Un Centre Pour Roux Ch. 06

Informations sur Récit
Mag découvre la préparation d'une esclave.
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Partie 6 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est le sixième épisode. il comporte un résumé au début, mais le mieux est de lire depuis le début de la série.

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Préparation

-Je voudrais faire évaluer mon esclave. » expliqua Debbie en posant sur le guichet, la licence, et nos passeports.

-Je vois qu'elle est Canadienne, c'est sa première évaluation? » demanda le manipulateur d'esclave à Debbie. J'étais un peu choquée qu'il ne me regarde presque pas. A côté, l'employée qui s'occupait d'une mère faisant évaluer son fils, avait changé le collier du jeune homme, après avoir fait signer ce que je supposais être un reçu, elle reparti en guidant le nouvel esclave d'une main posée au bas de son dos.

Moi, c'est Meg, membre de la police Canadienne, chargée de la lutte contre les trafics d'êtres humains. J'ai rencontré Debbie à l'occasion d'un séminaire sur ce sujet à Atlanta. Elle était justement esclave dans un centre de conservation des roux. Quand elle a été libérée elle est venue me rejoindre au Canada, et m'a initié à ce que c'est d'être une esclave, entre autres, en me faisait porter une ceinture de chasteté. Ce jeu c'était calmé, et Debbie m'avait proposé de passer des vacances sous un climat plus chaud que le Canada. Nous sommes allées en Floride, mais là, la vue des esclaves nues dans la rue lui a donné l'idée de me promener nue comme ça dans notre station balnéaire. Notre vol retour a été changé en un vol avec une longue escale à Atlanta, et encore une fois, Debbie avait envie de faire une dernière fois ce qui serait impossible après notre retour : me promener nue en ville.

Je reconnais que même si c'est humiliant, c'est aussi très excitant. Mais je suis tombée de haut quand Debbie m'a emmenée devant un juge qui a validé que je me comportais comme son esclave, et lui a donné 5 ans de droits de propriété sur moi. Evidement ces droits n'ont aucun sens au Canada, mais ici aux Etats-Unis, elle doit les valider par une évaluation pour que je sois son esclave. Evidemment, il est trop tard pour me révolter.

En relevant la tête, je vis le badge de Steve Holguin. Il tapait les références des documents dans son ordinateur.

-Il n'y pas de notion de Nationalité pour les esclaves. Pour sortir des Etats-Unis vous devrez la déclarer à la douane, mais je peux vous vendre un pass pour $75,00. Par contre, au Canada, ou en Europe l'esclavage n'est pas reconnu, il faudra qu'elle soit habillée et qu'elle ait son passeport. » expliqua Steve à Debbie. J'étais pourtant concernée au premier chef.

-Et si je passe du Canada aux Etats-Unis, ou au Mexique, Monsieur » demandais-je. Ma question provoqua un blanc. Le jeune Steve, semblant surpris que j'ose poser cette question. Il prit un objet sur son guichet et s'approcha de moi. Il me pinça le nez, et dès que j'ouvrit la bouche, il y enfonça une balle.

-Humm, » protestais-je, mais il accrocha les deux bouts d'une sangle derrière ma tête.

-Mag, je t'avais dit qu'une esclave pose toujours trop de questions! » me dit Debbie.

-Nous proposons des stages d'éducation serviles, pour les jeunes esclaves » proposa Steve qui avait toujours la proposition commerciale adaptée.

-Non, par contre, la réponse à la question de mon esclave m'intéresse » dit Debbie.

-Légalement, une esclave entrant sur le territoire fédéral doit être déclarée par son propriétaire. Si...Mag venait seule du Canada, elle serait arrêtée à son arrivée, et considérée comme une esclave en fuite. Bien sûr par la route, il peut ne pas y avoir de contrôles. Pour le Mexique, et les autres pays qui ont rétabli l'esclavage c'est à peu près la même chose. » J'étais en colère contre Steve pour le ball gag et contre Debbie, pour cette folie qui allait me contraindre à redevenir esclave à chaque fois que je viendrais aux Etats-Unis pour les cinq ans à venir!

