Un Centre Pour Roux Ch. 01

Informations sur Récit
Marguerite découvre des esclaves expérientées.
2.7k mots
4.38
11.3k
8
0

Partie 1 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

-------------------------------------------

En sortant du « World Congress Center » d'Atlanta, je sortais ma liste des choses à ne pas manquer dans la ville!

J'avais été voir le parc des Jeux Olympique de 1996, j'avais visité le World of Coca-Cola. En face, le « Slave's Cock'n'Cunt Market » (Marché de bites et foufounes d'esclaves) reprenait en lettres rouges sur fond blanc une forme de parodie sinistre de la célèbre marque de sodas. Ce troisième lieu à visiter, je l'avais volontairement ignoré, lui préférant le Georgia Aquarium. J'avais aussi apprécié le « Stone Mountain Park », le cinquième lieu à visiter, un peu en dehors de la ville. J'avais gouté à la cuisine éthiopienne dans le quartier « Little Five Points » après avoir visité le musée sur Martin Luther King.

Il me restait donc les lieux 9 et 10 à visiter, Le musée d'Art, et le « Ginger Conservation Center ».

La brochure expliquait qu'avec le réchauffement climatiques les roux souffriraient de la chaleur, et des coups de soleil. Ils seraient victimes de cancer de la peau. Toujours d'après la brochure, leur nombre serait déjà en diminution sur une planète où le nombre d'humains ne cessait de progresser. Le GCC, centre de conservation des roux c'était donc donné pour mission préserver une 'espèce' en voie de disparition.

Mon père étant descendant d'immigrant irlandais, j'étais tentée d'aller voir ce dernier lieu même si j'avais compris que ce centre était lié à l'esclavage, et devait être une forme de bordel dans lequel des rousses étaient exploitées par des esclavagistes peu soucieux, en fait, du respect de la personne humaine.

Quelque aient été mes opinions, les Etats-Unis avaient légalisé l'esclavage. Je le déplorais, mais en même temps je vivais de cette situation.

A 27 ans, Canadienne, je travaillais pour la police, et j'étais en charge de la lutte contre les trafics humains. C'était d'ailleurs la raison de ma présence à Atlanta : j'assistais à la conférence de lutte contre les trafics d'êtres humains.

Dans cette conférence les polices de différents pays montraient les différentes techniques utilisées par les trafiquants pour déplacer leurs esclaves, et en particulier leur faire passer les frontières. Les Etats-Unis avaient des présentations différentes. En effet, les trafiquants cherchent le profit, et donc déplacent leurs victimes vers un endroit où ils pourraient les valoriser. En Europe occidentale, des femmes d'Europe de l'Est, ou d'Afrique sont exploitées en tant que prostituées. Dans les pays où l'esclavage est légal, c'est différent. Les trafiquants cherchent simplement à ventre leurs victimes sur un marché légal. Le trafic se faisait donc du Canada non-esclavagiste, vers les Etats-Unis esclavagistes.

Mais revenons à ma visite d'Atlanta et du « Ginger Conservation Center »!

Le centre se trouvait à l'écart de la ville. Les hauts murs m'intimidaient alors que je garais ma voiture de location sur le parking qui se trouvait devant, puis je me présentais à l'accueil.

-Bonjour et bienvenue au GCC! » me dit une femme brune à l'entrée.

-Bonjour, j'ai lu que l'on pouvait visiter? » demandais-je

-Visiter, bien sûr, l'entrée est à $8,00. Mais si vous voulez une chambre c'est $100,00. » gloussa-t-elle. J'avais espéré que ce ne serait pas un bordel, mais a priori, c'en était un, où toutes les esclaves étaient rousses. Par curiosité, je pris une entrée simple. »

-Si vous voulez une chambre après coup c'est possible. Si vous voulez faire partie du staff je pense que c'est possible aussi » me dit-elle en riant, je m'étais attendue à une remarque comme celle-là. J'entrais, pour découvrir une cour, avec une forme de scène au milieu. Mais surtout, sur cette scène, une femme rousse, avec beaucoup de taches de rousseur, se tenait à genoux, nue. Elle n'avait pas vraiment le choix, car elle était dans un pilori.

