Un Centre Pour Roux Ch. 09

Informations sur Récit
Mag attend de savoir qui est son propriétaire...
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Partie 9 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 9, Il comporte un resumé qui permet de le lire indépendamment du reste, mais évidement, il est préférable de lire la série.

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Le Slave's Cock&Cunt Market est un endroit particulièrement bruyant. Mais le jour tombait, les lumières avaient été baissées, et le volume sonore, lui aussi, baissait. Pour autant, je n'étais pas sûre de pouvoir trouver le sommeil dans ma cage. Dans un premier temps, je m'étais écroulée sur le lit de camps, tellement j'avais été vidée par les événements de ma journée. Macha était venue me déposer du Grit. C'est l'autre spécialité d'Atlanta, avec les pèches. Mais là, je n'étais pas dans un restaurant gastronomique, le Grit que j'avais était la nourriture des esclaves. Sans doute quelque chose d'intermédiaire entre de la nourriture pour animaux, et quelque chose pour humain.

Le Grit est normalement un porridge à base de maïs, accompagné de Red-eye gravy, une sauce à base de café enrichie de grasse de porc. Manifestement, dans mon assiette, il n'y avait que le Grit.

Le cuisinier du Cock&Cunt avait dû se donner du mal, car le résultat approchait en aspect d'une sécrétion humaine, aussi appelée sperme. Mon sandwich de midi était loin, et maintenant que j'étais une esclave, je devais m'y faire. Je m'approchais de mon assiette pour constater un détail qui n'était certainement pas un oubli : il n'y avait pas de couvert.

L'esclave, abattue, vendue et marquée au fer rouge qui s'apprêtait à passer la nuit en attendant d'être livrée à son nouveau propriétaire, c'était moi, Marguerite O'Sullivan, officier de la police Canadienne. J'étais chargée de lutter contre les trafics d'êtres humains. Un Conférence à Atlanta a été l'occasion pour moi de voir l'esclavage aux Etats-Unis et de rencontrer Debbie. Une esclave du centre de conservation des roux. Debbie s'était souvenue de moi, et avait fait le voyage pour me rejoindre quand elle a été libérée. Je l'ai prise avec moi. Elle m'a expliqué ce que ressentent les esclaves, en me le faisant vivre. En Vacances en Floride, Debbie a voulu que j'essaye de me comporter en esclave dans la rue, une chose impossible au Canada. Notre vol de retour nous a imposé une escale à Atlanta, où le fait m'être comportée comme une esclave m'a donné droit à 5 ans d'esclavage vrai. Je me suis retrouvée dans un marché aux esclaves où j'ai été préparé, évaluée, vendue et marquée au fer rouge.

Mon nouveau propriétaire, que je ne connaissais pas encore, m'avait laissée pour la nuit au Cock&Cunt. Je me retrouvais donc nue dans une minuscule cellule de grillage, à me demander comment j'allais avaler mon Grit. J'hésitais à le prendre dans la main, où il allait couler, où à lécher mon assiette. Je regardais comment faisaient les autres esclaves à passer la nuit ici. Nous étions repartis pour ne pas être proches les uns des autres, et ne pas pouvoir nous parler. Pour autant, et malgré la pénombre, je pouvais voir ces autres esclaves. Certains avait les mains attachées dans le dos, et était à genoux devant le banc sur lequel était posé leur assiette. Je décidais donc de faire comme eux, en évitant de demander pourquoi mes mains n'était pas attachées : une esclave se pose toujours trop de questions.

La position à genoux n'était pas valorisante, et je pense que c'était but : rabaisser les esclaves au rang d'animaux. J'essayais de me dire que j'avais 5 petites années à supporter ça et qu'après ce serait fini, mais en fait je n'y arrivais pas : Ça allait être 5 longues et difficiles années. 1825 jours calculais-je dans ma tête avant de réagir : il allait y avoir une ou deux années bissextiles.

Le Grit était épais, collant, et trop salé. Je n'arrivais pas à penser que la similitude avec du sperme était involontaire. Une forme de sperme artificiel en somme.

-Oh, elle est mignonne celle-là! » dit un manipulateur. Lui, et son collègue étaient jeunes et je ne les reconnaissais pas. Sans doute des membres de l'équipe de nuit. Penser que j'étais laissée à leurs soins, ou peut-être devrais-je dire, leurs besoins, me fit froid dans le dos.

-Tu as intérêt à bien tout finir » dit l'autre.

-Oui, Monsieur » dis-je. Redoublant de courage pour avaler mon premier repas d'esclave. Je ne voulais pas être punie, ma brulure me suffisait.

