Un Centre Pour Roux Ch. 05

Informations sur Récit
Mag et Debbie font escale à Atlanta.
2.2k mots
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1

Partie 5 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est le cinquième épisode. il y a un résumé au début du quatrième épisode, mais le mieux est de lire depuis le début.

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Juste une Escale

Debbie ne reparla pas de me faire visiter le World of Coca-cola nue, mais dans mes rêves pendant le vol, le l'avais parcouru de long en large avec les chaussures de ballet.

Le vol se passa bien, et finalement arrivées à l'aéroport, Debbie me montra que dans son bagage à main, elle avait les chaussures de ballet.

-World of Coca-cola, ou Stone Montain Park? »

- Le World of Coca-cola est vraiment trop proche du marché.» dis-je

-C'est un oui pour 'Stone Mountain'? »

-Non... Pourquoi pas le musée d'art? » dis-je.

-Ok, » me dit Debbie, en me prenant par la main pour me conduire dans des toilettes. Là je lui confiais mes vêtements, je mis les chaussures, puis, Debbie me mit des menottes dans le dos.

-Pas de ceinture de chasteté? » demandais-je.

-Elle est dans le sac en soute, » dit-elle en attachant la laisse.

J'étais déjà toute excitée de traverser l'aéroport d'Atlanta, comme une esclave. Une pensée me traversa l'esprit alors que nous passions à côté de policiers. S'ils savaient que je n'étais pas une esclave, risquerions-nous quelque chose, Debbie et moi? Evidement au moment où j'écris ces lignes je sais que oui.

-Votre esclave dans le coffre » dit le chauffeur de Taxi

-Je préfère l'avoir avec moi » protesta Debbie.

-Non, la mouille de cette salope va dégueulasser mes sièges. »

Il ouvrit le coffre, me fit mettre dos à la voiture, et posa sa main sur ma tête, pour me faire basculer en arrière. En quelques mouvements j'étais dans le coffre qu'il ferma.

Dans le coffre, je me maudissais d'avoir accepté, une fois de plus!

Quand le coffre s'est ouvert à nouveau, nous n'étions pas au musée.

-J'ai changé de programme, Mag. le musée ça fait loin, et pour toi dans le coffre, ça va être étouffant. J'ai eu une autre idée » me dit-elle en attrapant ma laisse.

J'étais agacée, mais de toute manière, que pouvais-je faire? Faire remarquer que je n'étais pas vraiment une esclave n'allait-il pas me causer plus de soucis qu'autre chose?

Debbie me fit entrer dans un bâtiment. Manifestement un bâtiment officiel. Il y avait des policiers qui passaient çà et là.

-Justice de Géorgie, que puis-je pour vous? » demanda une dame derrière son bureau.

-Je voudrais une licence de propriété sur cette esclave » dit Debbie.

Je la regardais avec des grands yeux, ne sachant que dire.

-Debbie »

-Oui, allez en salle 5. »

-Une fois au Canada, ça n'aura aucune valeur Mag. » me dit Debbie

-Et si tu fais un scandale ici, ça sera pire. » ajouta-t-elle.

-Pour avoir une licence de propriété, il faut que vous prouviez que vous êtes en charge de cette personne. » déclara le juge en salle 5. Ses favoris sur les joues m'amusaient. Sur son bureau un panneau disait William Phelps

-Je pense que Mag, le reconnaitra. J'ai des photos, et j'ai ici la liste de personnes qui nous ont vues, dont la vendeuse de ses chaussures de ballet, » dit Debbie. Le juge se pencha sur les photos, ces mêmes photos dont je pensais qu'elles étaient des souvenirs. Il y avait même mon reflet dans la vitrine des chaussures de ballet.

-C'est vrai que le fait de savoir marcher en bottes de ballet, les mains le dos, comme elle le fait, et presque une preuve. » dit le juge alors que Debbie lui montrait les photos du smartphone avec les dates.

-Et bien, je dois dire que vous avez le choix mademoiselle, soit vous confirmez, et je donne une licence pour 5 ans à cette jeune fille. Soit, vous ne confirmez pas, mais alors vous promenez comme une esclave, ce qui est punissable de 10 ans d'esclavage. »

-Je suis... Canadienne » dis-je, espérant m'en tirer par un rappel à la loi.

-Ce n'est pas la question, vous appartenez à cette jeune fille pour 5 ans, ou je vous envoie en vente judiciaire pour 10 ans au « Cock'n'Cunt »

-Je confirme », dis-je un peu vaincue. Le juge ouvrit sa barguette, et sorti son sexe

-Allez, salope, viens faire ce que tu dois bien savoir-faire, entre mes cuisses » dit William. Je regardais Debbie, et elle me fit oui de la tête. Dégoutée, j'obéis. Servir Debbie était une chose, le juge en était une autre. Me mettre à genoux était une épreuve. L'odeur du sexe en était une autre.