-Bonjour, je m'appelle Debbie. Voulez-vous que je vous fasse faire le tour? » me dit une jeune femme. Elle devait être plus jeune que celle qui était sur scène, et avait moins de taches de rousseurs, Ses cheveux étaient nettement plus foncés, mais elle était rousse aussi. Elle était nue également si l'on excepte une forme de culotte métallique fermée par un cadenas.

-Bonjour Debbie. On m'appelle Mag. Je... pourquoi est-elle là, c'est une punition? » demandais-je en montrant la femme sur la scène.

-Oh non, elle n'est pas punie, au contraire! Maîtresse » commença Debbie.

-Elle attend d'être saille. » Je mot me fit sursauter, et je regardais Debbie, pas tout à fait sûre d'avoir compris.

-Oui, elle va être prise par des hommes roux » me dit Debbie.

-Là au milieu... de la cour? » demandais-je. Je m'imaginais à sa place, morte de honte. Elle, au contraire, semblait attendre avec peut-être même une certaine impatience, que je mettais sur le compte de la position imposée par le pilori. J'étais morte de honte, mais aussi je sentais en moi une forme d'excitation malsaine.

-Oui, Maîtresse. Vous ne connaissez pas le Centre? »

-Non, Debbie, explique-moi?»

-Voulez-vous que je vous emmène dans une chambre? »

-Je n'en ai pas prise »

-Ah? » Je sentis comme une déception de la part de Debbie.

-Le centre achète des esclaves roux... » commença-t-elle.

-Hommes comme Femmes, mais le marché des femmes est plus actif. » continua-t-elle.

-Et nous sommes saillies tous les deux à trois jours, jusqu'à ce que nous soyons enceintes. Entre les saillies nous portons une ceinture de chasteté, comme ça le centre contrôle qui nous féconde. »

-Et... vous êtes saillies là devant tout le monde? » demandais-je.

-Oui... On reste deux heures dans le pillori, puis les hommes arrivent ensuite »

-Et là elle doit attendre encore longtemps? » demandais-je

-1h20 min. Maitresse »

-Ce n'est pas un bordel en fait? » demandais-je.

-Si, un peu aussi. » dit Debbie en rougissant.

-Dans vos culottes de chasteté, vous ne pouvez pas... »

-Celles qui sont enceintes n'en ont pas. Et il nous reste nos bouches et notre... » commença-t-elle

-J'ai compris... » la coupais-je pour ne pas avoir plus de détails.

-Et beaucoup de femmes apprécient nos langues. » Je regardais Debbie, incrédule. En même temps cette discussion m'avait excitée. Je réalisais que mes seins pointaient. J'étais sans doute humide. Je n'avais jamais rien fait avec une femme. Je n'en avais jamais eu envie, mais là, la proposition de Debbie me tentait. C'était l'occasion d'essayer.

-Je... je dois repasser à l'accueil pour prendre une chambre? » demandais-je et Debbie me fis oui de la tête en me guidant. J'avais franchement honte de me laisser faire comme ça.

Quelques minutes plus tard, Debbie me guida dans une chambre dont la porte donnait sur la cour. Ce qui signifie qu'il suffisait de se mettre à la porte pour voir l'esclave agenouillée là, attendant patiemment son unique relation sexuelle pour les deux à trois jours à venir.

-Tu la connais? »

-Bien sûr, c'est ma meilleure amie Karen » me dit Debbie, en me retirant mes vêtements.

-Mais comment... comment êtes-vous devenues esclaves? » demandais-je.

-Allongez-vous maitresse, je vais vous raconter, laissez-vous faire. »

Rapidement j'étais abandonnée sur le lit. Debbie m'embrassait, et me caressait. S'interrompant pour me raconter comment elle s'était liée d'amitié avec Karen, deux rousses dans la même classe. Les frais de scolarités aux US imposent de faire un prêt étudiant, et quelle meilleure garantie pour une jeune fille qu'elle-même. Pour cela Karen et Debbie sont passées par l'étape de l'évaluation. On évalue alors le prix qu'elles pourraient rapporter au cours d'une vente aux enchères. Ces deux amies avaient été plutôt bien notées. Obtenir leurs prêts fut très facile.

Les rembourser fut autre chose, Elles furent diplômées au moment du COVID, et trouver un travail fut difficile. La banque leur imposa donc d'être vendues comme esclaves pour dix ans. Comme la plupart des rousses vendues sur Atlanta et les environs, elles furent achetées par le centre de conservation des rousses.

