Sous la robe de ma Belle-mère 01

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J'entraine Belle-maman dans mes vices fétichistes (Partie 1)
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Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 11/21/2023
Créé 10/12/2023
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KathAnA
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Bonjour.

Je suis sexuellement très attiré par ma belle-mère, rien d'extraordinaire me direz-vous.

Elle vient d'atteindre la soixantaine, elle est toujours fraîche de corps et d'esprit avec un beau visage rayonnant sous ses cheveux bruns, elle possède de belles jambes fines, un petit cul que je lui prendrais volontiers dans une levrette bien énergique et, alors que -curieusement- je suis d'habitude plus attiré par des poitrines plus généreuses, sa petite paire de nichons m'allume énormément.

Je lui ai récemment dérobé un soutien-gorge pour mes cessions masturbatoires (soutien-gorge que j'ai remplacé par un neuf, que je lui ai « offert » (voir mon histoire : Le soutien-gorge de ma belle-mère), et je pensais en rester là ; me masturbant occasionnellement avec sa lingerie.

Pourtant, un après-midi, tout bascula.

Nous avions l'habitude d'aller promener ensemble, avec bien sûr ma copine, et le chien de Marie-Christelle. C'est d'ailleurs à cette occasion que j'ai remarqué qu'elle portait le soutien neuf que je lui avais laissé, expérience racontée précédemment.

Cet après-midi donc, elle arriva nettement plus tôt que prévu.

Je l'ai reconnue à travers la vitre opaque de la porte, et -sans trop réfléchir- je lui ai naturellement ouvert la porte en oubliant quelque peu que j'étais torse nu, une habitude lorsque je suis chez moi.

Je lui fis la bise, en lui plaçant comme d'habitude la main légèrement dans le dos afin de sentir discrètement si elle portait un soutien-gorge ou pas.

Elle recula un peu et sembla amusée de me voir ainsi, puis elle avisa mon tatouage sur le bras et -à ma grande surprise- le frotta légèrement du bout de son index en me disant : oh! Ça représente une tête?

Ce contact m'électrisa complètement. Et je mis quelques secondes de plus que nécessaire à bégayer un « non » à peu près compréhensible.

J'imagine qu'elle comprenait ce trouble dans lequel elle me plongeait subitement, sans peut-être en imaginer la portée.

Puis, avisant mon second tatouage sur mon torse, elle le toucha également du bout des doigts mais, ce faisant, elle caressa du bord de la main mon téton gauche, zone particulièrement érogène chez moi.

Là, je tressailli ; je poussai même un petit gloussement de plaisir bien incontrôlable, ce qui arrêta Marie Christelle dans son geste.

Elle me regarda soudain bizarrement.

« Ça va? » me fit-elle, mit amusée et vaguement inquiète.

Il est vrai que ce spasme pouvait passer pour un frisson de plaisir tout aussi bien que pour un malaise soudain.

J'aurais pu jouer cette carte mais je décidai de lui dire la nature réelle de ma réaction.

D'abord car je pense qu'elle avait bien compris que je n'avais pas ressenti de douleur, bien au contraire.

Ensuite car ma copine se préparait à l'étage et que je n'aurais probablement plus beaucoup d'occasion d'être ainsi seul avec elle.

Et enfin, car je portais un jean clair couleur « sable » un poil trop près du corps, qui ne révélait que trop ma queue hyper gonflée à travers la matière.

« Heu, oui...ça va... » fini-je par articuler.

« Mais..heu...ce type de contact m'excite »...continuais-je.

Elle ne pipait mot, m'engageant à poursuivre :

« En fait...Tu...tu m'excites beaucoup, Marie Christelle ».

Je craignais sa colère, car après tout j'étais censé être en couple avec sa fille, mais lorsque j'osai la regarder, elle affichait un sourire quelque peu ironique.

« Ah oui? » me fit-elle simplement, toute amusée... « Moi, je t'excite? »

Sans attendre ma réponse, elle s'approcha très légèrement, bras gauche vers le bas, doigts pointés vers le sol, elle caressa légèrement ma queue du gras de sa paume en petits gestes circulaires. J'avais la queue en feu, prête à exploser.

De son index droit, elle taquinait en plus mon téton ; je pense qu'elle kiffait découvrir cette emprise sur moi qui suis d'ordinaire plutôt autoritaire.

Vu que ma copine ne descendait toujours pas, elle s'enhardi. Elle enserra du mieux qu'elle put ma queue avec ses doigts et commença à me la pomper doucement à travers mon jeans. Elle vit à mon visage congestionné et ma respiration saccadée que cela me plaisait. Pour ma part je n'aurais bien sûr jamais cru qu'elle aurait réagi ainsi, et même si j'aurais voulu la plaquer contre le mur et lui arracher ses fringues, je fût incapable de bouger tant le plaisir qu'elle me donnait était intense. Elle accéléra le mouvement et, trop rapidement à mon goût, je libérai un flot de sperme chaud et gluant dans mon caleçon, humidifiant et tachant mon jeans dans la foulée.

