Un Centre Pour Roux Ch. 04

Informations sur Récit
Mag et Debbie partent en vancances en Floride.
2.4k mots
4.38
3.8k
3

Partie 4 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est le quatrième épisode, et il doit être possible de le lire sans lire les trois premiers car il comporte un rappel de l'historique.

---------------------------------------------------------------------------

Des vacances bien méritées

C'est un mois plus tard que Debbie et moi débarquions en Floride. La température était presque étouffante pour moi, mais Debbie semblait revivre, elle qui avait passé tant de temps en Géorgie avait eu du mal à se faire au climat Canadien.

Policière Canadienne, je lutte contre les trafics d'humains. La légalisation de l'esclavage aux Etats-Unis ayant créé un marché libre, où ceux qui enlèvent des citoyens d'autres pays peuvent les revendre librement. Dans le cadre de la coopération entre les polices de différents états, j'avais été envoyée à Atlanta, capitale de la Géorgie, pour assister à séminaire sur ce sujet. J'y avais visité le fameux centre de conservation des Roux, où j'avais rencontré Debbie, une esclave rousse. Après sa libération Debbie a trouvé un article sur le démantèlement d'un réseau entre le Canada et les Etats-Unis, où j'avais été particulièrement active. Elle avait dépensé tout ce qui lui restait pour venir me retrouver. Depuis elle vivait chez moi, et me sensibilisait aux obligations d'une esclave. La climat Canadien étant rude pour Debbie, nous avions décidé de passer des vacances en Floride.

Au volant de la voiture de location je me laissais guider par le GPS dans la petite ville balnéaire où Debbie avait trouvé un logement.

-C'est une petite ville, mais le logement à l'air bien, et n'est pas trop loin de la plage, » dis-je.

-Oui, c'est ce qui m'a plu. » me dit-elle, alors que je sortais pour prendre notre bagage dans la voiture, je vis un homme passer, avec une femme à côté le lui. Je restais immobile devant cette scène.

-Mag, ça va? »

-Je... c'est une esclave? »

-Oui, c'est pour cela qu'elle est nue. »

-Je ne sais pas ce qui me choque le plus : qu'elle soit nue, ou qu'elle soit tenue en laisse » dis-je, alors que Debbie riait.

-On tire au sort pour savoir laquelle de nous deux ira à la plage comme ça? »

-Humm, non, j'ose à peine imaginer ce que donne le sable sous la ceinture de chasteté. » dis-je.

-Je ne parlais pas de ceinture. En tout cas pas pour la plage, » me dit Debbie, qui après avoir fermé la porte commençait déjà à se déshabiller.

Quelques minutes plus tard, nous étions toutes les deux en bikini sur le sable chaud de la plage.

-Ca se sont des vacances bien méritées » dis-je en me laissant aller.

-Regarde, à droite c'est un esclave » me dit Debbie. Effectivement, un homme uniquement vêtu d'un collier d'esclave se trouvait à notre gauche. De son collier pendait une laisse, mollement attachée au pied du parasol sous lequel il était.

-C'est obligatoire la laisse? » demandais-je

-Non, mais c'est très courant quand un esclave se déplace avec son Maitre ou sa Maitresse. »

Ce soir-là nous sommes allées au restaurant, puis, ayant un peu bues nous sommes rentrées.

-Ca complèterait ton expérience d'esclave si je te promenais en laisse. En plus ici, tu pourrais rester avec le collier toute une journée » me dit Debbie en se callant derrière moi nue dans le lit. Ses mains caressaient mon ventre et l'une progressais vers ma poitrine alors que l'autre descendait plus bas. J'écartais légèrement mes cuisses pour lui offrir un passage facile.

-Oui » dis-je sans vraiment savoir si j'approuvais ses caresses ou son idée.