-Cette licence est valable 14 jours. Pendant ces 14 jours vous devez faire évaluer votre esclave par un marché, et vous aurez votre titre de propriété, définitif » expliqua le juge. J'étais soulagée de savoir que ce papier n'était pas définitif. Une fois au Canada, il n'aurait plus de valeur comme l'avait dit Debbie. En attendant j'étais sous une table à sucer ce juge. Finalement il jouit, et son sperme éclata dans ma bouche!

-Et merde. Faite-lui suivre des cours, c'est une piètre suceuse! » dit-il.

Nous sortîmes du tribunal. Debbie avait sa licence dans une main, et ma laisse dans l'autre.

-Il a peut-être raison, Mag » me dit-elle en riant.

-Je ne trouva pas ça drôle, Debbie » dis-je.

-Appelle moi maîtresse, on peut t'entendre » me corrigea-t-elle, en m'embrassant, malgré mon odeur.

-Reconnais que ce sera un excellent souvenir. On est à moins de 10 minutes de marche du parc des jeux olympiques, on va manger et on repart à l'aéroport » proposa Debbie.

-Je crois que c'est toi qui décides. » dis-je alors qu'elle me paradait nue dans le centre d'une ville de 6 millions d'habitants. Et en plus, j'étais couverte de sperme.

Nous étions à moins de 10 minutes, mais, 10 minutes évaluées par google maps, pas par une esclave en bottes de ballet.

Je ne sais pas pourquoi, mais en arrivant au parc des jeux olympiques, j'avais un mauvais présentiment. Il faut dire que de l'autre côté du parc il y avait le 'World of Coca-cola'. Et de part et d'autre le centre national des droits de l'hommes, et le marché aux esclaves. Une forme d'humour que je ne goutais pas alors que j'étais une esclave depuis 10 minutes.

Debbie acheta des sandwiches, de la boisson locale, et de l'eau, et elle me détacha les mains pour que je puisse manger, après m'avoir lavé avec l'eau, un soin que j'appréciais. Cette liberté acquise me soulageait. J'allais me mettre assise, quand Debbie me reprit :

-A genoux, Mag, » souffla-t-elle. Je me mis à genoux en jurant bien que c'était la dernière fois que je me laissais mener comme ça.

-Vous êtes bien généreuse, les esclaves ça doit avaler du grit ; » nous dit un passant.

-C'est quoi ce grit? » demandais-je.

-C'est ce que l'on donne aux esclaves, normalement. A la base c'est un plat traditionnel Georgien » dit simplement Debbie. Je préférais mon sandwich.

-On a encore un peu de temps avant de retourner prendre notre avion » déclara Debbie. J'aurais voulu protester. J'étais un peu lassée d'être promenée nue dans la ville, et mes pieds me faisait souffrir. J'avais eu beau apprendre à marcher dans les bottes de ballet, la position du pied reste tendue, et plutôt douloureuse. La seule chose qui me gênait c'était de devoir aller dans le coffre d'un taxi pour rejoindre l'aéroport, où se trouvaient mes vêtements de femme libre. Juste, alors que cette pensée me vint, elle fut poussée par une autre : depuis une heure environ j'étais l'esclave de Debbie, et plus une femme libre.

-Peut-être que nous devrions être prudentes, et retourner à l'aéroport, Maîtresse » demandais-je

-Oui, tu as raison, juste je voudrais savoir quelque chose avant. Allez, debout » répondit-elle.

Elle referma les menottes, et repris ma laisse. Voulait-elle m'exhiber au musée Coca-cola? Nous en prenions la direction. J'étais consciente aussi que dans la même direction, il y avait un organisme aux couleurs inversées, et dont le signe reprenait les C en police cursive.

-Maitresse Debbie... » dis-je. Mais avant que je ne finisse, elle tira sur la laisse, et me déséquilibra. Sans mains, avec ses talons si haut, je ne pouvais que tomber, mais elle se mit contre moi, et me retenait. Elle m'embrassa en m'aidant à me redresser.

-Mag, tu n'imagines pas le bien que tu me fais en me permettant d'être de l'autre côté. Je te demande une dernière chose. Fais-moi confiance, je te soutiens. » me dit-elle.

-Debbie... »

-Maitresse, et tu sais qu'une esclave pose toujours trop de questions » me dit-elle en posant un doigt sur ma bouche. Je me doutais de ce qu'elle me proposait : nous étions tellement proche du Cock'n'Cunt! J'espérais qu'elle voulait me faire peur, et ne pas me faire évaluer.

Je pensais à résister, me révolter. Mais non seulement j'étais nue comme une esclave, mais Debbie avait un titre de propriété : elle avait le droit de faire de moi ce qu'elle voulait. Cela me nouait l'estomac. Comment notre jeu avait pris de telles proportions? J'aurais voulu en sortir tout de suite. Mais j'avais appris avec mon métier qu'il fallait accepter la réalité. Quand un criminel que l'on avait arrêté était acquitté, nous, policiers devions apprendre à accepter la situation et à s'adapter. Je devais donc accepter et m'adapter. J'avalais ma salive, en me disant que j'avais encore quelques minutes, quand je butais dans Debbie qui venait de s'arrêter : Nous étions devant l'entrée du marché aux esclaves.

