Un Centre Pour Roux Ch. 10

Informations sur Récit
Mag découvre son nouveau propriétaire.
3.1k mots
4.56
3.9k
3

Partie 10 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 10, Il comporte un résumé qui permet de le lire indépendamment du reste, mais évidement, il est préférable de lire la série.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le centre de conservation des Roux

Après une marche arrière accompagnée du bip-bip le camion s'arrêta, et l'arrière s'ouvrit. Un chariot élévateur souleva nos cages, et les déposa sur le quai. Il était encore tôt le matin, et le quai étant à l'ombre, avec un peu de vent, je frissonnais. Le conducteur du chariot élévateur gara son engin, et reparti vers le bâtiment, en nous laissa là. Je n'en revenais pas.

C'est quelques minutes plus tard, quand un autre camion arriva que je compris : Ils attendaient l'arrivée de toutes les livraisons!

En tant que Policière canadienne, j'étais en charge de lutter contre les trafics humains, et j'avais été invitée à un séminaire à Atlanta. C'est à cette occasion que j'avais visité le centre de conservation des roux, et rencontré Debbie. Plusieurs mois plus tard, Debbie, libérée avait voulu me retrouver après un article sur mon action en tant que policière. Elle s'est installée chez moi, au Canada, et m'avait appris ce que c'était que d'être une esclave. Je trouvais ce jeu très excitant. Nous avons continué à jouer pendant des vacances en Floride. Mais Debbie jouait-elle, elle? Elle avait profité d'une escale à Atlanta pour faire de moi une esclave officielle, et pour me faire suivre le parcours des esclaves. J'avais été marquée sous la lèvre inférieure avec mon numéro officiel. J'avais reçu une puce qui m'identifiais en tant qu'esclave. L'accès des gares et aéroport m'était interdit si j'étais seule. Puis j'avais été évaluée, et à ma surprise, vendue! Je n'étais pas au bout de mes surprises, car ensuite j'avais été marquée au fer rouge, avant d'être expédiée, comme la marchandise que j'étais devenue, vers mon acheteur. Comme moi les autres esclaves étaient roux je supposais donc être au centre de conservation des roux, dans une cage en forme de canette de coca-cola, sur un quai de livraison à attendre d'être prise en charge.

Le nouveau camion, fit sa marche arrière avec ce bip-bip caractéristique. Un homme sorti du bâtiment, et monta dans le chariot élévateur. J'eu un moment de surprise en réalisant qu'il était roux et intégralement nu! Pour autant , il manœuvra, et positionna son engin face au camion. Le chauffeur ouvrit l'arrière, et je devinais une palette avec des cages dessus.

-Avance, lentement, oui comme ça » indiqua le chauffeur, et les extrémités fourches pénétrèrent dans les orifices de la palette. Il me fallut un moment pour réaliser que j'étais en train d'érotiser ce simple processus. Le chariot souleva la palette de quelques centimètres, puis recula pour la déposer juste à côté de la palette sur-laquelle je me trouvais. Quatre autres esclaves, nus et roux venaient de nous rejoindre.

Le jeune homme nu descendit alors du chariot élévateur, pour venir vers nous. C'est là que j'ai compris qu'il ne portait qu'un collier et une cage de chasteté : Il était un esclave lui aussi.

-Bienvenu au 'Ginger Conservation Center'. Les règles du centre vous seront expliquées plus tard, mais les colliers qui vous seront appliqués dans quelques instant délivrent des chocs électriques si vous essayez de passer les limites du centre. » nous expliqua-il.

Il scanna la première cage, marmonna quelque chose. L'esclave confirma, il ouvrit la cage et lui appliqua un collier. Enfin il l'aida à sortir et lui indiqua de se mettre à genoux un peu plus loin. Il recommença la manœuvre pour chacun d'entre Nous.

- Marguerite O'Sullivan, 616-918-5113. » dit-il après avoir scanné ma cage.

- C'est ça » dis-je. Il me sourit tout en me mettant le collier.