Le lendemain, je me réveillais seule dans le lit. Sur ma table de nuit se trouvait le collier que Debbie m'avait fait porter à la maison. J'avalais ma salive. Le message m'apparaissait clair. Je me levais pour aller aux toilettes, et je passais devant la ceinture de chasteté. Je me demandais si j'avais envie de faire ça? Une partie de moi avait peur bien sûr, mais une autre partie était toute excitée à l'idée de me retrouver nue dans la rue. Je savais déjà que les gens ici trouveraient ça normal.

En fait ce qui me retenait c'était qu'avec Debbie, je savais quand on commençait, mais quand on s'arrêtait. J'avais un peu peur de passer la semaine entière en tant qu'esclave. Aussitôt je culpabilisais à cette pensée, Debbie avait passé 10 ans en esclavage, et je faisais des manières pour 6 jours!

-Mag, je suis allée nous acheter un petit déjeuné! » dit Debbie en entrant. En sortant des toilettes, je voyais que, en plus des pâtisseries pour le petit déjeuné, Debbie avait acheté une laisse.

-Je suppose que je dois aller mettre mon collier? » demandais-je.

-Oh, hier soir, tu avais l'air d'être d'accord. Et puis c'est quelque chose qu'on ne pourrait pas faire au Canada. »

-Ca je confirme, ni le climat, ni la loi ne le permettent. Par contre, tu as du mal à t'arrêter. »

-C'est parce que ce n'est pas l'esclave qui décide. Et puis que crains-tu, pour prendre l'avion vers le Canada il faudra bien que tu sois habillée et hors collier et ceinture. »

-J'espère que ce je ne dure pas tout le séjour. » dis-je

-OK, mais chaque fois que tu demandes, où que tu y fais allusion, je rejoute un jour, d'accord. »

-J'ai peur de ne plus pouvoir prendre l'avion. » dis-je, et avec un pincement au cœur, je refermais le collier autour de mon cou. Puis j'enfilais ma ceinture de chasteté.

-Merci Mag, viens manger, après on va dans un centre commercial. » me dit Debbie en sautant de joie, puis en accrochant sa laisse à mon collier. J'étais un peu mal à l'aise de la sentir pendre entre mes seins.

-Ai-je le droit de la toucher Maitresse? » demandais-je en commençant à m'agenouiller.

-Non, non, assieds-toi en face de moi. Logiquement, un esclave ne touche sa laisse que pour en tendre le bout à son Maître ou sa Maîtresse. Typiquement en sortant de la maison, ou d'un magasin. »

-Certains esclaves étaient pieds nus, d'autre avaient des chaussures. Que dois-je faire, Maitresse. » Je vu Debbie sourire.

-Normalement c'est pieds nus. Mais porter des talons très haut va bien aussi. Aujourd'hui, je pensais à des talons pour toi » me dit Debbie. J'en déduisis que le lendemain encore je serais en laisse, mais pieds nus.

Après avoir mangé, je suis allée mettre des talons, et nous sommes sorties de la maison. Je tendis la boucle de la laisse à Debbie.

-On va prendre la voiture. » me dit-elle. C'est elle qui prit le volant, et je me mis à la place du passager.

-Reste-là, mais normalement, les esclaves vont dans le coffre » me dit Debbie en souriant.

Dans le parking j'étais moins à l'aise. Debbie pris la laisse que je lui tendais, et nous étions parties.

L'espace climatisé du centre commercial me surpris : sans vêtements, je me sentais gelée. Debbie s'arrêta.

-Ici tout le monde suppose que tu es vraiment une esclave, ne parle que si on te demande quelque chose, oh et décroise ces bras. » me dit-elle. Puis elle reprit son chemin.

La situation était humiliante, mais aussi très excitante. Les autres personnes n'étaient pas étonnées de me voir comme ça. Mes tétons par contre trahissaient à la fois mon excitation et ma sensation de froid. Si je croisais les bras ce n'était pas uniquement pour les cacher.

Debbie s'arrêta devant une vitrine, et me demanda de regarder les chaussures.

-Ce sont des talons pour esclave, on va les essayer. » me dit-elle avant de sortir son téléphone et de faire une photo des chaussures.

-Mais Deb... Maîtresse, je n'arriverais pas à marcher avec ça. » dis-je. Debbie me fusilla du regard.