Pas très agréable comme sensation et très frustrant, surtout que ma copine avait choisi ce moment pour enfin descendre et partir avec nous.

J'enfilai mon Tshirt à la hâte -juste assez long pour masquer la tache -sous le regard moqueur de Marie Christelle, qui ne manqua pas de se foutre de ma gueule lors de la promenade avec des petites remarques du genre : « ça va? On dirait que tu as du mal à marcher? »...

J'enrageai un peu de lui avoir ainsi laissé le contrôle et lui donner ainsi l'impression qu'elle me dominait.

Je me promis de renverser les choses et ce fût quelques mois plus tard que j'en eu enfin l'occasion.

Durant les semaines, voir les mois qui suivirent ce magnifique incident, je restai volontairement en retrait.

Bien sûr, notre relation avait quelque peu changé... Des rires plus fréquents, on se frôlait parfois en se croisant chez elle ou chez moi, une main qui s'attarde sur le bras, je pense même un jour lui avoir effleuré la fesse (mmmh), quelques regards plus appuyés...

Mais je jouais volontairement le timide craintif, je voulais lui donner l'impression qu'elle m'intimidait afin qu'elle ne voie rien venir le jour où j'allais prendre les choses en mains.. Et qu'elle ne puisse, dès lors, vraiment réagir.

J'étudiais toute opportunité. J'avais par exemple instauré un rituel tacite, qui était de l'aider à débarrasser lorsque nous allions dîner chez elle.

Petit à petit, ses enfants, ma copine & le compagnon de ma belle-mère avaient pris l'habitude de nous voir nous affairer ensemble, pendant qu'ils restaient à discuter à table, ou qu'ils savouraient leur pousse-café.

Chaque fois que l'un ou l'autre voulaient nous aider, je jouais les offusqué et -en beau-fils modèle- je leur disait de profiter de ces quelques moments de détente en me laissant bosser.

Cela qui me permettait de me retrouver seul en cuisine avec Marie-Christelle, mais sans rien tenter de fou. D'abord, je l'ai dit, car je voulais rester un peu naïf à ses yeux ; mais également car la cuisine était en dangereuse proximité du salon. L'idée était avant tout de développer une complicité, créer des opportunités et diminuer sa garde, le jour où je décidai de lancer les hostilités.

Ce fût le soir de nouvel an, que mes longues semaines de patience furent récompensées.

Ce soir-là, Marie-Christelle nous avait non seulement invité ainsi que ses deux fils, son compagnon était naturellement présent, ainsi qu'un couple d'amis à elle.

En ouvrant la porte, je découvris sa tenue avec ravissement : elle avait sorti une jolie petite robe noire, striée de rouge sur le devant ; avec un charmant nœud à l'arrière. La robe s'arrêtait un peu au-dessus du genou. Elle avait sublimé ses jambes par des bas nylons (première fois que je la voyais porter cela) et portait de jolis escarpins.

L'énorme « plus » de cette soirée consistait également à ce que tout ce petit monde soit installé, pour le dîner, dans la Véranda. Créant ainsi une distance bienfaitrice entre l'endroit où les convives allaient s'asseoir et nous. Sans compter que la cuisine, surtout en refermant la porte, n'était absolument pas visible depuis la véranda en question. Il allait falloir jouer serrer et je décidais d'attaquer au plus tôt.

Ce fût ma belle-mère elle-même qui m'en donna l'occasion.

« Tu viens m'aider pour l'apéro? » me lança-t-elle? Elle avait naturellement remarqué mon expression ravie en découvrant sa robe.

Un « Besoin d'aide?» assez mou fût entendu, auquel Marie-Christelle et moi répondîmes en cœur : « non, non, ça ira! »

A peine entré dans la cuisine, la porte refermée et à l'abri de vue de la véranda où les discussions battaient leur plein, je déclarai d'emblée à Marie-Christelle que je la trouvais vraiment belle ce soir... Elle eut un petit sourire comme pour me signifier que j'étais bien gentil...

Puis je rajouter à brûle pourpoint : « et tu es vachement bonne ».

Elle parût très étonnée que je tienne un tel langage mais ne parût pas s'en offusquer.

Elle se tourna vers la table où se tenait les verres, prête à les remplir (et aussi peut-être car elle avait perçu mon niveau d'excitation) mais je ne lui laissai pas l'occasion de faire comme si de rien n'était...

Je me plaçai derrière elle, pris sa main droite et je la plaquai fermement sur ma queue : « regarde, à cause de toi... ».

Elle se figea. Je pense que le contact de ma bite provoqua la même chose en elle que la première fois, je pense qu'elle n'avait plus trop l'habitude de faire bander un mec et que cela lui plaisait, et que l'impression de me dominer lui plaisait beaucoup également.

