Un Centre Pour Roux Ch. 08

Informations sur Récit
Mag craque avant d'être marquée au fer.
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Partie 8 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 8. J'ai prévu un petit résumé qui doit être suffisant pour comprendre, mais évidement lire depuis le début est préférable.

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La soirée sera chaude

L'après-midi avançait, et j'étais de plus en plus nerveuse. L'évaluation était annoncée comme durant deux heures quand Debbie m'avait déposée. Elle avait duré une heure. Il y avait eu une phase préparatoire qui avait dû durer une demi-heure. Et cela faisait bien longtemps que j'étais dans cette cage. Je n'étais pas impatiente d'avoir ma marque, mais par contre je l'étais de retrouver mes vêtements à l'aéroport, et prendre mon avion.

Après j'essayais de me dire que cette expérience me serait utile professionnellement, car ce que je vivais c'était ce à quoi était destinées les personnes que je devais sauver dans mon travail au sein de la police Canadienne. Lors d'un voyage à Atlanta, j'avais rencontré des esclaves au Centre de Conservation des Roux. Debbie l'une d'entre elles m'avait reconnue sur une coupure de journal après une prise importante de mon équipe, et elle était venue me rejoindre. Puis elle m'avait expliqué ce que vivent les esclaves, chez moi d'abord, puis dans une station balnéaire américaine. A la suite d'un changement d'avion, je me suis retrouvée en escale à Atlanta, et Debbie a voulu me faire traverser la ville comme une esclave. Mais là, nous sommes passées devant un juge qui a donné à Debbie une licence pour 5 ans de propriété de ma personne. Une licence à faire valider par une évaluation qui venait de finir. J'attendais que Debbie vienne me chercher au Slave Cock&Cunt Market. Mais une chose s'était passée après mon évaluation : je suppose que Debbie voulait que je sois marquée au fer rouge comme elle l'avait été. Mon étiquette d'identification avait été changée.

De ma position, je voyais la cage où arrivaient les esclaves à évaluer. Quatre par quatre ils montaient sur la plateforme, et ils y restaient une heure. La plateforme descendait, et cela indiquait que mon évaluation avait été finie il y a une heure. Un seul esclave avait une étiquette rouge, les autres furent mis dans la cage où étaient partis Christopher. Cet esclave à étiquette rouge me rejoint. J'avalais ma salive, cela ne présageait rien de bon, sans que je sache quoi exactement.

Shirley Reid, qui nous avait donné de l'eau, tapa sur une porte de la cage, pour attirer notre attention.

-Je vous transfert de cage, maintenant. » dit-elle. Je pensais à refuser, à rester là où j'étais. Des larmes me montaient aux yeux à l'idée d'être marquée au fer. En même temps, Shirley avait beau être une petite blonde un peu bimbo, elle portait le même uniforme rouge et noir que les autres manipulateurs d'esclaves, avec la même ceinture, sur laquelle était suspendus, un martinet, un fouet, et un tazer. La matraque, elle l'avait dans la main. Nue, je n'étais pas de hauteur à me mesurer à elle. Alors, avec les autres, je couru dans l'autre cage quand elle ouvrit la porte.

Cette nouvelle cage était un couloir. Nous étions les uns derrière les autres. La file courait sur le côté du bâtiment opposé au côté où on m'avait préparé à l'évaluation. Par l'extérieur de la cage, Shirley passa à côté de nous et coupa les liens qui nous retenaient les mains. Je massais mes poignets endoloris.

-Masturbez-vous sans jouir, c'est comme ça que ça se passera le mieux. Il faut que votre excitation vous porte! » nous dit-elle. J'étais un peu gênée, mais l'idée que la jouissance puisse aider à supporter la douleur je l'avais déjà lu. Alors comme les autres je passais mes mains entre mes cuisses.

Shirley scanna le collier de l'esclave du début de la file. Il tremblait. Peter et Paul le prient chacun par un bras et le conduisirent derrière le rideau, par une coursive en montée.