Elle lâcha ma laisse, et me fit un signe du doigt pour que je me mette à genoux.

-Que voulez-vous madame?

-Je voudrais que mon esclave essaye les chaussures de ballet que vous avez en vitrine.

-Tout de suite. Elle n'a pas encore été dressée. »

-Non, mais ça va venir » dit Debbie

-Les cuisses plus écartées. » ajouta-t-elle en me regardant.

Je ne m'explique pas ma réaction. Je ressenti ses remarques comme particulièrement humiliantes, mais en même temps, je sentis que je coulais, comme si j'appréciais d'être une esclave.

-Votre pointure? » me demanda la vendeuse. Un moment de panique me tétanisa. Comment devais-je m'adresser à elle.

-39, madame » dis-je

La vendeuse revint un peu plus tard avec des boites, et une serviette, qu'elle posa sur un des sièges.

-Ici, salope » me dit-elle. Debbie me fit signe avec le doigt. Je voulais réagir, mais me rappelant ma place je me levais, et m'assis sur la serviette, et commençais à retirer les sandales.

La vendeuse ouvrit la chaussure de ballet, et glissa mon pied dedans. Puis elle la referma. J'étais surprise de cette attention, jusqu'au moment, où je l'ai vu refermer un cadenas. Elle fit la même chose avec l'autre chaussure.

-Et bien, Mag, tu ne remercies pas la vendeuse? » me dit Debbie.

-Merci Madame, Pardon Maitresse » dis-je.

-Eh bien, essayez de marcher. Elle est un peu empotée? » dit la vendeuse. Dans ces chaussures mon pied était quasiment vertical. J'eut du mal à me lever. Puis à faire deux pas. Enfin trouvant mon équilibre, les bras écartés, je marchais lentement en faisant une boucle dans le magasin.

-Tournez-vous » me dit la vendeuse, puis elle prit mes bras, et les rejoignit dans mon dos. Les tenant avec une seule main, elle attrapa quelque chose qu'elle posa sur mes poignets. Je ne m'y attendais pas, mais elle me mit une attache câbles, et la serra.

-Ho » je me retint d'appeler Debbie à l'aide.

-Voilà, remarchez maintenant. » dis la vendeuse.

-Et remercie là de son attention, Elle a raison une esclave passe pas mal de temps les mains dans le dos! » dit Debbie.

-Merci Madame » dis-je, mais cette phrase me resta en travers de la gorge.

-Elle va les garder. » dit Debbie en payant, puis elle attrapa ma laisse et me conduit dans le centre commercial alors que j'évoluais dans un équilibre instable.

Quand nous fumes arrivées au bout du centre commercial, Debbie coupa l'attache cable, en riant.

Et finalement nous rentrâmes pour manger à la maison.

-C'est impossible de marcher avec ces trucs-la » dis-je.

-A qui t'adresses-tu? » me dit Debbie.

-Pardon, Maitresse »

-1 jour, Mag... et encore je ne parle pas de ton comportement avec la vendeuse »

-Pardon Maitresse »

-Normalement, il n'y a pas de pardon, mais des punitions, des fessées, des coups de cannes... des jours en plus » expliqua Debbie. Je sentais mon clitoris prisonnier se mettre à pulser dans la ceinture

-J'ai compris Maitresse. Par contre, peux-tu me retirer ces chaussures? » demandais-je.

-Qui décides, Mag? »

-Toi, Maîtresse, » dis-je un peu embarrassée d'être reprise à nouveau.

-C'est un jour de plus. » dit Debbie.

-Oh, non, là c'est différent. Ça fait mal au pieds ces trucs! » dis-je encore pour la convaincre.

-Encore un supplémentaire » dit-elle. Un nœud se forma dans mon estomac : je venais de prendre 3 jours de plus.

-Et normalement, on remercie une Maitresse qui prend soin de son esclave, en la corrigeant quand elle se comporte mal. »

-Merci Maîtresse » dis-je, encore une fois ce remerciement avait du mal à passer.

