18 Maîtres Ch. 01

Informations sur Récit
Mon fantasme se réalise.
6.8k mots
4.34
61.7k
7

Partie 1 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 06/12/2018
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Traduction d'un récit avec l'aimable autorisation de son auteur Penitr8me.

Avertissement : Ce récit n'est qu'une FICTION sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

***************

Depuis toujours, je fantasme sur l'idée de subir un viol collectif. Je veux des bites, beaucoup de bites, me pénétrant, se vidant sur moi, faisant de moi une esclave. Mais je dois trouver un petit ami assez bizarre pour satisfaire mes multiples désirs. Lorsque l'homme avec lequel j'étais depuis 3 ans me quitte pour une autre femme, je décide alors de réaliser mes fantasmes.

J'avais pris l'habitude de lire certaines publications avec des publicités bien explicites à caractère sexuel. Parfois, incapable de me contrôler, je les lis dans le train, sur le chemin de retour. J'aime quand un homme qui réalise ce que je lis, me regarde fixement. Je décide donc de passer une annonce dans ces pages, de m'exposer comme la prostituée que je rêve d'être. Voici mon annonce : « Secrétaire solitaire désire ardemment un viol collectif. La trentaine, petite avec de belle courbes, 95E de poitrine, 1 mètre 58, 59 kilos. Envoyez des photos de vous et de vos amis. Si votre groupe est sélectionné vous devrez louer une belle suite d'hôtel. Le BDSM est encouragé mais il faudra respecter certaines limites. Vous savez que vous me voulez »

Quelques jours après, je reçois un flot de réponse avec les publicités habituelles. Plus de trente groupes allant de trois à douze hommes me répondent qu'ils veulent me violer. En fin de compte je choisis un grand groupe avec des mecs très mignons. Je le choisis en partie parce qu'ils sont 18 dans le groupe mais aussi parce que j'aime leur réponse :

« Charmante secrétaire solitaire, nos dix-huit queues sont à votre disposition pour que votre fantasme devienne réalité. Nous sommes un groupe de beaux mâles célibataires qui jouent au foot ensemble. Nous sommes costauds et endurants. Nous allons vous dépouiller et vous couvrir de sperme, vous violer à plusieurs reprises, jusqu'à ce que vous nous demandiez d'arrêter (Si vous utilisez les deux mots « FEU ROUGE » nous comprendrons que vous ne pouvez supporter plus et nous arrêterons immédiatement). Si vous n'utilisez pas ces mots, attendez-vous à être baiser violemment. Vous ne pourrez plus marcher pendant au moins trois jours. Il vous faudra bien une dizaine de douches pour enlever le sperme de vos cheveux. Vous serez fouettée et humiliée comme la pute que vous voulez être et vous aimerez chaque minute passée entre nos mains. Vous savez que nous vous voulons. Tous. »

Putain, je veux des queues, je veux de la bite. Dix-huit gars, je mouille rien qu'à l'idée. Je vais être une star de porno pendant une nuit, réalisant enfin mon fantasme.

L'équipe organise la soirée et loue une suite dans le plus bel hôtel de la ville. Tout ce que j'ai à faire est de me montrer désirable et excitée. Ce n'est pas difficile car je n'avais pas arrêté de penser au jour de cette rencontre. De plus lors de nos négociations, les hommes m'avaient ordonné de ne plus me toucher, me masturber ou avoir de rapports sexuels. J'aime cette autorité qu'ils ont mis en place. Ca et ma frustration sexuelle font que je suis prête à sucer n'importe quelle bite.

Je me lave soigneusement et j'applique de la crème sur tout mon corps. Je me rase la chatte et ne garde qu'un petit ticket de métro. J'applique un rouge à lèvres foncé pour faire ressortir ma bouche. J'enfile un corset de cuir noir avec des bas résilles noirs autofixants. Je prends aussi de longs gants. J'aime vraiment le look bondage. Le corset fait gonfler mes seins déjà énormes. Il couvre à peine mes gros mamelons bruns. Il me serre à la taille avec une douleur délicieuse. Mon cul est nu à part les sangles du porte-jarretelle. Ma chatte est complètement exposée. Ils m'ont demandé de ne pas porter de sous-vêtements. Je me cache dans un grand et long manteau et je prends un taxi jusqu'à l'hôtel.