-Va te mettre à genoux derrière les autres » me répondit-il, d'une voix douce. J'obéi en me demandant ce qui se passerait si je ne le faisais pas. Sans doute un choc me rappelerait à l'ordre, j'y avais déjà goûté a la salle des ventes.

Un peu naïvement, je pensais que j'arriverais directement dans la cour que je connaissais. Mais là j'étais sur un dock de livraison sur l'arrière du centre. Quand l'esclave, roux, eut fini de nous sortir de nos cages, il nous fit nous lever et nous faire entrer dans le bâtiment.

Il y avait deux tables avec un esclave roux à gauche, et une esclave rousse à droite. Le centre ne fonctionnait-il qu'avec des esclaves? En tous cas ils nous firent signe d'avancer. Une file d'attente se forma.

J'étais soulagée de passer avec la femme. Encore une fois, elle scanna ma lèvre, puis comme elle l'avait fait avec les autres femmes avant moi, elle mesura mon tour de taille, puis la longueur de mon nombril au bas de mon dos en passant entre mes jambes. Je connaissais le but de ces mesures : c'était celles que Debbie avait prises avant de commander la ceinture de chasteté qu'elle m'avait fait porter. Je me doutais que ce que j'avais vécu avec Debbie avait sans doute été plus facile que ce que j'allais vivre.

Je repensais à Debbie. Pourquoi avait-elle décidé de me vendre? Je me sentais trahie bien sûr, mais je repensais à ces hommes qui s'étaient adressés à moi lors de ma vente avec un nœud qui se formait dans mon ventre. Debbie m'avait-elle trahie, ou lui était-il arrivé quelque chose de grave?

-Tu passes voir le médecin après » me dit l'esclave.

-Je... Tu crois que je pourrais appeler au Canada? » demandais-je.

-Je ne pense pas... oublie, » me dit-elle, avec un sourire gêné qui m'indiquait l'absurdité de ma question : Une vache passait-elle un coup de fil pour indiquer dans quelle ferme elle était?

-Moi c'est Emily, je passerais te voir tout à l'heure me dit-elle avec un clin d'œil. » j'étais surprise, mais cela me faisait chaud au cœur.

Alors que j'avançais vers la chaise gynécologique de la salle suivante, j'hésitais sur ce que je devais faire. J'aurais honte d'appeler John, mon coéquipier. Comment lui expliquer ce qui m'était arrivé?

L'homme en blouse blanche était brun : Il ne devait donc pas être un esclave.

-Installe toi sur la chaise. Marguerite c'est ça? »

-Oui, Monsieur... On dit Mag habituellement. » dis-je, en m'installant. J'avais un peu de mal à me mettre sur la chaise. Il y avait la douleur de la brulure, mais aussi la peur de ce qu'il allait me faire. Mon euphorie de la veille au marché était un peu passé. Je réalisais que j'avais été vendue et que j'allais passer 5 ans ici si je ne faisais rien. Mais quoi faire?

-Ok Mag, moi c'est Allan. Je vois sur ton dossier que tu as un stérilet, de quand datent tes dernières règles? »

-Oui, Il y a un peu plus de trois semaines, Monsieur » répondis-je, en réalisant que le but du centre était la reproduction. Combien de fois allais-je être enceinte si je restais ici!

-Je vais retirer le stérilet, mets-toi en position » me dit-il. J'avais du mal à écarter les cuisses. A m'ouvrir face à lui.

-Mag, ce n'est pas le standard d'obéissance que nous attendons de nos esclaves. Je comprends que ta brûlure te fasse souffrir, je vais m'en occuper après, mais il faut obéir plus vite. » dit-il d'une voix mêlant fermeté mais aussi bienveillance.

Dès que mes mollets furent posés dans les étriers il déroula un scratch, pour m'immobiliser.

-Je suis désolé, Mag, mais je crois que tu n'as pas complètement intégrée que tu étais une esclave » me dit-il, avant de s'assoir entre mes cuisses. Il passa un doigt dans mon sexe.