Debbie n'entra pas dans les détails, et ce n'est pas ce que je voulais. Et puis progressivement, j'avais plus envie qu'elle glisse sa langue en moi, plutôt que de continuer à me raconter son histoire. Je ne dirais pas que c'est mieux qu'un homme, mais c'est très agréable aussi. Puis Debbie fit des pauses, pour m'embrasser les seins. Avant de revenir entre mes cuisses. J'adorais me laisser aller à ses caresses.

-Tu veux que je te caresse les seins? »

-Si vous voulez Maitresse! »

-Je veux dire... je ne peux pas ... te rendre la pareille! »

-Non, Maitresse, pas avec ma ceinture de chasteté. Je suis au service du plaisir des autres! » m'expliqua-t-elle en souriant.

Je m'abandonnais alors au savoir-faire de mon esclave. Manifestement elle faisait durer les choses. Je découvrais l'envie intense de jouir sans oser me plaindre face à une personne qui devait expérimenter ça tout le temps.

Quand finalement je jouis, ce fut un feu d'artifice.

-Il y a une douche à côté » me glissa Debbie.

-Merci »

-C'est mon travail maitresse » J'étais amusée, car pendant de longues minutes je m'étais senti le jouet de Debbie, et j'avais aimé ça. Je crois qu'elle aussi.

Quand elle ouvrit la porte de la chambre, trois hommes nus était autour de Karen et la cour était pleine de monde.

-Combien de temps... » commençais-je à dire en regardant ma montre. Le visage fier de Debbie m'expliqua qu'elle avait fait durer...

-Il reste 5 min maitresse. Mais je devrais partir quand ce sera fini.

-Pourquoi? »

-Je vais prendre sa place, » me dit-elle en souriant.

-Oh... »

-Par contre vous pouvez garder la chambre... si vous voulez je vous envoie Eleanor, elle est enceinte. » me dit-elle avec un sourire en coin.

-Oui dis-je sans y réfléchir... »

Sur la scène, je vis que les hommes avaient leur sexe recouvert d'une cage métallique. Elles leurs furent enlevées. Un premier se mit face à Karen qui pris son sexe dans sa bouche. Mais assez rapidement l'homme passa derrière elle. Manifestement il dirigea son sexe, et à voir le soupir d'aisance de la jeune femme, il la pénétra. Elle ne semblait pas gênée d'être vue de tout le monde. L'envie devait être si forte. Le second se plaça devant elle. Elle le suça aussi. Puis il alla remplacer l'homme derrière elle. Puis ce fut le tour du troisième. Aucun n'avait eu le temps de jouir. Mais le premier repris la pace, et comme ça, ils passaient à tour de rôle. Karen criait de plaisir, et il fallut bien 25 minutes avant que les trois ne jouissent en elle. Sa ceinture et leurs cages furent replacées, et le pilori ouvert.

Derrière elle, Debbie, était prête à prendre la place. Ça ceinture lui fut retirée après que le pilori a été refermé. Puis tout le monde reparti à ses occupations.

-Bonjour Maitresse, Je suis Eleanor, Debbie m'a dit que vous voudriez que je m'occupe de vous? »

Eleanor avait une peau laiteuse, et plus de taches de rousseurs que Debbie. Ses seins et son ventre étaient distendus par sa grossesse. Je n'avais jamais vu une femme enceinte nue, de si près.

-Oui, dis-je » un peu honteuse profiter d'esclaves comme ça. En même temps, pourquoi passer à côté?

Nous entrâmes dans la chambre. « Debbie m'a dit qu'apparemment vous aimez que l'esclave prenne l'initiative, et que vous aimeriez apprendre à vous occuper d'une femme? » me demanda-t-elle.

-Oui, mais aussi... je voudrais savoir comment vous êtes devenu esclave. »

-Debbie m'avait dit que vous étiez curieuse. » me dit-elle.

Eleanor s'allongea sur le côté, et me demanda de lui caresser le dos, puis les fesses. Elle insistait sur le fait de ne pas commencer par les seins ou le clitoris.

-Sauf si votre amie, et déjà excitée. » me dit-elle. Je baissais le regard sur sa poitrine.

-Oui c'est un indicateur, après les esclaves sont souvent excitées, et après le spectacle que l'on a eu, je crois qu'on l'est toutes. » m'expliqua-t-elle.