Ils m'ont déjà donné le numéro de la suite, alors je prends l'ascenseur et me retrouve au dernier étage : La suite « Penthouse ». Qui sait, peut-être un d'entre eux écrira un article sur la soirée dans ce magazine dans la rubrique « Cher Penthouse, je n'aurais jamais pensé que ça m'arriverait ».

Je frappe. Auparavant j'entendais des conversations et des rires à l'intérieur mais lorsque je toque à la porte, un grand silence se fait. Au bout d'un moment, un mec magnifique, grand, avec des cheveux noirs et des yeux d'un bleu profond, vient répondre à la porte. Il s'agit de Chris, l'homme avec lequel j'avais correspondu. Il m'invite à entrer et passe derrière moi. Il fait glisser doucement le manteau sur mes épaules, révélant ainsi ma tenue bondage. On aurait pu entendre voler une mouche. Je me sens timide. Je ne sais pas trop comment démarrer mon fantasme. Chris m'avait dit qu'il avait déjà fait cela plusieurs fois mais personne d'autre de son équipe ne l'a jamais fait.

Il pose sa main sur mon dos et me guide vers un premier gars pour me le présenter. Il s'appelle Terry. Je mets mes mains sur ses épaules et je l'embrasse profondément. Sa bouche a un goût de menthe poivrée. Je sens alors les mains de Chris sur mon cul nu. Il me guide jusqu'au prochain gars qui s'appelle Tim. Encore une fois, j'embrasse l'homme profondément en glissant ma langue dans sa bouche. Je sens sa bite durcir contre mon estomac.

Chris me déplace devant chacun des hommes à tour de rôle. Je me sens de plus en plus étourdie. Ils ont tous le goût de la menthe poivrée. Ils ont du tous sucer le même bonbon avant d'arriver. Ils sont tous chauds et ils sentent le sexe. Je perds la notion des noms après Chris, Terry et Tim. En vérité je m'en fiche des noms, je veux de la bite. Je me sens comme une petite fille à Noël qui attende de pouvoir déballer ses cadeaux.

Je parle à chacun d'eux et je sens bien qu'ils deviennent de plus en plus excités. Tout se passe comme il le faut. Certain me passent une main au cul et la plupart d'entre eux regardent mon décolleté incroyablement profond. L'un d'entre eux pose sa main contre ma chatte nue, mais je la saisis, je l'embrasse et le regarde dans les yeux en disant :

- Pas encore!

Finalement, quand j'ai fini mon tour, je regarde cet homme, Gary peut-être... Qui sait... et je lui fais signe :

- Puisque tu es si impatient, peut-être devrais-tu être celui qui me déshabille.

Il me regarde intensément comme s'il pouvait lire à travers moi. Puis il s'approche lentement. Mais Chris l'intercepte et dit en souriant vicieusement :

- Pas encore! Je pense que nous sommes censés te dire que faire putain, et pas l'inverse.

Je suis surprise et choquée un court instant, mais une goutte de mon jus vaginal coule le long de ma jambe et me trahit, indiquant ainsi que je veux être prise en charge de cette façon.

- Penche-toi en avant! Commande Chris.

Il me tient avec un bras tout en frappant mon cul nu avec sa main libre. Je sens la douleur et une autre goutte coule le long de ma jambe.

- Regardez les gars! Vous voyez comment cette putain mouille? Je pense qu'elle a envie d'être baisée! Commente Chris.

Puis il fait le tour de la pièce avec son regard et demande :

- Alors, qui veut baiser cette pute?

Je suis encore appuyée sur son bras mais je peux entendre dix-sept hommes dire «MOI ».

- Pas encore! Dit Chris sévèrement.

Il regarde attentivement le gars qui avait touché ma chatte et il ajoute :

- D'abord nous devons la punir pour avoir essayé de dire à Gary ce qu'il faut faire. Gary? Cette prostituée a besoin d'un coup de fouet.

Chris dégage son bras et, tout en me forçant à m'asseoir sur le canapé il ordonne :

- Peter, Franck, allez chercher les liens, elle doit être attachée pour cette partie.

Puis il me murmure doucement à l'oreille pour que je sois la seule à entendre :

- Feu vert?

- Oui très vert! Murmuré-je en retour.

