Un Centre Pour Roux Ch. 11

Informations sur Récit
Mag découvre ce que c'est que la vie d'esclave.
2.8k mots
4.79
3.4k
3

Partie 11 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 11, Il y a résumé au début de l'épisode 10. il est préférable de lire la série.

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La vie d'esclave

Après quelques jours je compris que le fonctionnement du centre ne reposait que sur 4 personnes libres. Les autres n'étaient que des esclaves, et quelques intervenants extérieurs.

Mes premiers jours, je fus affecté à la cuisine où j'avais le droit à un tablier pour me protéger des projections. Puis au ménage. Je n'avais pas de chambre, mais je partageais une chambrée avec d'autres esclaves. Emily me proposa de dormir avec elle la première nuit. J'étais contente d'avoir quelqu'un à serrer contre moi.

Le port de la ceinture était pénible, mais je connaissais déjà. Juste là, j'allais devoir la garder pendant mes règles.

Assez vite je retrouvais Karen, et Eléonore. Sauf, que contrairement à la fois où j'étais venue Eleanor était en ceinture, mais pas Karen.

-Je n'en suis qu'à 3 mois, mais déjà ma ceinture me serrait » me m'expliqua-t-elle.

Ma seconde nuit, je la passais avec elles, mais Karen était insatiable, et n'arrêtait pas de se caresser.

Mon excitation était difficile à gérer dans ces conditions. J'essayais de changer de sujet.

-A propos, hier matin la fille dans le pilori avait une marque en forme de pèche. C'est quel marché aux esclaves? »

-Tu es vraiment Canadienne toi! » me dit Karen. « Lèche moi, on t'explique » me dit-elle en forçant ma tête vers son entre-jambe.

-La pèche c'est un des symboles de l'état de Géorgie. » commença-t-elle avant de gémir.

-Et c'est la marque des esclaves judiciaires » me dit Eléanore, et se mettant derrière moi, et en me pinçant les seins.

-Aïe » criais-je

-Stop les filles. Vous faites trop de bruit. Karen, je te trouve une ceinture à ta taille si ça continue » protesta Edouard.

-Tu va vu sa cage? » rit Karen quand il fut parti.

-Non, quoi? »

-Les cages des garçons les empêchent de bander. Sauf que quand c'est trop fort ils bandent dans la cage, et on voit la cage se soulever et tirer sur leurs boules. Ça doit se coincer aussi » expliqua Eléanore.

Je poussais un cri de frustration en pensant que ça devait être fort désagréable. J'étais intensément frustrée aussi.

Le jour d'après, je vis que Thierry, l'un des esclaves en cuisine avait une pèche sur la fesse. Je ne dis rien, mais j'observais que c'était bien une brulure au fer. Mais quand il se retourna, je vis une cannette de l'autre côté. La marque du SCCM. Je savais combien une marque faisait mal. Lui avait dû déguster en en ayant deux.

-Terry, je peux... »

-Oui Mag? »

-Comment es-tu devenu esclave? »

-Je faisais tu trafic de drogue. » dit-il en baissant la tête, manifestement mal à l'aise.

-Ok... c'est pour ça... la pèche? » Il fit oui de la tête. J'étais un peu mal à l'aise de lui avoir demandé.

Quelques jours après, c'est Emily qui est venue me voir.

-Je crois que c'est dans quelques jours, tu peux coller ça sur ta ceinture. » Je voyais mal ce que c'était.

-C'est une lingette hygiénique pour porteuse de ceinture » me dit-elle. Je le regardais, puis mon regard baissa, et je remarquais qu'elle en avait une collée sur le bouclier de la sienne.

-Merci » dis-je.

Cette semaine ne fut pas drôle, et je préférais passer mes nuits au calme avec Emily.

-Emily, comment tu es devenue esclave? »

-Il parait que tu poses cette question à tout le monde » rit-elle.

-Je suis désolée. »

-Non, Mon mari a eu un accident de voiture. Il a été blessé. Pour payer ses soins, j'ai fait ce choix. » J'ouvrais de grands yeux.

-Tu es mariée? »

-Non techniquement je ne le suis plus. Quand on est esclave, le mariage est automatiquement dissout.

-Tu ne regrettes pas? »

-Humm, par moment oui... et par moments... non » me dit-elle avec un sourire en coin.

-Et... quand est-on choisie pour aller dans la cour? » demandais-je.

-Tu peux y aller quand tu veux. Je te montrerais, il y a un endroit où tu peux voir qui y est sans être vue. »

-Ça sert à quoi? »

-A choisir ton client. Sinon, si tu es là, tu dois obéir au client qui se présente.