Sans lui laisser l'occasion de se retourner, je me plaquai contre elle ; coinçant ainsi sa main entre ma queue et son cul. Je portai mes mains à sa poitrine, que je me mis à caresser. Elle poussa un petit « hou » de surprise, et peut-être un peu de panique, et balbutia quelques mots...Que les invités pouvaient rentrer à tout moment, que nous n'avions pas le temps pour cela maintenant, et que...

Moi j'étais à des kilomètres de là... Enfin, ENFIN, je lui malaxais ses petits nichons ; sur lesquels je m'étais tellement branlé avec son soutif volé...

Ses globes étaient tout petits, inexistants, mais elle pointait dur sous sa robe et elle devait sentir dans sa main les pulsations violentes de ma queue...

Sans vraiment lui répondre, je lui susurrai d'une voix suave, légèrement mauvaise : c'est un soutien-gorge que je sens-là? Ta robe est trop collante que pour en porter un, cela fait des plis et l'attache du soutien est fort visible lorsque l'on se tient derrière toi.. On va le retirer pour ce soir, ok?

Je sentis sa panique monter, avec un peu de colère..

« Mais... T'es fou? Qu'est-ce que tu as ce soir? »

J'avais la délicieuse sensation que sa voix chevrotait un peu, trahissant une certaine panique. Se rendait-elle compte que le gentil beau-fils naïf & timide avait été remplacé par le fétichiste déter que j'étais en réalité?

J'entrepris de dégrafer le soutien mais elle protesta, réellement paniquée :

« Non, non mais non! Pas...Pas devant mes amis, pas devant mes fils... » implora-t-elle..

« Bah » répliquais-je... « Tes fils ont bien tétés tes nichons lorsqu'ils étaient petits, non? »...

La sentant encore plus crispée, je lui fît un bisou dans le coup, ce qui la surpris et la détendit en même temps...

« Allons, Marie Christelle » commençait-je en lui caressant les cheveux...

« Tu te rends compte à quel point cela me fera bander de te savoir sans soutif sous cette robe? Tu es une très belle femme tu sais, tu ne crois pas que ton compagnon appréciera la vue? Même le mec de ta copine présent ce soir? Trois queues minimum...Raides, pour toi? »...

Tout en lui caressant ses mamelles, en faisant rouler ses mamelons durcis sous mes doigts, je rajoutai : « De toutes façons ma belle, ce soir, c'est moi qui décide... Tu ne quitteras pas cette cuisine avec ce soutif... ».

Depuis la véranda, quelqu'un cria qu'il commençait à faire soif... Sans me détourner ni interrompre mes caresses sur ses seins, je répondit par un puissant : « on arrive!! »..

Puis, afin d'achever de la convaincre, je conclu la discussion par « Allez, je te le retire avant que quelqu'un n'arrive »...

Je me reculai un peu, je dégrafai rapidement le soutif à travers la robe, puis j'essayai de lui dégager le bras de la robe pour retirer la bretelle mais celle-ci n'était pas assez large.. Et ne comportait pas de fermeture éclair...

Marie-Christine tenta de reprendre le dessus : « Tu vois? » me fit-elle à nouveau un peu agacée? « Pas moyen de retirer le soutien sans retirer la robe.. Allez, on rempli les apéros et... » mais je ne lui laissai pas finir...

Je me plaquai à nouveau contre elle. Ma queue raide contre son cul... Gentiment mais fermement, je lui répétai qu'elle ne sortira pas de cette cuisine avec ce soutien...

Prestement, je pris une paire de ciseaux qui trainaient sur la table, de bons gros ciseaux avec les larges embouts en plastique rouges au bouts et, avant qu'elle n'ait pu protester, je dégageai sa bride de dessous la robe, je tirai un grand coup dessus et...Knip! Je coupai net la bretelle.

Profitant de sa stupeur, je procédai de même pour sa bretelle gauche et elle se tourna vers moi, assez vénère :

« Mais t'es con? Tu viens de me le bousiller là?!?» me lança-t-elle, incrédule...

D'un geste vif, je glissai mon bras par son trou de manche et je pris l'avant du soutif, que je lui retirai vivement. Je le lui brandis sous le nez ; pas décidé à me laisser faire :

« Regarde » lui dis-je en agitant le soutif devant sa figure. « Un vieux soutard en dentelles plus très blanches d'ailleurs, à la qualité fatiguée.. Tes nichons valent mieux que ça! Je te certifie qu'on ira en acheter ensembles.. ».

Puis, avec un grand sourire ironique, j'ajoutai : « et mate moi cette vue » fis-je en désignant son torse..

Les deux petits renflements qui étaient ses seins étaient bien visibles sous la robe, sublimés à présent par deux pointes dures bien visible.

Elle baissa les yeux et tressailli à la vue de sa poitrine si moulée dans la robe, mais je ne lui laissai aucun répit!

« Viens, allons porter ces apéros à tes amis »...

(Fin de la première partie)

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