Il rit puis avec un de ses amis ils me mettent des liens en cuir autour des poignets et des chevilles. Un autre gars me met un collier autour de la gorge. Toutes les manchettes ont un gros anneau en D. Les hommes attachent des chaînes à ces anneaux. Bientôt je ressemble à un prisonnier dangereux. Ils me tirent jusqu'au dos du canapé. Deux gars prennent les chaînes attachées à mes poignets et les fixent à l'avant du canapé pour que je ne puisse pas bouger mes bras. Deux autres hommes attachent les chaînes sur mes chevilles aux pieds du canapé afin que je ne puisse plus bouger les jambes non plus. Étant petite, mes pieds ne touchent presque plus le sol. Je suis sans défense.

- Allez Gary, à toi! Commande Chris.

Je sens une vive douleur sur mon dos alors que quelque chose de mince coupe l'air et frappe ma peau.

- Ça va laisser quelques marques! Merde! Dit Gary.

Il me fouette encore quelques fois puis Chris intervient :

- Attends!

Il agrippe mes cheveux et me regarde dans les yeux.

- Tu mérites ça espèce de pute. C'est toi qui l'a voulu en arrivant à moitié nue dans une pièce pleine d'hommes. Tu mérites tout ce qui va t'arriver ce soir.

Il me donne une énorme claque sur le cul, si forte que je ne peux m'empêcher de sangloter.

- Le ball-gag! Ordonne-t-il.

Immédiatement une grosse boule ronde est poussée dans ma bouche et attachée derrière ma tête. Chris me saisit à nouveau par les cheveux.

- Tu vas te taire putain! Personne ne viendra t'aider maintenant. Et tu ne vas pas gâcher notre plaisir avec tes cris. Tu auras soit cette boule soit une bite dans la bouche toute la nuit vu que tu ne veux pas te taire.

Puis il me fesse avec le plat de sa main, cinq claques violentes qui ajoutent à la douleur du fouet.

- Regardez les gars, regardez ce cul tout rouge. Je pense que nous allons devoir faire une pause avant de recommencer. Jerry, amène les glaçons!

Tandis que l'homme va chercher ce qu'il a commandé, Chris passe devant le canapé et met quelque chose sous mon pouce. Il s'agit d'un petit boîtier avec un bouton poussoir. Il appuie sur ce bouton avec mon pouce pour me montrer que je peux le faire et aussitôt une lumière rouge s'allume. Il me dit :

- Au cas où! Mais je ne pense pas que tu en auras besoin salope affamée de sexe!

Chris repasse derrière moi et soudainement mon cul est en feu, mais pas à cause du fouet mais sous l'effet de la glace. Heureusement que je suis bien bâillonnée sinon mon cri aurait ameuté tout le voisinage. Tout aussi vite, la glace est remplacée par le fouet. Je pense qu'ils se l'échangent entre eux. Puis un autre me donne des claques sur le cul et enfin la glace revient.

- A toi Franck! Dit quelqu'un mais je ne sais pas qui.

Un des hommes devant le canapé échange sa place avec un autre. Mon tourment continue. Certains hommes me fessent, d'autres prennent leur temps et me taquinent la chatte avec le bout du fouet. Et de temps en temps ils appliquent de la glace. Parfois Chris commente leur technique et leur donne des conseils. Je regarde le petit boîtier sous mon pouce, juste une petite poussée et ça s'allumera, mais je ne suis pas prête à arrêter. Ma peau me pique et me brûle, mais je n'ai pas eu droit encore aux bites. Je suis impatiente.

Au bout d'un moment, il semble que chacun des hommes avait pu me fouetter comme il le voulait. Chris était prêt à changer de jeu.

- Ok les gars, levez la mais laissez-lui les chaînes.

Je suis tirée de dessus le canapé et déplacée vers le centre de la pièce. Les deux gars qui tiennent les liens sur mes bras les tirent et celui qui tient mon collier fait de même. Si bien que ma poitrine est poussée en avant. Pendant que j'étais battue sur le canapé, mes seins étaient sortis du corset et maintenant ils étaient complètement exposés. Deux autres hommes tirent sur les chaînes attachées à mes pieds, forçant mes jambes à s'écarter, exposant ma chatte humide.

- Maintenant on va te dépouiller salope! Nous sommes prêts à te voir nue maintenant que tu as été punie. Mais tu veux peut-être être encore plus punie? Dit Chris.

- NON! Dis-je d'une voix étouffée par la balle toujours dans ma bouche.

