifique récit. Très bien écrit. La soumission dans ses couches est très bandante.

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