-Je vais vous demander les clés de son collier, de ses menottes, et de ses bottes de ballet. » dit Steve à Debbie.

-Debout »me dit-il.

Il me renversa sur le guichet, et défit mon collier, pour remplacer par un autre. Pendant un moment je pensais qu'il allait me prendre, comme ça, devant tout le monde.

-Tu es sous la responsabilité du Slave's Cock'n'Cunt Market. A partir de maintenant, n'importe quel employé du SCCM est habilité à te punir par le moyen qu'il juge approprié. En particulier ce collier peut délivrer des décharges électriques en cas de tentative d'évasion. As-tu compris ce que j'ai dit. » Avec un gag-ball, mon seul moyen de répondre était d'approuver de la tête, ce qui sembla le satisfaire. Il me retira ensuite mes menottes, pour les remplacer à par un zip bien moins confortable, puis me redemandant de me tenir debout, il se mit à mes pieds pour me retirer mes bottes.

-Signez ici » dit-il à Debbie, Puis il lui tendit, avec son passeport, un tiquet qui sortait de la machine.

-Voilà, notre prochaine séance d'évaluation se termine dans 2 heures, vous pourrez la récupérer à ce moment-là. Il collait une étiquette bleue sur mon collier. J'avais pensé que l'étiquette du jeune homme était bleue parce que c'était un male, et que j'en aurais une rose, mais la signification était manifestement différente : une esclave pose toujours trop de questions.

-Nous pratiquons aussi la vente, et vous pouvez vous décider quand vous voulez pour vendre votre esclave. En ce moment nous faisons l'évaluation à demi-tarif si vous décidez de vendre votre esclave avant la fin de l'évaluation. Il Suffit de vous décider avant de la reprendre. Je vous rappelle que les gardes de nuit sont facturables. »

Sa main descendit le long de mon dos, et ses doigts glissèrent entre mes fesses, et il me poussa vers l'intérieur du SCCM. J'entrais donc par l'entrée de dessous, celle en béton brut, et pas par celle des acheteurs qui eux montaient un escalier faussement luxueux. L'intérieur était une salle circulaire où les bruits raisonnaient. Le milieu semblait séparé pas des cloisons de grillage métalliques. Les doigts de Steve poussaient sur ma fesse gauche et c'est la direction que je pris. Un œil vers le haut me permis de voir le balcon de l'étage supérieur qui avait une vue plongeante sur ce qui se passaient en bas. Plus prosaïquement, le traitement du flux d'esclave était organisé pour être une attraction pour les acheteurs et les visiteurs.

Steve me conduit à un premier, « stand » appelons-le comme ça.

Sarah Vigil, si j'en crois son badge, une grande brune, pris une douchette et scanna mon étiquette.

-Marguerite O'Sulivan? » demanda-t-elle. Je fis oui de la tête.

-Maintenant vous êtes 616-918-5113, retenez 5113. » me dit-elle en m'enlevant le ball gag. Elle prit une machine.

-Cela chatouille, ce n'est pas agréable » me dit-elle avant de baisser ma lèvre inférieure et d'y poser la machine. Elle venait de tatouer mon identifiant! Quand elle eut fini, Steve reglissa sa main entre mes fesses, et me fit avancer pour me conduire un peu plus loin sur le chemin de ronde.

Là, le « stand » était protégé par des paravents. Mais les acheteurs, eux avaient une vue plongeante, sur l'examen des esclaves. Ces derniers étaient considérés comme des animaux. D'ailleurs sur son badge Thach Kim Dinh était qualifié de 'Vétérinaire' (Slave-Vet).