Alors que j'avais fini, une pensée traversa mon esprit. Dans la journée les manipulateurs ont du travail, mais la nuit? Or que font deux hommes désœuvrés entouré de femmes nues n'ayant pas le droit de leur désobéir? Et là, je me surpris moi-même. Mag était outrée que des hommes abusent de la situation. 5113, elle, se dit qu'ils étaient beaux garçons, et que ce serait la première fois qu'elle aurait deux hommes pour elle. Il me fallut quelques coups de langues pour finir mon Grit et pour réaliser que depuis quelques heures maintenant j'étais 5113, et plus Mag. Pour vivre au mieux ma situation il fallait l'accepter, et donc écouter 5113. J'allais bientôt devoir satisfaire ces deux jeunes hommes, et autant y prendre du plaisir!

Je sentis un frissonnement dans mon sexe, et je décidais d'attendre leur retour à genoux. J'avais un peu peur que ma décision ne leur déplaise, et en même temps l'excitation montait. J'avais juste peur de rester frustrée s'ils décidaient de ne me demander qu'une fellation.

Mon attente me parut un peu longue.

-Regarde comme elle est sage » dit le plus petit.

-Tu as eu ta marque ce soir? » demanda l'autre.

-Oui, Monsieur »

-Donne-moi ta gamelle, on repassera te donner une couverture si tu es une gentille fille.

-Oui, Monsieur, bien sûr Monsieur » répondis-je. Un peu vexée de devoir attendre, mais rassurée de savoir que j'aurais une couverture pour la nuit.

-Retourne toi » me dirent-ils alors que je venais de donner ma gamelle.

-Mains dans le dos » me dit l'un des deux. Evidemment, un peu frustrée, je fis comme demandée, sachant que manifestement mes mains allaient être attachées.

-Tu arrives à prendre chaque coude dans la main opposée » me demanda l'autre. Cela me demanda de réfléchir, mais je le fis encore.

-Super » dirent-ils. Je senti leurs mains glisser des attaches-câbles. En un instant mes mains étaient attachées dans le dos, dans cette position contraignante.

-Ne fait pas de folie, ma jolie, on revient te voir dans un instant, le temps de faire le tour » me dirent-ils. Je lisais leur excitation dans leurs voix. Je me remis à genoux en attendant qu'ils aient fini leur tour. J'étais inquiète, mais aussi très excitée de ce qui allait se passer. J'avais eu des expériences en tant qu'esclave avec Debbie. Là ça allait être avec deux hommes! Je me sentais couler, et si mes mains n'avaient pas été attachés j'en aurais profité, mais Debbie m'avait préparée à cette frustration avec la ceinture.

J'étais assez fière de moi : j'avais réussi à tenir ma position jusqu'à ce qu'ils reviennent. La tension montait.

-Tu nous a attendu comme ça? » demanda l'un des deux.

-Oui, Monsieur » dis-je.

Les deux manipulateurs entrèrent dans ma cage. Et ouvrirent leurs braguettes. J'eu un ultime moment de peur avant de voir leurs sexes mollement pointer vers moi. Je me redressais pour les sucer.

-Hep, hep, ma salope, tu es chaude, mais depuis quand une esclave prend l'initiative? » me dit l'un d'eux.

-Pardon Monsieur, j'avais pris cela pour une instruction. » dis-je, un peu inquiète de la tournure que prenaient les évènements.

-Laisse-tomber Steven, elle vient d'être marquée, tu ne vas pas lui donner une correction? »

-David, David, David, les esclaves n'apprennent rien sans correction! » répondit celui qui avait la peau mate.

-Et comment tu comptes la corriger? »

-On va lui laisser le choix. Tu préfères, des coups de canne sur les fesses, ou que je te sodomise? » Je regardais son sexe imposant, tout à fait intimidée.

-Je crois la sodomie, Monsieur » dis-je en tremblant.

-Tu es incorrigible Steven, aller commence à me sucer, et laisse-lui un accès entre tes fesses., » dit David à son collègue, puis à moi. J'étais terrorisée, mais j'obéissait. Je fus agréablement surprise de sentir que Steven me lubrifiait l'anus, mais cela ne suffisait pas à me rassurer. J'essayer de ne pas y penser en me concentrant sur ce qu'il y avait devant moi.

Le membre que j'avais en bouche était assez généreux, mais pas trop : j'arrivais à l'avoir dans ma bouche, et à en faire le tour avec ma langue, et le propriétaire avait l'air satisfait de mon action.

Derrière, Steven appuyait avec ses doigts sur mon anus. Et petit à petit mon sphincter se relâchait et lui laissait le passage. A vrai dire j'étais plutôt surprise de trouver cela agréable. Il enfonça un doigt, et je gémis en le sentant me pénétrer, puis se retirer. Une sensation assez différente de ce que j'aurais ressenti dans mon vagin, mais très loin d'être désagréable.