J'ai attendu la fin de mes règles pour aller faire quelques pas dans la cour. Bien qu'ayant choisi un moment où la cour était vide j'étais anxieuse. Le premier homme qui entrait allait pourvoir me donner un ordre. J'en frissonnais.

Le garçon qui entra était jeune et avenant. Je savais qu'en ceinture de chasteté j'allais le sucer, et qu'il me sodomiserait peut-être. Mais lui, j'étais prête à lui faire confiance. Ou plutôt j'étais tellement frustrée que j'avais envie d'être prise malgré la ceinture.

-Bonjour, je cherche Emily. » me dit-il. Je n'avais même pas pensé à ce cas de figure!

-Je vais la chercher, Monsieur » répondis-je, avais d'aller chercher mon amie.

-Il y a un client qui te cherche, Emily » dis-je.

-Oh il faut que je me dépêche alors! » rit-elle. Je ne pensais qu'elle le prendrait comme ça.

-Bonjour Paul » dit-elle en l'embrassant dès qu'elle le vit.

-Elle mignonne ta copine, c'est une nouvelle? »

-Oui, C'est Mag, elle est Canadienne »

-Bonjour, Monsieur » dis-je

-C'était mon mari » me dit Emily.

-Oh, pardon... je vous laisse... » dis-je.

-Tu nous laisses, ou tu viens avec nous? » me dit Emily avec un sourire. Paul lui dit quelque chose à l'oreille.

-Tu en crèves d'envie, et tu n'as même pas à me demander » lui dit-elle.

-Je ne sais pas, je dois vous laisser votre intimité » dis-je, et je parti vers un autre endroit du centre.

-Tu as eu tort, elle aime bien partager, et le crois qu'elle t'aime bien. » me dit Edouard en me surprenant.

-Je n'ai pas osé... » dis-je

-Et, toi... » commençais-je.

-Comment je suis devenu esclave? » me demanda-t-il, en me faisant un clin d'œil.

-Oui, » dis-je en souriant.

-Je suis volontaire. » me dit-il. Je le regardais sans y croire. Comment pouvait-on être esclave volontaire?

-Tu as été piégé, tu veux dire. »

-Non, volontaire, pour de vrai. Je veux être psychiatre pour esclaves. Pour cela je dois faire 1 an de servitude. » me dit-il.

-Je... tu ne regrettes pas, par moments? »

-Si, c'est dur la cage de chasteté. Surtout quand les filles hors ceintures car elles sont enceintes hurlent le plaisir » me dit-il, avec un nouveau clin d'œil.

-Pardon » dis-je. Je m'approchais de lui. Il me prit dans ses bras. J'étais émue. Puis j'ai vu sa cage s'écarter de son corps.

-Oh, je suis désolée. »

-Ce n'est pas grave » me dit-il en me serrant contre lui.

-A propos, c'est l'endroit, où Emily m'a montré que l'on pouvait voir les gens qui venaient dans la cour? »

-Eh oui » me dit Edouard.

-Tu... »

-J'ai besoin de sexe aussi, alors j'accepte la sodomie et les fellations. Oh regarde lui... » me dit-il en rejoignant la cour. De là je le vis saluer le client qui venait d'entrer. Ils se dirigèrent alors vers une chambre.

Peu de temps après, un homme entra dans la cour. Il était vieux et ne me plaisait pas.

-Il y a du monde? » me demanda Karen.

-Oui, il y a un client. » dis-je. Karen jeta un œil, et me regarda.

-Tu le veux, ou j'y vais? » me demanda Karen, mais je la laissais aller voir le client.

Le suivant semblait plus jeune. Je me décidais alors, et je descendais dans la cour.

-Bonjour, je m'appelle Mag. Voulez-vous que je vous fasse faire le tour? »

-Bonjour esclave Mag. On va dans une chambre. » dit-il d'une voix mal assurée.

-Bien, Maître » dis-je, en suivant un jeune homme dont je supposais qu'il profitait de son cadeau de 18eme anniversaire! La situation m'amusait.

-Suce moi! » me dit-il immédiatement après avoir fermé la porte. Je m'agenouillais devant lui.

-Mon Maitre ne souhaite-t-il pas se déshabiller pour être plus à l'aise. » dis-je en ouvrant sa braguette. Il était déjà en érection, et son sexe n'était pas ridicule. En même temps tout ceux que j'avais vu depuis que j'étais au centre étaient enfermé dans de petite cages. En voir un à l'état sauvage était plaisant.

-Non suce-moi. Et ne discute pas mes ordres » dit-il. C'était amusant de sentir son hésitation dans sa voix. Pour autant, il était le maître. Lui désobéir pourrait me valoir une punition. Je pris donc ce sexe entre mes mains, puis j'appliquais mes lèvres humides sur le bout. Je le laissais alors pénétrer ma bouche, son gland écartant mes lèvres. Il gémit de plaisir, j'étais plus dans la frustration de ne pas profiter de ce membre entre mes autres lèvres. Mais mon maître était blond et pas roux.