Un grand escalier en marbre sombre montait d'un demi niveau par rapport au trottoir, avec un escalator à droite et un ascenseur à gauche. Au-dessus une indication : « entrée des acheteurs et des visiteurs. » Au-dessus de l'escalier je devinais huit guichets surmontés d'une baie vitrée qui devait apporter de la lumière dans l'entrée du marché. Au-dessus, il y avait deux étages de bureaux. Sur le toit le logo blanc et rouge semblait porté par des ombres d'hommes et de femmes nus : des esclaves.

Quand Debbie se détourna de cet escalier, je soupirais de soulagement : elle n'avait donc fait que me tester. Elle voulait voir si je protesterais. J'étais assez fière d'avoir su garder mon calme.

Au lieu de s'engager dans ce grand escalier, Debbie prit un des petits escaliers en béton brut. Il y en avait un de chaque côté du grand. Au-dessus un panneau indiquait : « dépôt des esclaves : évaluation/vente. » Mon cœur se mit à battre : mes espoirs étaient déçus, Debbie m'emmenait bien au marché, mais en plus ce n'était pas pour une simple visite. J'allais être évaluée!

Descendre un escalier avec des talons comme ceux que je portais était une épreuve. La direction aussi. Je marquais une pause.

-Hé, Mag? » me dit Debbie.

-C'est pas facile, Maitresse » me justifiais-je.

-Tu es sûre que ce sont les talons? » me dit-elle. Je choisis l'honnêteté.

-Il n'y a pas qu'eux, mais ils y participent, Maitresse » dis-je en descendant d'une marche.

-Je croyais que tu ne voulais pas être en retard pour l'avion? »

-Non, Maitresse » dis-je, alors que nous étions sous le grand escalier, qui à ma grande déception n'étais pas marbre, mais en béton. Le dessous était brut. Là, où se rejoignaient les deux escaliers en béton il y avait 4 guichets. Un seul était ouvert. Une employée en tenue noire et rouge remplissait des formulaires alors qu'elle femme mure tenait un jeune homme nu en laisse.

-Je voudrais faire évaluer mon fils, pour son prêt étudiant » disait-elle.

-Bien sûr » répondit l'employée, « une minute. »

-Installez-vous à un guichet, j'appelle quelqu'un » lança-t-elle à Debbie avec un grand sourire.

-Il est majeur, il me faut le contrat procuration signé devant notaire, et une pièce d'identité pour chacun de vous. » continua la jeune fille, alors que la mère tendait une liasse de papiers, un permis de conduire, et un passeport. L'employée vérifiait que les noms dans le contrat, correspondait aux pièces d'identité, et compara les photos aux visages des personnes qui étaient devant elle.

Le jeune homme, manifestement mal à l'aise d'être nu en public, piétinait. Il avait du mal à rester calme.

-Je me doute que ce n'est pas votre but, mais cette procuration vous autorise à procéder à la vente du cosignataire, votre fils, dans les 14 jours après signature, c'était hier, il vous reste 13 jours donc. Si c'est votre choix, je vous conseille de nous le faire savoir avant de le reprendre, c'est toujours plus difficile, après. De plus, nous avons une promotion. » expliquait la manipulatrice d'esclave.

-Non, mais ce n'est pas mon intention. Quand puis-je revenir le chercher? »

-Dans deux heures, Madame, mais je n'ai pas fini encore. »

Mon estomac se nouait, j'avais encore deux heures d'horreur devant moi. A ce moment un afro américain obèse portant la tenue de Cock&Cunt se dirigea vers nous.

-Bonjour Madame, je m'occupe de vous! » Dit-il en regardant Debbie.

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Un centre pour roux est une histoire très originale qui nous tient en haleine et son a hâte de lire la suite de cette Mag.

Génial!

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 10 moisAuteur

Merci pour vos commentaires

Rudy > Je ne pouvais résister au plaisir de vous faire visiter le marché aux esclaves de l'intérieur.

OlivX > peut-être veut-elle faire comprendre à Mag que l'esclave est la merci de son Maître ou de sa Maîtresse.

Mag n'est pas en vente, ce n'est qu'une évaluation. Mais nous aborderons la vente dans cette histoire, ou dans une autre.

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Toujours très bien !

Mag aura - t - elle le crâne rasé pour sa vente ?

Les pieds nus ?

L’auteur en sait plus que moi

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que Debbie est pas honnête avec Mag sur ses réelles intentions.

OlivX

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Superbe chapitre.

Qui laisse beaucoup d'incertitudes pour la suite.

Très bien ce chauffeur de taxi qui place les esclaves dans son coffre.

Rudy

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