- Non quoi? Demande Chris en saisissant mes cheveux et en tirant ma tête en arrière pour me fixer dans les yeux.

- Non, je ne veux plus de punition! Dis-je du mieux que je le peux, gênée de voir ma voix trembler.

Je secoue la tête pour mettre l'accent sur ma réponse, tirant sur mes cheveux dans sa main. Il resserre son emprise sur ma chevelure et gronde :

- Dorénavant, à chaque fois que je te poserai une question, tu t'adresseras à moi en tant que Maître. D'accord salope, d'accord esclave?

A chaque exclamation, il me claque le cul déjà rouge vif.

- Comprends-tu?

- Oui Maître! Marmonné-je derrière le bâillon.

- Et tous ces hommes sont tes maîtres ce soir n'est-ce pas?

- Oui Maître! Marmonné-je encore.

Chris fait un signe à un homme à cheveux roux :

- Josh, enlève la boule, je veux entendre notre esclave nous supplier.

Le ball-gag enlevé, mon visage se détend et je fais travailler mes mâchoires endolories. J'avale aussi toute la salive qui s'était entassée dans ma bouche. Mon Dieu, que ça faisait du bien! Mais Chris n'en avait pas encore fini avec moi.

- Appelle-moi Maître! Dit Chris avec un sourire méchant.

- Oui... Maître. M'étrangle-je.

- Et lui, qui est-ce? Demande Chris en désignant le gars roux.

- Mon Maître, Maître.

J'espère avoir bien répondu et j'espère que je me suis bien adressé à lui en répondant. J'ai l'impression que Chris est un peu énervé pour insister comme cela.

- Qui sont tous ces hommes, esclave?

- Ce sont tous mes Maîtres, Maître.

J'essaie de paraître correctement soumise en regardant dans la pièce les dix-sept hommes qui sont en train de se masturber.

- Et qu'est-ce qu'ils vont faire de toi ce soir? Demande Chris durement, en tirant mon menton en arrière pour me forcer à le regarder.

- Ils vont me punir Maître. Dis-je en regardant ses magnifiques yeux bleus.

Je n'ai jamais été aussi excitée.

- Pourquoi vont-ils te punir esclave?

Je connais la réponse qui est en moi, au plus profond de mon âme. C'est une chose que j'avais toujours voulu dire à tous mes copains timides au cours des années.

- Parce que je suis une mauvaise fille et que j'ai besoin de discipline. Haleté-je.

Je me perds dans ses yeux, j'en oublie ma situation. Je ne vois pas le fouet avant que je ne le sente, durement, sur ma chatte. Je glapis avant qu'un autre coup ne tombe :

- Maître, Maître, ça fait mal...

Chris me répond lentement :

- Oui... Tu as été très vilaine mais nous allons te briser et t'éduquer. Nous allons faire de toi la reine des esclaves. N'est-ce pas les gars?

Il regarde autour de lui et ajoute :

- Arrêtez de vous masturber, gardez tout pour cette pute!

Les hommes rient et l'humeur dans la pièce semble moins tendue, mais juste pendant une minute.

- Josh?

Chris commande et tout d'un coup je retrouve la boule dans ma bouche et je sens les sangles mordre mon cou.

Chris fouette ma chatte à plusieurs reprises, ma laissant me tordre de douleur. Je ne peux même pas me protéger car cinq hommes me tiennent solidement. C'est comme si ma chatte était immobile, en attente du fouet. Je crie inutilement à travers le bâillon. Chris regarde un autre homme et lui dit :

- Gary? Fous-la à poil!

L'homme se place devant moi et étudie le corset. J'ai déjà vu des gens se débattre avec mes soutien-gorge mais jamais encore je n'avais porté de corset.

- Comment ça se détache? Demande finalement un Gary perplexe.

Je regarde Chris et je hausse légèrement les épaules, la boule toujours dans ma bouche. Il rigole et fait signe à quelqu'un de desserrer légèrement les sangles du ball-gag.

- Les crochets se défont sur le devant, Maître. Ajouté-je précipitamment peu désireuse de me faire encore fouetter la chatte.

Mon bâillon est à nouveau resserré. Lentement Gary enlève les crochets, un par un en commençant par le bas, enlevant ainsi le minuscule habit décent que j'avais sur moi. Lorsque le dernier crochet est enlevé, mes gros seins retombent. Gary les attrape, les malaxe et les gifle plusieurs fois. Tous les hommes murmurent leur approbation.