-C'est bien lubrifié » dit-il avant d'introduire son spéculum, puis de forcer l'ouverture de mon intimité. Je le senti attraper, puis tirer sur mon stérilet. Cet objet minuscule qui me protégeait des grossesses.

Je me sentais tellement vulnérable. Je me souvenais de la raison pour laquelle j'étais ici : pondre plein de petit roux, des enfants que je ne connaitrais pas, mais qui seraient vendus! Il fallait que je m'évade avant qu'il ne soit trop tard.

Le stérilet retiré, Il étala ce que j'identifiais comme du lubrifiant entre mes fesses. J'angoissais qu'il veuille me sodomiser. Je serrais les fesses quand il voulut introduire un doigt. il défie les straps, et je refermais mes cuisses. Il me laissa faire, mais je lu la désapprobation sur son visage.

-Mets-toi sur le côté que je regarde ta brûlure. » me dit-il. Il défie le pansement. Il lava la blessure.

-ça cicatrise bien, c'est beau. » dit-il en replaçant un nouveau pansement.

-Edouard » dit-il en claquant des mains. L'esclave qui nous avait déchargé arriva.

-Dans la boite près de l'entrée » dit le gynécologue.

-Bien, Monsieur » dit-il. En allant prendre un trousseau de clé.

-Suis-moi, C'est Mag? »

-Mag, et toi Edouard? »

-Oui. Ne t'inquiète pas, la boite c'est la punition douce » me dit-il. Je n'étais pas franchement rassurée.

-Par contre, il faut que tu obéisses mieux et plus vite, sinon, tu seras punie plus fortement » me dit-il.

-Je... je ne veux pas... » commençais-je

-Aucun de nous ne veut vraiment être esclave, mais c'est comme ça. » me dit-il alors que les larmes coulaient sur mes joues.

-J'ai... Je dois appeler au Canada » dis-je

-Ça ne t'apportera que des ennuis, Meg » me dit-il.

-Mag » corrigeais-je. Alors que nous arrivions à la petite cour que je connaissais déjà. Je retrouvais le pilori au milieu, et les portes des chambres. J'eu un mouvement d'arrêt.

-Mag, On est bien ici. Dans les bordels, les esclaves sont mal traités. » me dit-il. Il traversa la cour. Je le suivais.

-Le médecin, c'est le seul..., enfin les esclaves font beaucoup de chose ici... » commençais-je.

-Allan, oui c'est un des responsables du centre. Ils veulent une bonne ambiance entre les esclaves, alors on a pas mal de tâches qui devraient normalement être faites par des non-esclaves. » dit-il en s'arrêtant face à ce que je prenais pour un porte parapluie mal fichu.

Grace à la clé, il enleva la planche supérieure, qui reposait sur quatre segments de bois verticaux. Eux-mêmes étaient fixés sur une planche à quelques centimètres du sol.

-C'est ça, la boite. On y est tous passés au moins une fois. Tu dois t'assoir là » me dit-il. J'avais du mal à comprendre comment.

-Tu passes tes jambes sur les côtés. » m'expliqua-t-il, en mimant le mouvement à réaliser pour s'assoir. Ses mouvements faisaient se balancer sa cage de chasteté. Cela lui faisait-il mal? Il devait être habitué.

-Mais... je vais être assise sur la boule » m'exclamais-je en remarquant cette demi sphère sur la planche du bas.

-Oui, Elle tombe juste sur l'anus. C'est étudié pour, » me dit-il.

Assez mortifiée, je m'exécutais. Mes cuisses sortaient par les côtés, m'obligeant à les écarter et à ouvrir mon sexe. Puis je m'accroupis pour m'assoir sur la boule, qui comme Edouard me l'avait dit, se trouva juste sous mon anus. Les mains, et pieds au sol, je contrôlais le poids que je laissais reposer sur elle. Edouard ouvrit la planche du haut et la positionna autour de mon cou, puis la repositionna sur les segments du bois, avec un clic qui indiquait que le verrouillage était effectif. Combien de temps allais-je tenir dans cette position inconfortable? Depuis un instant ma priorité venait de changer : je voulais quitter le centre. Maintenant j'espérais juste échapper ou survivre à cette punition 'douce'. Je frémissais en me demandant ce qu'étaient les moins douces.