-Mettez-vous sur la table que je vous inspecte » la table comportait un trou au milieu qui permettait de ne pas s'allonger sur ses mains. J'étais même surprise que l'on ait fait une si délicate attention pour des esclaves. C'était peut-être sans compter que, si nous n'étions plus des êtres humains, nous avions une valeur marchande.

-Vous avez une contraception? »

-Oui, un stérilet » dis-je

-Parfait, je note. Ce n'est pas très important car vous n'êtes pas destinée à la vente, » il fit un prélèvement, et me toucha l'anus.

-Jamais de sodomie? »

-Non. »

Il passa du lubrifiant, puis il attrapa un objet

-Détendez-vous, et si vous voulez faire quelque chose poussez, et ne serrez pas les fesses. » prit-il soin de me dire en poussant un plug entre mes fesses.

L'objet effilé entrait dans mon orifice, et la forme de cône faisait le reste, il me pénétrait en m'ouvrant. La sensation bizarre au début devenait de plus en plus gênante. Puis de gênant c'est devenu un peu douloureux.

-Aïe » tentais-je

-Oh, non, que ce ne soit pas agréable, je veux bien, mais ne vous inquiétez pas, vous aurez nettement plus mal par la suite. » dit-il. Je ne suis pas certaine que ça ait été pour me rassurer. Tout d'un coup je senti mon sphincter se refermer en happant l'objet vers l'intérieur. Une partie moins large restait dans le passage.

-Voilà, ça va vous habituer à avoir des sensations là. » me dit-il.

Après s'être éloigné, il revint avec une espèce de pistolet comme ceux que l'on utilise pour vacciner un grand nombre de personnes.

-C'est à peine douloureux, » me dit-il, en le posant contre ma clavicule. Il déclencha, et un poinçon entra dans ma peau juste sous ma clavicule. Mentalement, je notais que 'a peine' n'était pas forcement mon ressenti. Pour lui, sans doute, c'était à peine douloureux.

-C'est une puce RFID, qui donne votre identifiant national. Elle sera reprogrammée à la fin de votre période d'esclavage » me dit-il. Pour ma part, je savais pourquoi je ne pourrais plus prendre l'avion seule pour les 5 ans qui viennent.

Steve m'aida à descendre, puis me conduit au « stand » suivant.

Une petite manipulatrice d'esclave avec des cheveux bouclés en boule rousse marquait le rythme avec un bâton. En face d'elle, des esclaves prenaient les pauses de slave Yoga en suivant ses ordres.

-Macha, » dit Steve pour l'interrompre. Macha se retourna, et me contempla de bas en haut.

-Qu'elle monte sur la scène avec les autres, c'est pour le Ginger ça, Ha non, elle n'est pas à vendre. » dit-elle à Steve

-Ma salope, c'est quoi ton nom? » me demanda-t-elle, alors que Steve défaisait mon lien.

-Meg, Madame »

-Ok, ici on révise son Yoga » me dit Macha, puis elle frappa le sol, comme un professeur de danse.

-A genoux, pan A quatre pattes, pan, fesses en l'air, pan, debout... » Le rythme rendait l'exercice intense.

-J'entends rien, mes petites salopes! » Il y avait des garçons, en particulier le jeune homme qui venait d'être laissé devant moi, mais pour elle, nous étions toutes ses petites salopes, alors que c'était elle qui devait faire 1m60.

Depuis que j'avais commencé le parcours, une sensation nouvelle me marquait. J'étais traitée comme du bétail, humiliée profondément. Et je vivais cela, comme détachée de ce qui se passait, un peu comme si je n'étais que la spectatrice de ce qui m'arrivait. En fait, c'était sans doute une bonne chose. Je faisais une visite interactive du processus de deshumanisation de l'esclave. Mais je savais qu'ensuite, je serais confortablement installée dans mon avion, pour rentrer chez moi, et c'était réconfortant.