Il y avait bien des bruits étouffés, mais rien qui ne fasse penser à une torture derrière le rideau. Les filles m'auraient elles trompée? Cela ne parvenait pas à faire baisser mon angoisse.

Shirley scanna encore un collier, et la fille parti, un peu plus assurée, si bien que Paul et Peter n'eurent pas à l'accompagner. Une fois passée derrière le rideau, ils accompagnèrent l'esclave qui revenait, et ils le mirent dans une autre cage. Il semblait éprouvé, mais bien moins que ce à quoi je m'attendais, et ça me rassurait. Le rythme était assez rapide, car environ deux minutes après, Shirley scanna le collier suivant, et Peter et Paul accompagnaient un nouvel esclave, et raccompagnaient le précédent.

Si bien que, bientôt, je fus juste devant la porte. J'avais mains moites, et je ne savais pas quoi faire.

-Caresse toi, ma jolie salope, tu vas leur faire leur numéro. Ils ne sauront plus où ils sont! » me dit Shirley.

-C'est fait » dit le talkie-walkie que Shirley portait et que je n'avais pas remarqué jusque-là. Elle ouvrit la porte, et scanna mon collier, il y eu un « bip »

-Aller ne te laisse pas aller, montre-leur ce que c'est qu'une 'Choice +' tu vas les épater » me dit-elle. C'est idiot, mais cela m'aida à être fière, et aller d'un pas régulier derrière le rideau. 'Choice+' est un très bon grade, le grande en dessous du 'Prime-' de Debbie. Les autres esclaves n'en sortaient pas si mal. Paul et Peter m'accompagnaient, mais n'eurent pas à m'aider plus que de soulever le rideau, et me mettre une tape sur les fesses quand je marquais une pause en découvrant ce qu'il y avait derrière : je ne m'attendais pas à cela.

Derrière le rideau j'attendais une forge, un bourreau, une odeur de chair brûlée. Il n'y avait rien de tout cela, bien au contraire! Pour autant le sentiment que Debbie m'avait trahi m'envahi immédiatement, et je marquais une pause de surprise. Pause courte, car Peter ou Paul, me donna une tape sur les fesses pour me faire réagir.

Je m'avançais donc vers le milieu de la scène, sur un sol en béton brut. Autour de moi, il y avait des gradins en cercle et remontant. Ils étaient dans cette imitation de marbre noir, et des gens habillés étaient installés. Les lumières qui m'éclairaient m'éblouissait, je les devinais sans les voir, sans pouvoir les reconnaitre. Sur le côté dans un uniforme du Cock&Cunt, un homme avec un marteau et un fouet, était assis devant structure en forme de bureau.

-5113, Marguerite, Policière Canadienne, Rousse, facilement excitable, elle a été plutôt docile pendant sa préparation. C'est un contrat de 5 ans. » dit l'homme. Clarifiant ce que je pensais dès mon arrivée : j'étais mise en vente. Je repensais à Eléanor, qui avait eu la même surprise que moi.

-A genoux » cria l'homme, en faisant claquer son fouet. Sans même réfléchir je m'exécutais, même si je voulais protester. Il devait y avoir eu une erreur!

-A quatre pattes » cria-t-il encore, et comme Macha avait cadencé le yoga avec un bâton, lui le faisait avec le fouet : c'était terrifiant.

-Fesses en l'air » mon cerveau était court-circuité.

-Debout » je sautais en position, puis il me fit refaire la même chose en tournant le dos à l'acheteur. Que voyaient-il de moi quand j'étais les fesses en l'air?

-Reste en position, et caresse toi » me dit-il. Je dégoulinais,

-A droite, oui.

-A gauche... »

Cela me semblait interminable, les enchères devaient monter, mon excitation aussi.

Était-ce parce que j'étais au milieu que je trouvais cela si long?

Le commissaire-priseur semblait aux prises avec deux acheteurs, mes doigts dans mon sexe suivaient le rythme de ses annonces.

Puis les enchères ralentirent, mais pas mes doigts. Il me semblait que j'allais jouir, mais que je n'y arrivais pas. Je voulais que ce soit fini. Je voulais disparaitre, je voulais jouir avant.

