Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.
Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.
Cliquez ici
-Les bagages maintenant. »
Je n'arrivais pas à quitter des yeux les esclaves. J'étais amusée de voir d'un côté une femme qui tenait en laisse un homme nu, lequel portait des valises, quand à côté, l'esclave 'seul' était tenu en laisse par une hôtesse qui, elle, portait une valise. Il faut reconnaitre que les mains attachées dans le dos il était dans l'incapacité de porter sa valise.
En même temps les esclaves n'était pas si nombreux. Ils représentaient une personne sur vingt environ. Mais ces 5% de population nue dans un aéroport se faisait remarquer.
Nous allions quitter la zone internationale, quand un douanier m'interpella.
-Pardon Madame, pouvez-vous ouvrir votre bagage?
-Bien sûr dis-je mal à l'aise, en posant mon sac sur le comptoir devant l'homme en uniforme. Un plutôt bel homme d'ailleurs. Tout d'un coup je me demandais ce que Michel avait mis dans mon sac.
-Hey ma salope, un esclave seul avec bagage ça se contrôle! » dit le voisin de mon contrôleur.
-Ouvrez me dit l'homme » Daniel d'après son badge. Je fis comme demandé.
Mes culottes étaient alignées sur le haut du sac, à côté des soutien-gorge. Je pris mes sous-vêtements sous le regard goguenard de Daniel.
-Qu'y a-t-il dans ces boites? » Quelle idée avait eu Michel de mettre mes sex-toys. Dans mon sac.
J'ouvris la boite des vibromasseurs. Daniel était très intéressé. Les gens qui venaient autour de nous ne perdaient rien du spectacle. La seconde boite contenait d'autres jouets, comme des rosebud, des pinces à seins, et même une paire de menottes.
-Il faut toujours avoir de quoi jouer avec son esclave » me dit le douanier.
Il contrôla quand même les jupes, pantalons et chemisiers que Michel avait prévus. Il fut aussi curieux de ma trousse de toilette.
Déballer tout cela était un grand moment d'humiliation, le ranger en fut un autre. Mais moi au moins j'avais pu manipuler mes affaires. L'esclave seul à côté de moi n'avait pas eu cette chance.
Tom riait, alors que nous passions la porte à sens unique derrière laquelle nous attendais une foule impatiente de retrouver un fils, un mari, un ami, peut-être même un esclave voyageant seul. Il allait falloir que je retrouve Macha, que je ne connaissais pas. M'en voulait-elle ce que j'avais fait quelques années plus tôt avec son mari? Était-elle au courant? J'étais ravie de me débarrasser de Tom, mais inquiète de ce qu'allait être ma rencontre avec Macha Ni Diomain.
- COMMENTAIRES