-Ce doit être humiliant, de faire ça... devant tout le monde »

-Oui, les premières fois c'est difficile, mais quand on n'est pas enceinte, on ne jouit que comme ça, ou quand un client nous sodomise. Mais en général ils se foutent de notre plaisir... »

-Et comment êtes-vous devenue esclave? »

Eleanor s'allongea sur le dos, jambes écartées. J'étais un peu mal à l'aise de la voir comme ça.

-On va faire travailler ta langue maintenant. » me dit-elle en m'expliquant comment caresser, exciter, et faire durer, ou pas, et me proposa de la faire jouir quand elle aurait fini son récit. J'étais un peu dégoutée de mettre ma langue là, mais après tout était-ce pire que de faire une fellation?

Je me mettais au travail, découvrant l'odeur et le goût de la future maman.

Eleanor était une étudiante Française qui était venue aux Etats-Unis pour pratiquer l'anglais. Assez vite elle avait craqué pour un beau brun local, dont elle avait aimé partager le lit.

-Il parait que nous les rousses, on aime le sexe! » me dit-elle en soupirant alors que je délaissais son clitoris pour venir téter ses seins, étaient-ils déjà gorgés de lait?

-C'est une bonne idée, mais attention, ils sont douloureux là » me dit-elle, en me repoussant vers le bas, en dessous de son ventre.

Et le sexe, Eleanor l'avait aimé. Ayant offert sa virginité à ce garçon, elle lui offrit également sa virginité anale.

-C'est très bon, mais après une phase douloureuse. J'avais l'impression de lui appartenir, d'être sa chose. » me précisa-t-elle en guidant ma tête entre ses cuisses. Je ne détestais pas être utilisée comme ça par Eleanor.

Le garçon était insistant, et disait qu'elle n'aurait pas une expérience complète des Etats-Unis si elle ne se faisait pas évaluer.

-Je me souviens encore d'avoir signé les papiers, et d'être entré dans un processus humiliant. Je n'y étais pas préparée. Je n'ai pas eu une très bonne note. Je m'en moquais en Europe ça n'avait aucune importance! En fait je n'ai compris qu'il m'avait trompée que quand j'ai été propulsé dans la salle des ventes! » me dit-elle en faisant de petits bruits alors qu'elle était sur le point de jouir. Je titillais son clitoris du bout de ma langue pour la faire basculer complètement.

Quand nous eûmes fini de nous doucher, j'abordais la question qui me tenais à cœur.

-Que deviennent les enfants? »

-Il sont confié à l'adoption à des familles. » me dit-elle en baissant la tête.

-Qui payent? »

-Oui. » me dit-elle.

-C'est le premier? »

-Non, le troisième » dit-elle en versant une larme.

-Je n'ai pas le choix, ici. » ajouta-t-elle

-Vous pouvez refuser les saillies? »

-Oui, mais entre nos activités, et la ceinture, en fait on n'a pas trop le choix. » me dit-elle en quittant ma chambre.

J'étais honteuse d'avoir fait ce que je venais de faire. Sans doute parce que j'y avait pris beaucoup de plaisir.

Je m'habillais et quittait le centre. Sur la scène, Debbie attendait toujours d'être saillie.

Une fois dans ma chambre d'hôtel, je me regardais dans le miroir de la salle de bain. Si moi aussi je passais du temps dans une ceinture de chasteté, aurais-je la volonté de refuser ces saillies. Mes doigts glissaient le long de ma fine toison, pour glisser entre mes lèvres. Je repensais au conseil d'Eleanor. J'étais déjà bien trempée. Je coinçais mon clitoris entre deux doigts, et je gémis en me mordant la lèvre. Ma peau claire rougissait, et cela mettait en évidence mes taches de rousseur. Maintenant je pouvais l'avouer en remuant mes cheveux roux : pendant un moment j'avais eu peur d'être retenue dans ce centre. Qu'est-ce qui me différentiait de ces esclaves?

J'étais juste une femme libre.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Casinothérapie 01 : Le Démon Du Jeu du démon du jeu aux démons du sexe
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
L'Invitation Une jeune femme reçoit une bien étrange invitation.
Lucia, Esclave Entrée Lucia, jeune femme de 24 devient la soumise parfaite.
Directrice d Agence 01 Histoire d une directrice d agence bien trop sûr d elle.
Plus d'histoires