Il y eut encore deux enchères, puis encore deux, puis plus rien.

-une fois, deux fois, trois fois » dit-il avant de donner le coup de marteau : ce devait être l'autorisation que j'attendais. Je jouis alors que je venais d'être vendue.

Je repris mes esprits quand Paul et Peter m'ont aidée à me relever à quitter la salle des ventes.

-Il y a erreur, je ne dois pas être vendue. » dis-je à l'un d'eux.

-Etiquette rouge, bon pour la vente, » me répondit l'un. En décollant mon étiquette, et en me la montrant.

-Etiquette verte, vendue, » ajouta l'autre, me la montrant en la collant à mon collier. Il me dirigeait vers des cages. J'eut juste le temps de voir les indications : « Avec Marque » et « Sans Marque ».

-Ma maitresse ne devait pas me vendre » ajoutais-je.

-Elle a dû changer d'avis » me dirent-ils en ouvrant une des cages.

-Oh, non » criais-je alors qu'ils me poussaient dans une cage.

-Ça arrive souvent » dirent-il, comme si je criais parce que Debbie m'avait vendue. Ils venaient de me mettre dans la cage « Avec Marque »

Je ne sais pas l'expliquer, mais alors que j'attendais ma marque assez placidement, là après la vente, je n'étais pas placide du tout.

-Non, non, pas ça! » criais-je, dans une tentative désespérée d'échapper à mon sort. Je pleurais, je criais, je m'accrochais aux grillages des cages. Mais ça ne dura pas longtemps. Je fus foudroyée, et je m'effondrais sur place, sous l'effet du choc du collier.

-Ca va aller? » me demanda Peter. Il était penché vers moi, et je pouvais voir son badge.

-Je... » j'arrivais à peine à parler

-Tu as été vendue. C'est une surprise, mais il va falloir faire avec. Les ventes d'esclaves sont définitives. Je t'aide à te relever, et tu suis la file dans la quelle tu es. » me dit-il, d'une voix qui me surpris par sa douceur.

-Si tu préfères, je te zappe à nouveau, » dit Paul derrière les barreaux, avec autorité.

-Non, merci Monsieur » arrivais-je à dire, alors que je me retournais pour me mettre à quatre pattes.

Peter, me donna la main, et je me relevais toute tremblante du choc que je venais de recevoir.

Le temps que je reprenne mes esprit, Peter était parti. J'avalais ma salive.

-A mon avis tu as été achetée par le centre des roux, il y a pire, » me dit une esclave devant moi.

-J'ai... peur de la marque! » dis-je

-Et, tu as gagné un coup de zapping, » me dit-elle.

-Tu n'as pas peur toi? » demandais-je

-Si, mais j'essaie de ne pas le leur montrer. » me dit-elle, en me montrant sa main qui tremblait.

-C'est quoi ton nom? »

-Mélinda, Après j'essaie de me dire que c'est une plus-value pour une esclave. Et notre valeur c'est notre garantie d'être bien traitée. » me dit-elle. Parler avec elle m'aidait à me calmer un peu. Mais bientôt, elle fut au-devant la porte de la cage. J'avais du mal à me dire autre chose que, « après elle, c'est moi! »

Un manipulateur sorti d'une pièce, J'essayais de voir son badge pendant qu'il faisait sortir Mélinda de la cage, pour la conduire dans cette pièce. L'angoisse me nouait l'estomac, car je savais qu'après ce serait mon tour, d'être accompagnée par Darren Escobedo.

-Tu va voir, tu vas avoir le feu aux fesses » dit-il à Mélinda, en la conduisant à cette terrible torture. Je ne voulais pas avoir le feu aux fesses! Pour me changer les idées, j'essayais de me remémorer les différentes personnes que je venais de rencontrer. Peter, Shirley et Macha, m'avaient paru sympathiques. J'avais par contre un très mauvais sentiment avec ce manipulateur d'esclave.

Evidemment, il vint me chercher.