Il appuya sur ma tête, mais avec mes mains à la base de sa verge, il ne pouvait pas m'étouffer. Il était au comble de l'excitation, je senti des saccades bien caractéristiques. Mon Maître était bien membré, mais éjaculateur précoce. Sans doute était-il puceau aussi. Satisfait, il se laissa tomber sur le lit. A genoux je le regardais, et décidais d'avaler car il ne me semblait pas en mesure de regarder ma langue avec sa semence encore dessus, puis j'attendais en genoux au pied du lit.

Après quelques minutes, il semble se redresser.

-Mon maître veut-il que je l'aide à se relever et à se déshabiller? » proposais-je

-Pourquoi me déshabiller? De toute manière dans ta ceinture on ne peut rien faire. » me dit-il un peu méprisant.

-Maître, vous pourriez vouloir reprofiter de ma bouche. Certain aiment bien enculer les esclaves en ceinture » dis-je. Je faisais attention de rester factuelle. Je ne voulais pas trop lui donner l'idée que j'attendais ça. Mais a peine ai-je prononcer ce verbe, au je vois le sexe flaccide regagner un peu de rigidité.

-Oui... mets-toi à quatre pattes! » m'ordonna-t-il.

-Avez-vous déjà préparé... » commençais-je.

-Euh, non... » dit-il, penaud.

-Puis-je vous expliquer, Maitre » dis-je, en me mettant en position devant lui.

-Oui, tu m'appelles Ben? Je m'appelle Benjamin. Tu m'expliquerais aussi ce qu'aiment les filles? »

J'essayais de pas trop sourire, mais Ben revint régulièrement au centre, et me réclamait.

Quand on n'a pas d'autre choix la sodomie, est une alternative intéressante. J'avais donc trouvé mon équilibre, pensais-je alors que Ben quittait la chambre. J'avais un peu mal, mais j'étais satisfaite. Je me douchais, et essayais de nettoyer le sperme qui s'écoulait de mon anus.

-Oh, Mag, Allan m'a proposé d'être saillie! » me dit Eléonore, alors que je sortais.

-Super! » dis-je en me réjouissant pour elle. Moi j'étais décidée à refuser, et à me contenter de sodomie.

-Oui, tu sais il faut que je choisisse trois esclaves, et Tommy m'a dit oui!

Beaucoup de filles voulaient Tommy. Je le voyais rarement car il travaillait aux espaces verts. Mais quand Eléonore eu passé ses deux heures dans le pilori, je compris ce choix.

L'homme était une force de la nature, un géant. Il avait la peau sombre, en fait il avait tellement de taches de rousseurs que sa peau apparaissait bronzée. Quand sa cage lui fut retirée, je constatais que vraiment tout était géant chez lui!

Dans les jours qui suivaient Tommy visita mes rêves. J'aurais voulu toucher mon clitoris, mais la ceinture était là pour empêcher ça.

-Mag, puis-je te parler? »

-Oui, Monsieur » répondis-je alors qu'Allan s'adressait à moi.

-Voudrais-tu essayer de passer dans le pilori? » me dit-il. La vision de Tommy éclipsait un peu Edouard... Il allait falloir que j'en choisisse trois, pensais-je avant de me ressaisir. J'avais décidé de refuser. En réfléchissant, je réalisais que cette proposition arrivait après mes règles, quelque chose comme un peu plus de douze jours après mes règles. Nous étions donc deux jours avant mon ovulation. Accepter c'était avoir de grandes chances de me retrouver enceinte! Il me fallait refuser.

-Tu sais les garçons doivent tourner. Ils ne peuvent pas participer à plus d'une saillie sur deux. » me dit Allan.

-Je... » commençais-je à refuser poliment.

-Et Tommy sera disponible. Edouard aussi » me dit Allan.

-D'accord... ...je voudrais Terry aussi » dis-je sans même m'en rendre compte.

-C'est bien, il n'est pas souvent choisi » me dit Allan.

L'après-midi même, j'avais honte d'avoir cédé. Je me disais qu'une fois ne serais peut-être pas suffisante pour me retrouver enceinte. Pour autant, je m'agenouillais devant le pilori. Eleonore m'aida, et referma la partie supérieure : J'étais bloquée.

-Tu peux te mettre à genoux, ou te relever jambes tendues » m'expliqua-t-elle. Elle avait raison, ce Pilori était assez souple. Et je commençais mon attente de deux heures. Evidement tous les clients me voyaient. Les esclaves aussi. Et moi, je savais ce qui allait se passer. J'allais profiter de trois hommes a là fois! Mon excitation montait, et je me sentais couler entre les jambes.

