Un Voyage à Atlanta Ch. 02

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Une visite du marché aux esclaves.
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé par certains pays. Nous nous sommes très largement inspirés de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Chaque histoire est indépendante, les personnages secondaires se retrouvent d'une histoire sur l'autre.

Ont déjà été publiées :

*Un centre Pour Roux

*L'esclave Mystère

Emmanuelle et moi avons mixé nos différents points de vue.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

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Une Visite du marché aux esclaves

-Bonjour Macha! » dit Tom en saluant une jeune femme de la main.

-Bonjour Tom! C'est Emmanuelle? » demanda le petit bout de femme rousse. Elle n'était pas bien maigre, et sa coiffure en boule ajoutait à cet aspect « petite boule »

-Bonjour Macha, je suis Emmanuelle » dis-je, en m'approchant d'elle. J'allais l'embrasser, elle ne comprit pas, mais me serra dans ses bras, un hug en fait.

-Emmanuelle, je vous conduis à la maison. Erik passera à midi, et vous conduira à l'université pour l'après-midi, » me dit Macha sur un ton ferme, mais avec un grand sourire. « On y va, » ajouta-t-elle.

Elle se plaça à côté de moi, et je sentis son bras se placer sur ma hanche, sa main au-dessus de mes fesses. C'était assez familier. J'étais surprise.

-Appelez-moi, Emma, c'est plus facile à prononcer, » dis-je en me dégageant de sa main. Je la sentis surprise, puis désolée.

-Oh, excusez-moi ; l'habitude! Emma!» dit-elle.

Un homme était en train d'attacher son esclave à un anneau, mais il semblait avoir des difficultés.

-Attendez un instant, » me dit Macha. Elle alla vers le couple, et aida l'homme à déclencher le mécanisme. Ce qui me surprit le plus fut que l'esclave la remercia tout autant que le Maître.

-J'ai un peu d'expérience, alors c'est normal d'aider les gens. »

-Je... l'esclave vous a remercié tout autant de son Maître? »

-Oui, ça vous étonne? Si ça trouve, c'est elle qui a voulu être son esclave, » me dit Macha. J'imaginais bien qu'elle se moquait de moi, malgré son apparence très sérieuse.

-Vous travaillez dans l'industrie de l'esclavage, je crois? » dis-je pour trouver un sujet de discussion. Celui-là était sans doute maladroit, mais depuis que cette femme s'était déshabillée dans l'avion je n'arrivais plus à penser qu'à ça.

-L'industrie, c'est un bien grand mot. Je parlerais plus d'artisanat. Mais oui, je suis manipulatrice d'esclave, » me dit-elle en riant. La bonne humeur transirait de sa personne.

-Et concrètement... ça consiste en quoi? » demandais-je.

-Beaucoup de gens disent que nous sommes des gardiens. Ça consiste à les diriger, à s'occuper d'eux. Je travaille dans le grand marché aux esclaves d'Atlanta. On reçoit des gens qui deviennent des esclaves et que l'on vend. Mon travail consiste à les accompagner dans cette transformation, » me dit-elle.

-L'accompagnement, ce sont des coups de fouet? »

-Ça peut l'être, mais en général on évite, ça abîme la marchandise » me dit-elle avec un grand sourire. Elle se moquait clairement de moi.

-Je... »

-Vous êtes Européenne. Vous êtes contre l'esclavage. C'est votre droit, » me dit-elle en me souriant.

-Effectivement... » commençais-je.

-Apprenez à connaître notre esclavage, avant de juger. Vous verrez c'est comme tout. Il y a des abus. Et il y a des choses sympas, » me dit-elle. J'avais du mal à la croire, même si l'idée de mon Michel tenu en laisse en ville me plaisait beaucoup!

-Je vous entends, et je promets de ne pas être trop fermée. Mais vous ne m'empêcherez pas de penser que vous dites cela, car vous êtes partie prenante. Vous avez intérêt à ce qu'il y ait des esclaves! »

-Bien, sur. Mais je fais ce métier-là, car j'aime les esclaves. J'aime les dominer, et j'aime les voir changer entre leur entrée au marché et le moment de leur vente. Je travaille à différents stades. Mais le stade que je préfère c'est le Yoga des esclaves. Je les vois évoluer en quelques minutes. »

-Le Yoga-des-esclaves? » dis-je sans insister sur le fait que Macha aimait dominer les esclaves, mais aimait-elle être dominée en tant qu'esclave? En même temps, j'aimais dominer Michel... et Laurence. Mais eux n'étaient pas esclaves!