-Ralenti un peu le rythme, sinon, je vais jouir avant Steven, » me glissa David. Sans rien en dire je m'offusquais qu'il ne pense pas à ma jouissance à moi, avant de réagir : j'étais l'esclave. Il n'empêche que c'était à moi de gérer leurs jouissances pour qu'elle soit simultanée!

Steven venait de passer à deux doigts, et je le sentais plus large, mais mon sphincter semblait ne pas s'en offusquer. Le manipulateur savait ce qu'il faisait. Quand il y mit trois doigts, je gémis de douleur pour les deux ou droits premières insertions. Puis il retira tous ses doigts. Je le regrettais. Je le regrettais d'autant plus que je sentis un objet plus gros se poser sur mon anus. L'instant fatidique allait arriver.

-Relaxe toi, et ne sert pas les fesses, ça devrait aller tout bien » me dit-il en passant sa main sur mon dos.

Et il poussa bien plus délicatement que ce qu'il avait fait avec ses doigts. Il y avait du lubrifiant, et son sexe glissait en moi. Il m'ouvrait, m'écartait. J'ouvris la bouche de surprise, mais David se rappela à moi. Je poussais un cri de surprise en sentant son gland en moi.

-Ca à l'air d'aller, je vais continuer » me dit Steven. J'étais absolument surprise de ne pas avoir plus mal, alors que je sentais son sexe énorme faire son chemin en moi. En fait j'en avais un de chaque côté, et je trouvais cela excitant!

Steven pris son temps pour me pénétrer complètement. 9a a dû donner des envies à David, qui a pris me cheveux, et, lui aussi, s'est enfoncé en moi jusqu'à ma gorge. S'il avait éjaculé, son sperme serait parti dans mon œsophage directement.

-Tu sais qu'une bonne suceuse n'avale pas, elle présente la semence à son maitre sur sa langue, et attend son ordre. » me dit David. Je le regardais un peu angoissée.

Mais là tous deux changèrent de vitesse. Je ne maitrisais rien. Et ils jouirent tous les deux. J'avalais la première giclée qui m'a surprise, mais je faisais attention de ne pas perdre les suivantes.

Je n'ai pas joui, mais je me suis mise à genoux, et j'ai ouvert ma bouche et présenté ce que j'avais récolté à David. »

-Tu peux avaler, jolie salope » me dit-il. Ils attachèrent une laisse à mon collier et me conduisirent à l'espace lavage, où me rincèrent, avant de me reconduire à ma cage pour la nuit.

Mon anus était un peu douloureux d'avoir été maltraité, et malgré le caractère humiliant du moment, je n'étais pas déçue, mais sans avoir eu mon plaisir.

Au matin je fus réveillée par le bruit d'un homme qui parlait depuis la plateforme aux manipulateurs. L'un d'eux aurait maltraité une esclave et devait être puni. Je me demandais comment est puni un manipulateur d'esclaves? Je ne le saurais sans doute jamais, car mon séjour dans ce marché touchait à sa fin. (Voir l'esclave mystère ch 2)

En fait je n'ai pas trop eu à attendre car une gamelle de Grit me fut donnée, avec mon traitement anti-douleur. Franchement le soir je n'avais pas apprécié. Le matin ce repas fut plus difficile à avaler, mais me souvenant de la menace de veille au soir, je me forçais à finir.

C'est Shirley qui est venu me chercher et qui m'a conduite à travers les cages. Elle m'a essuyé le visage, puis m'a conduite à une forme de quai. Des camions manœuvraient. Et venait coller leur arrière contre le quai. Sur des palettes se trouvaient des cages en forme de canette. Sur la palette qui était là, deux des cages comportait un esclave dedans. Je souris intérieurement. Ces deux esclaves, un homme et une femme, étaient roux. Shirley me vit sourire.

-Toi tu as deviné où tu vas » me dit-elle.

-Je crois, Madame. »

-Installe toi »

J'entrais par la petite porte. Et je m'installais dans l'espace exigu. Shirley fermait la cage. Une quatrième rousse prit place dans la dernière cage. Un chariot élévateur souleva la palette et la déposa avec soin dans le camion. Il y eut un temps mort, et celui d'ébranla et parti lentement dans les embouteillages du matin.

Ce fut un voyage clame. Sans doute 30 minutes plus tard, le camion manœuvra. Je me doutais de ce que j'allais voir : un quai. Je ne pouvais m'empêcher de penser à l'usine où j'avais vu un camion vider sa 'marchandise', un an plus tôt.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 9 moisAuteur

Merci pour ces commentaires.

Pour Debbie, elle n'a pas complètement disparue, il en sera bientôt question.

Merci !

Papa75Papa75il y a 10 mois

Ou est Debbie ?

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Votre série est vraiment bien amenée, elle est agréable à lire.

Mettre l'accent sur la partie psychologique plus que sur des scènes interminables de sexe rend le récit jubilatoire.

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