- Enlève-lui le reste! Commande Chris à Gary.

L'homme trouve les fermetures éclairs sur mes gants et il arrive à en baisser un vers le bas, mais il est bientôt coincé à cause du bracelet en cuir autour de mon poignet.

- Tenez-lui le bras! Dit Gary à quelques-uns de ses amis.

Trois gars viennent m'entourer, l'un pour tenir mon bras par-devant, un autre par-derrière et le dernier pour tenir ma main gantée. Je peux sentir l'homme derrière moi se frotter contre mon cul. Gary déboucle le bracelet en cuir et le gars qui tient ma main fait glisser le gant le reste du chemin. Gary remet rapidement le bracelet en place. Alors que trois autres hommes s'installent pour prendre mon autre bras et que Gary défait l'autre bracelet, je fléchis le bras et je me débats, en partie pour voir ce qu'ils vont faire et en partie pour faire rebondir mes seins devant leurs visages. Je peux dire que ça leur a fait de l'effet. Je n'aurai pas du probablement déplaire à Chris, mais je n'ai pu m'en empêcher. Je paye ma désobéissance quand il saisit un de mes seins et le tord durement.

- Tu aimes ça hein? Tu ne peux pas t'empêcher de désobéir à tes Maîtres. Mais nous te briserons, tu... Tu obéiras à tous nos ordres.

Il souligne chaque mot en tordant encore plus mon sein. Puis il fait de nouveau signe à Gary.

- Les jambes! Elle doit être totalement nue.

Gary commença à tirer maladroitement sur l'élastique du haut de mes bas.

- Pffff, tu es trop lent! Dit Chris.

Il sort alors un couteau qui a l'air bien tranchant et il le déplace devant mes yeux. Il se penche à mon oreille pendant qu'il passe le bout du couteau sur ma gorge.

- Quoi que je fasse, je t'achèterai le double. D'accord? Feu vert? Murmure-t-il.

Je frissonne, non par la peur de la lame de couteau, mais par le sentiment de tomber dans un puits sans fond. Je hoche la tête, sentant une nouvelle fois mon excitation couler le long de ma jambe. Après mon signe de tête, Chris se penche et découpe mes bas. Je sens le tranchant mais pas la morsure de la lame. Il bataille un peu au niveau des chevilles. Il ordonne à quelqu'un de retirer mes talons aiguilles. Je reste la, un peu déséquilibrée pendant qu'une de mes chaussures est enlevée et le bas tranché. Puis l'homme remet ma chaussure et Chris répète l'opération sur mon autre jambe.

Quand il a fini, il fait courir lentement la pointe de son couteau sur mon corps nu frémissant, jouant avec ma chatte et mes seins tout en me regardant dans les yeux. Les hommes qui me tiennent par les chaînes et les liens m'aident à ne pas m'effondrer comme une vieille serpillière. Bientôt, je suis debout, nue, avec comme seul habillement les manchettes en cuir et mes hauts talons. J'avais toujours voulu vivre ce moment mais la réalité était plus intense que mon fantasme.

- Tu ne te sens pas un peu exposée esclave? Regardez notre salope les gars! Êtes-vous prêt pour cette pute? Dit Chris.

Quelques hommes commencent à défaire leur pantalon, mais ils s'arrêtent quand ils voient Chris me regarder fixement en disant :

- Pas encore!

Ses yeux violent mon corps nu. >Puis il me donne un coup de fouet sur les seins. La boule dans ma bouche étouffe mon cri quand le cuir tombe sur mes mamelons délicats. Je n'avais jamais imaginé cela. Je veux dire que je n'avais jamais imaginé qu'être fouettée m'exciterait même si ça me faisait un mal de chien.

Un autre homme se déplace derrière moi, prend mes hanches dans ses mains et pousse son entrejambe contre mon cul. Puis rapidement il recule et me donne une fessée. Chris et l'homme me batte en rythme, une claque sur mon cul, un coup de fouet, une autre claque, un autre coup de fouet. Après cinq ou six fois, la douleur l'emporte sur l'excitation. Mais les gars n'arrêtent pas. Les 18 hommes vont me fesser et me fouetter. De temps en temps, ils posent des glaçons qui brûlent mes seins et rendent mes mamelons à vif.

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