-Allez vient beauté, tu verras la soirée sera chaude » me dit-il en me guidant vers la pièce par le bras.

Dès le pas de la porte je vis que le sol était recouvert de sable, et l'odeur âcre, mélange d'urine et de chaire brulée me donnait une idée de ce qui m'attendait. La peur me saisit, et je me pissais dessus littéralement.

-Allez encore une pisseuse! t'es pas la première, c'est pour ça que le sol est en sable. Allonge toi chérie. » dit Darren en me montrant un lit recouvert de cuir. Tremblante, j'obéissais. Il attacha mes chevilles, puis un strap autour de ma taille.

-Tu verra c'est comme des UV, sauf que ça chauffe plus » ajouta-t-il en riant. Et en attachant mes bras, je ne pouvais pas bouger. Il posa deux objets face à moi.

-Embrasse les, » dit-il En relief il y avait le logo : une canette, et mon évaluation 'C+' pour 'choice plus'. Il les posa contre mes lèvres. Puis les en-cliqua sur une espèce de chargeur. Rapidement les faces métalliques en relief se mirent à rougir.

-Oh non. » dis-je.

Il prit une lanière en cuir. Et il la mit devant ma bouche.

-Mors ça, ça va faire plus mal que tout ce que tu as connu, tu vas crier comme une truie » me dit-il avec un sourire vicieux. Je mordis, et il attacha le morceau de cuir derrière ma tête.

Il passa derrière moi, et pulvérisa un liquide sur ma fesse. 'on y est' me dis-je alors que le logo, blanc de chaleur, fit clac. Il le prit, et le posa avec force sur ma fesse. Je hurlais de douleur, j'étais tétanisée. Et même quand il retira la douleur était là.

Mon évaluation fit clac à son tour. Je hurlais d'avance.

-C'est là que c'est amusant, quand tu sais déjà que ça va faire mal » dit-il avant de l'appliquer dans un bruit de crépitement. Le crépitement de ma peau qui brulait.

J'étais surprise de ne pas avoir perdu connaissance. Je senti du froid sur ma fesse.

-C'est de la glace pour soulager » me dit une voix féminine

Darren me détacha. Et j'allais pour me lever.

-Doucement, tu veux partir d'ici, mais on a 5 min »

-Mais si tu veux, je refais ton maquillage comme ça » plaisanta Darren. La manipulatrice souleva la glace, et étala de la pommade sur la brulure, puis elle colla un pensement, et me donna la glace.

-Applique la glace, et commence à te lever. Non, de l'autre côté » me conseilla-t-elle.

Je tremblais debout, mais Deborah Upchurch, une afro-américaine m'aida, et me soutenait, pour sortir par une autre porte que celle de l'entrée. Là sur une table il y avait un verre et un comprimé.

-Eau et ibuprofène » me dit-elle en me souriant. Je pris le comprimé.

-Tu sera livrée à ton acheteur demain, tu vas passer la nuit ici » me dit-elle, en me conduisant dans une cage.

-Et Melinda? »

-Hey, tu viens d'être marquée au fer rouge, comment tu me parles, tu veux un coup de martinet? » dit-elle en élevant la voie

-Pardon Maitresse. »

-Qui est Melinda? »

-L'esclave avant moi. »

-Son nouveau propriétaire en prend livraison maintenant » me dit-elle.

Je me retrouvais dans une cage, seule. La glace et l'ibuprofène peinaient à effacer la douleur. En même temps je ressentais une certaine fierté de l'avoir fait.

Finalement la lumière tomba.

-Voilà du Grit, l'équipe de nuit repasse dans 1h pour ramasser la gamelle » me dit Macha, la gardienne qui s'occupait du yoga dans la journée.

J'allais enfin savoir ce que c'était que le Grit, sans en avoir vraiment envie.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Toujours aussi palpitant !

J'adore 🙂

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Comme je le suspectais elle a été trahie par Debbie qui l'a vendue pour un esclavage de 5 ans.

Reste plus qu'à connaître l'identité de son nouveau propriétaire, le centre de conservation des roux ou une autre personne !

OlivX

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