Une jeune fille vint nous rejoindre, puis un homme plus âgé. Il me fallut un moment pour comprendre que chaque fois qu'un nouvel esclave montait, un autre descendait. C'est quand le gamin qui me précédait descendit, que je compris. En fait ce n'étais pas bien grave. Steve, mon manipulateur, m'attendait. Il me prit encore en glissant ses doigts entre mes fesses.

-Ton nom, c'est 5113, plus Meg » me dit-il avant de me donner un coup de martinet. Je sursautais, mais j'étais contente qu'il ne me rattache pas les mains. Je pensais à une erreur de sa part. Je me trompais.

-A genoux, » m'ordonna-t-il, devant le stand suivant, où je fus prise en photo.

-Ce sont des photos qui seront conservées dans le registre National des esclaves. » expliqua-t-il, avant de me demander de me mettre fesses en l'air et d'écarter mes fesses pour la photo. Vous ais-je déjà dit que le processus était humiliant. Je me demande même s'il n'y avait pas une forme de descente aux enfers.

Puis ouvrit sa braguette et me fit signe de venir, le temps pour lui de rentrer ces photos et de compléter mon dossier. Je compris qu'après je juge, j'allais avoir une nouvelle occasion de perfectionner mes compétences d'esclave. Bizarrement, j'étais très excitée, et finalement ça tombait bien.

Ensuite, il me conduisit sur une plateforme. Il attacha mes chevilles sur des supports, qui m'obligeaient à être jambes écartées. Devant moi, il y avait une barre horizontale, qu'il régla pour qu'elle soit à la hauteur de mes hanches. Puis, il me fit attraper des poignets en avant. Il appuya sur un bouton à côté de chaque poignée, et une cage métallique se refermait sur chacune de mes mains, je ne pouvais rien lâcher : j'étais complétement penchée en avant, basculée sur les bras que Steve avait réglé. Je me doutais de la vue qu'avait ceux qui étaient derrière moi. Steve en l'occurrence. La position était vraiment humiliante, et tout aussi inconfortable. Steve brancha quelque chose sur le plug.

-Ho, » dis-je alors qu'un liquide me remplissait »

-C'est le lavage, interne et externe. La pression devint insupportable. Il débrancha le tuyau du plug, et enclencha une manette. Un tapis entraina alors la plateforme sur laquelle je me trouvais. Elle passa sous un premier portique, où fut projetée de la mousse. Puis, je passais entre des rouleaux, sans doute plus doux que ceux utilisés pour laver les voitures. Tout d'un coup un rouleau supplémentaire remonta et passa sur mes seins, mon ventre et mes orifices. Il y eut un arrêt et Steve enleva le plug, et désespérée je me vidais devant lui. Puis la plateforme repris son avance pour me faire passer entre des jets d'eau. La dernière étape étant constituée de buses qui soufflaient de l'air chaud.

-Ho là là, mais regardez-moi comment elle est » s'écria un homme avec un accent Français terrible : Bernard Forestier d'après son badge. Steve me détachait.

-Bernard, va refaire ta coiffure et ton maquillage. » me dit-il.

Bernard y prenait plaisir.

-Caresse toi ma grande, plus tu seras excitée, meilleure sera ta note » me dit-il.

-Merci Monsieur »

-Oh tu sais, pas de chichis entre nous, appelle moi Nanard. » me dit-il. Pas de chichis entre nous, mais lui était un employé et moi une esclave. Ceci dit, Nanard connaissait son travail. Franchement provoquant, en quelques minutes il avait réussi ce qu'il avait entrepris.

Dès qu'il eut fini, Steve me rattacha les mains, et me dirigea vers les cages du milieu : nous étions arrivés au bout du chemin. En haut des clients regardaient ce qui se passait en dessous, Un peu plus loin j'entendais le rythme donné par Macha et les chants des esclaves. Il y avait aussi de temps à autres des coups de fouets et des cris.

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2 Commentaires
VerbalAbuseVerbalAbuseil y a 6 mois

What is this strange language you are writing in? I like it!

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Mag retournera t'elle vraiment au Canada ?

Rudy

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