-C'est une discipline que je peux vous apprendre... »

-Oh je ne crois pas... »

-Beaucoup de gens pratiquent. Il n'y a pas besoin d'être esclave. Je dirais même qu'il faut pratiquer avant de devenir esclave, » me dit Macha alors que nous montions dans la voiture. Elle sembla avoir du mal à s'installer.

Macha démarra le moteur. Elle posa ses mains sur le volant. Puis elle arrêta le moteur, et se tourna vers moi.

-Il y a truc moche dans l'esclavage américain, » me dit-elle.

-Oui? » demandais-je, plus pour lui permettre de passer à la suite.

-Il y a une pratique amusante c'est l'évaluation, » me dit-elle.

-Oui, on m'en a parlé, »

-Tom? »

-Oui. »

-Alors nous devons parler. Mais à la maison, » dit-elle en redémarrant son moteur et partant à travers le parking. Je voulais demander pourquoi, mais je préférais laisser Macha se concentrer sur sa conduite. Avec sa petite taille, je me demandais comment elle voyait la route. Peut-être par l'intérieur du volant?

C'est une fois sur l'autoroute que j'osais prendre la parole.

-Vous êtes dynamique au volant! » dis-je.

-Pas qu'au volant, croyez-moi » me dit-elle, avec un grand sourire qui appelait beaucoup de sous-entendus.

Finalement, nous sommes arrivées, dans un lotissement de la périphérie de la ville. Macha m'aida à porter mon sac.

-Les chambres sont à l'étage! » me dit-elle en me guidant.

-Vous vouliez me parler de l'évaluation? » demandais-je. Macha me regarda, fronça les sourcils.

-En fait il y 3 types d'esclaves. Ceux qui ont choisi de l'être. C'est leur choix, il n'y a pas de problème. Ceux que leurs actes ont dirigés vers l'esclavage. Ils ont été condamnés. C'est logique, » me dit-elle. Je n'étais pas forcément d'accord. Mais j'attendais avec impatience la troisième catégorie.

-Et il y a ceux qui ont été trompés. Et là ce n'est pas juste, » expliqua-t-elle.

-Ceux qui ont été trompés? »

-Oui, par exemple, le contrat standard d'évaluation, comporte une anomalie, à mon avis, » disait-elle.

-Oui, » dis-je sans bien-être sûre de comprendre.

-Le plus simple serait que je vous fasse visiter le marché aux esclaves. »

-Vous êtes sûr? » demandais-je alors que je souhaitais plutôt le boycotter. Enfin, une partie de moi avait ce devoir.

-Pour juger, il faut connaître! » Cet argument fit mouche. L'instant d'après, nous filions vers le SCCM où travaillait Macha. Elle se stationna quelques rues plus loin dans un grand parking.

-Voici le centre d'Atlanta. À votre gauche, le parc du centenaire des Jeux Olympiques, plus loin, le World of Coca-cola. Il cache le centre des droits civiques. Et en face de l'autre côté de l'avenue des Jeux Olympiques, il y a le SCCM, » m'expliqua Macha plutôt excitée.

-C'est d'un goût, d'avoir mis ça en face du Centre des droits civiques et humains, » m'exclamais-je.

-Au contraire. L'esclavage d'aujourd'hui n'a rien de raciste! » répliqua Macha étonnée de mon point de vue. Elle me conduisit devant le marché, et m'entraîna dans un grand escalier en marbre noir. En haut, elle me poussa vers l'un des guichets.

-Vous avez l'intention d'acheter, » me demanda l'hôtesse.

-Non, Shirley, elle vient de France, et veut découvrir le marché! » dit Macha.

-Pourquoi ne lui fais-tu pas faire une évaluation? tenez des badges visiteurs, marquez vos noms dessus »

-C'est pour ne pas être confondu avec les esclaves? » demandais-je.

-Non, les esclaves sont en contrebas, » me dit-elle.

Et nous entrâmes dans ce qui était le temple de l'esclavagisme moderne. Concrètement, un grand hall, qui était l'étage d'une mezzanine. Sur les murs, des logos de femmes esclaves mimaient les pin up Coca-cola des années 50 et 60, mais en inversant le rouge et le blanc. La première n'avait qu'un collier avec une laisse qui pendait mollement entre ses seins. La seconde était enchaînée.