Après le repas, Debbie, s'approcha de moi, et ouvrit les cadenas des chaussures de ballet.

-Merci Maitresse, » dis-je.

-mets tes menottes » me dit-elle, puis elle prit la clé de ma ceinture et me la retira. Elle se changea et mis son maillot de bain. Je voulais demander ce que nous allions faire, mais j'avais peur de prendre un jour de plus. Quand elle eut fini elle attrapa ma laisse.

-Nous allons à la plage. » me dit-elle.

Cette fois-ci je n'avais plus ma ceinture, et je me sentais vraiment nue dans la rue. En plus avec les mains attachées dans le dos, je me sentais très vulnérable. N'importe qui pourrait abuser de moi. Le pire c'est que je n'aurais pas le droit de me défendre. Je n'avais plus de chaussures, et pour un peu je regrettais les chaussures de ballet : la moindre aspérité sur le sol me faisait mal, pourtant je devais suivre le rythme de Debbie, surtout qu'en cas de chute, avec mes mains dans le dos, je risquais de me faire mal. En fait toute la concentration était sur où placer mes pieds.

Finalement nous arrivâmes à la plage. Et Debbie me fit mettre à genoux sous un parasol auquel elle enroula la laisse. Rien de difficile à défaire, sauf avec les mains dans le dos. Elle se délecta même en faisant un selfie de moi et elle sur la plage, comme ça. Debbie décida aussi de m'emmener me baigner dans la mer comme ça.

Le soir j'espérais que cela s'arrête, mais j'avais appris qu'en parler n'aurait que l'effet inverse. Bien sur ce soir-là, elle me demanda me m'occuper d'elle.

Les jours se suivaient et se ressemblaient, le matin nous faisions les boutiques, alors que j'étais en talons vertigineux et ceinture de chasteté. L'après-midi j'étais à la page pieds nus. Je m'inquiétais même des marques de bronzage que le collier allait me laisser.

Debbie profitait de chacune de ces sorties pour faire des photos, dont je savais qu'à notre retours nous les partagerions avec amusement, mais sur le moment, je lui en voulait, sans rien pouvoir dire.

L'avant dernier jour, j'étais soulagée de d'être libérée de mes contraintes. C'était un plaisir de pouvoir m'habiller et marcher avec des chaussures raisonnables.

-Mag, notre vol est annulé, il faut que j'appelle. »

Debbie disparut quelques minutes.

-Nous avons un autre vol, mais il y a une escale de 8h » me dit-elle en boudant.

-A Atlanta » précisa-t-elle dit-elle

-Ce n'est pas courant, » dis-je.

-Tu voudras qu'on aille en ville? »

-Si c'est pour visiter le marché aux esclaves dans la tenue où tu m'as fait me déplacer cette semaine, c'est non! » dis-je.

-Tu dis ça, mais je suis sure, que te trouver nue dans le World of Coca-Cola t'exciterait comme t'a excitée de te retrouver nue et vulnérable ici » me dit Debbie.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
4 Commentaires
LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 11 moisAuteur

Merci pour vos commentaires.

La Tragédie est un une histoire où tout le monde sait que ça va mal finir. On prend plaisir à voir les personnages se débattre pour échapper à leur sort, ou au contraire l'assumer sans peur.

La surprise n'est pas forcement la destination, mais comment on y va.

Un des buts de cette histoire est de présenter ce monde où l'esclavage est légal, et les conséquences que cela a pour les personnages, même s'ils sont de pays voisins où l'esclavage n'est pas légal.

Merci à vous.

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

J'aime bien l'histoire, mais j'ai quand-même l'impression que la suite est cousue de fil blanc...

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Chaque chapitre est un régal.

Merci

Rudy

qsrofqsrofil y a 11 mois

Très intéressante série. On attend la suite avec impatience !

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Addiction à la Fessee Une jeune mariée découvre le plaisir de la fessée.
Nathalie Soumise à son Collègue 01 Mariée Nathalie cède aux caprices sexuels d'un jeune ami.
Plus d'histoires