Edouard pris une de mes mains, puis l'approcha de la planche à côté de ma tête. Il y eut un clic encore. Puis ce fut l'autre mains. Mes cuisses avaient du mal à m'éviter de m'empaler sur la 'boule'

Mais Edouard n'avait pas fini Il attacha aussi mes chevilles sur les côtés, au peu haut. J'étais 'troussée' par la boite.

-Ce n'est pas confortable, mais c'est une punition. Oh, ne mord pas les clients » me dit-il. Je compris en réalisant que ma tête était juste à la hauteur de sa cage de chasteté. Par les trous je voyais son sexe comprimé. De plus un anneau passait derrière ses testicules et semblait les compresser contre la cage. Ca devait être douloureux, au moins au début.

Lubrifié, mon anus cédait lentement à la pression de la boule, que je ne pouvais plus soulager. Je savais qu'elle n'était pas très grosse, mais j'avais la sensation de m'enfoncer sur un pal énorme. Un objet qui m'ouvrait inexorablement. J'imaginais mon sexe mollement ouvert de par ma position. J'étais offerte et sans défense.

C'est un peu plus tard que des clients sont arrivés. J'étais dans la boite la plus proche de l'entrée et ils me virent immédiatement. Mon rythme cardiaque s'accélérait.

-Mignone, elle » dit l'un.

-Une nouvelle on dirait. » répondit l'autre

-On va tester sa bouche, pour son cul il faudra revenir »

-Justement ils sont en train de l'attendrir » rit le second. Je n'aimais pas son humour.

Le premier se positionna face à moi, et baissa sa braguette. Contrairement à Edouard, il ne portait pas de cage de chasteté, et avait bien l'intention d'en profiter. Était-ce ma position, ou simplement le fait de venir ici? Il était déjà en érection. Et il pointa son sexe sur mon nez. Je pensais à fermer la bouche, mais n'avais-je pas plus à perdre? Je lui ouvris mon orifice buccal : Son appendice génital l'envahi!

Je me retrouvais avec une boule qui me défonçait le cul, pendant qu'une grosse bite s'enfonçait dans ma bouche. C'était proche de l'insupportable, alors que la veille au soir, j'avais aimé être prise des deux côtés en même temps, mais j'étais active, ou au moins, je pensais l'être.

Ma surprise, fut que l'homme avait son sexe dans ma bouche, mais il ne bougeait pas. Je pensais qu'il allait en profiter pour faire un record en profondeur pour voir si comme Linda Lovelace j'avais un clitoris dans le fond de la gorge. Mais rien de tout cela.

-Et bien, on ne sait pas se servir de sa langue? » me dit-il.

Presque humiliée, je mis au travail, de sucer, lécher, embrasser ce sexe. Apparemment voir ma tête se contorsionner pour son plaisir était important pour lui.

-Humm, je reviendrais pour te prendre par le cul, ma salope » me dit-il en me tenant la tête en éjaculant pour s'assurer que toute sa semence coule dans la bouche. Je préférais avaler comme une bonne petite esclave.

Quand il eut fini, je vis que son ami était déjà en train de se caresser. Il s'approcha de moi. J'ouvrit la bouche pour l'accueillir au chaud. Mais lui m'attrapa par les cheveux, et tira puis poussa ma tête en opposition avec ses mouvements de bassin. Lui tapais dans le fond de ma gorge, ce qui me fit pleurer.

-Avec moi, pas besoin d'avaler, je vais tout faire couler dans le fond de ta gorge. » dit-il.

En fait, ce n'est pas ce qu'il fit. Il éjacula sur mon visage. Entre les larmes et son sperme je ne voyais plus rien. Leurs voix s'éloignèrent. J'angoissais de savoir combien de temps j'allais me trouver comme ça, immobilisée et aveugle.