-Viens regarder en bas » me dit Macha déjà accoudée à la balustrade qui formait une gigantesque ouverture et permettait de voir ce qui se passait en bas. Je m'approchais d'elle pour découvrir l'enfer. La partie basse était découpée en cage de différentes formes, avec des hommes et des femmes nus qui attendaient leur sort.

-Les esclaves parcourent un cercle en dessous de nous. Ils sont enregistrés comme esclaves. Vus par un médecin, on l'appelle vétérinaire. Puis il y a une répétition de yoga, et là-bas il y a la plateforme d'évaluation sur laquelle ils sont exposés pour 1h. Puis ceux qui ne sont pas là juste pour évaluation passent en salle des ventes, puis sont marqués, et ils reviennent alors vers l'entrée. »

-Et les cages au milieu? »

-Ils y attendent avant de passer à l'étape d'après. Typiquement avant l'évaluation, ou avant la vente. » M'expliqua-t-elle. Pour elle tout cela était naturel et normal.

La plateforme était en position haute. Elle commença à descendre. En nous déplaçant vers l'opposé, nous pouvions voir le mouvement des manipulateurs d'esclaves qui libéraient ceux qui étaient à genoux sur la plateforme, pour les conduire dans une cage. Puis ce fut au tour d'autres esclaves qui attendaient d'être disposés chacun sur son support de velours rouge.

Quand ils eurent fini, la plateforme monta.

-Allons voir, les visiteurs peuvent en profiter pendant 30 minutes, » expliqua Macha en m'entraînant au travers de l'espace. Sur le côté était indiquée la salle des ventes.

Nous arrivions devant la plateforme. D'un côté se trouvaient des personnes avec des tablettes. Ils avaient des badges rouges. Là où nous étions, tout le monde avait un badge blanc. Il y avait pas mal d'ados, qui poussaient pour s'approcher. Petit à petit, nous pûmes accéder à la plateforme et regarder les quatre esclaves disposés à genoux, les mains attachées à un mât en hauteur. Leurs cuisses ouvertes permettaient de voir leur intimité. L'un des deux hommes portait une cage de chasteté. Je remarquais les liens discrets qui reliaient leurs genoux à la plateforme : s'ils avaient voulu, ils n'auraient pas pu refermer leurs jambes. Ils avaient également la bouche grande ouverte, et je me doutais que ce n'était pas de leur propre volonté.

-Il a une marque en forme de pêche, c'est une vente judiciaire. »

-C'est-à-dire? » demandais-je

-Je pense qu'il est condamné. Avec la cage, sans doute pour viol, » me dit-elle.

-On n'en sait pas plus?

-Nous non, mais les acheteurs ont plus de détails sur leurs tablettes. »

Il y avait aussi deux femmes que les jeunes hommes touchaient sans retenue. Je m'imaginais à leurs places. Je préférerais imaginer Michelle. En tout cas, l'image d'Angélique était vraiment dépassée.

Puis des gardes nous ont demandé d'évacuer la plateforme. Après nous, ce sont les personnes avec les badges rouges et leurs tablettes qui ont pris place. Clairement, comme des œnologues notent un vin en suivant leur fiche de dégustation, ces esclavogues remplissaient des fiches après une observation détaillée des esclaves et de leurs réactions. J'étais assez curieuse de savoir quels étaient leurs points de notation.

-Tu es dégoûtée, ou subjuguée par ce que tu vois? » me demanda Macha.

-Ce n'est pas incompatible. L'être humain est fasciné par plein de choses qui sont révoltantes. C'est un peu le principe du cinéma, des acteurs jouent, et on y croit. Je me dégoûte un peu moi-même d'être à ce point fasciné par la déchéance d'autres êtres humains... » dis-je. Macha souriait, l'air de me dire, tu es toute excitée de ce que tu vois, mais tu as trouvé de quoi mettre en accord ta propre excitation avec tes principes. Elle n'avait pas tort.

-La salle des ventes est là » dit-elle en me dirigeant vers la porte 'Salle des ventes -- Observateurs'. Après un escalier, nous sommes arrivées dans le haut d'un amphithéâtre. Je compris que les spectateurs, comme nous, étaient dans la partie supérieure. Les vrais acheteurs étaient plus bas, et voyaient certainement mieux la partie centrale ou une jeune femme nue qui venait d'entrer. Elle semblait un peu perdue, et marchait sans savoir où elle allait, la tête en l'air.