Avant d'être esclave j'aimais le sexe, mais j'avais besoin d'une intimité avec l'homme avec qui j'allais faire quelque chose. Et puis il y avait eu Debbie. Et maintenant, je me réjouissais d'être le peep-show du centre! Je ne me souviens pas pendant ces deux heures à avoir pensé au risque de grossesse.

Puis les trois hommes sont arrivés. Edouard fut le premier à attacher un des anneaux autour de sa cheville. Puis il aida Terry alors que Tommy s'occupait de lui-même.

C'est Karen qui était maitresse des clés. Elle commença par ma ceinture. J'étais surprise de sentir un souffle d'air coquin entre mes cuisses. Mes mains étaient prises dans le pilori : impossible de me toucher pour savoir combien j'étais humide, ou surtout de toucher mon clitoris qui n'attendais que cela.

Ensuite, elle retira les cages de Edouard, et Terry. Puis pour Tommy elle fit mine que la clé ne marchait pas. Je soufflais d'excitation en voyant l'objet devant moi. Terry avait plus de mal, et il ne bandait pas.

-Je vais passer en dernier, Edouard passe derrière. Mag suce Terry, il y a tellement longtemps qu'il est en cage qu'il a du mal à réaliser qu'il en est sorti. » plaisanta le géant, qui me caressait le dos, puis les seins.

Edouard avait trouvé mon sexe, et y pénétrait d'un seul coup! Je soufflais : ce couloir n'avait plus été visité depuis si longtemps. Lui-même grognait, il devait avoir une sensation similaire, mais inversée.

Dans ma bouche Terry avait du mal, et la fermeté du membre trop longtemps enfermé avait du mal à revenir.

-Arrête avant de jouir, passe dans sa bouche » proposa le géant à Edouard, Je grognais de frustration en le sentant sortir de mon sexe.

-Toi Terry va te frotter à elle et pense à son clitoris. »continua celui qui avait pris le rôle d'organisateur. Je n'avais rien dire, ayant la bouche pleine.

En fait l'idée était géniale, les doigts de Terry trouvèrent mon clitoris. J'étais au bord de la jouissance quand Ils échangèrent de place à nouveau. Edouard me pris un peu plus brutalement que la première fois, mais je pense que son excitation était intense! Mais j'appréciais cette brutalité. Quand à Terry, c'est un sexe de petite taille, mais bien dur qu'il me présenta à sucer!

Edouard s'enfonça en moi, bien profond, et grogna, je devinais qu'il éjaculait, je jouissais en même temps que lui

Terry pris sa place, tendis que tommy plaça le bout de son sexe dans ma bouche. Ma mâchoire avait du mal à s'ouvrir suffisamment!

Terry ne dura pas longtemps. Mais Tommy pris sa place. Je me sentais remplie, complètement. Rapidement je jouis pour la seconde fois.

Karen repassa remettre les cages, et la ceinture avant de nous liberer. Les garçons en premier, puis moi, épuisée, mais bien plus satisfaite qu'après une sodomie.

C'est en réalisant la quantité de sperme qui coulait de la ceinture que je réalisais le risque que j'avais pris. Il ne fallait qu'a aucun pris je ne recommence. C'était peut-être déjà trop tard.

Cinq jours après, je n'avais pas réussi à résister, et je me retrouvais dans le pillori à nouveau.

2 ou trois jours avant mon ovulation, 2 ou trois jours après, ces séances étaient bien placées.

J'attendais mes règles suivantes quand, alors que j'urinais, une lumière s'alluma sur ma ceinture. Mon cœur se serra. Cette lumière était placée sur le haut de fente de la cage, celle qui permet à l'urine de couler. Cette lumière je l'avais vue sur d'autres esclaves, et je savais ce qu'elle indiquait : J'étais enceinte. Je me mis à pleurer.

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Anonymous
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5 Commentaires
HistoiresdOHistoiresdOil y a 8 mois

Literotica, dépêchez vous, beaucoup trop hâte de lire la suite ❤️

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 8 moisAuteur

Dès de que Literotica validera mes écrits.

La suite de Mag attend depuis deux semaines.

La suite de Peter attend depuis une semaine.

Je m'apprête à livrer le chapitre 13 d'un centre pour Roux.

HistoiresdOHistoiresdOil y a 8 mois

Hate de la suite ❤️

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Bonjour et merci pour vos récits. Pour quand pouvons nous attendre une suite des aventures de Mag, et de celles de Peter? <3

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

excellent, notre naive mag est desormais au fond du trou, un espoir va t il en fin apparaitre? une remontee vers la lumiere?

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