En fait assez rapidement, une personne se mit face à moi, et m'essuya le visage avec un ligne. Ses mouvements étaient délicats et attentionnées.

-Ferme les yeux » me dit la voix d'Emily que j'avais vue à l'entrée.

-Voilà, tu peux rouvrir les yeux » me dit-elle. Elle était à genoux face à moi. Ses grands yeux verts me regardaient.

-Merci » dis-je.

-C'est normal, entre esclaves on doit s'aider. J'ai à boire si tu veux. De l'eau je n'ai rien le droit de te donner de plus. »

-Oh oui, merci » dis-je. Ce n'était pas l'idéal, mais ça aidait à faire passer le gout du sperme. Surtout ce n'est pas facile de faire boire une tête!

-J'ai envie de te caresser » me dit-elle. Sa main passait sur mes poils pubiens, et descendaient.

-Euh... » dis-je mal à l'aise.

-J'arrête si tu veux, mais la livraison de ceintures de chasteté arrivera vers midi. Après je ne pourrais plus rien pour toi avant un moment. » dit-elle en caressant mes lèvres.

-Humm, oui » dis-je.

-Oui, tu veux que j'arrête? »

-Oh non! »

-Non, il faut que j'arrête » me dit-elle

-Oh non, continue » protestais-je alors qu'elle titillait mon clitoris.

-dis-moi que tu veux que je te baise avec mes doigts. » me dit-elle.

-Oui, baise-moi, baise-moi avec tes doigts, baise-moi profond » dis-je un peu malgré moi pour le plus grand plaisir d'Emily. Quand elle reparti après m'avoir embrassé sur la bouche, elle ondulait du bassin dans sa ceinture de chasteté. Elle aussi avait envie!

La situation me rappelait un peu ce que j'avais vécu avec Debbie. Aurais-je l'occasion de m'occuper d'Emily? Me trahirait-elle aussi? Debbie m'avait-elle trahie. Je ne réalisais même plus que la boule avait fait sa place, et n'était plus si désagréable.

Un peu plus tard, une esclave monta devant le pilori. Seule, elle plaça sa tête dans l'emplacement. Une autre esclave vint l'aider à placer ses mains, puis à verrouiller l'ensemble. Il avait les clés, et lui retira sa ceinture de chasteté. Elle était là devant tout le monde. Je la voyais onduler des fesses. Je savais pourquoi elle était là, et je pense qu'elle anticipait ce qui allait arriver. Je notais une pèche sur sa fesse. Sans doute le symbole d'un autre marché que le SCCM.

Cela devait lui sembler tout aussi interminable que pour moi. Finalement trois 'garçons' arrivaient. C'est Edouard qui leur attacha une chaine à un pied. Puis il retira leurs cages.

Assez rapidement leurs sexes furent en érection. La fille était toute excitée aussi.

Moi-même j'avais du mal à me contenir. Mais mes tentatives de toucher mon sexe et mes seins furent vaines. Par contres mes mouvements me faisaient bouger sur ma boule qui à ce moment était assez profondément enchâssée entre mes fesses. Les sensations qui en émanaient vaguement agréables. Je me surprenais moi-même.

Une fois que chacun des esclaves roux eut éjaculé dans le vagin de l'esclave rousse, les quatre dispositifs de chasteté furent replacés, et les quatre esclaves libérés.

-Ta ceinture est arrivée » me dit Edouard, en me libérant.

Il me la fit porter tout aussi serrée que Debbie l'avait fait, il m'invita à manger avec les autres, en m'expliquant qu'après je devrais débarrasser et faire la vaisselle.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Toujours aussi passionnant. Ce récit/roman se démarque complètement de toutes autres littératures plus ou moins pornographiques. Il est décalé et érotique. J'attends la suite avec impatience.

Bravo à l'auteur, restez original.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Nathalie Soumise à son Collègue 01 Mariée Nathalie cède aux caprices sexuels d'un jeune ami.
Sous la robe de ma Belle-mère 01 J'entraine Belle-maman dans mes vices fétichistes (Partie 1)
Plus d'histoires