-6768, Jennifer, étudiante en médecine, Blonde, facilement excitable, c'est un contrat de 8 ans, elle est plutôt réticente à obéir. Il va falloir la dresser, je sais que certains d'entre vous aiment ça! » dit l'homme sur l'espèce de présentoirs surélevé. Il avait un marteau et un fouet en main.

-À genoux » cria-t-il. Elle commença à le regarder, mais il fit claquer son fouet, et elle obéit immédiatement en se laissant tomber au sol.

-À quatre pattes » cria-t-il encore en appuyant ses propos d'un claquement de fouet. Je ne la trouvais pas si réticente à obéir, mais le fouet devait la motiver!

-Fesses en l'air, » ordonna-t-il encore, et elle abaissant le haut de son corps lui montrant ses fesses.

-Debout, » elle sauta pour se redresser rapidement. Il la fit tourner sur elle-même, puis lui fit refaire les mêmes mouvements qui finissaient par cette position où elle nous montrait ses fesses et ses orifices.

-Reste en position, et caresse-toi, » demanda-t-il enfin.

Les acheteurs notaient des montants sur leurs tablettes, et le commissaire-priseur voyait un signal, en tendant son marteau vers un acheteur ou un autre il disait, oui à gauche, oui à droite... »

Rapidement, ce fut fini.

-Une fois, deux fois, trois fois » dit-il avant de donner le coup de marteau, sur la piste l'esclave s'effondrait au moment du coup de marteau, comme si ce signal qui matérialisait sa vente avait déclenché son orgasme.

Des manipulateurs d'esclaves l'aidèrent à se relever, puis la firent sortir.

-On va voir la suite? » me dit Macha. Et nous sortîmes de la salle des ventes pour voir le marquage.

La première chose qui me marqua fut l'odeur forte de chair brûlée et d'urine.

-Ça pue? »

-C'est l'odeur de la peur! » me dit-elle.

Je reconnus Jennifer qui tremblait en marchant sur le sable qui recouvrait le sol.

-Allez beauté, va t'allonger là-bas, tu vas voir ce sera chaud entre nous, » dit le manipulateur. C'était manifestement une blague qui ne faisait rire que lui. Jennifer fit quelques pas, de tout petit pas, vers l'espèce de lit en cuir. »

-No...non, s'il vous plaît » disait-elle, manifestement effrayée.

Tu verras, c'est comme des UV, sauf que ça chauffe plus, » ajouta-t-il en riant. Et il la poussa en avant, puis quand elle tomba sur le lit, il s'assit sur elle afin de l'immobiliser et l'attacher. Elle remuait frénétiquement en répétant : « non, non, non. »

Quand il eut fini de l'attacher, il lui présenta un objet. Il voulait qu'elle l'embrasse. Il le passa sur ses lèvres avant de l'encliqueter sur un support. Il prit un large morceau de cuir et le présenta devant sa bouche. Elle qui criait, se tut, et ferma la bouche. Il fit mine d'attraper l'objet qui rougeoyait. Elle cria non, et il en profita pour lui glisser le cuir dans la bouche et le nouer derrière sa tête.

Puis il attendit. L'objet était blanc et lumineux, il fit un clac. Il l'attrapa, et lui montra. Elle hurla quelque chose d'incompréhensible. Il s'installa près de sa fesse. Il pulvérisa de l'eau, puis appliqua délicatement le tampon brûlant sur la fesse. L'esclave désormais marquée hurla et laissa échapper un jet d'urine.

-C'est barbare, » dis-je.

-Ils n'ont pas fini, » me dit Macha, « Il faut encore qu'il applique son grade. » Je me levais et sortais de la pièce horrifiée de ce que je venais de voir.

-Elle est marquée comme du bétail! » dis-je à Macha.

-Oui, mais les esclaves sont comme du bétail, » me dit Macha le plus naturellement du monde.

Je la regardais incrédule : ce n'était pas elle l'esclave qui venait d'être marquée!

-Il faut que nous rentrions pour manger, » me dit-elle.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 14 jours

Mag va - t - elle retomber dans l'esclavage ? Préparer par Macha ? et son mari ? Tom sera ravi.

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